Sevrage effexor help !!
Résolu/Fermé
Bonjour,
ca fesat 3ans environ que j'étais sous effexor 75 mg, il ya quelques mois mon médecin me la diminué a 37.5mg que je prenais tous les deux jours, cela se passait bien. quand j'ai terminé mes plaquettes, je savais que c'était le syndrome de sevrage qui allait arriver. Depuis une semaine d'arret, j'ai des vertiges, je suis très fatiguée, je vois tout "au ralenti" (c''est une sensation étrange,comme ci le cerveau était brouillé (effet tête dans les fesses ,pour être polie), ailleursquoi) des courbatures, mal de dos a cause de la fatigue, bref, pas envie de sortir, envie de pleurer pour rien, bref tous ca! je me demandais si ca venait du sevrage, et si d'autres personnes avait eu es symptomes. merci
ca fesat 3ans environ que j'étais sous effexor 75 mg, il ya quelques mois mon médecin me la diminué a 37.5mg que je prenais tous les deux jours, cela se passait bien. quand j'ai terminé mes plaquettes, je savais que c'était le syndrome de sevrage qui allait arriver. Depuis une semaine d'arret, j'ai des vertiges, je suis très fatiguée, je vois tout "au ralenti" (c''est une sensation étrange,comme ci le cerveau était brouillé (effet tête dans les fesses ,pour être polie), ailleursquoi) des courbatures, mal de dos a cause de la fatigue, bref, pas envie de sortir, envie de pleurer pour rien, bref tous ca! je me demandais si ca venait du sevrage, et si d'autres personnes avait eu es symptomes. merci
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62 réponses
Bonjour, non le sevrage peut être tout à fait réussi s'il est bien mené. Il faut absolument se faire accompagner par un médecin. le faire seul est dangereux. J'ai fait mon sevrage d'Effexor sur plusieurs mois (huit mois en fait) et je ne me suis aperçue d'aucun changement. C'est long et ennuyeux parce qu'il faut faire très attention aux doses et aux jours (un sur deux, etc...), mais en étant scrupuleux, ça marche, et sans aucun effet secondaire. J'étais à 200 mg par jour et 2 barres de Lexomil (gros craquage puisque 200 mg est la dose maximale en ville, au-delà, le dosage nécessite l'hospitalisation). et cela pendant près de deux ans. Alors, oui, huit mois, c'est long, mais mon corps, mon mental et moi-même avons eu aussi tout ce temps pour se récupérer.
Patience donc, et vous y arriverez. Mais, sinon, oui, on peut passer sa vie à en prendre et ça n'est pas plus grave que de prendre d'autres médicaments pour votre foie, vos reins ou vos migraines. Un sourire le matin et se projeter dans l'avenir vaut bien un médoc!
Patience donc, et vous y arriverez. Mais, sinon, oui, on peut passer sa vie à en prendre et ça n'est pas plus grave que de prendre d'autres médicaments pour votre foie, vos reins ou vos migraines. Un sourire le matin et se projeter dans l'avenir vaut bien un médoc!
Bonjour,
Je vous offre mon témoignage de sevrage brutal d'Effexor (et au passage une réponse à la question : pourquoi ne pas en prendre toute la vie ?).
Commençons par pourquoi ne pas prendre Effexor toute la vie :
Sous Effexor depuis 2004 : 75 mg, tout va globalement bien. Il y a deux ans, rechute malgré le traitement d'entretien : retour chez le psychiatre, montée à 150 mg.
Octobre 2009, suite à une engueulade avec mon mari, je développe une panoplie de symptômes, que j'associe au stress : douleurs violentes dans la région de l'estomac, disparition de l'appétit (d''ailleurs, le jeûne soulage les douleurs à l'estomac), douleur intense au talon, sommeil fractionné (parfois sous l'effet de la douleur à l'estomac), et sensation de froid intense pendant au moins une heure au moment de l'endormissement. Plus tard sont apparus : démangeaisons de plus en plus intenses du cuir chevelu, eczéma sur les avant-bras et les paupières. J'oubliais : la fatigue et les ballonnements incessants (mais ça, pour moi, ce n'est plus vraiment un symptôme..).
L'odeur de la viande me dégoûte, celle des œufs encore plus, je glisse vers un régime végétarien, voire végétalien (au grand dam de mes deux ados, mais le poisson continue de passer). Je vais voir un médecin homéopathe et acuponcteur : chaque séance me soulage, mais mes maux reviennent sans cesse. Je suis persuadée que c'est mon cerveau qui crée tout ça et je m'en veux énormément.
Début février, je fais un bilan sanguin : il y a une anomalie dans le bilan hépatique. Après des examens complémentaires, on arrive à la conclusion que l'Effexor a provoqué une hépatite
Du coup, le généraliste se met en contact avec mon psy, et ils décident tous les deux que je dois arrêter l'Effexor au plus vite et passer de 150 à 0 mg en une semaine.
Je m'inquiète de ce programme, mais ils insistent (surtout le psy).
102,5 mg / 3 jours: ça va très bien
75 mg / 3 jours : ça va encore
37,5 mg : la descente aux enfers commence : les nerfs en pelote, des vertiges accompagnés d'une sensation de grésillements électriques dans le cerveau - j'ai l'impression d'être au bord de l'évanouissement et dans l'incapacité de commander mon corps.
A partir de là, et pendant une semaines pleine, je subis l'effet sevrage en plein :
Crises de nerfs et idées suicidaires : pas seulement des pulsions ponctuelles, à 3 reprises, j'ai bien réfléchi pour gérer mon décès dans les meilleures conditions pour ma famille, et j'ai décidé de me laisser mourir de faim; la deuxième fois j'ai attrapé mon fils ainé pour lui expliquer où sont mes papiers si je décède. J'ai également donné des consignes à mon mari sur mon enterrement.
Les effets physiques les plus pénibles :
- les nausées - j'ai trouvé un palliatif, l'huile essentielle de citron : deux gouttes dans un plat (soupe, tartine de confiture) font diminuer celles-ci - au bout de 3 jours, elles avaient presque disparu.
- les "gzitt gzitt" dans le cerveau, cette sensation horrible de court-circuit électrique, dès que j'ouvre les yeux, ou que je bouge la tête ou que je marche, que je me lève, accompagnée systématiquement de vertiges. J'ai l'impression qu'on a déconnecté mon cerveau de mon corps, et que les fils électriques se touchent dans le désordre. Seul l'alitement les yeux fermés offre un peu de répit.
- les tremblements : e temps en temps, je me mets à trembler et à claquer des dents (à 2 deux reprises, après un vertige plus fort que les autres). Le soir, je suis victime de crispations musculaires, que j'ai réussi à calmer en faisant appel aux techniques de relaxation apprises en cours d'accouchement (sophrologie).
La sensation de façon générale d'un "embrayage qui patine" entre mon cerveau et mon corps.
La nuit, les sensations changent : j'ai chaud, je me réveille en sueur, avec la sensation d'un poids sur la poitrine. Ici encore, la sophro m'a aidé à gérer. Une autre fois, je me suis réveillée avec le ventre agité de tremblements. J'ai évité les cauchemars, mais j'ai eu droit aux "rêves réalistes" (c'est comme le cinéma, mais on croit qu'on y est vraiment, surtout après le réveil).
Je suis de plus en plus faible, je n'arrive pas à digérer le peu que je mange. Je suis incapable de rester plus de 10mn debout... Au bout de 6 jours, j'ai besoin d'aide pour me lever de mon lit ou d'une chaise, pour descendre l'escalier, je ne tiens pas debout. Pourtant, ma tension est acceptable (10/6)
Je profite de mes moments de "forme" pour faire des recherches sur internet, sur le sevrage, et les hépatites médicamenteuses. Je trouve des informations sur les hépatites provoquées par Effexor, sur les sevrages volontaires, mais rien pour m'aider. Je finis par trouver un témoignage, une femme, dans le même cas que moi, qui raconte le même enfer. Une information en plus : la période de grande faiblesse dure environ une semaine. C'est presque encourageant.
La prise de sang de contrôle pour voir si l'arrêt de l'Effexor fait baisser les enzymes a lieu 1 semaine après l'arrêt total du traitement. Les analyses du mercredi ont montré un retour à la normale de presque tous les enzymes du foie.
Le psy me reçoit deux jours après les résultats. J'arrive à nouveau à marcher (j'ai toujours besoin d'aide pour me lever et ma trajectoire n'est pas très droite), Il constate mon état de faiblesse, et me prescrit un autre anti-dépresseur. J'essaye de lui expliquer que j'ai des bouffées de violence (j'ai cassé beaucoup d'assiettes en quelques jours, et divers objets lancés à toute volée), mais je n'ai pas l'impression d'être entendue. L'après-midi, je fais une méga crise de nerfs - le psy, appelé au téléphone, est parti en vacances, heureusement mon généraliste est là. Mon mari lui explique la situation, il me donne du Xanax, ce qui me soulage (enfin !). En en usant avec modération (1 cp de 0,25 uniquement si besoin, de préférence pas plus qu'une fois par jour), je maitrise mieux mes nerfs, je commence à récupérer physiquement, avec des périodes de veille presque normales : au bout de 3 jours, j'arrive à écrire ce (très) long témoignage (presque un après-midi pour écrire ceci).
Quelques remarques après coup :
.. j'ai demandé à mon mari de m'emmener chez le psy, pour qu'on m'hospitalise, dès le passage à 0mg. J'ai beau avoir réussi à dire que je ressentais l'envie de me faire du mal, le psy m'a renvoyé chez moi avec mon mari.Après, j'ai fait 2 "fuites de mon domicile" avec décision de me laisser mourir.
- je me suis sentie extrêmement seule face à ce sevrage : je remercie mes médecins pour leur relative disponibilité, mais ils n'avaient ni conseil, ni solution à proposer pour m'aider à gérer.
- je pense très honnêtement que ma vie a été plus mise en danger du fait du sevrage brutal qui m'a été imposé que par la dégradation de mon foie, et qu'un arrêt plus lent aurait été plus profitable à tout le monde.
- En conclusion, mon cas n'étant ni isolé, ni récent, bien que rare, je m'étonne que le laboratoire n'ait pas mis au point un protocole d' "arrêt d'urgence", destiné à limiter les effets catastrophiques du sevrage brutal. Il semble que des cas de suicide ou d'homicide aient été reportés : les gains attendus n'étaient-ils pas finalement largement dépassés par les risques encourus ? Encore faudrait-il que les médecins soient informés.
- le médicament n'est pas mauvais en soi. Je reconnais qu'il m'a beaucoup aidée durant ces 6 dernières années. Toutefois, je ne suis pas sure que j'aurai accepté de le prendre, en sachant à l'époque ce qui m'est arrivé récemment.
Les laboratoires ont une responsabilité en ce qui concerne les effets secondaires des médicaments qu'ils commercialisent, surtout quand ils se cumulent. Le minimum serait de fournir une plateforme d'information pour les médecins, l'attitude la plus responsable de leur part serait de mettre en place une structure d'accueil pour la désintoxication des malades qui le nécessitent.
Je vous offre mon témoignage de sevrage brutal d'Effexor (et au passage une réponse à la question : pourquoi ne pas en prendre toute la vie ?).
Commençons par pourquoi ne pas prendre Effexor toute la vie :
Sous Effexor depuis 2004 : 75 mg, tout va globalement bien. Il y a deux ans, rechute malgré le traitement d'entretien : retour chez le psychiatre, montée à 150 mg.
Octobre 2009, suite à une engueulade avec mon mari, je développe une panoplie de symptômes, que j'associe au stress : douleurs violentes dans la région de l'estomac, disparition de l'appétit (d''ailleurs, le jeûne soulage les douleurs à l'estomac), douleur intense au talon, sommeil fractionné (parfois sous l'effet de la douleur à l'estomac), et sensation de froid intense pendant au moins une heure au moment de l'endormissement. Plus tard sont apparus : démangeaisons de plus en plus intenses du cuir chevelu, eczéma sur les avant-bras et les paupières. J'oubliais : la fatigue et les ballonnements incessants (mais ça, pour moi, ce n'est plus vraiment un symptôme..).
L'odeur de la viande me dégoûte, celle des œufs encore plus, je glisse vers un régime végétarien, voire végétalien (au grand dam de mes deux ados, mais le poisson continue de passer). Je vais voir un médecin homéopathe et acuponcteur : chaque séance me soulage, mais mes maux reviennent sans cesse. Je suis persuadée que c'est mon cerveau qui crée tout ça et je m'en veux énormément.
Début février, je fais un bilan sanguin : il y a une anomalie dans le bilan hépatique. Après des examens complémentaires, on arrive à la conclusion que l'Effexor a provoqué une hépatite
Du coup, le généraliste se met en contact avec mon psy, et ils décident tous les deux que je dois arrêter l'Effexor au plus vite et passer de 150 à 0 mg en une semaine.
Je m'inquiète de ce programme, mais ils insistent (surtout le psy).
102,5 mg / 3 jours: ça va très bien
75 mg / 3 jours : ça va encore
37,5 mg : la descente aux enfers commence : les nerfs en pelote, des vertiges accompagnés d'une sensation de grésillements électriques dans le cerveau - j'ai l'impression d'être au bord de l'évanouissement et dans l'incapacité de commander mon corps.
A partir de là, et pendant une semaines pleine, je subis l'effet sevrage en plein :
Crises de nerfs et idées suicidaires : pas seulement des pulsions ponctuelles, à 3 reprises, j'ai bien réfléchi pour gérer mon décès dans les meilleures conditions pour ma famille, et j'ai décidé de me laisser mourir de faim; la deuxième fois j'ai attrapé mon fils ainé pour lui expliquer où sont mes papiers si je décède. J'ai également donné des consignes à mon mari sur mon enterrement.
Les effets physiques les plus pénibles :
- les nausées - j'ai trouvé un palliatif, l'huile essentielle de citron : deux gouttes dans un plat (soupe, tartine de confiture) font diminuer celles-ci - au bout de 3 jours, elles avaient presque disparu.
- les "gzitt gzitt" dans le cerveau, cette sensation horrible de court-circuit électrique, dès que j'ouvre les yeux, ou que je bouge la tête ou que je marche, que je me lève, accompagnée systématiquement de vertiges. J'ai l'impression qu'on a déconnecté mon cerveau de mon corps, et que les fils électriques se touchent dans le désordre. Seul l'alitement les yeux fermés offre un peu de répit.
- les tremblements : e temps en temps, je me mets à trembler et à claquer des dents (à 2 deux reprises, après un vertige plus fort que les autres). Le soir, je suis victime de crispations musculaires, que j'ai réussi à calmer en faisant appel aux techniques de relaxation apprises en cours d'accouchement (sophrologie).
La sensation de façon générale d'un "embrayage qui patine" entre mon cerveau et mon corps.
La nuit, les sensations changent : j'ai chaud, je me réveille en sueur, avec la sensation d'un poids sur la poitrine. Ici encore, la sophro m'a aidé à gérer. Une autre fois, je me suis réveillée avec le ventre agité de tremblements. J'ai évité les cauchemars, mais j'ai eu droit aux "rêves réalistes" (c'est comme le cinéma, mais on croit qu'on y est vraiment, surtout après le réveil).
Je suis de plus en plus faible, je n'arrive pas à digérer le peu que je mange. Je suis incapable de rester plus de 10mn debout... Au bout de 6 jours, j'ai besoin d'aide pour me lever de mon lit ou d'une chaise, pour descendre l'escalier, je ne tiens pas debout. Pourtant, ma tension est acceptable (10/6)
Je profite de mes moments de "forme" pour faire des recherches sur internet, sur le sevrage, et les hépatites médicamenteuses. Je trouve des informations sur les hépatites provoquées par Effexor, sur les sevrages volontaires, mais rien pour m'aider. Je finis par trouver un témoignage, une femme, dans le même cas que moi, qui raconte le même enfer. Une information en plus : la période de grande faiblesse dure environ une semaine. C'est presque encourageant.
La prise de sang de contrôle pour voir si l'arrêt de l'Effexor fait baisser les enzymes a lieu 1 semaine après l'arrêt total du traitement. Les analyses du mercredi ont montré un retour à la normale de presque tous les enzymes du foie.
Le psy me reçoit deux jours après les résultats. J'arrive à nouveau à marcher (j'ai toujours besoin d'aide pour me lever et ma trajectoire n'est pas très droite), Il constate mon état de faiblesse, et me prescrit un autre anti-dépresseur. J'essaye de lui expliquer que j'ai des bouffées de violence (j'ai cassé beaucoup d'assiettes en quelques jours, et divers objets lancés à toute volée), mais je n'ai pas l'impression d'être entendue. L'après-midi, je fais une méga crise de nerfs - le psy, appelé au téléphone, est parti en vacances, heureusement mon généraliste est là. Mon mari lui explique la situation, il me donne du Xanax, ce qui me soulage (enfin !). En en usant avec modération (1 cp de 0,25 uniquement si besoin, de préférence pas plus qu'une fois par jour), je maitrise mieux mes nerfs, je commence à récupérer physiquement, avec des périodes de veille presque normales : au bout de 3 jours, j'arrive à écrire ce (très) long témoignage (presque un après-midi pour écrire ceci).
Quelques remarques après coup :
.. j'ai demandé à mon mari de m'emmener chez le psy, pour qu'on m'hospitalise, dès le passage à 0mg. J'ai beau avoir réussi à dire que je ressentais l'envie de me faire du mal, le psy m'a renvoyé chez moi avec mon mari.Après, j'ai fait 2 "fuites de mon domicile" avec décision de me laisser mourir.
- je me suis sentie extrêmement seule face à ce sevrage : je remercie mes médecins pour leur relative disponibilité, mais ils n'avaient ni conseil, ni solution à proposer pour m'aider à gérer.
- je pense très honnêtement que ma vie a été plus mise en danger du fait du sevrage brutal qui m'a été imposé que par la dégradation de mon foie, et qu'un arrêt plus lent aurait été plus profitable à tout le monde.
- En conclusion, mon cas n'étant ni isolé, ni récent, bien que rare, je m'étonne que le laboratoire n'ait pas mis au point un protocole d' "arrêt d'urgence", destiné à limiter les effets catastrophiques du sevrage brutal. Il semble que des cas de suicide ou d'homicide aient été reportés : les gains attendus n'étaient-ils pas finalement largement dépassés par les risques encourus ? Encore faudrait-il que les médecins soient informés.
- le médicament n'est pas mauvais en soi. Je reconnais qu'il m'a beaucoup aidée durant ces 6 dernières années. Toutefois, je ne suis pas sure que j'aurai accepté de le prendre, en sachant à l'époque ce qui m'est arrivé récemment.
Les laboratoires ont une responsabilité en ce qui concerne les effets secondaires des médicaments qu'ils commercialisent, surtout quand ils se cumulent. Le minimum serait de fournir une plateforme d'information pour les médecins, l'attitude la plus responsable de leur part serait de mettre en place une structure d'accueil pour la désintoxication des malades qui le nécessitent.
bonsoir ,
depuis le 10 mars , je suis en sevrage, le protocole mis en place par mon medecin, un mois avce une prise un jour sur deux, maintenant un jour sur trois, et c'est dur! les symptomes sont les mêmes , cette impresson de ne plus gerer son cerveau, sifflements dans les oreilles, vertiges, vide total de l'esprit, angoisse, nerfs à vif etc....................
je ne peux pas travailler, etant à 40 kms de mon travail, je ne peux pas conduire et encore moins travailler dans cet etat, mais, si j'arrive à m'en defaire même si j'ai ete contente d'avoir ce medicament pour calmer mes maux de l'âme, j'aspire à la fin, je veux reprendre en main ma personne, nous verrons bien, ah oui la seule chose tres delicate, c'est de cacher à son entourage le sevrage, faire croire que l'on a une chute de tension à sa famille car entre nous c'est tabou, et même beaucoup de gens ne puevent pas imaginer un sevrage d'un medicament!
bonne soiree
depuis le 10 mars , je suis en sevrage, le protocole mis en place par mon medecin, un mois avce une prise un jour sur deux, maintenant un jour sur trois, et c'est dur! les symptomes sont les mêmes , cette impresson de ne plus gerer son cerveau, sifflements dans les oreilles, vertiges, vide total de l'esprit, angoisse, nerfs à vif etc....................
je ne peux pas travailler, etant à 40 kms de mon travail, je ne peux pas conduire et encore moins travailler dans cet etat, mais, si j'arrive à m'en defaire même si j'ai ete contente d'avoir ce medicament pour calmer mes maux de l'âme, j'aspire à la fin, je veux reprendre en main ma personne, nous verrons bien, ah oui la seule chose tres delicate, c'est de cacher à son entourage le sevrage, faire croire que l'on a une chute de tension à sa famille car entre nous c'est tabou, et même beaucoup de gens ne puevent pas imaginer un sevrage d'un medicament!
bonne soiree
Bonjour Babel,
Je viens de lire ton récit et il est boulverssant, je suis pour ma part à la fin d'un sevrage qui a duré 2 mois et qui a été très douloureux, j'en subis encore quelques conséquence mais c'est la fin... Je n'ai pas le temps d'en parler là, mais je reviendrai sur le site. J'ai créé un groupe Facebook : "Contre Effexor".
Je veux que les gens soientt au courant des effets du sevrage. Et surtout que le Labo prenne ses responsabilités. Personne n'a pu m'aider correctement, tu le dis très bien, personne ne sait comment faire et chacun y va de sa méthode.
Pour ma part une chose est sûr c'est que si l'on m'avait prévenu de ces effets de sevrage, JAMAIS je ne l'aurais pris.
A très bientôt peut-être.
Je viens de lire ton récit et il est boulverssant, je suis pour ma part à la fin d'un sevrage qui a duré 2 mois et qui a été très douloureux, j'en subis encore quelques conséquence mais c'est la fin... Je n'ai pas le temps d'en parler là, mais je reviendrai sur le site. J'ai créé un groupe Facebook : "Contre Effexor".
Je veux que les gens soientt au courant des effets du sevrage. Et surtout que le Labo prenne ses responsabilités. Personne n'a pu m'aider correctement, tu le dis très bien, personne ne sait comment faire et chacun y va de sa méthode.
Pour ma part une chose est sûr c'est que si l'on m'avait prévenu de ces effets de sevrage, JAMAIS je ne l'aurais pris.
A très bientôt peut-être.
enfin, je trouve quelqu'un qui a trouvé les mots pour ce que je rescent lorsque je bouge les yeux et que j'ai des vertiges, que tout est flou ou au ralenti, même lorsque je suis couché. C'est une sensation horrible qui me fait peur a chaques fois que je passe plus de 3 jours sans effexor...
Mais je peux lire ici que sa va passer, que je n'ai pas à m'inquiété, que je vais me sortir de cet horrible sensation.
J'ai hâte de me sortir de ce besoin de médication qui m'empêche d'avancer vraiment dans la vie. J'ai hâte de ne plus avoir a m'inquiété du fait d'avoir oublier ma médication chez moi et d'avoir a faire attention au sauts d'humeurs qui s'en suivent...
Merci d'avoir témoigné ici, je me sent mieux maintenant.
MJ (21)
Mais je peux lire ici que sa va passer, que je n'ai pas à m'inquiété, que je vais me sortir de cet horrible sensation.
J'ai hâte de me sortir de ce besoin de médication qui m'empêche d'avancer vraiment dans la vie. J'ai hâte de ne plus avoir a m'inquiété du fait d'avoir oublier ma médication chez moi et d'avoir a faire attention au sauts d'humeurs qui s'en suivent...
Merci d'avoir témoigné ici, je me sent mieux maintenant.
MJ (21)
gzitt gzitt ds le cerveau je n'avais jamais encore trouvé comment définir ce symptome...merci babel.
oui on est seul je considère avoir la chance d'avoir une éducation médicale qui maide a comprendre ce qui se passe au moment du sevrage (225mg) du a mon environnement familial et beaucoup de relations avec des toxicomanes ou ex-toxico qui eux sont la pour veiller a mes acces de folie suicidaire pas toujours conscient qui plus est.
récemment 2jours sans manger et crise de nerf que jai calmé avec 2 barre de lexomil et un généreux demi litre de vodka pure....j'aurais pu y passer j'étais seule chez moi, jsuis pas bien épaisse et affaiblie.
je ne sais pas ce qui ma maintenue en vie je ne voulais pas réellemnt y passer je voulais juste arreter de penser...
merci aux gens qui nous entourent et ce sans préjugés.
oui on est seul je considère avoir la chance d'avoir une éducation médicale qui maide a comprendre ce qui se passe au moment du sevrage (225mg) du a mon environnement familial et beaucoup de relations avec des toxicomanes ou ex-toxico qui eux sont la pour veiller a mes acces de folie suicidaire pas toujours conscient qui plus est.
récemment 2jours sans manger et crise de nerf que jai calmé avec 2 barre de lexomil et un généreux demi litre de vodka pure....j'aurais pu y passer j'étais seule chez moi, jsuis pas bien épaisse et affaiblie.
je ne sais pas ce qui ma maintenue en vie je ne voulais pas réellemnt y passer je voulais juste arreter de penser...
merci aux gens qui nous entourent et ce sans préjugés.
merci pour ce témoignage, je me sens enfin comprise, si nos chers prescriptuers pouvaient jeter un oeil sur ces forums, mon médecin ne croit pas aux "gzzzi" dans la tête, il me dit que c'est purement psychologique! La belle affaire!!! J'ai l'impression d'avoir été empoisonnée et je n'arrive plus à m'en sortir!
pour ma part cela fait 15 jours que j'ai arreté .Je commence a souffler les symptomes ont presque disparus(encore quelques decharges electriques au bout des doigts le soir) accrochez-vous ça vaut le coup un sentiment de liberté après 25 ans de traitement pour anxiété et dépression.J'ai décidé que je serai plus forte que l'angoisse et en quelques mois j'ai pu arreter anxiolytiques,somnifères et maintenant antidépresseurs.
je suis content de dire que je survis à l'arrêt de ce médicament
je continue à prendre du ginseng pur le matin pour lutter contre la fatigue physique, j'ai l'impression que les "vertiges" diminuent chaque jour. je pense être sur une bonne voix pour arréter mon traitement.je dois voir mon psychiatre la semaine prochaine, je vais évaluer avec lui l'ensemble, mais je peux vous dire que passer une bonne nuit sans sueurs froides (depuis 3ans) ça fait du bien
de plus j'ai l'impression de mieux maitriser mon appétit, j'espére reprendre le sport, et ce sera peut etre gagné
une partie de mon cerveau réclame sa substance chimique, j'essaie de dialoguer avec cette partie de moi même pour lui expliquer que je n'en ai plus besoin
celà fait maintenant 7 jours que j'ai arrété.
je continue à prendre du ginseng pur le matin pour lutter contre la fatigue physique, j'ai l'impression que les "vertiges" diminuent chaque jour. je pense être sur une bonne voix pour arréter mon traitement.je dois voir mon psychiatre la semaine prochaine, je vais évaluer avec lui l'ensemble, mais je peux vous dire que passer une bonne nuit sans sueurs froides (depuis 3ans) ça fait du bien
de plus j'ai l'impression de mieux maitriser mon appétit, j'espére reprendre le sport, et ce sera peut etre gagné
une partie de mon cerveau réclame sa substance chimique, j'essaie de dialoguer avec cette partie de moi même pour lui expliquer que je n'en ai plus besoin
celà fait maintenant 7 jours que j'ai arrété.
J'ai arrêté sans pallier aucun , mon traitement à effexor 75mg ( 2 par jour depuis 3 ans) .( avant , j'ai pris seroplex 10 pendant 5 ans , et encore avant deroxat pendant 2 ans )
Cela fait une semaine exactement .
J'ai des symptômes abominables:
* grande fatigue le matin au lever, et le soir , impossible de veiller (max 1h du matin )
* vertiges et tête qui tourne
* nausées surtout le matin et en début d'après midi
* grande irritabilité ( je hurle après tout le monde, ne suis pas patiente, et me prends la tête avec mes amis et mes enfants que j'ai prévenus de mon sevrage brutal.
Je fais du sport une à 2 fois par jour, et notamment du cardio training intensif en cours de fitness ( RPM (cours de bike très intenses) , running, renforcement musculaire) .C'est très étonnant de voir combien mon corps est "content" d'être sollicité comme ça tous les jours, presqu'à heure fixe.. C'est un peu comme s'il était heureux de se débarrasser de cette molécule dont il était imprégné depuis tant d'années.
J'ai décidé que je ne craquerais pas . En ce moment, je ne travaille pas, et ça me facilite énormément la chose .. (J'ai du mal à imaginer si je devais me lever tous les matins à 6h !!!!)
Je dois reprendre un nouveau travail assez prochainement . J'espère être définitivement sevrée quand je signerai mon CDI ...
Je vous tiendrai au courant de l'évolution de mon sevrage ... Si j'y pense ...
Cela fait une semaine exactement .
J'ai des symptômes abominables:
* grande fatigue le matin au lever, et le soir , impossible de veiller (max 1h du matin )
* vertiges et tête qui tourne
* nausées surtout le matin et en début d'après midi
* grande irritabilité ( je hurle après tout le monde, ne suis pas patiente, et me prends la tête avec mes amis et mes enfants que j'ai prévenus de mon sevrage brutal.
Je fais du sport une à 2 fois par jour, et notamment du cardio training intensif en cours de fitness ( RPM (cours de bike très intenses) , running, renforcement musculaire) .C'est très étonnant de voir combien mon corps est "content" d'être sollicité comme ça tous les jours, presqu'à heure fixe.. C'est un peu comme s'il était heureux de se débarrasser de cette molécule dont il était imprégné depuis tant d'années.
J'ai décidé que je ne craquerais pas . En ce moment, je ne travaille pas, et ça me facilite énormément la chose .. (J'ai du mal à imaginer si je devais me lever tous les matins à 6h !!!!)
Je dois reprendre un nouveau travail assez prochainement . J'espère être définitivement sevrée quand je signerai mon CDI ...
Je vous tiendrai au courant de l'évolution de mon sevrage ... Si j'y pense ...
J ai arrèté l'effexor depuis 5 jours . Les deux premiers jours aucun souci , puis les vertiges, les nausées , les larmes sans savoir pourquoi sont arrivés . Je parle a mon corps en lui disant fermement que je n'en reprendrai pas , il doit en refabriquer au plus vite .J ai demandé un traitement homéopathique pour m'aider pendant la période de sevrage . courage à tous tener bon , chaque jour qui passe est gagné ! PS j'ai pris des AD pendant 10 ans
lafouine.
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Le mieux est que tu retourne voir ton médecin prescripteur.
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begonie
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28 mai 2012 à 03:40
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Bonjour.
De plus la question initiale date déjà de 2009 et cette question a pris la voie de blog, ce qui ne répond pas à la vocation du site Santé-Médecine.
Je ferme cette question.
begonie, modératrice
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bonjour à tous,
je suis en vacances, et suis parti sans mon médicament journalier préféré
je suis à l'habitude à 75mg par jour, depuis 4 ans.
le ginseng pur est un excéllent stimulant physique contre la fatigue due au sevrage brutal.je prends un gramme tous les matins dilué dans un bon café avec du sucre.
je vous donnerais de mes nouvelles dans quelques jours.jusqu'a aujourd'hui j'ai "la téte qui tourne un peu ( sensation de palpitation ou de vertige, je ne sais comment l'appeller) ces symptomes ne sont que physiques, mon corps réagit au manque et c'est plus que normal.
je suis en vacances, et suis parti sans mon médicament journalier préféré
je suis à l'habitude à 75mg par jour, depuis 4 ans.
le ginseng pur est un excéllent stimulant physique contre la fatigue due au sevrage brutal.je prends un gramme tous les matins dilué dans un bon café avec du sucre.
je vous donnerais de mes nouvelles dans quelques jours.jusqu'a aujourd'hui j'ai "la téte qui tourne un peu ( sensation de palpitation ou de vertige, je ne sais comment l'appeller) ces symptomes ne sont que physiques, mon corps réagit au manque et c'est plus que normal.
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9 mars 2009 à 13:57
9 mars 2009 à 13:57
Bonjour,
Le sevrage a peut être été trop rapide ?
Peut être fallait il dans un premier temps poursuivre avec 37.5 mg tous les jours puis passer à 1 jour sur 2 pendant quelques semaines, puis, éventuellement 1 jour sur 3 par la suite.
D'un point de vue "pharmacologique", ce n'est pas très orthodoxe mais j'ai observé que le sevrage en était souvent facilité.
Le sevrage a peut être été trop rapide ?
Peut être fallait il dans un premier temps poursuivre avec 37.5 mg tous les jours puis passer à 1 jour sur 2 pendant quelques semaines, puis, éventuellement 1 jour sur 3 par la suite.
D'un point de vue "pharmacologique", ce n'est pas très orthodoxe mais j'ai observé que le sevrage en était souvent facilité.
En ce qui me concerne, c'est pareil, j'ai commencé à arrêter vers la fin mars : je prenais un effexor 37.5 tous les 2 jours puis il y a trois semaines, je suis passée à 1 tous les 3 jours.
Au début, j'ai ressenti les vertiges, la fatigue, des moments d'énervement où je pouvais m'en prendre à mes proches pour un oui pour un non.
En prenant 1 effexor 37.7 tous les 3 jours, c'est finalement comme si on en prenait plus. Aujourd'hui, finis les vertiges et je me sens bien et surtout contente de me débarrasser de cet anti-dépresseur !
Hier, j'ai vu mon médecin qui m'a dit que tout allait bien, que j'avais très bien gérer le sevrage et là, je l'arrête !!!
C'est vrai que je me suis persuadée que je ne voulais plus prendre ce genre de médicament et qu'aussi, je suis bien dans ma peau donc pour moi, ça n'a peut-être pas été si difficile ! Mais je peux comprendre d'autres personnes qui le prennent et pour lesquelles c'est beaucoup plus dur ; on n' a pas tous le même vécu et on ne prend pas ces AD pour les mêmes raisons.
Pour certaines personnes, ça ne va pas être si évident d'arrêter mais je veux leur dire de tenir le coup, de garder espoir et de se faire aider avec une médecine douce genre homéopathie, acunpuncture ou une psychothérapie ... Car ce n'est pas en prenant des AD que nos soucis disparaissent, ils sont endormis tout simplement.
Courage à tous !
Au début, j'ai ressenti les vertiges, la fatigue, des moments d'énervement où je pouvais m'en prendre à mes proches pour un oui pour un non.
En prenant 1 effexor 37.7 tous les 3 jours, c'est finalement comme si on en prenait plus. Aujourd'hui, finis les vertiges et je me sens bien et surtout contente de me débarrasser de cet anti-dépresseur !
Hier, j'ai vu mon médecin qui m'a dit que tout allait bien, que j'avais très bien gérer le sevrage et là, je l'arrête !!!
C'est vrai que je me suis persuadée que je ne voulais plus prendre ce genre de médicament et qu'aussi, je suis bien dans ma peau donc pour moi, ça n'a peut-être pas été si difficile ! Mais je peux comprendre d'autres personnes qui le prennent et pour lesquelles c'est beaucoup plus dur ; on n' a pas tous le même vécu et on ne prend pas ces AD pour les mêmes raisons.
Pour certaines personnes, ça ne va pas être si évident d'arrêter mais je veux leur dire de tenir le coup, de garder espoir et de se faire aider avec une médecine douce genre homéopathie, acunpuncture ou une psychothérapie ... Car ce n'est pas en prenant des AD que nos soucis disparaissent, ils sont endormis tout simplement.
Courage à tous !
bonjour
Faire le sevrage d'une drogue psychiatrique un jour sur deux ou trois pour une personne dépendante est une abértion totale et la preuve d'une stupité certaine de nombreux médecins. Cela ne peut bien se passer que pour les personnes non dépendantes.
Un sevrage doit être fait lentement (diminution de 10%) avec des prises journaliéres et des paliers de diminutions denviron 15 jours.
Faire le sevrage d'une drogue psychiatrique un jour sur deux ou trois pour une personne dépendante est une abértion totale et la preuve d'une stupité certaine de nombreux médecins. Cela ne peut bien se passer que pour les personnes non dépendantes.
Un sevrage doit être fait lentement (diminution de 10%) avec des prises journaliéres et des paliers de diminutions denviron 15 jours.
Effectivement, le fait d'arrêter le médicament même une journée provoque des sensations de malaise.Cela fait 5 semaines que j'ai arrête et c'est de pire en pire;Etant enceinte, je ne veux pas le reprendre;Heureusement je suis en vacances: voici mes symptômes: maux de tête, vertiges, palpitations......Cela fait 4 ans que je le prenais et j'ai arrêté très progressivement.Combien de temps cela va-til durer? Merci pour vos réponses.
bonsoir, je suis tombée un peu par hasard ici....
j'ai été sous effexor pendant presque 2 ans à 37.5...
puis j'ai progressivement arrêté... et les effets du sevrage sont arrivés...normal !
j'ai vu une psychiatre a ce moment là et lui ai expliqué mes symptômes... sensation de vertige, de décharges électriques dans les lèvres, tout était physique !
et croyez moi si vous le voulez, ma psy m'a dit : "c'est votre tête ! vous n'avez rien!".... alors je suis sortie en me disant c'est terminé ces effets ! ils sont passés en 1semaine a tout cassé...dès que je sentais l'un d'eux arrivé, je demandais a cet effet de partir !!!.... oui, c'est un peu bisard ce que je dis, mais c'est moi qui commande, pas le sevrage !!!!
conclusion ? était ce réellement ma tête ? la peur de replonger sans ce médoc? allez savoir, mais en quelques jours ca a été fini !
courage, tout reviendra comme avant ! mais descendez progressivement et même si ca doit encore durer quelques mois !!!!!!!!!!
j'ai été sous effexor pendant presque 2 ans à 37.5...
puis j'ai progressivement arrêté... et les effets du sevrage sont arrivés...normal !
j'ai vu une psychiatre a ce moment là et lui ai expliqué mes symptômes... sensation de vertige, de décharges électriques dans les lèvres, tout était physique !
et croyez moi si vous le voulez, ma psy m'a dit : "c'est votre tête ! vous n'avez rien!".... alors je suis sortie en me disant c'est terminé ces effets ! ils sont passés en 1semaine a tout cassé...dès que je sentais l'un d'eux arrivé, je demandais a cet effet de partir !!!.... oui, c'est un peu bisard ce que je dis, mais c'est moi qui commande, pas le sevrage !!!!
conclusion ? était ce réellement ma tête ? la peur de replonger sans ce médoc? allez savoir, mais en quelques jours ca a été fini !
courage, tout reviendra comme avant ! mais descendez progressivement et même si ca doit encore durer quelques mois !!!!!!!!!!
J'ai décide de diminuer très progressivement
l'effexor puisque ma vue se trouble et que j'ai
vu un reportage très édifiant sur les Ad dans
envoyé spécial jeudi soir je prends 2effexor 75 lp
par jour je pense passer a une gélule en 3 semaines
si quelqu'un a vu envoyé special jeudi soir sur la dépression
J'aimerais connaitre son avis surtout en
ce qui concerne les labos et leur connivence avec certains
psychiatres... Scandaleux Bon courage.
l'effexor puisque ma vue se trouble et que j'ai
vu un reportage très édifiant sur les Ad dans
envoyé spécial jeudi soir je prends 2effexor 75 lp
par jour je pense passer a une gélule en 3 semaines
si quelqu'un a vu envoyé special jeudi soir sur la dépression
J'aimerais connaitre son avis surtout en
ce qui concerne les labos et leur connivence avec certains
psychiatres... Scandaleux Bon courage.
Éttonamment, votre témoignage me réconforte. Je suis sous effexor, et si j'oublie 1 journée de la prendre, j'ai les symptômes que vous décrivez : nausées, visions trouble (comme si je portais des lunettes trop fortes) et irritabilité. Mon médecin me dit "de ne pas m'en faire avec cela" mais ne m'explique rien. Pourtant, c'ets la deuxième fois que j'utilise l'effexor, et lors de ma première période dépressive, je n'ai JAMAIS eu aucun de ces symptomes, même si j'oubliais de prendre les médics plusieurs jours.
Bonjour,
j'ai été sous EFFEXOR et RISPADAL pendant 4 mois.
J'ai arreter brutalement les 2 medicaments au bout du 5eme mois
RESULTAT: j'avais tous les symptomes enumérés dans les differents posts précédement cad nauvées maux de têtes vertiges accouphènes
ces symptomes ont durer 3 a 4 semaines
Apres 1 mois de sevrage, j'allais mieux
j'ai arreter toute seule EFFEXOR parce que javais marre de prendre ma petite pillule tous les matins
je me considerais comme guéri de ma depression et je ne voulais pas rester dépendante d'un medicament comme le diabétique l'est avec son insuline
que vous arretiez seule avec votre medecin le traiment EFFEXOR, vous subirez dans tous les cas ces symptomes
Donc pendant la période de sevrage, faut prendre son mal en patience, evitez de conduire, se mettre au repos, manger léger,.... et se donner du temps pour retrouver son état normal!
j'ai été sous EFFEXOR et RISPADAL pendant 4 mois.
J'ai arreter brutalement les 2 medicaments au bout du 5eme mois
RESULTAT: j'avais tous les symptomes enumérés dans les differents posts précédement cad nauvées maux de têtes vertiges accouphènes
ces symptomes ont durer 3 a 4 semaines
Apres 1 mois de sevrage, j'allais mieux
j'ai arreter toute seule EFFEXOR parce que javais marre de prendre ma petite pillule tous les matins
je me considerais comme guéri de ma depression et je ne voulais pas rester dépendante d'un medicament comme le diabétique l'est avec son insuline
que vous arretiez seule avec votre medecin le traiment EFFEXOR, vous subirez dans tous les cas ces symptomes
Donc pendant la période de sevrage, faut prendre son mal en patience, evitez de conduire, se mettre au repos, manger léger,.... et se donner du temps pour retrouver son état normal!
Bon courage à tous. J'ai arrêté brutalement fin août et maintenant plus aucun effets secondaires du sevrage. Ils sont passé au bout de 3 mois environ. Il faut que le corps s'habitue à fonctionner tout seul à nouveau. Patience!
Bonjour Anne, pour répondre à tes questions oui j'avais aussi des tremblements, la nervosité (même la nuit parfois), les vertiges (une horreur), maux de tête... mais aussi des nausées qui me pourrissaient la journée. J'étais tranquille environ 20 minutes après que je me levais le matin puis ça commençait jusqu'à ce que je me couche. J'ai aussi eu des "tzzzin tzzzin" dans la tête. Un peu comme si quelqu'un jouait à se battre avec des épées dans ma tête.
Tout est bien fini maintenant, ouff! Par contre je ne sais pas si c'est dû à l'effexor mais depuis, j'ai de temps en temps des pertes de mémoire.
Je n'ai rien prit en complément sauf pour les nausées (du Vogalib, qu'on peut chercher à la pharmacie sans ordonnance).
Ce que je ne comprend pas s'est pourquoi tant de médecin disent que ces effets secondaires ne sont pas dû à l'Effexor! On en est la preuve avec tous ses témoignages.
Bon courage à toi, ça passera avec le temps.
Tout est bien fini maintenant, ouff! Par contre je ne sais pas si c'est dû à l'effexor mais depuis, j'ai de temps en temps des pertes de mémoire.
Je n'ai rien prit en complément sauf pour les nausées (du Vogalib, qu'on peut chercher à la pharmacie sans ordonnance).
Ce que je ne comprend pas s'est pourquoi tant de médecin disent que ces effets secondaires ne sont pas dû à l'Effexor! On en est la preuve avec tous ses témoignages.
Bon courage à toi, ça passera avec le temps.
Merci pour ta réponse, bon c'est vrai que moi je prends des choses en compléments pour appaiser les symptomes, genre magnésium, euphythose, des granules homéo, et mon médecin ma prescrit hier de calcibronat et du xanax (mais le xanax j'ai pas trop envie de le prendre), par contre mon doc dit que c'est les effets de manque, ainsi qu'un homéopathe ou je vais de temps en temps...bon j'en suis à 2 mois complet d'arret...donc faut que je patiente encore un peu....Le sport tu as pu en faire??car moi meme durant le traitement pas moyen, trop dur j'avais tathycardie et vertige et essoufflement...donc meme ca j'espere que ca se remettre, car ca fait plus d'un an et demi que je peux plus trop faire d'activités avec mes enfants et mon mari....
Merciii
A+
Merciii
A+
Il n'y a pas de quoi. Si je peux aider...
Le sport s'était impossible avec mes nausées. J'aurai tout rendu bien avant de commencer. Maintenant s'est sans problème. Et puis le moral va bien mieux aussi.
Je ne sais pas toi mais après l'arrêt de l'effexor j'avais l'impression s'être à fleur de peau certain jour. Je pouvais pleurer pour un rien. Pas toi?
Le sport s'était impossible avec mes nausées. J'aurai tout rendu bien avant de commencer. Maintenant s'est sans problème. Et puis le moral va bien mieux aussi.
Je ne sais pas toi mais après l'arrêt de l'effexor j'avais l'impression s'être à fleur de peau certain jour. Je pouvais pleurer pour un rien. Pas toi?
euh non ca j'ai moins, à fleur de peau oui et non, disons que j'ai du mal avec le bruit...bon là moi je suis en plein dedans, meme en arret de travail qqjours, car trop nerveuse et muscles douloureux et contractés début de semaine...et tremblement des membre à n'importe quel moment!! Et le matin je suis super au ralentiiii, j'essaye de rien prévoir sinon coeur va vite et trop mal du coup avec vertige. Nausés j'ai pas non plus...bon je pense que chacun réagit autrement, mais qu'on a des choses qui se rejoingnent tous de meme!!par contre desfois aussi l'impression d'être ailleurs...Et pleurer, j'ai recement mais surtout car trop mal et pas bien, et sa soul a force...donc je suis plus sensible, mais ca faisait bien longtemps que je n'avais pas pleurer, lol.
Tu as eu une periode avec plus de syptomes?et ils se sont envolés ensemble ou alors petit a petit?? c'est vrai que ca fait du bien de parler avec des gens qui ont subit la meme chose, on se comprend mieux...
Tu as eu une periode avec plus de syptomes?et ils se sont envolés ensemble ou alors petit a petit?? c'est vrai que ca fait du bien de parler avec des gens qui ont subit la meme chose, on se comprend mieux...
Bonsoir,
Je vous fais part de ma "petite" expérience: j'ai pris effexor 37,5g depuis plus de trois ans et je viens d'arrêter. J'ai pris un médicament tous les deux jours pendant une semaine puis j'ai arr^été, je me sentais mal les jo urs où je devais le prendre!!! Certes j'ai la sensation d'avoir la tête comme une bassine d'eau et deux outrois autres désagrément mais sincèrement rien d'insupportable et puis le jeu en vaut bien la chandelle: je me sens littéralement revivre!!! Alors il faut s'en donner les moyens et simplement supporter d'être un peu "vaseux" quelque jours, voilà tout. Bon courage à tous. Maridel
Je vous fais part de ma "petite" expérience: j'ai pris effexor 37,5g depuis plus de trois ans et je viens d'arrêter. J'ai pris un médicament tous les deux jours pendant une semaine puis j'ai arr^été, je me sentais mal les jo urs où je devais le prendre!!! Certes j'ai la sensation d'avoir la tête comme une bassine d'eau et deux outrois autres désagrément mais sincèrement rien d'insupportable et puis le jeu en vaut bien la chandelle: je me sens littéralement revivre!!! Alors il faut s'en donner les moyens et simplement supporter d'être un peu "vaseux" quelque jours, voilà tout. Bon courage à tous. Maridel
Bonjour,
il y a quelques temps, j'avais décidé de passer à un effexor 37.5 un tous les deux jours. Le premier jour que je ne l'ai pas pris, ça a été la panique et j'ai ressenti tous les symptômes que tout le monde décrit alors j'ai recommencé à en prendre 1 tous les jours.
Il y a une semaine, au environ de midi, je me suis aperçue que je ne l'avais pas pris le matin et comme j'allais bien, j'ai décidé de ne pas le prendre et finalement, depuis une semaine, je suis à un effexor 37.5 tous les deux jours et ça se passe bien. Je suis un peu fatiguée, dur dur de monter 4 étages à pied !!! mais je supporte bien et je n'ai pas des idées noires comme j'aurais pu en avoir ...
Donc, je vais continuer ma boîte comme ça et j'irai voir mon médecin car là, avec tout ce que j'ai entendu sur ces médicaments, j'ai vraiment envie d'arrêter.
Je me suis rendue compte que c'était peut-être bien dans la tête. On lit tous ces symptômes de sevrage et est-ce qu'on ne se les provoque pas nous-même ? Là, je parle pour mon cas car j'essaye vraiment de me prendre en mains mais ce n'est pas forcemment pareil pour tout le monde.
Je vous donnerai des nouvelles et je souhaite beaucoup de courage à toutes et tous.
Devon
il y a quelques temps, j'avais décidé de passer à un effexor 37.5 un tous les deux jours. Le premier jour que je ne l'ai pas pris, ça a été la panique et j'ai ressenti tous les symptômes que tout le monde décrit alors j'ai recommencé à en prendre 1 tous les jours.
Il y a une semaine, au environ de midi, je me suis aperçue que je ne l'avais pas pris le matin et comme j'allais bien, j'ai décidé de ne pas le prendre et finalement, depuis une semaine, je suis à un effexor 37.5 tous les deux jours et ça se passe bien. Je suis un peu fatiguée, dur dur de monter 4 étages à pied !!! mais je supporte bien et je n'ai pas des idées noires comme j'aurais pu en avoir ...
Donc, je vais continuer ma boîte comme ça et j'irai voir mon médecin car là, avec tout ce que j'ai entendu sur ces médicaments, j'ai vraiment envie d'arrêter.
Je me suis rendue compte que c'était peut-être bien dans la tête. On lit tous ces symptômes de sevrage et est-ce qu'on ne se les provoque pas nous-même ? Là, je parle pour mon cas car j'essaye vraiment de me prendre en mains mais ce n'est pas forcemment pareil pour tout le monde.
Je vous donnerai des nouvelles et je souhaite beaucoup de courage à toutes et tous.
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17 avril 2010 à 18:54
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Bonjour,
Je crois qu'effectivement nous avons peur de quitter notre "bequille" et que cette peur alimente en grande partie nos malaises. J"ai commencé à diminuer le 14 janvier ( de 150 à 103,5) les cinq premieres semaines ont ete un cauchemard décharges electriques dans la tete intense fatigue vertiges quasi permanent) crainte de voir réapparaitre les attaques de paniques, cafard...etc sans le soutien de mon homme j'aurai craque je pense. Ensuite tout est rentré dans l ordre d un seul coup, j'ai maintenu et un mois apres j'ai rediminué de 37,5, un jour sur deux puis tous les jours, et la franchement soulagement quelques vertiges de la fatigue mais supportables et au niveau moral pas de problème. J'ai repris confiance en moi, je suis confiante dans mon sevrage je prends mon temps d ici un mois je recommence a baisser, et franchement quelle satisfaction de découvrir qu'on peut réussir et s'en débarrasser !! je précise que cela fait 10 ans que je suis sous anti dépresseurs ( deroxat seropram puis effexor) alors c'est possible !!
bon courage
Je crois qu'effectivement nous avons peur de quitter notre "bequille" et que cette peur alimente en grande partie nos malaises. J"ai commencé à diminuer le 14 janvier ( de 150 à 103,5) les cinq premieres semaines ont ete un cauchemard décharges electriques dans la tete intense fatigue vertiges quasi permanent) crainte de voir réapparaitre les attaques de paniques, cafard...etc sans le soutien de mon homme j'aurai craque je pense. Ensuite tout est rentré dans l ordre d un seul coup, j'ai maintenu et un mois apres j'ai rediminué de 37,5, un jour sur deux puis tous les jours, et la franchement soulagement quelques vertiges de la fatigue mais supportables et au niveau moral pas de problème. J'ai repris confiance en moi, je suis confiante dans mon sevrage je prends mon temps d ici un mois je recommence a baisser, et franchement quelle satisfaction de découvrir qu'on peut réussir et s'en débarrasser !! je précise que cela fait 10 ans que je suis sous anti dépresseurs ( deroxat seropram puis effexor) alors c'est possible !!
bon courage
J'ai été sous effexor 37,5
Plusieurs fois j'ai oublié d'en prendre... des vertiges me rappelaient que je n'en avais alors pas pris.
Je suis ensuite passé à 75 lorsque mon fils est décédé, avant de repasser à 37,5.
J'ai recommencé à travailler, en mi-temps thérapeutique sous effexor, et un jour, j'ai décidé d'arrêter.
Je suis passé à 1 tous les 2j, et au bout de 15j, plus rien.
Connaissant un des effet secondaire du sevrage, et sachant que je risquais de « déprimer », j'ai décidé d'être fort, et ai averti mon entourage, mes collègues : « si je tombe, ramassez-moi, mais ce n'est pas grave ».
En deux semaines, les vertiges ont disparu.
Ma femme était en colère que je me sois sevré tout seul, mais l'essentiel est de savoir que
- si on a un coup de blues, il vaut mieux retourner voir le psy, qui dira de reprendre le traitement
- si il y a des nausées, vertiges ou autres effets physiques, c'est l'organisme qui réclame sa drogue. Il faut passer outre.
Bien sûr, ça n'est valable que si on est « guéri ».
Plusieurs fois j'ai oublié d'en prendre... des vertiges me rappelaient que je n'en avais alors pas pris.
Je suis ensuite passé à 75 lorsque mon fils est décédé, avant de repasser à 37,5.
J'ai recommencé à travailler, en mi-temps thérapeutique sous effexor, et un jour, j'ai décidé d'arrêter.
Je suis passé à 1 tous les 2j, et au bout de 15j, plus rien.
Connaissant un des effet secondaire du sevrage, et sachant que je risquais de « déprimer », j'ai décidé d'être fort, et ai averti mon entourage, mes collègues : « si je tombe, ramassez-moi, mais ce n'est pas grave ».
En deux semaines, les vertiges ont disparu.
Ma femme était en colère que je me sois sevré tout seul, mais l'essentiel est de savoir que
- si on a un coup de blues, il vaut mieux retourner voir le psy, qui dira de reprendre le traitement
- si il y a des nausées, vertiges ou autres effets physiques, c'est l'organisme qui réclame sa drogue. Il faut passer outre.
Bien sûr, ça n'est valable que si on est « guéri ».
Salut, jai 24 ans du canada, je prend effexor a 75 mg depuis 2 ans, jai voulu arreter le medicament en diminuant a 37.5mg, les premiers jours ont bien été mais 1 semaines plus tard , j'étais étourdis, je me sentais lourd, démotivé, diharré, toujours fatigué mais trop stressé pour dormir. Donc jai repris du 75 mg et j,ai peter le feu 2 heures apres avoir pris le médicament. Cé vraiment triste que je suis accro a ces pillules, cé triste de savoir que j'ai besoins de ce medicament pour tout simplement être capable de fonctionner.
bonjour
j'ai 42 ans et cela fait vingt que je prends des AD et depuis quelques années EFFEXOR ; je suis à 75 mg mais les effets secondaires sont trop marqués comme une sueur abondante (torse et dos) qui est très handicapante (surtout lors d'un entretien d'embauche par exemple !), gorge sèche, prise de poids et impossibilité de le réduire et une perte de mémoire
comme toi dave j'aimerais ne plus avoir à prendre d'AD pour bien aller mais que faire ; l'arrêt des médicaments et 3 à 6 mois après rechute. je ne compte plus les périodes d'épisode d'angoisse et de dépression
je redoute également les effets à long terme de ces médicaments (ex cancer pancréas et foie)
par ailleurs j'ai une addiction à l'alcool ce qui n'arrange rien !
j'ai 42 ans et cela fait vingt que je prends des AD et depuis quelques années EFFEXOR ; je suis à 75 mg mais les effets secondaires sont trop marqués comme une sueur abondante (torse et dos) qui est très handicapante (surtout lors d'un entretien d'embauche par exemple !), gorge sèche, prise de poids et impossibilité de le réduire et une perte de mémoire
comme toi dave j'aimerais ne plus avoir à prendre d'AD pour bien aller mais que faire ; l'arrêt des médicaments et 3 à 6 mois après rechute. je ne compte plus les périodes d'épisode d'angoisse et de dépression
je redoute également les effets à long terme de ces médicaments (ex cancer pancréas et foie)
par ailleurs j'ai une addiction à l'alcool ce qui n'arrange rien !
moi , c'est terrible , je perds connaissance ,
je m'évanouis en pleine nuit , ou en plein jour , dès que j'espace la dose de 37,5 par 24 h.
je m'évanouis en pleine nuit , ou en plein jour , dès que j'espace la dose de 37,5 par 24 h.
Bonjour,
en effet le sevrage est très difficile... mais j`y arriverai. J`ai passer de 150mg par jour à 75mg par jour.. et maintenant j`ens suis à 75mg au 2 jours... J`ai les même symptômes que vous et je crois que c`est normal lorsque le corps s`habitue à une substance. Une journée à la fois c`est ca je me dis... Bon courage à tous et surtout ne désespérez pas.. :) Un jour à la fois!! Si au deux jours c`est votre max de capacité pour le moment ehh bien c`est déjà pas pire non? Ensuite réduisez encore ! Patience. :)
en effet le sevrage est très difficile... mais j`y arriverai. J`ai passer de 150mg par jour à 75mg par jour.. et maintenant j`ens suis à 75mg au 2 jours... J`ai les même symptômes que vous et je crois que c`est normal lorsque le corps s`habitue à une substance. Une journée à la fois c`est ca je me dis... Bon courage à tous et surtout ne désespérez pas.. :) Un jour à la fois!! Si au deux jours c`est votre max de capacité pour le moment ehh bien c`est déjà pas pire non? Ensuite réduisez encore ! Patience. :)
Bonjour,
Je suis sous effexor 75 depuis 3 ans à cause d'un stress post-traumatique suite à une agression. Je n'ai pas pris ce médicament pour cause de dépression mais pour cause de fortes angoisses (attaques de panique).
j'ai deux questions à vous poser:
- vous est-il arrivé d'avoir des nausées lors de la prise du médicament, alors que vous n'avez pas modifié le traitement (tjs la même dose à la même fréquence)??? Je n'ai pas eu de problèmes en 3 ans, et je ne comprends pas pourquoi, maintenant je suis sans cesse nauséeuse juste un peu avant et juste un peu après la prise du médicament. Cela me motive à me sevrer... deuxième question:
- y en a-t-il parmi vous qui prennent l'effexor pour lutter contre les attaques de panique?? et si oui, est-ce que le sevrage fait réapparaître des attaques???
Merci d'avance...
ps: je suis psychologue, et pourtant...pas réponse à tout :-) ils ne sont pas tous inconscients et insensibles (mais beaucoup le sont c'est vrai) alors ne les blâmez pas tous ;-)
Je suis sous effexor 75 depuis 3 ans à cause d'un stress post-traumatique suite à une agression. Je n'ai pas pris ce médicament pour cause de dépression mais pour cause de fortes angoisses (attaques de panique).
j'ai deux questions à vous poser:
- vous est-il arrivé d'avoir des nausées lors de la prise du médicament, alors que vous n'avez pas modifié le traitement (tjs la même dose à la même fréquence)??? Je n'ai pas eu de problèmes en 3 ans, et je ne comprends pas pourquoi, maintenant je suis sans cesse nauséeuse juste un peu avant et juste un peu après la prise du médicament. Cela me motive à me sevrer... deuxième question:
- y en a-t-il parmi vous qui prennent l'effexor pour lutter contre les attaques de panique?? et si oui, est-ce que le sevrage fait réapparaître des attaques???
Merci d'avance...
ps: je suis psychologue, et pourtant...pas réponse à tout :-) ils ne sont pas tous inconscients et insensibles (mais beaucoup le sont c'est vrai) alors ne les blâmez pas tous ;-)
Bonjour,
Oui moi aussi j'ai déjà eu des nausées avant la prise de l'Effexor. Il suffisait que je ne le prenne pas à l'heure habituelle pour que ça les déclenche. Ou l'impression d'avoir un cerveau suspendu à des ressors. Peut-être est-ce une reaction "normale" de manque?!
Par contre pas de nausées après la prise.
Je suis bien contente de m'être sevrée. Bon courage.
Oui moi aussi j'ai déjà eu des nausées avant la prise de l'Effexor. Il suffisait que je ne le prenne pas à l'heure habituelle pour que ça les déclenche. Ou l'impression d'avoir un cerveau suspendu à des ressors. Peut-être est-ce une reaction "normale" de manque?!
Par contre pas de nausées après la prise.
Je suis bien contente de m'être sevrée. Bon courage.
27 déc. 2010 à 22:04
Courage à tous
25 avril 2012 à 14:34
J'ai été sous effexor 150mg pendant un peu plus de deux ans. Cela m'a causé beaucoup d'effets secondaires (sueurs nocturnes intense, cauchemars, prise de poids) que je croyais causé par la dépression et l'anxiété, mais quand j'ai commencé à aller beaucoup mieux, c'est effets secondaire devenait très dérangeant. Disons aussi que la prise de poids ( 25lbs) n'aide pas beaucoup à retrouver sa confiance en sois. Donc j'ai décidé d'arrêter la médication.
Je venait de déménager dans une nouvelle ville, pas de famille, pas de médecin et je n'avais plus de prescription, je me suis dit c'est le temps. De 150mg à 0mg à ne jamais faire, après 3 jours je croyais que j'allais tout simplement mourrir de nausé, de douleur, de maux de tête. Donc j'ai recommencé a 75mg, donc de 75 à 150, les effets on duré 2 semaines environ, c'était dure je l'avoue, mais depuis ma concentration est revenue, je me sens redevir moi même, les sueurs nocturnes et les cauchemars disparues, je doit quand même faire attention aux émotions trop intense. Je me défoule dans le sport intense (spinning, jogging, vélo de montagne) et je me motive quotidiennement à rester active, car moi la dépression me rendait ''léthargique''
Je voulais en venir à ce point, j'ai diminuer à nouveau de 75 à 62.5 et les effets n'étaient pas moins douloureux et intense, je ne pourrais jamais faire un sevrage comme ça sur plusieur mois. Donc depuis hier je suis à 50mg et je compte bien descendre à moins 25mg pour cette été. Rendu là je vais me faire suivre pour la fin, question de ne pas retomber dans les mavaises habitude et dans la dépression.
Mais c'est faisable, courage à tous, il faut tenir bon, car les premiers jours de sevrage sont horrible, mais vous allez les voirs diminuer assez rapidement dès la premiere ou deuxièmes semaines pour certains.
Ça vaut le coup!