Frottis ASC US
Résolu
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1 réponse
Bonjour
http://sante-medecine.journaldesfemmes.com/faq/6776-frottis-asc-us
http://sante-medecine.journaldesfemmes.com/faq/8164-ascus-definition
http://sante-medecine.journaldesfemmes.com/faq/8560-frottis-asc-us
Si on admet que la transmission des HPV se fait par contact sexuel, le risque pour le partenaire masculin d'une femme ayant une dysplasie d'avoir des lésions à HPV est inférieur à 10 %.
Les virus HPV à risque contenus dans une dysplasie sont en général en quantité réduite. La transmissibilité du virus du col aux parties génitales de l'homme est très faible voire nulle. Il est démontré, par ailleurs, que l'examen du partenaire ne modifie en rien l'histoire naturelle des lésions du col utérin de la femme. Il n'est donc pas indispensable d'examiner le partenaire masculin d'une femme qui présente une dysplasie. On peut simplement recommander aux hommes de s'observer et de consulter en cas d'anomalie observée sur la peau ou la muqueuse de la verge, de type : verrues, élevures ou pigmentation anormale qui pourrait suggérer une lésion à HPV. Cependant, dans certains couples, l'examen du partenaire peut apaiser angoisse ou inquiétude.
Tous les sujets ne sont pas égaux face à l'infection à Papillomavirus à risque. L'immunité, et probablement des facteurs génétiques, sont déterminants à l'élimination du virus ou au développement des lésions. Dans ces conditions, lorsqu'une femme est porteuse d'une dysplasie, la transmissibilité du virus à l'homme est pratiquement inexistante et, dans la grande majorité des cas, il n'est pas ou plus porteur lui-même de lésions à HPV. En supposant que le partenaire soit porteur de lésions génitales à HPV, il n'est pas prouvé que les récidives chez la femme traitée soient liées au partenaire non traité. On admet, cependant, que l'examen du partenaire dans ce cas de figure peut rassurer le couple. A ce titre, l'infection à HPV à risque n'est pas une maladie sexuellement transmissible comme les autres.
Lorsque la femme ou l'homme est porteur de condylomes acuminés, les virus sont présents en quantité importante dans ces lésions qui occupent souvent une large surface. Il s'agit dans ce cas d'une réelle maladie sexuellement transmissible. Le partenaire masculin d'une femme ayant des condylomes acuminés génitaux a un risque d'environ 50 % d'avoir lui-même des lésions de même nature sur le sexe. Les condylomes acuminés génitaux sont fortement transmissibles. La transmission des virus se fait le plus souvent par contact sexuel et parfois lors de contact avec des objets ou une surface souillée (linge de toilette, etc...).
A la différence des lésions à Papillomavirus à risque du col utérin, le délai d'apparition des condylomes acuminés génitaux externes, après l'exposition au virus, est de quatre semaines à huit mois. Cependant, l'apparition des lésions acuminées après un ou plusieurs contacts n'est pas systématique chez le partenaire si ses défenses immunitaires lui permettent d'éliminer le virus. L'examen du partenaire est donc nécessaire lorsqu'on est porteur de condylomes acuminés.
Pour les lésions de type dysplasie (CIN), on ne propose pas systématiquement le port du préservatif compte-tenu d'une transmissibilité faible des virus de la femme à l'homme, ceci si l'homme n'est pas porteur de lésions.
Si l'homme est porteur de lésions à HPV au niveau génital, il est recommandé de maintenir le préservatif jusqu'au traitement et à la disparition complète des lésions.
Lorsqu'il s'agit de condylomes acuminés chez la femme, le préservatif protège le partenaire masculin mais ne protège pas la femme elle-même puisque le virus qui se trouve à l'extérieur peut être véhiculé au niveau des parties génitales internes par le préservatif. On peut recommander le port du préservatif après traitement et l'interrompre après trois mois si aucune lésion n'est réapparue dans l'intervalle.
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http://sante-medecine.journaldesfemmes.com/faq/6776-frottis-asc-us
http://sante-medecine.journaldesfemmes.com/faq/8164-ascus-definition
http://sante-medecine.journaldesfemmes.com/faq/8560-frottis-asc-us
Si on admet que la transmission des HPV se fait par contact sexuel, le risque pour le partenaire masculin d'une femme ayant une dysplasie d'avoir des lésions à HPV est inférieur à 10 %.
Les virus HPV à risque contenus dans une dysplasie sont en général en quantité réduite. La transmissibilité du virus du col aux parties génitales de l'homme est très faible voire nulle. Il est démontré, par ailleurs, que l'examen du partenaire ne modifie en rien l'histoire naturelle des lésions du col utérin de la femme. Il n'est donc pas indispensable d'examiner le partenaire masculin d'une femme qui présente une dysplasie. On peut simplement recommander aux hommes de s'observer et de consulter en cas d'anomalie observée sur la peau ou la muqueuse de la verge, de type : verrues, élevures ou pigmentation anormale qui pourrait suggérer une lésion à HPV. Cependant, dans certains couples, l'examen du partenaire peut apaiser angoisse ou inquiétude.
Tous les sujets ne sont pas égaux face à l'infection à Papillomavirus à risque. L'immunité, et probablement des facteurs génétiques, sont déterminants à l'élimination du virus ou au développement des lésions. Dans ces conditions, lorsqu'une femme est porteuse d'une dysplasie, la transmissibilité du virus à l'homme est pratiquement inexistante et, dans la grande majorité des cas, il n'est pas ou plus porteur lui-même de lésions à HPV. En supposant que le partenaire soit porteur de lésions génitales à HPV, il n'est pas prouvé que les récidives chez la femme traitée soient liées au partenaire non traité. On admet, cependant, que l'examen du partenaire dans ce cas de figure peut rassurer le couple. A ce titre, l'infection à HPV à risque n'est pas une maladie sexuellement transmissible comme les autres.
Lorsque la femme ou l'homme est porteur de condylomes acuminés, les virus sont présents en quantité importante dans ces lésions qui occupent souvent une large surface. Il s'agit dans ce cas d'une réelle maladie sexuellement transmissible. Le partenaire masculin d'une femme ayant des condylomes acuminés génitaux a un risque d'environ 50 % d'avoir lui-même des lésions de même nature sur le sexe. Les condylomes acuminés génitaux sont fortement transmissibles. La transmission des virus se fait le plus souvent par contact sexuel et parfois lors de contact avec des objets ou une surface souillée (linge de toilette, etc...).
A la différence des lésions à Papillomavirus à risque du col utérin, le délai d'apparition des condylomes acuminés génitaux externes, après l'exposition au virus, est de quatre semaines à huit mois. Cependant, l'apparition des lésions acuminées après un ou plusieurs contacts n'est pas systématique chez le partenaire si ses défenses immunitaires lui permettent d'éliminer le virus. L'examen du partenaire est donc nécessaire lorsqu'on est porteur de condylomes acuminés.
Pour les lésions de type dysplasie (CIN), on ne propose pas systématiquement le port du préservatif compte-tenu d'une transmissibilité faible des virus de la femme à l'homme, ceci si l'homme n'est pas porteur de lésions.
Si l'homme est porteur de lésions à HPV au niveau génital, il est recommandé de maintenir le préservatif jusqu'au traitement et à la disparition complète des lésions.
Lorsqu'il s'agit de condylomes acuminés chez la femme, le préservatif protège le partenaire masculin mais ne protège pas la femme elle-même puisque le virus qui se trouve à l'extérieur peut être véhiculé au niveau des parties génitales internes par le préservatif. On peut recommander le port du préservatif après traitement et l'interrompre après trois mois si aucune lésion n'est réapparue dans l'intervalle.
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30 avril 2015 à 07:16