Pourquoi le cerveau semble plus séléctionner des mauvais souvenirs,que des bons?
Fermé
anonyme
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radi -
radi -
Bonjour
je me demande pour quelle raison obscure notre cerveau semble plus a méme de retenir les mauvais souvenirs ,alors que les bons il faut pratiquement aller les chercher méme quand on en a beaucoup ? cette question je me la pose toute seule depuis un bon moment ,alors vos avis et vos réponses sont les biens venus
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7 réponses
La question est intéressante et elle semble nous poursuivre tout au long de notre vie. Je crois que notre côté conscient et rationnel nous laisse dériver plus facilement à la morosité et l'apitoiement sur son sort, donc au idées négatives. Alors que voir toutes les richesses et le positif de nos vies nous ferait avancer mieux et sans peur. Ne pas accorder trop d'importance au mauvais (sauf pour comprendre) souvenirs et travailler au quotidien pour s'en faire des bons pourrait être une bonne alternative pour éduquer notre conscient à respirer et à inspirer la vie en rose. Si cela vous intéresse j'avais écris un poème "Vivre bien est une histoire de calcul" qui lorsque je le relis 20 ans plus tard, je m'aperçois que j'avais, avec toute la naïveté de mon âge, bien compris cette logique. En attendant, je vous envoie que du positif, je ne sais plus quoi en faire, j'en ai partout... faites en profiter vos amis et votre famille. Au pire ça les fera rire... et c'est toujours que du positif.
radi
merci je pense que c'est une vérité que nous vérifions chaque jour et c'set lié à la condition humaine
C'est peut être parce que les mauvais souvenirs " marquent plus les mémoires ?
Je ne suis pas " psy" mais tu dois quand même avoir de beaux souvenirs, ton premier baiser, la 1 ere fois que tu as vu l'océan, etc....
Amicalement
bonjour, finalement je pense que c'est assez simple, lorsqu'il nous arrive un gros pépin, sentimental, physique ou moral, il s'apparente automatiquement à une douleur, et la douleur notre être tout entier la subit mais la craint par-dessus tout, c''est une sorte de blessure invisible mais présente et profonde qui laisse obligatoirement des traces qui s'impriment dans notre cerveau et qui ne s'effaceront jamais, dans certains cas elles s'estomperont, mais seront insidieusement toujours présentes, quand aux bons souvenirs, ceux dont on se souvient sont ceux qui nous ont provoqué une grande émotion, les autres, les petits bonheurs de la vie courante, ils sont relégués je ne sais où, toujours est-il qu'ils disparaissent de nos mémoires. Il faut croire que l'on s'habitue tellement à ce que tout aiile bien, que tout suive un cours tranquille, pour que notre cerveau occulte nos petit plaisirs quotidiens . Il faut croire que notre cerveau est un ingrat qui prend plaisir à nous empoisonner l'existence, mais quoiqu'il arrive gardons toujours le sourire et restons positifs, c'est le meilleur moyen de vaincre ces satannés mauvais souvenirs. Amicalement
Les souvenirs dits traumatisants (vraiment, genre viol, etc) sont, au contraire, tellement nocifs que le cerveau les "range" c'est-à-dire qu'il les refoule loin de la conscience afin que ça ne pollue pas la vie quotidienne.
Les autres souvenirs mauvais,eh bien peut-être les retiens t-il afin que nous puissions en tirer parti. Par ex: "ce jour-là est arrivé telle chose, comment mieux gérer la fois prochaine?".
Et pourquoi le cerveau retiendrai t-il uniquement les bons souvenirs? Ne croyez pas que c'est un malin. Il fonctionne sur le principe de plaisir, il est capable, quand un évenement extérieur vous empêche de faire qqch, de reporter le qqch en question. etc.
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Tout évènement vécu ou imaginé est refoulé dans l'inconscient.
Lorsque cette événement est bien vécu par la personne il est refoulé dans sa totalité.
s'il a été traumatisant pour la personne, alors il ne sera pas refoulé dans sa totalité : une partie sera refoulée dans l'inconscient tandis qu'une autre laissera une trace insistante dans le conscient... voilà pourquoi !!!
Bonjour à vous,
Je crois que la question se pose en termes de "pulsion de vie" ou "de pulsion de mort" !
je ne crois pas que le cerveau est prédisposé à l'une ou l'autre, je pense qu'il se façonne au gré de nos pulsions personnelles, via notre principe de plaisir ou de déplaisir...
Ne prenons nous pas parfois plaisir à souffrir ?
that's the real question !
rien n'est établi ! encore moins notre cerveau si plastique!!!
bien à vous!