HELP ! phobies d'impulsion
Résolu/Fermé
Bonjour,
Voila depuis quelques temps, j'ai eu des visions bizarres. Tout allait si bien, on mangeait en famille, quand tout à coup, en regardant un couteau, une voix dans ma tete disait " Va zi, prend ce couteau, et tue ta mère , ton pere, ton frere " J'me suis dit que j'étais gogole, et que cette idée allait partir, car tout le monde a deja pensé a ce genre de chose dans sa vie. Mais la cette idée ne partait pas, elle restait dans ma tete non stop, je pensais meme a ça quand j'étais en cours, genre " et si je tuais ma voisine " . J'ai commencé a paniquer, à penser que je devenais folle ! a bout de force, j'ai donc décidé de regarder sur internet . Et j'ai été rassuré, beaucoup de personnes subissent ce traumatisme, ce sont des TOCS , des phobies d'impulsion. Le passage a l'acte ne se passe jamais, tout est dans la tete, et ce traumatisme arrive en général sur des personnes très gentilles, qui veulent aimé et etre aimé, qui ont subi des chocs dans leur vie. De quoi etre très rassuré, moi qui croyait que je commençais a devenir une criminelle ! Moi qui me sentait folle, ça me rassure énormément de voir tous ces gens qui ont subi cette pensée pénible, tenace , et qui arrivent en général a les oublier. J'ai commencé a avoir ces TOCS a l'age de 11 ans, sauf que la c'était des phobies de suicide. Sa m'est passé au fil du temps ( j'ai quand meme galéré lol) , par exemple quand je voyais une arme je m'imaginais en train de la prendre et de me tuer avec,e t là l'angoisse survient, ou alors quand je regardais un balcon et que je m'imaginais en train de sauter par la fenetre ! Maintenant, j'imagine que je tue les gens a qui je tiens beaucoup et que j'aime.
Alors si des personnes subissent ce genre de choses ou l'a deja vécu, merci de me témoigner, ça fait vraiment du bien d'échanger. Rien que d'écrire ce texte me soulage. J'espere que vous répondrez.
Bisous
Voila depuis quelques temps, j'ai eu des visions bizarres. Tout allait si bien, on mangeait en famille, quand tout à coup, en regardant un couteau, une voix dans ma tete disait " Va zi, prend ce couteau, et tue ta mère , ton pere, ton frere " J'me suis dit que j'étais gogole, et que cette idée allait partir, car tout le monde a deja pensé a ce genre de chose dans sa vie. Mais la cette idée ne partait pas, elle restait dans ma tete non stop, je pensais meme a ça quand j'étais en cours, genre " et si je tuais ma voisine " . J'ai commencé a paniquer, à penser que je devenais folle ! a bout de force, j'ai donc décidé de regarder sur internet . Et j'ai été rassuré, beaucoup de personnes subissent ce traumatisme, ce sont des TOCS , des phobies d'impulsion. Le passage a l'acte ne se passe jamais, tout est dans la tete, et ce traumatisme arrive en général sur des personnes très gentilles, qui veulent aimé et etre aimé, qui ont subi des chocs dans leur vie. De quoi etre très rassuré, moi qui croyait que je commençais a devenir une criminelle ! Moi qui me sentait folle, ça me rassure énormément de voir tous ces gens qui ont subi cette pensée pénible, tenace , et qui arrivent en général a les oublier. J'ai commencé a avoir ces TOCS a l'age de 11 ans, sauf que la c'était des phobies de suicide. Sa m'est passé au fil du temps ( j'ai quand meme galéré lol) , par exemple quand je voyais une arme je m'imaginais en train de la prendre et de me tuer avec,e t là l'angoisse survient, ou alors quand je regardais un balcon et que je m'imaginais en train de sauter par la fenetre ! Maintenant, j'imagine que je tue les gens a qui je tiens beaucoup et que j'aime.
Alors si des personnes subissent ce genre de choses ou l'a deja vécu, merci de me témoigner, ça fait vraiment du bien d'échanger. Rien que d'écrire ce texte me soulage. J'espere que vous répondrez.
Bisous
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Non, ne dis pas ça, il existe des milliers de gens qui possèdent ces phobies, et tout le monde peut s'en sortir, tu et n'es pas rejetée, tu es un être humain comme les autres, et tu peux vivre heureuse comme tout le monde. Regarde, tu as l'air de connaitre les raisons de ton mal être ! Moi je n'ai jamais vu de psy, et j'ai réussi à m'en sortir. Et tu sais comment ? Tout simplement, j'en ai parlé a mes parents, qui m'ont , dans un premier temps, tout à fait compris. Ils m'ont dit que la phobie est quelque chose d'humain, que chaque personne possède des tocs différents, qu'eux aussi ils ont déjà pensé à tuer quelqu'un... Bref, ils m'ont fait comprendre que j'étais une personne tout à fait normal, et ça, ça m'a beaucoup rassuré. De plus, j'en ai carément parlé a des amies, je m'en fous moi j'ai pas peur d'avouer mes phobies, puis en plus ça fait tellement du bien. Mes amies m'ont tout à fait compris à leur tour, et m'ont même confiés y avoir déjà pensé en regardant un couteau. Sauf qu'eux, ils y pensent mais en restent là. Alors que nous, nous nous faisons de grosses fixations, on croit qu'on va le faire ( alors qu'au fond on a très peur, qu'on le fera jamais !) et on se fait des angoisses interminables . D'après ce que tu m'as dit, tu as l'air de tenir à tes parents, tu les aimes très fort, c'est tout, tu as peur de les perdre, et tu te fais des scénarios. Mais sache que JAMAIS, ça se réalisera. Vire cette pensée, elle te ruine, dès que tu y penses, dis toi " mais pourquoi je pense à ça, n'importe quoi, jamais je ferai ça, je le sais, c'est juste que j'aime tellement mes parents que je me fait des idées ". Le mieux serait de faire des activités qui t'éviteront de penser à tout ça. Moi je sais que, quand je suis eule, je pense à trop de choses...
Tu vas y arriver , je peux te l'assurer, moi aussi j'y croyais pas, mais la preuve que si, tu peux avoir confiance en toi, c'est une étape de la vie à franchir, rien de plus.
Tu vas y arriver , je peux te l'assurer, moi aussi j'y croyais pas, mais la preuve que si, tu peux avoir confiance en toi, c'est une étape de la vie à franchir, rien de plus.
Tu as eu toutes les choses que j'ai vécu, j'me suis battue, mais vraiment. Et sache que je suis enfin en paix. J'me suis rendue compte que je n'avais aucune confiance en moi, et c'est pour cela. Car au fond, tu as peur de toi, et si tu as peur de toi c'est que tu n'as aucune confiance. Tu as peur car tu fais vraiment une belle différence entre le mal et le bien, au contraire, si y en a une qui sera jamais une criminel, c'est bien toi ! Tu t'imagines des scénarios qui te font peur, parce que tu sais que tu ne pourras jamais commettre ces actes. Tout est dans ta tête ! Ce n'est qu'une pensée qui te traverse l'esprit, rien de plus. Evite les médicaments, et fais un travail sur toi, cherche la raison de ses phobies. J'ai longtemps réfléchi moi pour trouver, mais j'me suis remis, la preuve que ça peut s'arranger ! Bon courage, tu vas y arriver, crois moi.
karlnehme
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dimanche 27 mars 2011
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27 mars 2011
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Modifié par begonie le 3/04/2011 à 18:24
Modifié par begonie le 3/04/2011 à 18:24
bonjour
est-ce possible de m'envoyer ton contact mail sur mon (....) supprimé
je souffre de la meme chose et j'ai vraiment besoin d'aide a propos de ce sujet.
je te remercie
est-ce possible de m'envoyer ton contact mail sur mon (....) supprimé
je souffre de la meme chose et j'ai vraiment besoin d'aide a propos de ce sujet.
je te remercie
roro389
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samedi 16 février 2013
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16 février 2013
16 févr. 2013 à 16:06
16 févr. 2013 à 16:06
Bonjour,
j'ai le même problème. J'ai peur de faire du mal aux gens et que du jour au lendemain ma vie s'arrête. J'ai des images soudaines qui me viennent à l'esprit et plus j'y pense et je n'arrive plus à savoir le vrai du faux.
Le pire c'est quand je vois un fait divers grave (décès), je m'imagine la scène et la c'est un véritable film qui se déroule et au bout de quelques jours je suis miné (heureusement, je n'ai jamais de sons et de visage qui me viennent à l'esprit). C'est très dur de prendre sur soi. Pourtant je suis très heureux dans ma vie mais ce problème récurrent m'empêche de m'épanouir.
j'ai le même problème. J'ai peur de faire du mal aux gens et que du jour au lendemain ma vie s'arrête. J'ai des images soudaines qui me viennent à l'esprit et plus j'y pense et je n'arrive plus à savoir le vrai du faux.
Le pire c'est quand je vois un fait divers grave (décès), je m'imagine la scène et la c'est un véritable film qui se déroule et au bout de quelques jours je suis miné (heureusement, je n'ai jamais de sons et de visage qui me viennent à l'esprit). C'est très dur de prendre sur soi. Pourtant je suis très heureux dans ma vie mais ce problème récurrent m'empêche de m'épanouir.
nb777
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lundi 7 janvier 2013
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7 janvier 2013
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7 janv. 2013 à 18:08
7 janv. 2013 à 18:08
Bonjour,
Je souffre aussi de phobies d'impulsion. Peur des couteaux, peur d'être pédophile, peur d'être homosexuel et peur.... des angles droit. Quand j'en vois un j'ai peur de prendre la tête de quelqu'un et de frapper dessus ! Cette peur je l'ai depuis 15 ans suite à une pensée complètement absurde que j'ai eu un jour où je me baladais sur les champs elysées avec une ex petite amie. J'avais fumé un joint, elle marchait devant moi avec une copine et elle est passée près d'un plot et à ce moment j'ai eu envie de lui prendre la tête et de la frapper sur ce plot. Rien que d'en reparler ça me procure de l'angoisse. Et aussi j'en ai peur, je m'en suis convaincu avec le temps, du plaisir et ça me bouffe la vie. Le lendemain, et le surlendemain jusqu'à aujourd'hui j'y ai pensé et apportant une variante à cette pensée : et si je tapais la tête sur un angle droit, n'importe quoi un meuble, un panneau, dès que j'en vois un j'ai cette pensée obsessionnelle ! j'ai l'impression de devenir dingue. Je pense que je le suis un peu ! J'ai tellement culpabilisé de penser à faire du mal à cette femme que j'aimais tant que dès que je pensais à elle, j'avais cette pensée qui jaillissait ! Et aujourd'hui je l'ai sur ma fille, sur des gens dans la rue, des collègues au bureau. Quand je vois un angle droit, je m'imagine que je tape la tête de cette personne dessus et à ce moment je ressens une profonde angoisse, je perds pied avec la réalité, j'ai l'impression que j'ai envie de le faire que je vais éprouver du plaisir. Est-ce que vous aussi amis phobiques d'impulsion vous avez ces impressions que vous allez ressentir du plaisir !? Moi ça me fait ruminer, ruminer et ruminer. Je sais même pas si c'est une phobie d'impulsion enfin ça y ressemble ! et j'ai mis 15 ans à diagnostiquer ça ! tout seul ! pas un seul psy parmi les nombreux que j'ai consulté n'a été capable de m'aider ! J'ai tout essayé psy analytique, psychanalyse, hypnose, et seul sur Internet j'ai découvert ce trouble de phobie d'impulsion : peur de faire du mal ! J'ai beaucoup consommé de drogue, j'ai fait une dépression nerveuse et depuis 2 ans c'est vraiment l'enfer. Je suis harcelé de pensées violentes en plus des ces pensées avec les angles droits : planter un couteau dans ma petite fille, pensées pédophiles à son encontre, on vient d'acheter un chat, je commence à avoir des pensées violentes qui jaillissent dans ma tête ! C'est à ce tapper la tête contre les murs, je craque ! j'ai l'impression d'être maudit ! Esseulé dans ma quête j'ai fait un passage par l'ésotérisme avant de tomber en dépression et maintenant je suis convaincu que je mérite ce qui m'arrive, que j'ai pêchai dans une vie antérieure ! que je mérite ce qui m'arrive ! et j'entretiens le mal par le mal ! C'est un vrai souffrance. J'ai 35 ans et chaque jour est une survivance ! J'attends chaque soir avec impatience car dans mon sommeil mes pensées ne me harcèlent pas et suis plongé dans une profonde déprime quand le réveil sonne car je sais que je vais encore souffrir aujourd'hui. Je sais pourtant que la solution passe par le lâcher prise, que le cerveau est une machine à pensée et qu'il faut être plus grand que ces pensées, qu'en étant présent dans l'ici et maintenant on devenait le témoin de nos pensées. Qu'en étant conscient, on se désidentifie de ce mental rendu fou ! Mais que c'est dur de décrocher quand ces pensées parasites vous surprennent ! Quand de surcroit elle s'accompagne d'une profonde et glaciale angoisse ! J'ai perdu le goût de vivre ! J'ai peur de ces pensées, de l'angoisse qu'elle procure, de la culpabilité ressentie, du manque de confiance en moi, j'ai peur de finir à l'asile ou sdf car j'aurai perdu toute énergie vitale ou pire les veines tailladées dans une chambre d'hôtel. J'y pense dès que je vais mal ! Et j'y pense souvent en ce moment ...
Merci de m'avoir lu ! ça fait du bien de parler !
Je souffre aussi de phobies d'impulsion. Peur des couteaux, peur d'être pédophile, peur d'être homosexuel et peur.... des angles droit. Quand j'en vois un j'ai peur de prendre la tête de quelqu'un et de frapper dessus ! Cette peur je l'ai depuis 15 ans suite à une pensée complètement absurde que j'ai eu un jour où je me baladais sur les champs elysées avec une ex petite amie. J'avais fumé un joint, elle marchait devant moi avec une copine et elle est passée près d'un plot et à ce moment j'ai eu envie de lui prendre la tête et de la frapper sur ce plot. Rien que d'en reparler ça me procure de l'angoisse. Et aussi j'en ai peur, je m'en suis convaincu avec le temps, du plaisir et ça me bouffe la vie. Le lendemain, et le surlendemain jusqu'à aujourd'hui j'y ai pensé et apportant une variante à cette pensée : et si je tapais la tête sur un angle droit, n'importe quoi un meuble, un panneau, dès que j'en vois un j'ai cette pensée obsessionnelle ! j'ai l'impression de devenir dingue. Je pense que je le suis un peu ! J'ai tellement culpabilisé de penser à faire du mal à cette femme que j'aimais tant que dès que je pensais à elle, j'avais cette pensée qui jaillissait ! Et aujourd'hui je l'ai sur ma fille, sur des gens dans la rue, des collègues au bureau. Quand je vois un angle droit, je m'imagine que je tape la tête de cette personne dessus et à ce moment je ressens une profonde angoisse, je perds pied avec la réalité, j'ai l'impression que j'ai envie de le faire que je vais éprouver du plaisir. Est-ce que vous aussi amis phobiques d'impulsion vous avez ces impressions que vous allez ressentir du plaisir !? Moi ça me fait ruminer, ruminer et ruminer. Je sais même pas si c'est une phobie d'impulsion enfin ça y ressemble ! et j'ai mis 15 ans à diagnostiquer ça ! tout seul ! pas un seul psy parmi les nombreux que j'ai consulté n'a été capable de m'aider ! J'ai tout essayé psy analytique, psychanalyse, hypnose, et seul sur Internet j'ai découvert ce trouble de phobie d'impulsion : peur de faire du mal ! J'ai beaucoup consommé de drogue, j'ai fait une dépression nerveuse et depuis 2 ans c'est vraiment l'enfer. Je suis harcelé de pensées violentes en plus des ces pensées avec les angles droits : planter un couteau dans ma petite fille, pensées pédophiles à son encontre, on vient d'acheter un chat, je commence à avoir des pensées violentes qui jaillissent dans ma tête ! C'est à ce tapper la tête contre les murs, je craque ! j'ai l'impression d'être maudit ! Esseulé dans ma quête j'ai fait un passage par l'ésotérisme avant de tomber en dépression et maintenant je suis convaincu que je mérite ce qui m'arrive, que j'ai pêchai dans une vie antérieure ! que je mérite ce qui m'arrive ! et j'entretiens le mal par le mal ! C'est un vrai souffrance. J'ai 35 ans et chaque jour est une survivance ! J'attends chaque soir avec impatience car dans mon sommeil mes pensées ne me harcèlent pas et suis plongé dans une profonde déprime quand le réveil sonne car je sais que je vais encore souffrir aujourd'hui. Je sais pourtant que la solution passe par le lâcher prise, que le cerveau est une machine à pensée et qu'il faut être plus grand que ces pensées, qu'en étant présent dans l'ici et maintenant on devenait le témoin de nos pensées. Qu'en étant conscient, on se désidentifie de ce mental rendu fou ! Mais que c'est dur de décrocher quand ces pensées parasites vous surprennent ! Quand de surcroit elle s'accompagne d'une profonde et glaciale angoisse ! J'ai perdu le goût de vivre ! J'ai peur de ces pensées, de l'angoisse qu'elle procure, de la culpabilité ressentie, du manque de confiance en moi, j'ai peur de finir à l'asile ou sdf car j'aurai perdu toute énergie vitale ou pire les veines tailladées dans une chambre d'hôtel. J'y pense dès que je vais mal ! Et j'y pense souvent en ce moment ...
Merci de m'avoir lu ! ça fait du bien de parler !
nichisg
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16 févr. 2012 à 03:07
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Bonsoir a tous et a toutes ...
J'ai lu a peu pres l'ensemble de ce qui a eté dit a ce sujet.
Pour vous rassurer, moi j'ai ca depuis l'age de 4 /5 ans, j'ai maintenant 46 ans et j'ai toujours ces phobies d'impulssion. Absolument tout ce qui est raconté par vous tous et toutes, j'ai ces scenarios dans la tete et meme d'autres pire :-))
j'ai vu un psy comportementaliste pendant un an, j'ai pris des antidepresseurs etc etc ...Rien n'a changé :-)). La seule chose qui m'aide c'est la pratique de la meditation qui m'a appris a observer mes pensees.
Mon avis personnel est que tout le monde a plus ou moins ce genre de pensees car ca vient de l'inconscient.Si certains disent qu'ils n'ont pas ce genre de pensées c'est que peut etre en fait ils les ont mais ils n'en non pas conscience, c'est a dire qu'il y a un filtrage du subconscient.
Un grand psychologue qui s'appelle Giulio Cesare Giacobbe (dont je vous conseille de lire ces livres) dit que les pensees appartiennent aux cerveaux, au meme titre que l'urine appartient au rein.C'est la condition humaine :-))
C'est a dire que quand on urine , on ne se pose pas de questions et bien d'apres lui quand on pense, on ne devrait pas se poser de questions non plus :-)).
Pour devellopper, la pensée est une fonction du cerveau , elle ne t'appartient pas.C'est juste un outil qui doit etre utilisé en positif.Ce qui t'appartient par contre c'est ta conscience. (!)
En d'autres thermes, ta conscience doit utilisé cet outil qu'est la penséé, fonction du cerveau mais dans un but de construire, pas de detruire.
Tes penséés negatives, tu t'en fout au meme titre que quand tu vas uriner, tu t'en fout aussi. Tu laisses ton cerveau eliminer ces penséés negatives tout seul, comme tes reins eliminent l'urine... toi tu n'intervient pas et surtout le plus important , ta conscience ne doit pas s'identifiier a ces penséés negatives.
Cette maniere de voir est tres interessante.
Je ne dis pas que personnellement j'arrive a voir comme cela a chaque fois, car quand on est envahi de penséés noires, et dans une periode ou tu es fragilisé par les circonstances difficiles de la vie, il est tres difficile d'avoir ce recul :-))
On peut donc s'aider a observer son esprit avec la pratique de la meditation.
Plus on pratique, plus on se rend compte du jeux de l'esprit. Absolument n'importe quoi comme penséés peut s'elever dans l'esprit, un vrai cinema et gratuit celui la :-))
Pour resumer, je pense personnellement que pour ne plus s'identifier a ces penséés negatives (car en s'identifiant, on cree une nevrose qui devient une phobie etc etc...:-)), on doit donc entrainer sa conscience a observer son esprit.Ce que j'appellerais l'entrainement de l'esprit au meme titre qu'un sportif doit s'entrainer pour arriver a des resultats.
Le resultat n'est pas la disparition total de ces penséés (car c'est une fonction du cerveau qui fait partie de la condition humaine)mais le non attachement a ces pensées, car plus tu t'attaches, plus ton cerveau les alimentent, c'est bien connu non ? :-) comme plus tu bois ,plus tu vas uriner, ca aussi c'est bien connu :-)).
Voila , j'espere que j'ai pu apporter mon soutien a des personnes , par mon temoignage, et peut-etre une aide.
J'ai lu a peu pres l'ensemble de ce qui a eté dit a ce sujet.
Pour vous rassurer, moi j'ai ca depuis l'age de 4 /5 ans, j'ai maintenant 46 ans et j'ai toujours ces phobies d'impulssion. Absolument tout ce qui est raconté par vous tous et toutes, j'ai ces scenarios dans la tete et meme d'autres pire :-))
j'ai vu un psy comportementaliste pendant un an, j'ai pris des antidepresseurs etc etc ...Rien n'a changé :-)). La seule chose qui m'aide c'est la pratique de la meditation qui m'a appris a observer mes pensees.
Mon avis personnel est que tout le monde a plus ou moins ce genre de pensees car ca vient de l'inconscient.Si certains disent qu'ils n'ont pas ce genre de pensées c'est que peut etre en fait ils les ont mais ils n'en non pas conscience, c'est a dire qu'il y a un filtrage du subconscient.
Un grand psychologue qui s'appelle Giulio Cesare Giacobbe (dont je vous conseille de lire ces livres) dit que les pensees appartiennent aux cerveaux, au meme titre que l'urine appartient au rein.C'est la condition humaine :-))
C'est a dire que quand on urine , on ne se pose pas de questions et bien d'apres lui quand on pense, on ne devrait pas se poser de questions non plus :-)).
Pour devellopper, la pensée est une fonction du cerveau , elle ne t'appartient pas.C'est juste un outil qui doit etre utilisé en positif.Ce qui t'appartient par contre c'est ta conscience. (!)
En d'autres thermes, ta conscience doit utilisé cet outil qu'est la penséé, fonction du cerveau mais dans un but de construire, pas de detruire.
Tes penséés negatives, tu t'en fout au meme titre que quand tu vas uriner, tu t'en fout aussi. Tu laisses ton cerveau eliminer ces penséés negatives tout seul, comme tes reins eliminent l'urine... toi tu n'intervient pas et surtout le plus important , ta conscience ne doit pas s'identifiier a ces penséés negatives.
Cette maniere de voir est tres interessante.
Je ne dis pas que personnellement j'arrive a voir comme cela a chaque fois, car quand on est envahi de penséés noires, et dans une periode ou tu es fragilisé par les circonstances difficiles de la vie, il est tres difficile d'avoir ce recul :-))
On peut donc s'aider a observer son esprit avec la pratique de la meditation.
Plus on pratique, plus on se rend compte du jeux de l'esprit. Absolument n'importe quoi comme penséés peut s'elever dans l'esprit, un vrai cinema et gratuit celui la :-))
Pour resumer, je pense personnellement que pour ne plus s'identifier a ces penséés negatives (car en s'identifiant, on cree une nevrose qui devient une phobie etc etc...:-)), on doit donc entrainer sa conscience a observer son esprit.Ce que j'appellerais l'entrainement de l'esprit au meme titre qu'un sportif doit s'entrainer pour arriver a des resultats.
Le resultat n'est pas la disparition total de ces penséés (car c'est une fonction du cerveau qui fait partie de la condition humaine)mais le non attachement a ces pensées, car plus tu t'attaches, plus ton cerveau les alimentent, c'est bien connu non ? :-) comme plus tu bois ,plus tu vas uriner, ca aussi c'est bien connu :-)).
Voila , j'espere que j'ai pu apporter mon soutien a des personnes , par mon temoignage, et peut-etre une aide.
nb777
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7 janv. 2013 à 17:38
7 janv. 2013 à 17:38
Bonjour,
Je souffre de phobies d'impulsion depuis 15 ans et votre réponse est très intéressante. Elle rejoint les propos du guide spirituel Eckart Tollé qui enseigne que nous sommes plus grands que nos pensées. Qu'il faut être le témoin de nos pensées pour se désidentifier du mental qui nous fait tant souffrir. Son livre "Pouvoir du moment présent" est très intéressant et je le conseille. Mais je consent, il est difficile de se détacher de son mental quand des pensées noires surviennent dans sa tête. On s'identifie, on rumine, on culpabilise, on se demande d'où viennent ces pensées, ces sensations de plaisir qu'elles procurent nous rendent fou ! J'ignore si on s'en sort un jour ! De mon coté je suis dans le creux dans la vague. Mais je me bats pour ma petite fille qui a droit à avoir un père. Mais l'idée du suicide me traverse l'esprit tous les jours tellement je souffre. Bon courage à mes amis phobiques d'impulsion.
Je souffre de phobies d'impulsion depuis 15 ans et votre réponse est très intéressante. Elle rejoint les propos du guide spirituel Eckart Tollé qui enseigne que nous sommes plus grands que nos pensées. Qu'il faut être le témoin de nos pensées pour se désidentifier du mental qui nous fait tant souffrir. Son livre "Pouvoir du moment présent" est très intéressant et je le conseille. Mais je consent, il est difficile de se détacher de son mental quand des pensées noires surviennent dans sa tête. On s'identifie, on rumine, on culpabilise, on se demande d'où viennent ces pensées, ces sensations de plaisir qu'elles procurent nous rendent fou ! J'ignore si on s'en sort un jour ! De mon coté je suis dans le creux dans la vague. Mais je me bats pour ma petite fille qui a droit à avoir un père. Mais l'idée du suicide me traverse l'esprit tous les jours tellement je souffre. Bon courage à mes amis phobiques d'impulsion.
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Je sais que c'est due à un gros manque de confiance en moi et énormément aussi à cause de mon tempérament qui me pousse sans cesse à la culpabilité en particulier par raport à mes parents. Ils ne m'ont pas couvé ouvertement mais de façon plus subtile et, de ce fait, perverse, plus pénétrante. C'est comme si je me devais d'être à eux , pour eux, et selon eux toute ma vie. C'est du moins ce que je ressens.
J'ai parfois su me débarasser de ces peurs mais elles reviennent tôt ou tard et c'est bien ça le plus déchirant. Quand un matin tu réalises que le calvaire recommence.
Pour le moment je suis obligée de reprendre mon traitement, je n'arrive plus à aller en cours, ces angoisses m'handicapent beaucoup trop dans ma vie quotidienne et polluent même mon espace de vie encore respirable jusqu'ici. Je fais une thérapie à côté parce que mon but est, quand même, de parvenir à supprimer le traitement, ensuite gérer seule.
Merci pour ta réponse, j'essaye de positiver, je hais qu'on me dise que je me laisse aller, que je suis lâche et que je ne fais aucun effort. Ma soeur mon père et mon mec voient les choses comme ça. J'aimerai que mon entourage , au moins, comprenne que ce que je vis ressemble d'avantage à du courage plutôt que de la lâcheté....Mais je crois que ma bulle a la destinée du vilain petit canard: que personne n'aime, personne n'écoute, et personne ne prend au sérieux.
J'ai parfois su me débarasser de ces peurs mais elles reviennent tôt ou tard et c'est bien ça le plus déchirant. Quand un matin tu réalises que le calvaire recommence.
Pour le moment je suis obligée de reprendre mon traitement, je n'arrive plus à aller en cours, ces angoisses m'handicapent beaucoup trop dans ma vie quotidienne et polluent même mon espace de vie encore respirable jusqu'ici. Je fais une thérapie à côté parce que mon but est, quand même, de parvenir à supprimer le traitement, ensuite gérer seule.
Merci pour ta réponse, j'essaye de positiver, je hais qu'on me dise que je me laisse aller, que je suis lâche et que je ne fais aucun effort. Ma soeur mon père et mon mec voient les choses comme ça. J'aimerai que mon entourage , au moins, comprenne que ce que je vis ressemble d'avantage à du courage plutôt que de la lâcheté....Mais je crois que ma bulle a la destinée du vilain petit canard: que personne n'aime, personne n'écoute, et personne ne prend au sérieux.
Tout comme vous je souffre de phobies d'impulsion depuis de nombreuses années. La première fois qu'elles sont apparues j'étais à table avec mes parents et tout d'un coup j'ai eu peur de tuer mon père. Cette peur était envahissante, morbide. J'étais pris en charge par un psy qui m'a sorti en partie de cette galère. Seulement quelques années plus tard j'ai tout d'un coup une l'idée d'étrangler ma fille que j'adore plus que tout au monde. Mon petit chouchou. Marre de ne pas comprendre la genèse de ces phobies, et voyant que je stagnais avec mon psy, je me suis dirigé vers une psy avec laquelle j'ai entrepris une TCC. Ma psy m'a affirmé, confirmé qu'à aucun moment je ne passerai à l'acte, car la phobie est une sorte de garde fou contre le passage à l'acte. Ceux qui tuent n'ont aucune peur. Ils tuent non seulement à froid mais de plus sans remord. Or, dans tous les cas des personnes comme moi frappées de phobies d'impulsion tout est intériorisé. C'est une colère refoulée. Enfant j'étais à l'école journellement harcelé et violanté par des gamins plus forts que moi qui m'exigeaient des bonbons, de l'argent. Et je m'en voulais de ne pouvoir me défendre. Aujourd'hui lorsqu'une personne me parle mal, je me sens faible, donc j'ai peur, donc je ne dis rien, et donc les phobies apparaissent. Et les phobies font peur. Et la bouche est bouclée comme me l'a expliqué ma psy. Le mieux c'est de pouvoir extravertir sa peur en disant aux stresseurs ce que l'on pense d'eux.
Si vous voulez m'écrire je suis prêt à vous écouter et partager avec vous vos craintes.
Bisous à toutes et tous.
Si vous voulez m'écrire je suis prêt à vous écouter et partager avec vous vos craintes.
Bisous à toutes et tous.
Salut
Je comprends ce que tu veux dire. Ces phobies d'impulsion sont juste la manifestation d'une colère refoulée. C'est avant tout le sentiment soit de ne pas avoir été suffisamment protégé, soit d'être prisonnier et de ne pas pouvoir se libérer d'un "amour" étouffant. Les phobies d'impulsion nous indiquent qu'il est temps de penser à nous et de nous émanciper. Seulement on a peur parce qu'on en a pas l'habitude.
Je comprends ce que tu veux dire. Ces phobies d'impulsion sont juste la manifestation d'une colère refoulée. C'est avant tout le sentiment soit de ne pas avoir été suffisamment protégé, soit d'être prisonnier et de ne pas pouvoir se libérer d'un "amour" étouffant. Les phobies d'impulsion nous indiquent qu'il est temps de penser à nous et de nous émanciper. Seulement on a peur parce qu'on en a pas l'habitude.
Me voici sur le forum et je ne sais pas par où commncer. Cela fais 5 semaine que je souffre de cela. Tout a commencé à la suite d'un cauchemar. J'ai eu la sensation que j'avais envi d'étrangler mes enfants ( mon ainée en particulier). J'ai paniqué jusqu'à finir à l'hopital en crise de panique. J'ai eu le droit à des anxiolitiques mais je suis dans le gaz lorsque je les prends. J'ai donc stopper cela . Je vais aller voir un psy pour comprendre d'où cela vient. Avec le recule , je me suis rendu compte que j'ai toujours eu une peur énorme qu'il arrive quelque chose mes enfants ( noyade, étouffements) mais mes gestes maternelles ont toujous été naturels (plus de 2 ans d'allaitement ect...) J'ai l'impresion d'être un monstre. Ces angoisses arrivent sans prévenir et je me rends compte que maintenant jai peur davoir ces angoisses ( le chien qui se mord la queue).
Ecrire m'aide beaucoup à rationnaliser. Mon mari est au courant et m'épaule tant qu'il peut. Il me dit de voir mes démons en face et d'essayer d'entrevoir la lumière que j'ai au fond de moi. Je pense m'être caché beaucoup de chose durant ces dernières années et tout remonte comme une explosion. J'aime mes enfants plus que tout mais par moment ces pensées viennent parasiter cet amour et j'ai peur qu'elles les ressentent. Je les ai couvé plus que de raison. J'ai l'impression d'avoir un trop plein et de ne plus pouvoir donner. PAr moment je me dit que seul le suicide peut stoppper cela car tout tourne dans ma tête. Quand la journée est finie, je me dis " j'ai encore tenue un jour c'est pas si mal". A d'autres moments j'ai l'imprsseion que tout va mieux. Je vais prendre rdv chez un homéopathe. En plus de la psy, je pense améliorer ma vie. C'est difficile de se sentir sur le bord du chemin et d'avoir la sensation que le monde continue de tourner. J'étais une fille pleine de vie et là je me sens morte.
Le problème avec cette maladie, c'est que l'on se sens victime et coupable à la fois. Victime de se sentir ainsi et dans la culpabilité de penser à ces choses horribles. Je me rends compte que l'infanticide est ce qui me répugne le plus et j'ai peur de devenir une meutrière. Je vois aussi que perdre un de mes enfants serait inconcevable et que j'en mourrai de chagrin.J'ai peur d'être le fruit de mon propre malheur.
Quand je lisais le mail sur les forum, je me disais comment peut-on écrire autant, mais c'est quand même très libérateur......
Ecrire m'aide beaucoup à rationnaliser. Mon mari est au courant et m'épaule tant qu'il peut. Il me dit de voir mes démons en face et d'essayer d'entrevoir la lumière que j'ai au fond de moi. Je pense m'être caché beaucoup de chose durant ces dernières années et tout remonte comme une explosion. J'aime mes enfants plus que tout mais par moment ces pensées viennent parasiter cet amour et j'ai peur qu'elles les ressentent. Je les ai couvé plus que de raison. J'ai l'impression d'avoir un trop plein et de ne plus pouvoir donner. PAr moment je me dit que seul le suicide peut stoppper cela car tout tourne dans ma tête. Quand la journée est finie, je me dis " j'ai encore tenue un jour c'est pas si mal". A d'autres moments j'ai l'imprsseion que tout va mieux. Je vais prendre rdv chez un homéopathe. En plus de la psy, je pense améliorer ma vie. C'est difficile de se sentir sur le bord du chemin et d'avoir la sensation que le monde continue de tourner. J'étais une fille pleine de vie et là je me sens morte.
Le problème avec cette maladie, c'est que l'on se sens victime et coupable à la fois. Victime de se sentir ainsi et dans la culpabilité de penser à ces choses horribles. Je me rends compte que l'infanticide est ce qui me répugne le plus et j'ai peur de devenir une meutrière. Je vois aussi que perdre un de mes enfants serait inconcevable et que j'en mourrai de chagrin.J'ai peur d'être le fruit de mon propre malheur.
Quand je lisais le mail sur les forum, je me disais comment peut-on écrire autant, mais c'est quand même très libérateur......
Oui c'est vrai que le suicide monte toujours plus ou moins intensément à notre esprit. Mais je reste persuadée qu'avec des médiacaments et une thérapie et ensuite quand on gère mieux, juste une thérapie profonde , on peut arriver à vivre avec tout ça , arriver à le stopper avant que ça explose. Là vous êtes dans la phase de crise, celle que j'ai eu il y a pas longtemps et que j'ai à répétition, il faut impérativement stopper ça au plus vite. Moi je suis rester dans une clinique un mois, il fallait que je m'écarte de mon quotidien et il y avait plein de mamans avec qui je me suis super bien entendu dailleurs qui étaient là pour diverses raisons. On etait tous là parce quand on arrive aux limites et qu'on se sent seule et desespéré il faut faire un gros break et être entouré de gens qui peuvent nous comprendre et nosu aider. Quand la periode de crise est passée on peut reprendre sa vie normalement et pouvoir commencer à faire un travail sur soi sans que ça nous handicape dans notre vie quotidienne. Mauvais plan je pense que de rester sans une aide médicale (anxiolitik) pour le moment je pense. J'ai des médicaments à prendre moi pour tout ça et ils ne m'endorment pas du tout, il ne faut juste pas boire d'alcool avec . Quand la crise passe on peut songer à les arrêter mais il faut accepter l'idée qu'au bout d'un moment on doit être soigné. Je ne dis pas que je pète la forme mais grâce à ma thérapie et mes médicaments jpeux surmonter tout ça. Prochainement j'espère stoper les médoc mais pour le moment jsuis trop fragile
Bonjour,
Dans chaque humain sommeille un tueur.
L'important est de ne pas passer à l'acte.Qui n'a jamais eu envie de tuer son voisin quand il fait tourner sa moto à des heures impossibles ou la belle mere lorsqu'elle vous reprimande ou le prof qui vous a fait une remarque blessante devant la classe etc........ ce serait trop facile et il ne resterait plus grand monde sur terre.
Le self control de soi s'apprend, il n'est pas inné surtout quand on est d'une nature impulsive.
Faites de la boxe, du catch; vous devez avoir un trop plein d'energie qu'il faut evacuer.
Si cela ne suffit pas , faites vous aider par un specialiste........
Dans chaque humain sommeille un tueur.
L'important est de ne pas passer à l'acte.Qui n'a jamais eu envie de tuer son voisin quand il fait tourner sa moto à des heures impossibles ou la belle mere lorsqu'elle vous reprimande ou le prof qui vous a fait une remarque blessante devant la classe etc........ ce serait trop facile et il ne resterait plus grand monde sur terre.
Le self control de soi s'apprend, il n'est pas inné surtout quand on est d'une nature impulsive.
Faites de la boxe, du catch; vous devez avoir un trop plein d'energie qu'il faut evacuer.
Si cela ne suffit pas , faites vous aider par un specialiste........
bonjour je souffre des memes choses que vous j'ai peur de me faire du mal peur que l'on me fasse du mal peur de faire du mal aux autres c'est tres difficile je culpabilise je manque de confiance en moi
aidez moi les personnes qui s'en sont sortis merci repondez moi svp
aidez moi les personnes qui s'en sont sortis merci repondez moi svp
mjoko
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14 août 2010
14 juin 2010 à 00:12
14 juin 2010 à 00:12
Une mauvaise pensée incontroler
Bonjour, une mauvaise pensée m'est venu d'un seul coups je poignardais ma mère ça ne m'a pas effrayé sur le coups mais ça m'a fait mal de pensé ça,comme souvent avec les idée noire ,j'ai du mal à m'en débarrassé donc je me suis enfoncé encore plus et commencer à avoir peur.j'adore ma mère je m'inquiète souvent pour sa santé ainsi pour celle de mes frères et soeurs,j'angoisse à l'idée qu'il leurs arrivent quelques chose ou qu'ils soient atteint d'une maladie de même pour moi.Depuis quelques moi je suis très anxieux surtout la nuit, il y a un an de cela j'ai eu une crise d'angoisse que j'ai assimiler à un accident vasculaire cérébral ça s'est passé le soir dans mon lit depuis j'ai une crainte de
l'avc même si je suis pas une personne à risque.Bref j'angoisse terriblement.Pour cette mauvaise pensé cité plus haut je suis allé sur des forum qui rassure alors j'essaie de relativiser mais c'est pas facile.J'attends vos témoignage de soutien,merci d'avance
Bonjour, une mauvaise pensée m'est venu d'un seul coups je poignardais ma mère ça ne m'a pas effrayé sur le coups mais ça m'a fait mal de pensé ça,comme souvent avec les idée noire ,j'ai du mal à m'en débarrassé donc je me suis enfoncé encore plus et commencer à avoir peur.j'adore ma mère je m'inquiète souvent pour sa santé ainsi pour celle de mes frères et soeurs,j'angoisse à l'idée qu'il leurs arrivent quelques chose ou qu'ils soient atteint d'une maladie de même pour moi.Depuis quelques moi je suis très anxieux surtout la nuit, il y a un an de cela j'ai eu une crise d'angoisse que j'ai assimiler à un accident vasculaire cérébral ça s'est passé le soir dans mon lit depuis j'ai une crainte de
l'avc même si je suis pas une personne à risque.Bref j'angoisse terriblement.Pour cette mauvaise pensé cité plus haut je suis allé sur des forum qui rassure alors j'essaie de relativiser mais c'est pas facile.J'attends vos témoignage de soutien,merci d'avance
Kissou75
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15 juin 2010 à 00:37
15 juin 2010 à 00:37
Bonsoir mjoko, sache qu'il ne faut jamais s'inquiéter et paniquer, ça ne ferai qu'aggraver les choses. Déjà, il faut que tu te dises que tu ne commetras JAMAIS cet acte monstrueux. Tout ceci ne sort que de ta propre pensée qui te joue de sales tours. Les crises d'angoisse, ça arrive à tout le monde au moins une fois, et c'est vrai que ça a de très mauvaises conséquences. Ecoute, tu dois être une personne vraiment très stressée, il faut que tu te calmes, que tu te dises que le seul moyen de pas avoir peur commence par le cerveau. Si tu crois à ces pensées négatives, tu vas t'enfoncer profondément dans le noir. Tout ça sort de ton imagination, lutte contre ces pensées qui te pourissent la vie, je suis passée par là et je me suis dit au final que tout ceci sort de mon imagination, t'imagine le pire car tu ne veux pas perdre les personnes concernées, comme ta mère à qui tu tiens énormément. Si tu vois que tu n'y arrives pas, consulte. Mais sache que ce mal être a une source qu'il faut dénicher. Pour mon cas par exemple, tout ceci venait de mon manque de confiance en moi. Avoir confiance en soi, c'est être sur et certain de nos gestes ( par exemple). Dans mon cas, je m'imaginais capable de tuer ma mere, mon pere puis c'est venu sur mes amis, BREF, on sait à l'intérieur de nous que nous ne sommes pas fous, il faut juste que ton esprit s'en rende compte. Comme je le disais dans mes messages précédents, un vrai fou ne se rend pas compte de ses actes, il réfléchit pas comme toi tu réfléchis à cette instant. Ce que tu as s'appelle donc une phobie d'impulsion, et cette phobie est la preuve directe que tu ne deviendras jamais un criminel, bien au contraire, alors rassures toi ! Je comprend qu'au début, ça fait très peur. Mais il faut vraiment lutter contre tout ceci, on a qu'une vie, alors profitons en et oublions ces problèmes ;) Je peux te donner quelques techniques si tu veux pour lutter contre ça ( ça a marché pour mon cas ^^)
- Quand tu sens que tu commences à avoir de mauvaises pensées, dis toi " Mais pourquoi je pense à ça, N'importe quoi, je sais que je ne suis pas capable de faire ça, c'est mon cerveau qui me joue des tours, je suis quelqu'un de bien, je pense à ça parce que j'aime ma mère, ma famille" et relativise, souffle, occupe toi.
- Tout le monde pense à ça, alors essaye d'en parler avec une amie très proche ( je l'ai fait avec une amie qui m'a meme avouée qu'elle avait eu les mêmes idées que moi, comme quoi ! lol )
- Dans ma tête, je me dis " Bon allez au bout de 10 je n'aurai plus peur, la peur me sert à rien, juste à créer un stress incessant" puis tu comptes en respirant calmement.
- Affronte les lieux que tu détestes ( comme la cuisine ou il y a des couteaux etc) , c'est comme ça que tu arriveras à évacuer la phobie.
- Le soir, dans ton lit, écoute de la musique ou lis un livre, histoire de t'endormir vite sans penser à tout ça, la nuit est un moment de solitude où on pense à n'importe quoi.
En conclusion, seul toi est maitre de ton corps, alors il faut que tu ais un mental d'acier et résister à tout ceci. J'ai passé cette étape et je m'en sors très bien ;) certes, il y a des moments où j'y repense, mais ceci ne dure que quelques minutes et la vie continue :D
Juste avant de te laisser, j'aimerai te demander si tu es quelqu'un de plutôt réservé dans la vie ou si tu es quelqu'un qui ne te laisse pas faire , agressif quand on t'attaque ?
Sur ceux, je te souhaite beaucoup de courage et de chance, et si tu as une question, je suis là pour ça, ne t'inquiètes pas.
- Quand tu sens que tu commences à avoir de mauvaises pensées, dis toi " Mais pourquoi je pense à ça, N'importe quoi, je sais que je ne suis pas capable de faire ça, c'est mon cerveau qui me joue des tours, je suis quelqu'un de bien, je pense à ça parce que j'aime ma mère, ma famille" et relativise, souffle, occupe toi.
- Tout le monde pense à ça, alors essaye d'en parler avec une amie très proche ( je l'ai fait avec une amie qui m'a meme avouée qu'elle avait eu les mêmes idées que moi, comme quoi ! lol )
- Dans ma tête, je me dis " Bon allez au bout de 10 je n'aurai plus peur, la peur me sert à rien, juste à créer un stress incessant" puis tu comptes en respirant calmement.
- Affronte les lieux que tu détestes ( comme la cuisine ou il y a des couteaux etc) , c'est comme ça que tu arriveras à évacuer la phobie.
- Le soir, dans ton lit, écoute de la musique ou lis un livre, histoire de t'endormir vite sans penser à tout ça, la nuit est un moment de solitude où on pense à n'importe quoi.
En conclusion, seul toi est maitre de ton corps, alors il faut que tu ais un mental d'acier et résister à tout ceci. J'ai passé cette étape et je m'en sors très bien ;) certes, il y a des moments où j'y repense, mais ceci ne dure que quelques minutes et la vie continue :D
Juste avant de te laisser, j'aimerai te demander si tu es quelqu'un de plutôt réservé dans la vie ou si tu es quelqu'un qui ne te laisse pas faire , agressif quand on t'attaque ?
Sur ceux, je te souhaite beaucoup de courage et de chance, et si tu as une question, je suis là pour ça, ne t'inquiètes pas.
mjoko
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15 juin 2010 à 02:07
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je suis un peu réservé mais je ne me laisse pas faire et je ne suis pas agressif et évite les conflits inutiles
Kissou75
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15 juin 2010 à 19:47
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Ok tu es comme moi en fait. J'espère que tes problèmes vont s'arranger alors , il faut juste y croire.
mjoko
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15 juin 2010 à 20:09
15 juin 2010 à 20:09
merci kissou75
ça s'améliore un peu,cette pensée est toujours là mais à la place de ma mère c'est une forme humaine dont je ne distingue pas le visage ou on dirait un gros sac genre sac de sable pour la boxe.En fait je culpabilise d'avoir cette pensée c'est pour ça j'arrive à la chasser dans ma tête et de faire toujours le lien avec ma mère.le positif je ne fuis pas ma mère.
ça s'améliore un peu,cette pensée est toujours là mais à la place de ma mère c'est une forme humaine dont je ne distingue pas le visage ou on dirait un gros sac genre sac de sable pour la boxe.En fait je culpabilise d'avoir cette pensée c'est pour ça j'arrive à la chasser dans ma tête et de faire toujours le lien avec ma mère.le positif je ne fuis pas ma mère.
Et si ces phobies étaient simplement des signaux d'alertes?
Je m'explique: Ces pensées qui font irruption dans nos vies prennent la forme d'images violantes et choquantes. "Violantes" parcequ'elle nous montrent des situations extremes et choquantes car elles nous impliquent nous et notre entourage proche (Dans la plupart des cas: l'enfant, la mère, le père, la soeur, le conjoint, soi-meme...).
Nul doutes également sur les traits de carractères communs à toutes les personnes sujetes à ces trouble anxieux, je veux parler de: l'anxièté, le manque de confiance en soi, personne qui a tendance à accepter beaucoup de choses, un rapport souvent fusionnel (ou complexe) avec son entourage proche (conjiont, parents...) etc ...
Voila ou je veux en venir: et si ces pensés absurdes (je pense que tout le monde sera d'accord pour admettre qu'au fond, ces pensés sont d'une stupidité sans nom) n'étaient tous simplement pas le reflet de notre propre existance ? La part d'ombre que l'on ne veut pas admettre? Des difficultés qui nous hantent?...
C'est à dire que ces pensés seraient comme un "garde fou" (je sais. Ca parrait très étrange et très paradoxal) vis à vis de situations que l'on vit ou que l'on a vécu. Je vois souvent des gens faisant le témoignage d'un attachement fusionnel (amour captif) à un proche (parents, conjiont..) , des personnes ayant était abondonné durant l'enfance, des gens qui doivent faire face à des décisions importantes, des gens à qui on a mis une pression telle qu'ils n'osent plus entreprendre, des personnes ayant subit un changement brutal dans leur vie (un amour, un départ, une arrivé, une naissance, un éloignement....), Des gens à qui l'on a imposé beaucoup (trop?) de règles ,... Il y a comme ça beaucoup d'histoires qui portent des similitudes frappantes. Et si, (Debut de phrase que beaucoup d'anxieux doivent connaitre ;-) ) ces idées intrusives étaient là pour nous alerter face à des situations complexes que l'on ne sait pas, que l'on a peur ou que l'on a du mal à gérer? Il suffit peut etre simplement de savoir les décoder (déchiffrer, traduire..) ?La question reste ouverte...
Bon courage! (il en faut !)
Je m'explique: Ces pensées qui font irruption dans nos vies prennent la forme d'images violantes et choquantes. "Violantes" parcequ'elle nous montrent des situations extremes et choquantes car elles nous impliquent nous et notre entourage proche (Dans la plupart des cas: l'enfant, la mère, le père, la soeur, le conjoint, soi-meme...).
Nul doutes également sur les traits de carractères communs à toutes les personnes sujetes à ces trouble anxieux, je veux parler de: l'anxièté, le manque de confiance en soi, personne qui a tendance à accepter beaucoup de choses, un rapport souvent fusionnel (ou complexe) avec son entourage proche (conjiont, parents...) etc ...
Voila ou je veux en venir: et si ces pensés absurdes (je pense que tout le monde sera d'accord pour admettre qu'au fond, ces pensés sont d'une stupidité sans nom) n'étaient tous simplement pas le reflet de notre propre existance ? La part d'ombre que l'on ne veut pas admettre? Des difficultés qui nous hantent?...
C'est à dire que ces pensés seraient comme un "garde fou" (je sais. Ca parrait très étrange et très paradoxal) vis à vis de situations que l'on vit ou que l'on a vécu. Je vois souvent des gens faisant le témoignage d'un attachement fusionnel (amour captif) à un proche (parents, conjiont..) , des personnes ayant était abondonné durant l'enfance, des gens qui doivent faire face à des décisions importantes, des gens à qui on a mis une pression telle qu'ils n'osent plus entreprendre, des personnes ayant subit un changement brutal dans leur vie (un amour, un départ, une arrivé, une naissance, un éloignement....), Des gens à qui l'on a imposé beaucoup (trop?) de règles ,... Il y a comme ça beaucoup d'histoires qui portent des similitudes frappantes. Et si, (Debut de phrase que beaucoup d'anxieux doivent connaitre ;-) ) ces idées intrusives étaient là pour nous alerter face à des situations complexes que l'on ne sait pas, que l'on a peur ou que l'on a du mal à gérer? Il suffit peut etre simplement de savoir les décoder (déchiffrer, traduire..) ?La question reste ouverte...
Bon courage! (il en faut !)
Bonjour,
cela fait maintenant plus de 2 mois que je me bats contre ces phobies. Tout a commencé un soir, lorsqu'au moment d'aller me coucher après avoir fini un livre particulièrement violent, je me suis vue faire du mal à mon ami. J'ai cru mourir sur le coup, et je me suis sentie particulièrement monstrueuse. J'ai fini par en parler à une psychologue, qui m'a rassurée: non, je ne passerai pas à l'acte, si j'étais une tueuse en série potentielle, je ne serais pas devant elle à me mettre dans cet état.
Depuis les crises se sont un peu espacées, mais arrive de temps à autre. Je les redoute en fait, et passe beaucoup de temps à ruminer "pourquoi je pense à ça, qu'est ce qui m'arrive et du coup je vais forcément y penser". Je précise que je vais me marier l'an prochain, et que le fait d'avoir ces pensées est d'autant plus dur pour moi que j'aime sincérement mon ami, et que je ne supporterai pas de vivre sans lui. Je suis quelqu'un de très angoissée, qui a toujours peur qu'il lui arrive quelque chose. Ces peurs ont été renforcées lorsque l'un de mes cousins, dont je suis très proche, a été diagnostiqué d'un cancer, et qu'un de mes collègues est mort de façon brutale à 28 ans (mon ami vient de fêter ses 27 ans).
J'essaye de me convaincre que tout ça est dans ma tête, que je peux m'en sortir. Et je veux m'en sortir. Il y a des moments où tout va bien, ils sont de plus en plus nombreux, et d'autres où c'est plus difficile, parce que j'ai peur de mes pensées. Et systèmatiquement dans ces cas là, une pensée négative va surgir. Comment faire en sorte de ne pas y penser, comment les combattre? Merci pour vos témoignages.
cela fait maintenant plus de 2 mois que je me bats contre ces phobies. Tout a commencé un soir, lorsqu'au moment d'aller me coucher après avoir fini un livre particulièrement violent, je me suis vue faire du mal à mon ami. J'ai cru mourir sur le coup, et je me suis sentie particulièrement monstrueuse. J'ai fini par en parler à une psychologue, qui m'a rassurée: non, je ne passerai pas à l'acte, si j'étais une tueuse en série potentielle, je ne serais pas devant elle à me mettre dans cet état.
Depuis les crises se sont un peu espacées, mais arrive de temps à autre. Je les redoute en fait, et passe beaucoup de temps à ruminer "pourquoi je pense à ça, qu'est ce qui m'arrive et du coup je vais forcément y penser". Je précise que je vais me marier l'an prochain, et que le fait d'avoir ces pensées est d'autant plus dur pour moi que j'aime sincérement mon ami, et que je ne supporterai pas de vivre sans lui. Je suis quelqu'un de très angoissée, qui a toujours peur qu'il lui arrive quelque chose. Ces peurs ont été renforcées lorsque l'un de mes cousins, dont je suis très proche, a été diagnostiqué d'un cancer, et qu'un de mes collègues est mort de façon brutale à 28 ans (mon ami vient de fêter ses 27 ans).
J'essaye de me convaincre que tout ça est dans ma tête, que je peux m'en sortir. Et je veux m'en sortir. Il y a des moments où tout va bien, ils sont de plus en plus nombreux, et d'autres où c'est plus difficile, parce que j'ai peur de mes pensées. Et systèmatiquement dans ces cas là, une pensée négative va surgir. Comment faire en sorte de ne pas y penser, comment les combattre? Merci pour vos témoignages.
Ah enfin ca fait tellement du bien de savoir que l'on est pas le seul dans ce cas !!! eh bien moi aussi je pense souffrir de ce type de phobies d'impulsions !! J'ai fait un séjour en psychiatrie de 1 mois. j'avais de terribles et même invivables angoisses (sueurs, pleurs, tremblements, repli sur moi-même, je n'osais pas approcher l'objet de mon angoisse) qui me pourrissaient la vie depuis quelques jours, et je ne savais absolument pas ce que c'était !!
J'avais une envie terrible de me suicider, des idées noires, mais au moment de vouloir passer à l'acte, je m'en sentait incapable, et cela m'est arrivé à maintes reprises, c'est là que j'ai compris qu'en fait il s'agissait de pensées obsedantes, qui me terrifié à l'idée qu'elles se réalisent !! Parce que je me disait au fonc de moi non je n'ai envie de mourir !!! Mais ses pensées m'envahissaient le cerveau, et je n'arrivait plus à rien faire, même les choses qui me font plaisir !!! et ce type de pensées se passent même envers autrui, notamment mes parents, surtout ma mère avec qui j'ai une relation trés fusionnelle, je n'ai absolument pas envie de la perdre et je l'adore, mais il y a des moments où j'ai d'un coup l'idée de vouloir la poignarder ou l'étrangler, et j'ai eu trés peur parce que je l'aime tellement !!!
J'ai l'impression que ce séjour en psy, m'a aidé mais n'a fait que le 1/4 du travail, parce que une fois rentrée, j'avais de nouveau ces idées obsedantes, et maintenant surtout envers ma mère, parce que je vis encore avec elle (d'ailleurs, j'ai tellement peur de lui faire du mal que je me dis que la seule solution de ne lui en faire, c'est de me tuer, mais au final est ce que je vx vrmt mourir ?) !! Je prends du Xanax et du zoloft pour calmer tout ça ! Ca fait son effet, bien que je sens que je dois tout de même gérér en gde partie de moi même ces angoisses !!
J'ai consulté un psy, pdt 7 ans, pour des TOCS. Ca m'a aidé, mais bon apparemment pas assez ! du coup je pense changer !!!
J'arrive à gérér plus ou moins à certains moments, même si ca reste trés difficile ! Au moment où je sens arrivé ces idées de vouloir faire du mal, et bien je pense tout de suite à autre chose où je m'occupe, et ca marche !!! Mais ces phobies sont encore existantes, mais juste mises de côté !!!
Alors j'aimerais savoir s'il est possible de guérir de ces phobies, ou seulement apprendre à les gérer ? J'ai peur de souffrir de ça toute ma vie, et de ne pas vivre normalement ! =S
Je pense que c'est aussi une bonne thérapie de parler avec des gens qui rencontrent le même problème, als merci de vos témoignages !
J'avais une envie terrible de me suicider, des idées noires, mais au moment de vouloir passer à l'acte, je m'en sentait incapable, et cela m'est arrivé à maintes reprises, c'est là que j'ai compris qu'en fait il s'agissait de pensées obsedantes, qui me terrifié à l'idée qu'elles se réalisent !! Parce que je me disait au fonc de moi non je n'ai envie de mourir !!! Mais ses pensées m'envahissaient le cerveau, et je n'arrivait plus à rien faire, même les choses qui me font plaisir !!! et ce type de pensées se passent même envers autrui, notamment mes parents, surtout ma mère avec qui j'ai une relation trés fusionnelle, je n'ai absolument pas envie de la perdre et je l'adore, mais il y a des moments où j'ai d'un coup l'idée de vouloir la poignarder ou l'étrangler, et j'ai eu trés peur parce que je l'aime tellement !!!
J'ai l'impression que ce séjour en psy, m'a aidé mais n'a fait que le 1/4 du travail, parce que une fois rentrée, j'avais de nouveau ces idées obsedantes, et maintenant surtout envers ma mère, parce que je vis encore avec elle (d'ailleurs, j'ai tellement peur de lui faire du mal que je me dis que la seule solution de ne lui en faire, c'est de me tuer, mais au final est ce que je vx vrmt mourir ?) !! Je prends du Xanax et du zoloft pour calmer tout ça ! Ca fait son effet, bien que je sens que je dois tout de même gérér en gde partie de moi même ces angoisses !!
J'ai consulté un psy, pdt 7 ans, pour des TOCS. Ca m'a aidé, mais bon apparemment pas assez ! du coup je pense changer !!!
J'arrive à gérér plus ou moins à certains moments, même si ca reste trés difficile ! Au moment où je sens arrivé ces idées de vouloir faire du mal, et bien je pense tout de suite à autre chose où je m'occupe, et ca marche !!! Mais ces phobies sont encore existantes, mais juste mises de côté !!!
Alors j'aimerais savoir s'il est possible de guérir de ces phobies, ou seulement apprendre à les gérer ? J'ai peur de souffrir de ça toute ma vie, et de ne pas vivre normalement ! =S
Je pense que c'est aussi une bonne thérapie de parler avec des gens qui rencontrent le même problème, als merci de vos témoignages !
Je souffre aussi de phobies d'impulsions depuis cet été, le jour de mon anniversaire plus exactement. J'étais comme vous, à me demandez quand est ce que ça finirait. Il y a eu plusieurs "étapes de phobies" :
- Ne pas aimer mon copain mais aimer encore mon ex
- N'être en fait pas hétérosexuelle, mais être homosexuelle
- Être capable de tuer ou de violer mes petits frères.
Certaines, après une thérapies longue avec passage obligé à l'hôpital (car ces phobies entrainaient chez moi une dépression), ont disparu pour ne revenir que partiellement et furtivement ! Mais une est resté et j'ai la phobie (ou pas) qu'elle s'avère être vraie : que je n'aime pas mon copain.
Le pire, après ces pensées, ce sont les tests que je fais constamment, les questions obsédantes découlant de coïncidence qui ne veulent strictement rien dire (exemple : si j'entends le prénom de mon ex, qu'est ce que cela veut dire? ; Si mon copain m'envoie un message et que je ne le voit que 10 minutes après...).
Ces phobies sont terribles et je sais ce que vous vivez mais il ne faut pas perdre espoir et en parler le plus possible.
Par contre, ceux qui ont suivit une thérapie, comment faîtes vous pour contrôler ces angoisses ? Le psychiatre vous a-t-il donner des conseils ? Vous a-t-il dis à quoi c'était dû ? Est ce obligatoirement dû à un "trop" d'amour de nos parents ? Parce que moi je n'ai pas du tout, du tout, cette impression... Et le fait que les phobiques soient décrit comme gentil et pas méchant pour un sous m'étonne : je suis gentille, généreuse et ris ENORMEMENT mais il m'arrive d'avoir des accès de colère et d'être méchante et blessante.
J'ai parlé de ces phobies très tôt à ma famille, mes amies.. ect. Mais cela ne m'as pas suffit, il a fallu démarrer une thérapie avec médicament (Zoloft, et Atarax que j'ai arrêté depuis). Mais je conçois le fait que certaines personnes n'en ai pas besoin.
Je n'ai pas l'habitude d'écrire sur des forums, mais c'est un sujet "trop grave" pour ne pas parler de mon expérience.
Il est vrai que je n'ai que 17 ans, et que la vie est devant moi...
Merci d'avance des réponses que vous pourrez me donner.
- Ne pas aimer mon copain mais aimer encore mon ex
- N'être en fait pas hétérosexuelle, mais être homosexuelle
- Être capable de tuer ou de violer mes petits frères.
Certaines, après une thérapies longue avec passage obligé à l'hôpital (car ces phobies entrainaient chez moi une dépression), ont disparu pour ne revenir que partiellement et furtivement ! Mais une est resté et j'ai la phobie (ou pas) qu'elle s'avère être vraie : que je n'aime pas mon copain.
Le pire, après ces pensées, ce sont les tests que je fais constamment, les questions obsédantes découlant de coïncidence qui ne veulent strictement rien dire (exemple : si j'entends le prénom de mon ex, qu'est ce que cela veut dire? ; Si mon copain m'envoie un message et que je ne le voit que 10 minutes après...).
Ces phobies sont terribles et je sais ce que vous vivez mais il ne faut pas perdre espoir et en parler le plus possible.
Par contre, ceux qui ont suivit une thérapie, comment faîtes vous pour contrôler ces angoisses ? Le psychiatre vous a-t-il donner des conseils ? Vous a-t-il dis à quoi c'était dû ? Est ce obligatoirement dû à un "trop" d'amour de nos parents ? Parce que moi je n'ai pas du tout, du tout, cette impression... Et le fait que les phobiques soient décrit comme gentil et pas méchant pour un sous m'étonne : je suis gentille, généreuse et ris ENORMEMENT mais il m'arrive d'avoir des accès de colère et d'être méchante et blessante.
J'ai parlé de ces phobies très tôt à ma famille, mes amies.. ect. Mais cela ne m'as pas suffit, il a fallu démarrer une thérapie avec médicament (Zoloft, et Atarax que j'ai arrêté depuis). Mais je conçois le fait que certaines personnes n'en ai pas besoin.
Je n'ai pas l'habitude d'écrire sur des forums, mais c'est un sujet "trop grave" pour ne pas parler de mon expérience.
Il est vrai que je n'ai que 17 ans, et que la vie est devant moi...
Merci d'avance des réponses que vous pourrez me donner.
Oufffffffffff ! cela fait du bien de lire ça. Depuis la naissance de mon 2ème, je n'ai que de mauvaises pensées et c'est envers lui. Il est adorable et calme mais j'ai toujours envie de le passer pas la fenêtre ou de le faire tomber... je suis décidée à aller voir un psy car cela me plonge dans une profonde dépression. Je suis quelqu'un de stressé et d'angoissé. Je suis rassurée de savoir que ces troubles portent un nom. Merci à toutes pour vos témoignages !
Juste pour ajouter que ta famille comprenne ton mal être, mais ne peuvent jamais vraiment ressentir ce qu'on a, imagine toi à leur place, c'est compliqué à expliquer aux gens cette maladie bizarre, mais j'ai pris mon courage a deux mains, et j'ai raconté ce calvers. Meme s'ils te comprennent pas forcément, ils t'aiment quand même et je pense qu'ils n'ont pas trop de solutions pour t'aider, à part le psy. En tout cas, il y a des milliers de forums sur les phobies, qui peuvent t'aider pour discuter ave beaucoup de personnes. On est là pour ça. ;)
Moi,j'ai peur de mourir d'une chose subite.
J'ai peur également de me sucider alors que je veux pas.
Par exemple lorsqu'un train passe,je pense aux personnes qui se jetent sous le train,une corde me rappelle la mort par pendaison....ect
Cela est angoissant!!!!!!
Par ce fait,je ne reste jamais seule surtout la nuit et j'aimerais beaucoup m'en sortir car cela dure depuis 15 ans.
Merci
Bises
J'ai peur également de me sucider alors que je veux pas.
Par exemple lorsqu'un train passe,je pense aux personnes qui se jetent sous le train,une corde me rappelle la mort par pendaison....ect
Cela est angoissant!!!!!!
Par ce fait,je ne reste jamais seule surtout la nuit et j'aimerais beaucoup m'en sortir car cela dure depuis 15 ans.
Merci
Bises
Kissou75
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31 janv. 2011 à 03:05
31 janv. 2011 à 03:05
Nous avons tous des angoisses , cela fait du bien d'en parler. En ce moment j'ai des crises de panique et je ne sais pas la raison. Elles surviennent n'importe où à n'importe quel moment. Encore un problème à affronter. --'
Manue,
Ne vous affolez pas car ce ne sont que des pulsions, et qui dit pulsions dit protection.
Car ceux qui se suicident n'ont aucune crainte. Je ne sais pas si vous consultez un psy,
mais si c'est le cas celui-ci a dû vous rassurer à ce sujet.
N'hésitez pas à m'en parler si vous vous en sentez le besoin.
Bisous
Yves
Ne vous affolez pas car ce ne sont que des pulsions, et qui dit pulsions dit protection.
Car ceux qui se suicident n'ont aucune crainte. Je ne sais pas si vous consultez un psy,
mais si c'est le cas celui-ci a dû vous rassurer à ce sujet.
N'hésitez pas à m'en parler si vous vous en sentez le besoin.
Bisous
Yves
On est dans le même cas tous les 2.
J'ai eu une reprise de phobies d'impulsion qui font vachement mal et qui durent depuis près de 3 semaines. Samedi j'ai été voir ma psy qui m'a rassuré en me disant qu'il n'y avait aucun risque de passage à l'acte. Je suis sous anti-dépresseur depuis et il faut attendre que ces composants chimiques fassent leur effet.
Si vous avez besoin de parler n'hésitez surtout pas.
Bises
Yves
J'ai eu une reprise de phobies d'impulsion qui font vachement mal et qui durent depuis près de 3 semaines. Samedi j'ai été voir ma psy qui m'a rassuré en me disant qu'il n'y avait aucun risque de passage à l'acte. Je suis sous anti-dépresseur depuis et il faut attendre que ces composants chimiques fassent leur effet.
Si vous avez besoin de parler n'hésitez surtout pas.
Bises
Yves
bjr je suis nouvelle et jai lu tous les messages!!je souffre de phobies dimpulsion jai tres peur defaire du mal a mz
es deux enfants je vis seul avec mes deux amours je les aimes plus que tout. cette peur a commencer bétement jétais entrain de lire détective un magazine a ne pas lire et je suis tomber sur un article qui parler dune maman qui avait tué sa fille a cout de couteau je me suis mise a pleurer je ne savais pas marreter et depuis jai cette peur le moindre objet dangeureux ou non dailleurs me fait une peur bleu jimagine des scenes de crime c une horreur jen ai mal a lestomac ca me pourris ma vie car jaime mes enfants plus que tout au monde !!ces pensées mhorrifie je vois un psi ca ma f du bien mais ca revient et javoue que défois je ne sais plus quoi faire!!!qd je vois vos declarations ca me rassure un peu ds le faite ou je ne suis pas seul!!pouvez vous me donner des conseils pour éviter ses pensées qui me gache la vie???MERCI DAVANCE
es deux enfants je vis seul avec mes deux amours je les aimes plus que tout. cette peur a commencer bétement jétais entrain de lire détective un magazine a ne pas lire et je suis tomber sur un article qui parler dune maman qui avait tué sa fille a cout de couteau je me suis mise a pleurer je ne savais pas marreter et depuis jai cette peur le moindre objet dangeureux ou non dailleurs me fait une peur bleu jimagine des scenes de crime c une horreur jen ai mal a lestomac ca me pourris ma vie car jaime mes enfants plus que tout au monde !!ces pensées mhorrifie je vois un psi ca ma f du bien mais ca revient et javoue que défois je ne sais plus quoi faire!!!qd je vois vos declarations ca me rassure un peu ds le faite ou je ne suis pas seul!!pouvez vous me donner des conseils pour éviter ses pensées qui me gache la vie???MERCI DAVANCE
begonie
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20 novembre 2024
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8 févr. 2011 à 09:56
8 févr. 2011 à 09:56
Bonjour mélanie.
" je vois un psi ca ma f du bien mais ca revient et javoue que défois je ne sais plus quoi faire!!! "
Comme tu vois un(e) psy, pose la question directement lors de ton prochain entretien.
Sa réponse tiendra compte de ton état général et de ta situation en particulier.
" je vois un psi ca ma f du bien mais ca revient et javoue que défois je ne sais plus quoi faire!!! "
Comme tu vois un(e) psy, pose la question directement lors de ton prochain entretien.
Sa réponse tiendra compte de ton état général et de ta situation en particulier.
Merci encore de vos messages, ça m'a vraiment fais du bien de voir que je ne suis pas la seule :)
Depuis que j'ai lu ça, sachez que je me sens beaucoup mieux , j'arrive à me dire que tout ça , c'est seulement mes pensées mais que cela ne sert à rien de s'apitoyer dessus :)
J'y pense encore mais beaucoup moins, espérons qu'elles disparaissent un jour ou l'autre ces Salopes !
Encre merci :)
Depuis que j'ai lu ça, sachez que je me sens beaucoup mieux , j'arrive à me dire que tout ça , c'est seulement mes pensées mais que cela ne sert à rien de s'apitoyer dessus :)
J'y pense encore mais beaucoup moins, espérons qu'elles disparaissent un jour ou l'autre ces Salopes !
Encre merci :)
Bonjour à tous,
Je viens de lire tous vos posts avec intérêt et me suis reconnue dans beaucoup de témoignages...
Je ne savais pas ce que j'avais jusque la, mais les phobies d'impulsion décrivent parfaitement ce que je vis. Je suis également soulagée de ne pas être seule à vivre ça (même si je ne le souhaite à personne), car je me trouvais vraiment monstrueuse et seule...
Pour moi, tout a commencé il y a environ 5 ans, j'ai fait un rêve dans lequel j'embrassais un ami alors que j'ai un copain depuis 10 ans que j'aime plus que tout et que je n'ai jamais eu d'arrière pensée avec cet ami.
Au réveil, je me suis sentie coupable, j'avais l'impression d'avoir trahi mon copain, je ne pouvais m'arrêter d'y penser, je me dégoutais...
Ce sentiment a évolué vers une phobie de tromper mon copain avec n'importe qui, c'était inévitable même si je ne le voulais pas et que ça me faisait souffrir.
Puis, ça a évolué vers autre chose, comme si un "démon" en moi me poussait à avoir d'horribles pensées. A ce moment là, les "sales trucs" comme je les appelle me poussaient à croire que je n'aimais plus mon chéri (alors que je l'aime plus que tout, je pourrais mourir pour lui). J'ai été jusqu'à lui dire que je ne l'aimais plus et que je le quittais, mais il savait ce que je vivais car je me suis toujours confiée à lui et ça m'a beaucoup aidée. J'ai fait de nombreuses crises, pendant les pires je ne vivais plus dans la réalité et voyait tout comme dans un rêve ou plutôt un cauchemar... je devenais folle... J'ai pensé plusieurs fois à me faire interner.
Après une période de "rémission", ça a encore évolué vers la peur qu'il arrive quelque chose à mon copain, je le voyais mort, en sang après un accident ou autre, c'était horrible je m'infligeais les pires images au monde pour moi, c'était insupportable mais je continuais à me torturer.
C'est seulement après cette étape que mes phobies m'ont impliqué dans la mort de mon copain, comme si c'était moi qui allait lui faire du mal avec un couteau. Je me voyais le poignarder ou l'égorger et ça m'a procuré les pires souffrances de ma vie. Pendant les crises, j'avais l'impression que j'allais vraiment le faire, j'y étais poussée et ça m'a fait tellement peur que j'ai jeté tous mes couteaux pointus. Je ne peux pas m'en acheter alors que j'adore cuisiner et j'en aurais besoin mais ça me fait trop peur. Quand les crises arrivaient, j'essayais de me calmer en me disant que si je sentais que ça allait arriver, je me planterais le couteau dans le ventre pour tout arrêter, plutôt le suicide que le meurtre d'un être si cher !
Aujourd'hui, ça va un peu mieux, je suis une thérapie depuis un an qui m'a fait comprendre beaucoup de choses (enfance difficile, suicide du père, beau-père violent, mère malade, culpabilité, manque de confiance, de reconnaissance, de repères...). Mais il n'empêche que parfois ça revient un peu et que j'ai vraiment très peur de refaire ces crises horribles, je crois que je ne supporterais pas...
Dans ces cas là, je me dis ou je me fais interner ou je me suicide...
Je suis également sous antidépresseurs, ça m'aide un peu car je suis très dépressive et parfois je prends du xanax si besoin.
Désolée pour la longueur de mon post, je tenais à expliquer la naissance de cette phobie chez moi, peut-être que ça parlera à certaines personnes. Je suis en larmes, c'est très dur d'en parler mais ça fait du bien j'ai tellement d'autres choses à dire mais je les réserve pour un autre post car la ça devient abusé !
Merci en tout cas d'avoir pris le temps de me lire et de me répondre si vous le souhaitez, je communiquerais avec plaisir avec tous ceux qui ont cette maladie.
Courage, nous vaincrons !
Je viens de lire tous vos posts avec intérêt et me suis reconnue dans beaucoup de témoignages...
Je ne savais pas ce que j'avais jusque la, mais les phobies d'impulsion décrivent parfaitement ce que je vis. Je suis également soulagée de ne pas être seule à vivre ça (même si je ne le souhaite à personne), car je me trouvais vraiment monstrueuse et seule...
Pour moi, tout a commencé il y a environ 5 ans, j'ai fait un rêve dans lequel j'embrassais un ami alors que j'ai un copain depuis 10 ans que j'aime plus que tout et que je n'ai jamais eu d'arrière pensée avec cet ami.
Au réveil, je me suis sentie coupable, j'avais l'impression d'avoir trahi mon copain, je ne pouvais m'arrêter d'y penser, je me dégoutais...
Ce sentiment a évolué vers une phobie de tromper mon copain avec n'importe qui, c'était inévitable même si je ne le voulais pas et que ça me faisait souffrir.
Puis, ça a évolué vers autre chose, comme si un "démon" en moi me poussait à avoir d'horribles pensées. A ce moment là, les "sales trucs" comme je les appelle me poussaient à croire que je n'aimais plus mon chéri (alors que je l'aime plus que tout, je pourrais mourir pour lui). J'ai été jusqu'à lui dire que je ne l'aimais plus et que je le quittais, mais il savait ce que je vivais car je me suis toujours confiée à lui et ça m'a beaucoup aidée. J'ai fait de nombreuses crises, pendant les pires je ne vivais plus dans la réalité et voyait tout comme dans un rêve ou plutôt un cauchemar... je devenais folle... J'ai pensé plusieurs fois à me faire interner.
Après une période de "rémission", ça a encore évolué vers la peur qu'il arrive quelque chose à mon copain, je le voyais mort, en sang après un accident ou autre, c'était horrible je m'infligeais les pires images au monde pour moi, c'était insupportable mais je continuais à me torturer.
C'est seulement après cette étape que mes phobies m'ont impliqué dans la mort de mon copain, comme si c'était moi qui allait lui faire du mal avec un couteau. Je me voyais le poignarder ou l'égorger et ça m'a procuré les pires souffrances de ma vie. Pendant les crises, j'avais l'impression que j'allais vraiment le faire, j'y étais poussée et ça m'a fait tellement peur que j'ai jeté tous mes couteaux pointus. Je ne peux pas m'en acheter alors que j'adore cuisiner et j'en aurais besoin mais ça me fait trop peur. Quand les crises arrivaient, j'essayais de me calmer en me disant que si je sentais que ça allait arriver, je me planterais le couteau dans le ventre pour tout arrêter, plutôt le suicide que le meurtre d'un être si cher !
Aujourd'hui, ça va un peu mieux, je suis une thérapie depuis un an qui m'a fait comprendre beaucoup de choses (enfance difficile, suicide du père, beau-père violent, mère malade, culpabilité, manque de confiance, de reconnaissance, de repères...). Mais il n'empêche que parfois ça revient un peu et que j'ai vraiment très peur de refaire ces crises horribles, je crois que je ne supporterais pas...
Dans ces cas là, je me dis ou je me fais interner ou je me suicide...
Je suis également sous antidépresseurs, ça m'aide un peu car je suis très dépressive et parfois je prends du xanax si besoin.
Désolée pour la longueur de mon post, je tenais à expliquer la naissance de cette phobie chez moi, peut-être que ça parlera à certaines personnes. Je suis en larmes, c'est très dur d'en parler mais ça fait du bien j'ai tellement d'autres choses à dire mais je les réserve pour un autre post car la ça devient abusé !
Merci en tout cas d'avoir pris le temps de me lire et de me répondre si vous le souhaitez, je communiquerais avec plaisir avec tous ceux qui ont cette maladie.
Courage, nous vaincrons !
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29 nov. 2011 à 04:52
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Bonjour Yessi
" je suis une thérapie depuis un an qui m'a fait comprendre beaucoup de choses "
Tu as bien fait de consulter et d'accepter une thérapie.
Continu celle-ci et ose appeler ton thérapeute en cas de "crises".
Bonne continuation vers un mieux-être tout en acceptant le temps que cela prend, normalement.
" je suis une thérapie depuis un an qui m'a fait comprendre beaucoup de choses "
Tu as bien fait de consulter et d'accepter une thérapie.
Continu celle-ci et ose appeler ton thérapeute en cas de "crises".
Bonne continuation vers un mieux-être tout en acceptant le temps que cela prend, normalement.
hubert75
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Modifié par hubert75 le 25/10/2012 à 15:34
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j'ai des phobies d'impulsion depuis un an et demi c'est arrivé une nuit en me réveillant avec la pensée de tuer mon fils que j'aime plus que tout au monde.
Je me suis rendu chez mon médecin traitant qui m'a dirigé vers les urgences.
Depuis je suis suivi par un psychiatre qui me donne divers antidépresseurs.
Mais qui ne sont pas forcément efficace.J'ai essayé la sophrologie, la chiropractie, le neurofeedback. Tout ça sans grands effets. Je suis suivi par un trés bon psychologue qui me fait faire de l'EMDR et j'entame prochainement de la TCC.
Je pratique également la méditation qui m'aide bien. Les symptomes de cette maladie sont tellement aberrants comment de telles idées peuvent survenir que j'ai cru etre ensorcelé voir meme possédé mais tout celà vient du mental qui ne cesse de créer des pensées continuelles et pour nous obssessionnels celà fait partie des TOC. Pour le moment le plus efficace pour moi a été de trouver un bon psychologue. J'ai également lu 2 livres intéresants sur le fonctionnement du cerveau qui aident à comprendre les mécanismes du cerveau puisque dans les toc
c'est dixit les psychiatres et psychologues la sérotonine substance dans le cerveau qui connait un dysfonctionnement.Voilà bonne continuation à tous et à toutes.
Je me suis rendu chez mon médecin traitant qui m'a dirigé vers les urgences.
Depuis je suis suivi par un psychiatre qui me donne divers antidépresseurs.
Mais qui ne sont pas forcément efficace.J'ai essayé la sophrologie, la chiropractie, le neurofeedback. Tout ça sans grands effets. Je suis suivi par un trés bon psychologue qui me fait faire de l'EMDR et j'entame prochainement de la TCC.
Je pratique également la méditation qui m'aide bien. Les symptomes de cette maladie sont tellement aberrants comment de telles idées peuvent survenir que j'ai cru etre ensorcelé voir meme possédé mais tout celà vient du mental qui ne cesse de créer des pensées continuelles et pour nous obssessionnels celà fait partie des TOC. Pour le moment le plus efficace pour moi a été de trouver un bon psychologue. J'ai également lu 2 livres intéresants sur le fonctionnement du cerveau qui aident à comprendre les mécanismes du cerveau puisque dans les toc
c'est dixit les psychiatres et psychologues la sérotonine substance dans le cerveau qui connait un dysfonctionnement.Voilà bonne continuation à tous et à toutes.
Bonjour,
Pour ma part mes angoisses ont commencé qd j'avais 7 ans. Peur d'être empoissonnée, peur de mourir pendant la nuit, peur des microbes jusqu'à ne plus pvr aller à la cantine ou même à l'école. Des phobies d'impulsion sont apparu à la même époque, je me fixais une idée en tête et la transfomait en angoisse. J'étais sûre que si je tirait ma langue vers l'arrière ou si je m'arrêtais volontairement de respirer je mourrais. Alors j'étais en combat quotidien avec mon inconscient pour ne pas le faire. Jusqu'à ce qu'on me dise que ce n'était pas possible.
Plus je grandissais plus ces phobies se développaient et survenaient en periode de stresse, quand je passais une etape dans ma vie ( brevet, bac, fac), pdt les périodes joyeuses (Noël, aniversaires..) et defaçon de plus en plus intense. Peur de mourir d'une maladie, peur de me tuer, des couteaux, des cordes, être seule aec moi- même. Puis peur de tuer mes parents, de devenir cannibale, de m'égorger et j'en passe. première depresion et 14 ans avec 10 jours de repos à l'hosto. Puis rebelote il ya 3 mois, depression avec 1 mois dans une clinique specialisée dans la psychologie ( non, pas un HP). Ca n'aservi à pas grand chose. Perdition totale dans ma vie, peur insupportable tous les matins de me jeter sur les raisl comme si on m'y poussait. Peut de faire du mal aux gens, ma famille etc. de m'arracher un oeil et j'en passe. Voilà la vie que je mène depuis 13 ans. Et pourtant je suis ne jeune fille comm tout le monde mais qui n'a jamais pu être aidé. Je me demande ce que j'ai.
Pour ma part mes angoisses ont commencé qd j'avais 7 ans. Peur d'être empoissonnée, peur de mourir pendant la nuit, peur des microbes jusqu'à ne plus pvr aller à la cantine ou même à l'école. Des phobies d'impulsion sont apparu à la même époque, je me fixais une idée en tête et la transfomait en angoisse. J'étais sûre que si je tirait ma langue vers l'arrière ou si je m'arrêtais volontairement de respirer je mourrais. Alors j'étais en combat quotidien avec mon inconscient pour ne pas le faire. Jusqu'à ce qu'on me dise que ce n'était pas possible.
Plus je grandissais plus ces phobies se développaient et survenaient en periode de stresse, quand je passais une etape dans ma vie ( brevet, bac, fac), pdt les périodes joyeuses (Noël, aniversaires..) et defaçon de plus en plus intense. Peur de mourir d'une maladie, peur de me tuer, des couteaux, des cordes, être seule aec moi- même. Puis peur de tuer mes parents, de devenir cannibale, de m'égorger et j'en passe. première depresion et 14 ans avec 10 jours de repos à l'hosto. Puis rebelote il ya 3 mois, depression avec 1 mois dans une clinique specialisée dans la psychologie ( non, pas un HP). Ca n'aservi à pas grand chose. Perdition totale dans ma vie, peur insupportable tous les matins de me jeter sur les raisl comme si on m'y poussait. Peut de faire du mal aux gens, ma famille etc. de m'arracher un oeil et j'en passe. Voilà la vie que je mène depuis 13 ans. Et pourtant je suis ne jeune fille comm tout le monde mais qui n'a jamais pu être aidé. Je me demande ce que j'ai.
Oui j'ai consulté pas mal de forum là-dessus. C'est bien le premier sur lequel des gens me répondent des choses pertinentes et motivantes. Un peu marre des questions en provenance de curieux qui me montrent bien que c'est bizarre ce que j'ai.
Merci pour vos réponses, ce que vous me dîtes ce n'est pas des choses que j'apprend mais ça fait toujours du bien de l'entendre de la part des autres.
Je suis dans la fase coriace durant laquelle je peux essayer de me convaincre mais je n'y arrive que lorsque je me sens vraiment apaisée ou que quelque chose me rend heureuse. En ce moment c'est rare puisque je suis en depression depuis des mois. Désolé de vous infligé mes démons cmme ça:-(
Le psychiatre m'a represcrit des médocs, je les arrêterai quand je me sentirais mieux, mais en attendant ça me rassure et aujourd'hui j'ai prit les transports sans trop de déboire. Donc je suis plutôt "content".
Je sais que j'aime mes parents, j'en ai jamais douté, à tel point que j'ai certainement une peur profonde de vivre sans eux, d'où peut-être mon envie affreuse de partir pour me détacher de cette dépendance. Je ne sais pas.
J'en ai déjà parlé à des amies dans ma vie. La première m'a envoyé des message atroces à la première disputes du genre " retourne dans ton asile de fou" juste avant de le répéter aux personnes qui allaient, forcément , faire de ce secret une déclaration publique. Et la seconde, jalouse de moi sans que je sache pourquoi, n'a rien trouvé de mieux à faire, le jour où elle a décidé qu'elle avait envi de trouver d'autres amis, que d em'envoyer des messages , frôlant le harcelement, où elle me poussait à me suicider , me rabacher que gt folle et que je n'avais pas d'amis. Je précise à tous que j'ai jamais été folle, que j'ai toujours eu des potes, que quand je suis heureuse je suis une pile éléctrique et que je n'ai rien de pitoyable comme cette anan a voulu me le faire croire. Voilà... tout ça pour dire qu'en parler pour moi.... c'est un second calvaire.
Merci pour vos réponses, ce que vous me dîtes ce n'est pas des choses que j'apprend mais ça fait toujours du bien de l'entendre de la part des autres.
Je suis dans la fase coriace durant laquelle je peux essayer de me convaincre mais je n'y arrive que lorsque je me sens vraiment apaisée ou que quelque chose me rend heureuse. En ce moment c'est rare puisque je suis en depression depuis des mois. Désolé de vous infligé mes démons cmme ça:-(
Le psychiatre m'a represcrit des médocs, je les arrêterai quand je me sentirais mieux, mais en attendant ça me rassure et aujourd'hui j'ai prit les transports sans trop de déboire. Donc je suis plutôt "content".
Je sais que j'aime mes parents, j'en ai jamais douté, à tel point que j'ai certainement une peur profonde de vivre sans eux, d'où peut-être mon envie affreuse de partir pour me détacher de cette dépendance. Je ne sais pas.
J'en ai déjà parlé à des amies dans ma vie. La première m'a envoyé des message atroces à la première disputes du genre " retourne dans ton asile de fou" juste avant de le répéter aux personnes qui allaient, forcément , faire de ce secret une déclaration publique. Et la seconde, jalouse de moi sans que je sache pourquoi, n'a rien trouvé de mieux à faire, le jour où elle a décidé qu'elle avait envi de trouver d'autres amis, que d em'envoyer des messages , frôlant le harcelement, où elle me poussait à me suicider , me rabacher que gt folle et que je n'avais pas d'amis. Je précise à tous que j'ai jamais été folle, que j'ai toujours eu des potes, que quand je suis heureuse je suis une pile éléctrique et que je n'ai rien de pitoyable comme cette anan a voulu me le faire croire. Voilà... tout ça pour dire qu'en parler pour moi.... c'est un second calvaire.
La folie n'appartient qu'à ceux qui la profère. Ce que je veux dire par là ce sont vos stresseurs qui ont besoin de se faire soigner et non vous. Moi aussi je suis phobique d'impulsions et je ne me sens pas du tout fou. Car je me soigne grâce à une psy, je suis sous anti-dépresseurs et me sens tout à fait normal.
Bisous à vous et ne vous en faites pas.
Restez forte.
Bisous à vous et ne vous en faites pas.
Restez forte.
rectification " contente"
Bonsoir,
Tout d'abord, tu peux être fière de toi. Je suis contente pour toi, car tu as fait un progrès, même si , à tes yeux, c'est completement ridicule. Moi, c'est comme ça que j'ai réussi à m'en sortir aussi, quand j'arrivai de temps en temps à oublier ses angoisses, je me disais " C'est bien aujourd'hui t'as fait des progrès, un pas de plus vers la guérison ". Donc c'est génial que tu commences à avoir des moments de "bonheur" :)
Quant à tes " amies " , c'est vraiment choquant, je n'ai jamais vu ça. La première, sa réaction peut être "normale" car, comme je te disais, il faut accepter le fait que cette maladie est mal vue et incompréhensible aux yeux des gens, mais bon, quand on a de vraies amies, normalement elles ne réagissent pas comme ça, c'est pas plus mal que tu ne sois plus amie avce elle, crois moi, tu vaux beaucoup mieux. Quand à l'autre, elle est complètement folle, c'est vraiment elle qui devrait aller en psychatrie, des filles comme elles devraient se faire sérieusement soigner ! A mon avis, c'est surtout qu'elle est ou était immature , mais bon surtout folle !
Zap les gens qui te barrent la route, tu rencontreras toujours quelqu'un sur ton chemin qui sera sincère, fidèle, et qui sera là pour toi, voir même un homme ( si tu n'as pas de petit copain), Qui sait ?
Il faut positiver, se dire que la vie est courte, et au lieu de s'embêter avec ces idées horribles, il faut les enlever de son cerveau et profiter de sa vie. C'est toi qui s'inflige ce mal, donc il n'y a que toi qui peut les supprimer. Un jour aussi, je me suis dis " Mais pourquoi je m'inflige ce mal alors que j'ai une vie assez cool avec des problèmes comme tout le monde, alors pourquoi je m'invente ces problèmes inutiles qui s'ajoutent à ceux de la vie quotidienne, ces angoisses qui me pourissent la vie, alors que c'est juste une simple idée pourrie qui m'a traversé l'esprit un jour. " J'ai donc réalisé que j'avais du mal à m'assumer, je me faisais uen image de moi devant les copines, alors que ce n'était moi, je n'osais jamais dire la vérité aux gens et surtout dire "non", un grand manque de confiance en moi. Je me suis donc vraiment repris en main, j'ai changé assez rapidemment, et je me suis rendue compte que les phobies disparaissaient, je profitais pleinement de ma vie :) ( bien sur, entre deux, j'ai eu des discussions avec mes parents, tout ça, quand je leur ai avoué mes phobies etc), puis j'ai vu des gens sur internet qui arrivaient à s'en sortir, ce qui m'a donné encore plus de courage. Bref, en conclusion, on est pas des fous, on est tous pareils, et tout a une solution.
Tout d'abord, tu peux être fière de toi. Je suis contente pour toi, car tu as fait un progrès, même si , à tes yeux, c'est completement ridicule. Moi, c'est comme ça que j'ai réussi à m'en sortir aussi, quand j'arrivai de temps en temps à oublier ses angoisses, je me disais " C'est bien aujourd'hui t'as fait des progrès, un pas de plus vers la guérison ". Donc c'est génial que tu commences à avoir des moments de "bonheur" :)
Quant à tes " amies " , c'est vraiment choquant, je n'ai jamais vu ça. La première, sa réaction peut être "normale" car, comme je te disais, il faut accepter le fait que cette maladie est mal vue et incompréhensible aux yeux des gens, mais bon, quand on a de vraies amies, normalement elles ne réagissent pas comme ça, c'est pas plus mal que tu ne sois plus amie avce elle, crois moi, tu vaux beaucoup mieux. Quand à l'autre, elle est complètement folle, c'est vraiment elle qui devrait aller en psychatrie, des filles comme elles devraient se faire sérieusement soigner ! A mon avis, c'est surtout qu'elle est ou était immature , mais bon surtout folle !
Zap les gens qui te barrent la route, tu rencontreras toujours quelqu'un sur ton chemin qui sera sincère, fidèle, et qui sera là pour toi, voir même un homme ( si tu n'as pas de petit copain), Qui sait ?
Il faut positiver, se dire que la vie est courte, et au lieu de s'embêter avec ces idées horribles, il faut les enlever de son cerveau et profiter de sa vie. C'est toi qui s'inflige ce mal, donc il n'y a que toi qui peut les supprimer. Un jour aussi, je me suis dis " Mais pourquoi je m'inflige ce mal alors que j'ai une vie assez cool avec des problèmes comme tout le monde, alors pourquoi je m'invente ces problèmes inutiles qui s'ajoutent à ceux de la vie quotidienne, ces angoisses qui me pourissent la vie, alors que c'est juste une simple idée pourrie qui m'a traversé l'esprit un jour. " J'ai donc réalisé que j'avais du mal à m'assumer, je me faisais uen image de moi devant les copines, alors que ce n'était moi, je n'osais jamais dire la vérité aux gens et surtout dire "non", un grand manque de confiance en moi. Je me suis donc vraiment repris en main, j'ai changé assez rapidemment, et je me suis rendue compte que les phobies disparaissaient, je profitais pleinement de ma vie :) ( bien sur, entre deux, j'ai eu des discussions avec mes parents, tout ça, quand je leur ai avoué mes phobies etc), puis j'ai vu des gens sur internet qui arrivaient à s'en sortir, ce qui m'a donné encore plus de courage. Bref, en conclusion, on est pas des fous, on est tous pareils, et tout a une solution.
gentilmoi
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10 avril 2010
9 avril 2010 à 15:29
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Brj à vous tous
je viens de lire tous vos messages et ca fait chaud au coeur de voir que l'on est pas seule au monde (même si on le croit)
j'ai eu il y 5 ans à la naissance de fille, une déprime post partum d'oublée d'une phobie d'impulsion (peur de la violée et de devenir pédophille)
cela faisait 1 an ou je n'avais plus peur du tout et je ne prenais plus rien j'en avais meme oublié que j'avais eu peur un jour
la semaine dernière j'amène avec l'école de ma fille, les enfants à la piscine et là hop dans le vestiaire des garcons, j'ai eu de nouveau trés peur, car j'ai regardé le zizi d'un petit en me disant qu'il était plus gros que celui de son copain (mais sans aucune arrière pensée), puis c passé mais le samedi, j'y ai repensé et là hop, grosse crise d'angoisse, tremblement, peur, je ne peux plus dormir, car je pense que je vais lui faire du mal, le violé ou je ne sais quoi d'autre, et ca m'a fait repenser à toutes ma souffrance passée
je suis allée voir mon psy hier, et franchement il ne m'a pas forcément rassurée, car pour lui c ce que j'ai déjà eu
mon problème c que j'ai eu une enfance normale, avec ces parents normaux , je n'ai jamais été violée
moi je pense que j'ai peur que l'on fasse du mal à ma fille alors c moi qui pense tout ca
je souffre terriblement et j'ai peur de retomber dans la déprime et de ne plus être comme avant alors que la semaine dernière tout allait bien
je suis démoralisée
meric de m'avoir lue
je viens de lire tous vos messages et ca fait chaud au coeur de voir que l'on est pas seule au monde (même si on le croit)
j'ai eu il y 5 ans à la naissance de fille, une déprime post partum d'oublée d'une phobie d'impulsion (peur de la violée et de devenir pédophille)
cela faisait 1 an ou je n'avais plus peur du tout et je ne prenais plus rien j'en avais meme oublié que j'avais eu peur un jour
la semaine dernière j'amène avec l'école de ma fille, les enfants à la piscine et là hop dans le vestiaire des garcons, j'ai eu de nouveau trés peur, car j'ai regardé le zizi d'un petit en me disant qu'il était plus gros que celui de son copain (mais sans aucune arrière pensée), puis c passé mais le samedi, j'y ai repensé et là hop, grosse crise d'angoisse, tremblement, peur, je ne peux plus dormir, car je pense que je vais lui faire du mal, le violé ou je ne sais quoi d'autre, et ca m'a fait repenser à toutes ma souffrance passée
je suis allée voir mon psy hier, et franchement il ne m'a pas forcément rassurée, car pour lui c ce que j'ai déjà eu
mon problème c que j'ai eu une enfance normale, avec ces parents normaux , je n'ai jamais été violée
moi je pense que j'ai peur que l'on fasse du mal à ma fille alors c moi qui pense tout ca
je souffre terriblement et j'ai peur de retomber dans la déprime et de ne plus être comme avant alors que la semaine dernière tout allait bien
je suis démoralisée
meric de m'avoir lue
Bonjour gentilToi!
On ne peut en aucun cas s'assurer les uns les autres que nous avons exactement la même chose , à savoir ces fameuses phobies d'impulsions. On ne peut que discuter, comparer, et constater que nos symptômes sont les mêmes ou non. Je ne vais donc pas affirmer ou infirmer que vous allez agir ou non puisque je ne suis pas psy.
Cependant, une chose est sûre, nous sommes tous réunis sur ce site parce qu'on a des images dans la têtes et qu'elles nous font souffrir. Si nous étions des tueurs, violeurs, agresseurs et pervers en tout genre, je pense que nous n'irions pas chercher de l'aide auprès des autres afin de nous oter ces angoisses de l'esprit. Non, nous aurions probablement déjà agit et j'irais même plus loin, nous ne nous poserions même pas la question. En effet, si l'envie de violer, d'étrangler ou autre nous possedait véritablement, je parle du véritable désir, cela ne nous paraitrait pas absurde et honteux mais éventuellement faisable. Vous me suivez?
Ce que j'essaye de dire c'est que nous n'arrivons pas à comprendre pourquoi nous pensons des horreurs pareille parce que nous avons des valeurs, et même une humanité, un respect et un coeur tels que nous ne supportons pas l'idée de pouvoir faire tout ça un jour. On a beau nous répéter que tout ça n'est que psychologique, que ce ne sont que des images, des tocs, des angoisses, de L'ABSTRAIT, il n'y a rien à faire nous avons peur de NOUS MEME. Je suis en pleine thérapie en ce moment et j'ai du reprendre mon traitement comme vous le savez parce que mes angoisses reprenaient le dessus ( oui moi aussi ça s'en va et ça revient et c'est PAS DU TOUT fait de petits riens). J'ai vu mon psychiatre hier et nous avons éclairci quelque chose que mon esprit a tendance à ne pas admettre: mes médicaments ne sont pas là pour m'empêcher de passer à l'acte mais pour apaiser mon esprit qui est sous tension.
Il y a donc une raison , gentilmoi, et vous autres, qui provoque ces images obsedantes qui nous mènent à croire que nous ne nous connaissons pas. Il y a même souvent plusieurs raisons. Pour ma part l'une des pistes que nous avons trouvée depuis des années c'est celle de ma relation avec mes parents qui, sans le vouloir, m'empêchent de grandir. J'ai peur de grandir, j'ai envi mais on me coupe l'herbe sous le pied. Maintenant il faut creuser touuuuuut le reste. Alors croyez-moi, essayez de vous concentrer sur tout ces gens comme vous et moi qui nous pourrissons la vie pour des choses qui n'existent pas et qui arrivent dans la tête de tout le monde un jour ou l'autre plus ou moins furtivement et brièvement.
Pour les enfants, j'ai très peur moi aussi de tout ça parce qu'ils sont fragiles, trop fragiles et ça me fait une peur bleue, je suis partagée entre la hâte folle d'être maman et la peur de l'être pour ces même raisons. Les enfants me mettent mal à l'aise et j'ai beaucoup de mal avec la nudité des petits justement pour ce que vous venez de citer. Et pourtant je n'ai jamais fait de mal à une mouche. Faites vous suivre, trouvez le pk du comment parce quil existe LUI et surtout préservez vos relations avec les gens qui sont là pour vous parce qu'on a beau dire tout ça est dur à vivre. Bonne journée à tous!
Ps: gentilmoi, réfléchissez bien, concentrez vous, imaginez vous vraiment en train de faire ce que vous dites, le viol et tout ça. Vous viens til du désir? Une envie, un souhait de découverte, une exitation? Ou bien vous fermez fort les paupières et le mal de ventre vous viens parce que ça vous révolte intérieurement , vous dégoûte de vous imaginer ainsi et vous voulez vite chasser ça de votre tête au plus vite ? Si c'est la deuxième solution, alors je vous assure , vous aimez votre fille et vous avez peur pour elle, comme n'importe quels parents sur cette terre.
On ne peut en aucun cas s'assurer les uns les autres que nous avons exactement la même chose , à savoir ces fameuses phobies d'impulsions. On ne peut que discuter, comparer, et constater que nos symptômes sont les mêmes ou non. Je ne vais donc pas affirmer ou infirmer que vous allez agir ou non puisque je ne suis pas psy.
Cependant, une chose est sûre, nous sommes tous réunis sur ce site parce qu'on a des images dans la têtes et qu'elles nous font souffrir. Si nous étions des tueurs, violeurs, agresseurs et pervers en tout genre, je pense que nous n'irions pas chercher de l'aide auprès des autres afin de nous oter ces angoisses de l'esprit. Non, nous aurions probablement déjà agit et j'irais même plus loin, nous ne nous poserions même pas la question. En effet, si l'envie de violer, d'étrangler ou autre nous possedait véritablement, je parle du véritable désir, cela ne nous paraitrait pas absurde et honteux mais éventuellement faisable. Vous me suivez?
Ce que j'essaye de dire c'est que nous n'arrivons pas à comprendre pourquoi nous pensons des horreurs pareille parce que nous avons des valeurs, et même une humanité, un respect et un coeur tels que nous ne supportons pas l'idée de pouvoir faire tout ça un jour. On a beau nous répéter que tout ça n'est que psychologique, que ce ne sont que des images, des tocs, des angoisses, de L'ABSTRAIT, il n'y a rien à faire nous avons peur de NOUS MEME. Je suis en pleine thérapie en ce moment et j'ai du reprendre mon traitement comme vous le savez parce que mes angoisses reprenaient le dessus ( oui moi aussi ça s'en va et ça revient et c'est PAS DU TOUT fait de petits riens). J'ai vu mon psychiatre hier et nous avons éclairci quelque chose que mon esprit a tendance à ne pas admettre: mes médicaments ne sont pas là pour m'empêcher de passer à l'acte mais pour apaiser mon esprit qui est sous tension.
Il y a donc une raison , gentilmoi, et vous autres, qui provoque ces images obsedantes qui nous mènent à croire que nous ne nous connaissons pas. Il y a même souvent plusieurs raisons. Pour ma part l'une des pistes que nous avons trouvée depuis des années c'est celle de ma relation avec mes parents qui, sans le vouloir, m'empêchent de grandir. J'ai peur de grandir, j'ai envi mais on me coupe l'herbe sous le pied. Maintenant il faut creuser touuuuuut le reste. Alors croyez-moi, essayez de vous concentrer sur tout ces gens comme vous et moi qui nous pourrissons la vie pour des choses qui n'existent pas et qui arrivent dans la tête de tout le monde un jour ou l'autre plus ou moins furtivement et brièvement.
Pour les enfants, j'ai très peur moi aussi de tout ça parce qu'ils sont fragiles, trop fragiles et ça me fait une peur bleue, je suis partagée entre la hâte folle d'être maman et la peur de l'être pour ces même raisons. Les enfants me mettent mal à l'aise et j'ai beaucoup de mal avec la nudité des petits justement pour ce que vous venez de citer. Et pourtant je n'ai jamais fait de mal à une mouche. Faites vous suivre, trouvez le pk du comment parce quil existe LUI et surtout préservez vos relations avec les gens qui sont là pour vous parce qu'on a beau dire tout ça est dur à vivre. Bonne journée à tous!
Ps: gentilmoi, réfléchissez bien, concentrez vous, imaginez vous vraiment en train de faire ce que vous dites, le viol et tout ça. Vous viens til du désir? Une envie, un souhait de découverte, une exitation? Ou bien vous fermez fort les paupières et le mal de ventre vous viens parce que ça vous révolte intérieurement , vous dégoûte de vous imaginer ainsi et vous voulez vite chasser ça de votre tête au plus vite ? Si c'est la deuxième solution, alors je vous assure , vous aimez votre fille et vous avez peur pour elle, comme n'importe quels parents sur cette terre.
Je vais aussi ajouter un truc. J'avais beaucoup de mal avec les enfants et j'ai encore peur de certaines choses que vous avez cité. Vous savez ce que je vais faire dans 1h ? Donner mes cours de hip hop à des puces de 7 à 11 ans. Je vous assure que je les adore et jamais je n'ai eu ce genre de pensées à leur égard. Pourquoi elles specialement ? Parce qu'avec elles je suis dans mon élément, la danse, une salle de danse, le lieu où je vide mon esprit, où je destresse. Tout ce qui est dans ma tête c'est leur gala de fin d'année et leur sourire quan elles réussisent. Bizzarement tout de suite, je redeviens une chic fille, la bad girl qui survient ds ma tête quand j'ai peur est loin très loin. La magie n'existe pas, je ne suis qu'une seule et même personne au fond de moi je sais laquelle des deux je suis ^^
gentilmoi
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10 avril 2010
9 avril 2010 à 16:19
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merci ca28di
biensur que c la second solution, car rien que de penser que je pourrai être excitée, ne me vient pas à l'esprit car ca me dégoute tellement que l'on puisse faire du mal à un enfant que mes pensées me font souffir
j'adore les enfants et les enfants m'adorent aussi
je suis quelqu'un de trés gentille qui ne ferais jamais de mal
surtout qu'un enfant c notre sang notre tout, je donnerais ma vie pour elle
merci de m'avoir lu et de m'avoir répondu
biensur que c la second solution, car rien que de penser que je pourrai être excitée, ne me vient pas à l'esprit car ca me dégoute tellement que l'on puisse faire du mal à un enfant que mes pensées me font souffir
j'adore les enfants et les enfants m'adorent aussi
je suis quelqu'un de trés gentille qui ne ferais jamais de mal
surtout qu'un enfant c notre sang notre tout, je donnerais ma vie pour elle
merci de m'avoir lu et de m'avoir répondu
J'ai passé une excellente journée sans peur ou rumination. LA crise est derrière moi pour le moment. Les médicaments n'ont pas été si bien que cela pour moi. Je trouve qu'ils maquent mal les angoisses et pour ma part ces angoisses revenaient encore plus forte dès que je sentais que les médocs ne faisaient pas effets. J'avais encore plus peur de tout. Je reprends le travail demain. Je pense que cela va me faire du bien, et me changer les esprit. Même si les crises sont plus espacer, il ne faut pas pour autant les oublier afin de ne pas être surpris quand elles reviennent. Le tout étant que mon esprit arrive à se libérer et ne pas tourner en rond. Bonne soirée à vous tous et merci pour ta réponse!!!
Tant mieux pour vous alors si votre vie prend un tournant qui vous donnes beaucoup d'espoir c'est comme ça qu'on arrive à prendre des distances avec nos angoisses et q'elles finissent par partir. J'ai vécu des périodes où elles partaient complètement. Pendant une très longue période j'étais bien et tranquille parce que justement je voyais mes crises comme un mal passé. Par contre les années suivantes quand j'avais vécu une nouvelle periode de noir, j'ai décidé d'appréhender le jour où ça allait revenir et au final du cou ça nous reste dans la peau et on ne vit pas aussi heureux qu'on le pourrait. Il ne faut pas se dire " ça reviendra je ne veux pas être surprise" mais "je vais bien tant mieux et j'peux le rester si jle veux vraiment". Attendre le retour de nos angoisses c'est déclarer forfait. je pense. Voilà voilà. Bonne journée!
coup dur, prise de panique ce matin, impossible d'aller au boulot! retour chez le médecin. arrêt de 2 semaines avec repos mais aussi sport ( dur dur). Il m'a dit que je faisait en plus une décompensation post traumatique ( j'ai eu pas mal de coup dur ces 3 dernières années). Bref, la fatigue est là, j'ai dormi toute la journée mais pas de retour phobique ( c'est déjà ça). Je manque de sommeil et je pense qu'un travail sur moi s'impose plus que tout. Le corps me rappelle à l'ordre en plus du psychisme!!!! haut les coeurs
Oui de toute façon les angoisses où les crises de paniques ou ce genre de trucs débarque quand y'a unegande fatigue , un gros stresse et tout ce qui fait pas bcp de bien ni à la tête ni au corps. Moi mes angoisses surviennent le plus souvent quand jsuis en période de stresse, que je dois passer une étape importante dans ma vie ou quand je suis épuisée et que le coup dpression redescent. Reposez vous bien alors!
Cela fait beaucoup de bien d'avoir de tes nouvelles . Les gens qui ne souffrent pas de cela ne peuvent qu'entrevoir la souffrance. Le médecin m'a blindée en homéopathie et xanax le soir pour me détendre. Je sui sorti durant mes horaires et j'ai fait une grande ballade. Cela fait du bien. Je commence à retrouver les choses belles. Je suis aussi dans l'obligation de faire de la course à pied ( ordre de mon cher docteur.... )panique car je suis nulle mais bon ,c 'est comme tout cela s'apprend! donc demain course.
Bonne fin de journée. Ma devise était la vie est belle et il faut que cela le redevienne!!
Bon courage à toi aussi
Bonne fin de journée. Ma devise était la vie est belle et il faut que cela le redevienne!!
Bon courage à toi aussi
Je deteste courir, en particulier seule, d'autant plus que je ne me sens pas bien quand je suis loin de chez moi ou de chez mon compagnon quand je suis dans des periodes d'angoisses. C'est pour ça que j'ai choisi l'option salle de sport où je fais des cours de cuisses abdos fessiers, mon vélo mes machins , mes cours de salsa et tout le bazar. Ca depense, on pense à rien et ça fait du bien au corps et à l'esprit. Le soir faut impérativement se detendre c'est très important parce que si on sombre dans l'insomnie (comme je fais souvent), on dors très mal, très peu voire avec des milliards de cauchemars et reveils pendant la nuit. La fatigue qui s'ensuit affaiblit notre corps et notre motivation à vaincre se qui nous parasite. Une bonne douche ou un bain, un ptit film ou une serie, ou des calins avec son homme, un bon bouquin quand le sommeil s'approche et hop extinction des feu. Moi je met même un masque pour que mes yeux soient bien fermés et ça m'a aidé.
Pour compléter votre première phrase, oui les gens qui ne vivent pas ça ne comprennent pas du tout et voit même tout ça comme de l'absurdité. Mon père à toujours trouvé mes angoisses stupides, puériles. ma soeur comme du venin qui venait pourir notre vie de famille et mon compagnon comme quelque chose de pas très grave que je pourrait éviter avec un peu de motivation. Quand ça prend de grosse proportion et qu'on devient un vrai un vrai légume c'est LA que notre entourage perçoive notre souffrance mais c'est également qu'ils souffrent aussi de pas pouvoir nous aider et nous comprendre. Une grande partie du travail se fait donc seul il faut l'accepter. Notre entourage est là pour nous aider à trouver une motivation, et apaiser notre quotidien. A eviter donc toute source de stresse inutile.
Pour compléter votre première phrase, oui les gens qui ne vivent pas ça ne comprennent pas du tout et voit même tout ça comme de l'absurdité. Mon père à toujours trouvé mes angoisses stupides, puériles. ma soeur comme du venin qui venait pourir notre vie de famille et mon compagnon comme quelque chose de pas très grave que je pourrait éviter avec un peu de motivation. Quand ça prend de grosse proportion et qu'on devient un vrai un vrai légume c'est LA que notre entourage perçoive notre souffrance mais c'est également qu'ils souffrent aussi de pas pouvoir nous aider et nous comprendre. Une grande partie du travail se fait donc seul il faut l'accepter. Notre entourage est là pour nous aider à trouver une motivation, et apaiser notre quotidien. A eviter donc toute source de stresse inutile.
Modifié par sa du 76 le 25/03/2011 à 10:51
14 juin 2011 à 22:52
Ce trouble a commencé à l'âge de 16 ans et au début concernait ma mère (peur de lui faire du mal, au début simple pensée puis petit à petit cette pensée s'est transformée en obsession) pour ensuite s'étendre à tout le monde au point que j'avais l'impression de devenir un malade mental type jack nicholson dans shining ou norman bates dans psychose..., en pleine crise, j'e me suis décidé à en parler à ma mère et je suis allé voir un psy, lequel ne m'a pourtant jamais parlé de phobie d'impulsion (cela n'est que des années après que j'ai découvert ce terme en naviguant sur le web).
Par la suite tout a fini par s'arranger au point que ces pensées ont complètement disparu pendant des années (4/5 ans) - j'en rigolais même en y repensant en me disant à quel point j'avais été stupide - pour ensuite, malheursement revenir et puis encore repartir...jusqu'à maintenant où ça fait environ un an que c'est revenu avec plus ou moins de virulence, je n'arrive pas à les faire partir, c'est horrible au point que j'en viens vraiment à déprimer. Je ne sais pas à qui en parler. Je n'ose pas vraiment en parler à mes proches, peur de les faire flipper (en particulier à ma petite amie). Je voudrais me marier prochainement et avoir des enfants mais voilà c'est difficile pour plusieurs raisons: la demande en mariage/le mariage sont censés être des moments de pur bonheur. Or ces pensées/angoisses pourraient me gâcher celui-ci (ainsi qu'à l'intéressée) en m'empêchant de vivre le moment présent et surtout, j'ai, peur de faire du mal à celle qui deviendrait ma femme et mes futurs enfants (une personne indigne. Parfois, inévitablement, dans les phases de crises, j'en arrive à me dire que si je n'étais plus là, je ne souffrirai plus (par définition) et les personnes que j'aime pourraient vivre en sécurité....c'est absurde. Tout ça pour dire à quel point ce type pathologie peut vous affecter dans votre vie.
Pour finir sur une note positive, je sais qu'une telle phobie peut complètement disparaitre, je l'ai vécu et je suis bien décidé à la faire à nouveau disparaître. La question est de savoir comment. (psy comportementaliste, simple volonté en focalisant son attention sur autre chose, se raisonner en mettant l'accent sur le caractère absurde de la pensée etc..)
Voilà, je suis désolé d'avoir été long mais j'avais besoin que ça sorte :)) en partageant mon expérience avec des gens qui ont déjà été confrontés à ce pb.
Bien à vous
.