Borderline
folo66
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Lys66 -
Lys66 -
Bonjour,
J'aimerai savoir si quelqu'un pourrait me parler du syndrome "Borderline"?
Qu'en savait vous?
Connaissait vous quelqu'un qui en souffre?
Auriez vous des histoires que vous avez vecu concernant ce symdrome?
Merci d'avance pour vos reponses, qui pourront j'espere, m'aider
J'aimerai savoir si quelqu'un pourrait me parler du syndrome "Borderline"?
Qu'en savait vous?
Connaissait vous quelqu'un qui en souffre?
Auriez vous des histoires que vous avez vecu concernant ce symdrome?
Merci d'avance pour vos reponses, qui pourront j'espere, m'aider
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11 réponses
bonjour
je vis depuis bientôt 3 ans avec un borderline, je suis persuadé qu'il l'est, ce mot vient de la bouche de son médecin généraliste que le traitait pour déprime, mais qui a eu ce mot quand je lui ai expliqué son comportement. nous vivons ensemble depuis 1.5 ans après 1.5 ans de galères...
aujourd'hui il va mieux, pendant 1 ans j'ai été son "'psy privé", j'ai essayé de lui faire comprendre ce qui n' allait pas dans son comportement. j'en ai pris plein la gueule par lui et ses "pseudo amis" qui profitaient de lui. il se pliait en 4 pour leur faire plaisir, j'ai une expression : il se prostituait pour de l'amitié, au propre comme au figuré....
j'écrirais un livre sur son comportement...
un jour je t'aime, un jour je te hais,
3 semaines avant chaque partiel, il me jetait, m'humiliait face à ses amis, baisait avec le premier qui lui tombait sous la main ( véridique, il baisait avec ceux dont personne ne voulait), baiser était un grand mot, car il avait du mal à bander et à jouir..... ça faisait baisser sa tension psychologique, c'était sa drogue. et puis il y avait son ex, qui le trompait tout le, temps et qui niait, ce qui l'a fait beaucoup culpabiliser. et il avait son proprio retraité avec qui il vivait en co loc, un mec charismatique mais dépressif, homo refoulé, qui accueillait volontiers chez lui de beaux jeunes hommes mal dans leur peaux ,et qui le mettait plus bas que terre, lui qui manque cruellement de confiance en lui....
bref, un mec de 34 ans avec un comportement de 12 ans. je lui ai fait la morale pendant 1 ans, comment réagir face à tel contexte, ce qui est bien et ce qui est mal. ses amis m'appelaient "papa" pour se foutre de ma gueule, car j'étais chiant je le sais, mais grace à cela, je pense qu'il s'en est un peu sorti, je l'ai plaqué pendant 15 jours en lui expliquant qu'il était au bord du précipice et que je ne voulais pas voir sa chute, et pendant ces 15 jours, il s'est retrouvé seul avec ses "amis et ses ex" et il a compris qu'il était en train de dériver, et il les a tous plus ou moins laissé de côté, et depuis tout va beaucoup mieux, il a toujours des moments " a vide" mais c'est acceptable, il voit un psychiatre tous les trimestres, sa vie professionnelle s'éclaircit,
je ne sais pas comment j'ai tenu bon, car il m'a humilié, il en est conscient, il allait baiser avec des mec devant mon nez et sous les rires de ses amis, mais je suis fiers qu'il soit désormais bien dans sa peau. il n'a plus de problèmes sexuels. bref, il a trouvé une stabilité (ce sont les mots de son père ....)
malgré tout il y a toujours ses amis qui essaient de le récupérer, en me discréditant (c'est une honte d'entendre leurs argument....), mais il sait dorénavant faire la part des choses et je l'en félicite. il a désormais un age mental en adéquation avec son age physique, il est prêt à affronter le monde, le vrai, et non le microcosme de gens qui profitaient de ses faiblesses....
je vis depuis bientôt 3 ans avec un borderline, je suis persuadé qu'il l'est, ce mot vient de la bouche de son médecin généraliste que le traitait pour déprime, mais qui a eu ce mot quand je lui ai expliqué son comportement. nous vivons ensemble depuis 1.5 ans après 1.5 ans de galères...
aujourd'hui il va mieux, pendant 1 ans j'ai été son "'psy privé", j'ai essayé de lui faire comprendre ce qui n' allait pas dans son comportement. j'en ai pris plein la gueule par lui et ses "pseudo amis" qui profitaient de lui. il se pliait en 4 pour leur faire plaisir, j'ai une expression : il se prostituait pour de l'amitié, au propre comme au figuré....
j'écrirais un livre sur son comportement...
un jour je t'aime, un jour je te hais,
3 semaines avant chaque partiel, il me jetait, m'humiliait face à ses amis, baisait avec le premier qui lui tombait sous la main ( véridique, il baisait avec ceux dont personne ne voulait), baiser était un grand mot, car il avait du mal à bander et à jouir..... ça faisait baisser sa tension psychologique, c'était sa drogue. et puis il y avait son ex, qui le trompait tout le, temps et qui niait, ce qui l'a fait beaucoup culpabiliser. et il avait son proprio retraité avec qui il vivait en co loc, un mec charismatique mais dépressif, homo refoulé, qui accueillait volontiers chez lui de beaux jeunes hommes mal dans leur peaux ,et qui le mettait plus bas que terre, lui qui manque cruellement de confiance en lui....
bref, un mec de 34 ans avec un comportement de 12 ans. je lui ai fait la morale pendant 1 ans, comment réagir face à tel contexte, ce qui est bien et ce qui est mal. ses amis m'appelaient "papa" pour se foutre de ma gueule, car j'étais chiant je le sais, mais grace à cela, je pense qu'il s'en est un peu sorti, je l'ai plaqué pendant 15 jours en lui expliquant qu'il était au bord du précipice et que je ne voulais pas voir sa chute, et pendant ces 15 jours, il s'est retrouvé seul avec ses "amis et ses ex" et il a compris qu'il était en train de dériver, et il les a tous plus ou moins laissé de côté, et depuis tout va beaucoup mieux, il a toujours des moments " a vide" mais c'est acceptable, il voit un psychiatre tous les trimestres, sa vie professionnelle s'éclaircit,
je ne sais pas comment j'ai tenu bon, car il m'a humilié, il en est conscient, il allait baiser avec des mec devant mon nez et sous les rires de ses amis, mais je suis fiers qu'il soit désormais bien dans sa peau. il n'a plus de problèmes sexuels. bref, il a trouvé une stabilité (ce sont les mots de son père ....)
malgré tout il y a toujours ses amis qui essaient de le récupérer, en me discréditant (c'est une honte d'entendre leurs argument....), mais il sait dorénavant faire la part des choses et je l'en félicite. il a désormais un age mental en adéquation avec son age physique, il est prêt à affronter le monde, le vrai, et non le microcosme de gens qui profitaient de ses faiblesses....
Bonjour, je suis une femme début quarantaine qui doit vivre avec cette maladie infernale qu'est le trouble de personnalitée limite. Le plus loin que je me souvienne, y avait tjrs quelques chose qui clochait chez moi...problemes avec mes relations avec les autres, incapacité à gérer mes émotions, impulsivité, instable dans mes sentiments ( passer de l'amour à la haine du jour au lendemain ) , dépression, détresse psychologique soit, suite à un échec ou à une rupture ouffff asser déstabilisant tout ca ! Je veux juste dire qu'il y à de l'espoir pour la personne atteinte de cette maladie, avec un suivi médical, une médication appropriée et une thérapie, ont peux s'en sortir, on en guéris pas, mais on deviens plus fort et résistant. J'ai lit les commentaires des gens concernant cette maladie, ca me fait mal de voir comment les gens ont des préjugés et que la seule solution qu'ils trouvent est de couper les ponts avec les personnes bordelines... Seul, ont peux pas s'en sortir ! Le rejet et l'abandon est insoutenable ! Voilà pourquoi il y à autant de suicide chez les personnes bordelines.
bonjour Louise,
J'ai 21 ans, mon petit ami est borderline je ne pense pas du tout le quitter pour cela loin de là (j'ai compris à quel point il devait avoir peur de l'abandon (surtout que son père l'a abandonné petit ce qui a du l'emmener vers ce " " .Je l'aime vraiment ce qui est fou c'est que j'ai peur qu'il me quitte), je ne connaissais pas ce Syndrome... je me suis renseignée (sans lui en parler), je le comprend beaucoup mieux, j'ai parfois peur de le blesser, j'essaie de ne pas changer malgré tout, je veux dire j'ai un fort caractère... je dis ce que je pense, et je suis parfois blessante, j'essaie peut-être de faire un peu plus attention à "comment je dis les choses" mais sinon quand ça ne me plaît pas je lui dis,
ce qui me fait le plus peur c'est "cette façon de un jour je t'aime le lendemain je "te hais" ... il ne me le dit pas clairement mais parfois je sens qu'il est loin, très loin... (je n'ai encore jamais sentit la haine mais l'indifférence oui... à certain moment je sens que je dois partir...
Je ne sais pas si tu peux m'aider, je ne sais même pas vraiment ce que je veux... des explications peut être, un "témoignage", ce que tu penses du peu que je t'ai dit... je ne sais pas...
J'ai aussi peur (bon c'est vrai je ne veux pas vraiment d'enfants... pour l'instant je me dis que je changerai peut-être d'avis...surtout qu'il m'a parlé d'enfants il y a peu de temps... (à voir il en voudrait... je n'ai pas "poussé" le sujet
mais j'ai un peu peur de "lui" de sa "réaction" j'ai peur qu'il m'abandonne comme son père l'a abandonné... ? je pense que l'on refait souvent ce que nous avons nous même vécu... je sais bien qu'il y a des "exceptions" mais je ne sais pas ça me fait peur ... je vois que mon père reproduit ce qu'il a vécu dans sa famille sur moi alors je ne veux pas que mon petit ami m'abandonne comme son père à abandonné sa mère...
Et je vis en ayant toujours peur qu'il me quitte...
je ne sais pas si tu vas bien vouloir me répondre... ? Je ne sais pas si tu vas savoir "quoi "me répondre
mais je te remercie si déjà tu as pris le temps de lire jusqu'au bout et j'espère vraiment avoir ton avis...
bonne soirée.
Lys
J'ai 21 ans, mon petit ami est borderline je ne pense pas du tout le quitter pour cela loin de là (j'ai compris à quel point il devait avoir peur de l'abandon (surtout que son père l'a abandonné petit ce qui a du l'emmener vers ce " " .Je l'aime vraiment ce qui est fou c'est que j'ai peur qu'il me quitte), je ne connaissais pas ce Syndrome... je me suis renseignée (sans lui en parler), je le comprend beaucoup mieux, j'ai parfois peur de le blesser, j'essaie de ne pas changer malgré tout, je veux dire j'ai un fort caractère... je dis ce que je pense, et je suis parfois blessante, j'essaie peut-être de faire un peu plus attention à "comment je dis les choses" mais sinon quand ça ne me plaît pas je lui dis,
ce qui me fait le plus peur c'est "cette façon de un jour je t'aime le lendemain je "te hais" ... il ne me le dit pas clairement mais parfois je sens qu'il est loin, très loin... (je n'ai encore jamais sentit la haine mais l'indifférence oui... à certain moment je sens que je dois partir...
Je ne sais pas si tu peux m'aider, je ne sais même pas vraiment ce que je veux... des explications peut être, un "témoignage", ce que tu penses du peu que je t'ai dit... je ne sais pas...
J'ai aussi peur (bon c'est vrai je ne veux pas vraiment d'enfants... pour l'instant je me dis que je changerai peut-être d'avis...surtout qu'il m'a parlé d'enfants il y a peu de temps... (à voir il en voudrait... je n'ai pas "poussé" le sujet
mais j'ai un peu peur de "lui" de sa "réaction" j'ai peur qu'il m'abandonne comme son père l'a abandonné... ? je pense que l'on refait souvent ce que nous avons nous même vécu... je sais bien qu'il y a des "exceptions" mais je ne sais pas ça me fait peur ... je vois que mon père reproduit ce qu'il a vécu dans sa famille sur moi alors je ne veux pas que mon petit ami m'abandonne comme son père à abandonné sa mère...
Et je vis en ayant toujours peur qu'il me quitte...
je ne sais pas si tu vas bien vouloir me répondre... ? Je ne sais pas si tu vas savoir "quoi "me répondre
mais je te remercie si déjà tu as pris le temps de lire jusqu'au bout et j'espère vraiment avoir ton avis...
bonne soirée.
Lys
Bonjour,
Moi je suis bordeline. Ça ne parait pas du tout et je vis très bien avec ça. Tout est dans la façon de voir les choses. Je ne sais pas quoi te dire de plus...c'est vrai qu'on ne sait pas pourquoi t'aider...?
Moi je suis bordeline. Ça ne parait pas du tout et je vis très bien avec ça. Tout est dans la façon de voir les choses. Je ne sais pas quoi te dire de plus...c'est vrai qu'on ne sait pas pourquoi t'aider...?
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ben vous allez peut etre me trouver bete mais depuis petite je suis persuadée qu'y a un truc qui tourne pas rond chez moi, je me sens totalement en desaccort avec les autres et souvent avec moi meme aussi.
J'ai des reactions tellement imprevisible, tellement fortes....
Je me pose des questions.
et je suis tomber sur quelques docu et c'est vrai que sa me fait peur.
Frog, comment as tu su?
Comment le gere tu???
J'ai des reactions tellement imprevisible, tellement fortes....
Je me pose des questions.
et je suis tomber sur quelques docu et c'est vrai que sa me fait peur.
Frog, comment as tu su?
Comment le gere tu???
merci beaucoup frog de ta reponse, je me retrouve beaucoup dedans.
c'est vrai que je me laisse vite dominer par mes sentiments et ma colere surtout.
C'est d'ailleurs sa qui me fait le plus peur.
J'essaye de lutter contre moi meme mais j'ai beaucoup de mal a y arriver.
Je ne supporte pas d'etre dominer alors que se soit par moi meme c'est encore pire.
J'espere que tu comprend se que je veux dire.
Je vais peut etr paraitre folle en disant sa, mais j'ai comme l'impression d'etre enfermée dans ma tete et j'ai beau penser d'une maniere j'agit d'une autre.
J'ai l'impression qu'un jour je vais reussir a sortir et que ma vie sera toute autre que celle que j'aurai cru vivre.
Enfin je suis peut etre aussi tres bizarre.
quand tu parle de ta copine sa me rapelle aussi la mienne.
Elle est a mon ecoute et elle me guide toujours, elle arrive un peu a me temperer mais quand je lui est parler de se symdrome sa la plutot faire rire qu'autre chose.
Pour elle c'est un peu ireel.
En tout cas merci beaucoup frog il y a peu de gens qui arrive un peu a comprendre se que je ressent
c'est vrai que je me laisse vite dominer par mes sentiments et ma colere surtout.
C'est d'ailleurs sa qui me fait le plus peur.
J'essaye de lutter contre moi meme mais j'ai beaucoup de mal a y arriver.
Je ne supporte pas d'etre dominer alors que se soit par moi meme c'est encore pire.
J'espere que tu comprend se que je veux dire.
Je vais peut etr paraitre folle en disant sa, mais j'ai comme l'impression d'etre enfermée dans ma tete et j'ai beau penser d'une maniere j'agit d'une autre.
J'ai l'impression qu'un jour je vais reussir a sortir et que ma vie sera toute autre que celle que j'aurai cru vivre.
Enfin je suis peut etre aussi tres bizarre.
quand tu parle de ta copine sa me rapelle aussi la mienne.
Elle est a mon ecoute et elle me guide toujours, elle arrive un peu a me temperer mais quand je lui est parler de se symdrome sa la plutot faire rire qu'autre chose.
Pour elle c'est un peu ireel.
En tout cas merci beaucoup frog il y a peu de gens qui arrive un peu a comprendre se que je ressent
Toutes ces recommandations peuvent paraître théoriques et astreignantes, inutiles si on les considère pendant une phase maniaque, inaccessibles si on les considère en phase dépressive. La maladie bipolaire est, avec les conduites addictives (toxicomanies, alcoolisme, boulimie...), une des maladies psychiatriques où l'action personnelle du malade est au moins aussi importante que le traitement médicamenteux et l'aide psychothérapeutique.
Il faut suivre tout un processus d'apprentissage pour vivre avec sa maladie.
- Tout d'abord accepter le diagnostic de maladie psychiatrique chronique.
- Puis connaître les troubles bipolaires par des lectures, des conférences, des questions aux médecins, des témoignages d'autres malades.
- Prendre conscience de la gravité de sa maladie, des conséquences sur l'entourage.
- Ensuite s'observer soi même en se prenant comme objet d'étude.
- Se retracer son histoire en repérant les phases maniaques, les phases dépressives, les intervalles libres.
- Se remémorer les conséquences néfastes des épisodes maniaques, la souffrance des phases dépressives.
- Établir une description de soi et de son comportement pendant les phases d'intervalle libre et qui sera pris comme étalon de sa "normalité".
- Ne pas vouloir se maintenir en permanence dans une légère hypomanie euphorisante.
- Analyser les faits qui ont pu provoquer les virages maniaques ou dépressifs.
- Mettre en place des "clignotants d'alarme" qui vous sont propres et qui seront le signal de l'apparition de ces situations qui vous font pivoter ou descendre.
- Se fixer des objectifs simples, modestes mais précis de ce qu'il faut faire ou éviter.
- Demander l'aide de l'entourage et du médecin pour établir ce bilan et s'assurer de leur aide active dans certaines conditions.
Il faut suivre tout un processus d'apprentissage pour vivre avec sa maladie.
- Tout d'abord accepter le diagnostic de maladie psychiatrique chronique.
- Puis connaître les troubles bipolaires par des lectures, des conférences, des questions aux médecins, des témoignages d'autres malades.
- Prendre conscience de la gravité de sa maladie, des conséquences sur l'entourage.
- Ensuite s'observer soi même en se prenant comme objet d'étude.
- Se retracer son histoire en repérant les phases maniaques, les phases dépressives, les intervalles libres.
- Se remémorer les conséquences néfastes des épisodes maniaques, la souffrance des phases dépressives.
- Établir une description de soi et de son comportement pendant les phases d'intervalle libre et qui sera pris comme étalon de sa "normalité".
- Ne pas vouloir se maintenir en permanence dans une légère hypomanie euphorisante.
- Analyser les faits qui ont pu provoquer les virages maniaques ou dépressifs.
- Mettre en place des "clignotants d'alarme" qui vous sont propres et qui seront le signal de l'apparition de ces situations qui vous font pivoter ou descendre.
- Se fixer des objectifs simples, modestes mais précis de ce qu'il faut faire ou éviter.
- Demander l'aide de l'entourage et du médecin pour établir ce bilan et s'assurer de leur aide active dans certaines conditions.