Comment vivre avec une borderline ?
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25 août 2008 à 00:00
Stephanemallet - 14 avril 2018 à 21:51
Stephanemallet - 14 avril 2018 à 21:51
Bonjour,
J'ai une amie qui m'a dit de suite qu'elle était borderline au fur et à mesure de nos rencontres et surtout de we passés ensemble que la situation était complexe pour moi...pour elle aussi d'ailleurs. Elle peut changer du tout en tout, un jour amoureuse, un autre plus du tout, etc elle a besoin de toujours être en activité...elle ne supporte pas se poser me dit elle. Mais suite à des échanges francs, nous ne nous cachons rien, elle fait des pauses ou nous passons une journée à l'extérieur dans un festival ou autres. Il se peut qu'un détail en se levant la tracasse pour que la journée ou du moins une partie de la journée soit infernale pour elle... et aussi pour moi. Je sais qu'elle souffre! Dans les bons moments, c'est une femme extraordinaire, éclatante, ... c'est la joie de vivre la plus inouïe que je connaisse! Et puis, boum... Si vous êtes borderline ou si vous connaîssez une proche, éclairez moi... dites ce que j'ai le mieux à faire en situation de crise... Merci de me répondre.
J'ai une amie qui m'a dit de suite qu'elle était borderline au fur et à mesure de nos rencontres et surtout de we passés ensemble que la situation était complexe pour moi...pour elle aussi d'ailleurs. Elle peut changer du tout en tout, un jour amoureuse, un autre plus du tout, etc elle a besoin de toujours être en activité...elle ne supporte pas se poser me dit elle. Mais suite à des échanges francs, nous ne nous cachons rien, elle fait des pauses ou nous passons une journée à l'extérieur dans un festival ou autres. Il se peut qu'un détail en se levant la tracasse pour que la journée ou du moins une partie de la journée soit infernale pour elle... et aussi pour moi. Je sais qu'elle souffre! Dans les bons moments, c'est une femme extraordinaire, éclatante, ... c'est la joie de vivre la plus inouïe que je connaisse! Et puis, boum... Si vous êtes borderline ou si vous connaîssez une proche, éclairez moi... dites ce que j'ai le mieux à faire en situation de crise... Merci de me répondre.
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25 réponses
Salut à tous,
je crois que je suis d'accord avec chacun de vous. En effet, certaines personnes borderline peuvent vous rendre la vie très difficle. J'avoue, on se sent facilement attaqué et on se met vite sur la défensive. Mais une chose est certaine, c'est qu'on a vraiment mal nous aussi, quand on vous fait mal. On vit tellement de culpabilité quand on s'est laissé emporter par nos émotions. Elles sont tellement fortes vous savez... Quand vous nous dites un reproche, on a l'impression que vous nous haïssez...toute entière. Ça fait mal. Il faut apprendre à relativiser mais en état de crise, on a du mal. J'imagine qu'il y a des personnes fortes qui sont capables de nous endurer. Des personnes qui comprenne qu'on ne pense pas ce qu'on dit longtemps et que notre colère s'efface vite. Je crois aussi qu'avec beaucoup de travail sur soi, on arrive à savoir qu'on est dans la phase noire de notre vie. Qu'on risque de tout foutre en l'air si on ne fait pas attention. On apprend à éviter le stress dans ces contextes et à aviser nos proches de nous ménager, quelques heures ou quelques jour...On a tellement peur de nous autres dans ces moments là. C'est comme si on savait, en dedans, qu'on allait faire bientôt un catastrophe ou blesser quelqu'un. C'est comme un drogué qui veut arrêter: au début, il demande à ne pas se faire mettre de drogue sous le nez quand il va pas bien. C'est la même chose. Les gens qui nous aime savent à quel moment on est capable de se faire critiquer et ils savent quels mots utilser pour ne pas qu'on se sente comme des moins que rien et qu'on réagisse. Je suis fière de ce que j'apprend sur ma maladie et sur ma façon d'en limiter les dégats. Je sais que je vais toujours avoir des phases plus "irritable" pendant lesquelles mon copain va se sentir "rejetté", ou "non pris en considération". Mais je tente de lui dire que je ne vais pas bien, que j,ai besoin de ma bulle... et il est tellement supportant. Il me comprend, me laisse mon temps et fait ses choses. Pendant ce temps là, je me morfond parce que je ne suis pas capable d'être toute seule... mais j'aime mieux vivre mes périodes difficiles toute seule que d'en faire souffrir ceux que j'aime. Quand je vais bien, je sais que je peux apporter beaucoup au gens qui m'entourent. Je suis passionnée et tellement ambitieuse... Puis je me terre... j'hiberne. Les gens qui me connaissent savent que je viens et je pars et qu'il faut accepter que ce n,est pas par manque d'amour que j'agis comme ça mais bien au contraire. Laissez-nous une chance grandir, c'est tout ce que je demande...!! ESPOIR À tous ceux les borderline et leurs proches. On s'améliore... Arrêtez s'il vous plaît de nous traiter de moins que rien. On s'haïs déjà assez comme ça. Si vous n'êtes pas capable de nous endurer, ne découragez pas les autrs à le faire.. on a tellement besoin d'amour, comme tout le monde! Et on arrive, tranquilement à contrôler notre impulsivité. à force de blesser des gens, on fini par vouloir changer à tout prix...Surtout quand on aime par dessus tout ceux qu'on blesse.
je crois que je suis d'accord avec chacun de vous. En effet, certaines personnes borderline peuvent vous rendre la vie très difficle. J'avoue, on se sent facilement attaqué et on se met vite sur la défensive. Mais une chose est certaine, c'est qu'on a vraiment mal nous aussi, quand on vous fait mal. On vit tellement de culpabilité quand on s'est laissé emporter par nos émotions. Elles sont tellement fortes vous savez... Quand vous nous dites un reproche, on a l'impression que vous nous haïssez...toute entière. Ça fait mal. Il faut apprendre à relativiser mais en état de crise, on a du mal. J'imagine qu'il y a des personnes fortes qui sont capables de nous endurer. Des personnes qui comprenne qu'on ne pense pas ce qu'on dit longtemps et que notre colère s'efface vite. Je crois aussi qu'avec beaucoup de travail sur soi, on arrive à savoir qu'on est dans la phase noire de notre vie. Qu'on risque de tout foutre en l'air si on ne fait pas attention. On apprend à éviter le stress dans ces contextes et à aviser nos proches de nous ménager, quelques heures ou quelques jour...On a tellement peur de nous autres dans ces moments là. C'est comme si on savait, en dedans, qu'on allait faire bientôt un catastrophe ou blesser quelqu'un. C'est comme un drogué qui veut arrêter: au début, il demande à ne pas se faire mettre de drogue sous le nez quand il va pas bien. C'est la même chose. Les gens qui nous aime savent à quel moment on est capable de se faire critiquer et ils savent quels mots utilser pour ne pas qu'on se sente comme des moins que rien et qu'on réagisse. Je suis fière de ce que j'apprend sur ma maladie et sur ma façon d'en limiter les dégats. Je sais que je vais toujours avoir des phases plus "irritable" pendant lesquelles mon copain va se sentir "rejetté", ou "non pris en considération". Mais je tente de lui dire que je ne vais pas bien, que j,ai besoin de ma bulle... et il est tellement supportant. Il me comprend, me laisse mon temps et fait ses choses. Pendant ce temps là, je me morfond parce que je ne suis pas capable d'être toute seule... mais j'aime mieux vivre mes périodes difficiles toute seule que d'en faire souffrir ceux que j'aime. Quand je vais bien, je sais que je peux apporter beaucoup au gens qui m'entourent. Je suis passionnée et tellement ambitieuse... Puis je me terre... j'hiberne. Les gens qui me connaissent savent que je viens et je pars et qu'il faut accepter que ce n,est pas par manque d'amour que j'agis comme ça mais bien au contraire. Laissez-nous une chance grandir, c'est tout ce que je demande...!! ESPOIR À tous ceux les borderline et leurs proches. On s'améliore... Arrêtez s'il vous plaît de nous traiter de moins que rien. On s'haïs déjà assez comme ça. Si vous n'êtes pas capable de nous endurer, ne découragez pas les autrs à le faire.. on a tellement besoin d'amour, comme tout le monde! Et on arrive, tranquilement à contrôler notre impulsivité. à force de blesser des gens, on fini par vouloir changer à tout prix...Surtout quand on aime par dessus tout ceux qu'on blesse.
Bonjour à toutes et à tous!!!
Voilà qui est fort intéressant, je tape quelques mots sur Google car j'avoue en avoir un peu ras la patate de la vie que je mène avec mon épouse, et je me retrouve confronté à une réalité que j'ai tenté de fuir depuis bien quelques années: malgré tout l'espoir que vous pouvez fonder sur votre avenir avec une/un borderline, la réalité fini de toute façon par vous rattraper... Quelle vérité??? Il n'y a pas d'avenir!!!!
Pour être un peu plus précis: qui parle d'avenir, parle de projets, et dans le cas des borderline, il n'est pas possible d'en faire, car vous êtes en permanence dans le doute qu'il ai une quelconque chance que ceux-ci se réalisent. En fait, si je fait le bilan des projets de voyages, sorties, formations, professionnels et j'en passe, je pense que seulement 5% des projets que nous avons fait ont connu une réelle chance de se réaliser... et je ne dit pas qu'il se sont réaliser!!!
Maintenant que je vous ai exprimé ma frustration, mon désarrois, ma rage, ma colère (sentiments tous passager, mais je me sens déjà mieux...), je vous invite à découvrir une autre facette de cette personnalité dont je suis tombé éperdument amoureux il y a déjà bien quelques années. Et vous comprendrez peut-être pourquoi, malgré la difficulté de garder espoir, je suis encore et toujours à ses côtés, dans les bons, comme dans les mauvais moments...
J'ai 33 ans et suis depuis 8 ans avec une femme dépressive, diagnostiquée bordeline depuis seulement 1.5 an. Je l'aime comme je n'ai jamais aimé personne et c'est la femme la plus sensible et merveilleuse que j'ai jamais eu l'occasion de connaître. Elle est talentueuse (plus les personnes sont sensibles, plus elles ont une propension à développer des affinités pour les activités faisant appellent à la créativité, l'art, les langues... enfin, c'est qu'il m'a été donné de constater jusqu'ici), elle est efficace et expéditive dans ses activités, et merveilleusement chaotique dans les domaine plus cartésiens. Elle est parfois candide, parfois une peu "fofolle", souvent très joyeuse. Elle a le contact facile avec les gens et beaucoup de personnes se confient spontanément à elle, même si elle ne les connaît pas. Elle a donc une personnalité riche et fragile dont je ne peux plus imaginer me passer. Bref, il n'y pas d'autre femme avec qui j'aimerais faire ma vie.... Mais cela implique d'accepter de faire des concessions, ainsi que de maîtriser un minimum son environnement.
Alors que ceux que cela effraie passent leur chemin, moi j'ai décidé d'y faire face et je n'impose à personne d'en faire de même, car il faut avouer que c'est dure. Mais pour ce qui est de mon expérience, cela en vaut la peine.
Voilà, je voulais vous faire partager mon point de vue et mes sentiments, même si je sais que certains d'entre vous seront choqués par la brutalité de mes propos. Mais c'est bien là le problème: une relation avec une/un borderline est passionnée, et les relations passionnées sont souvent brutales!
Bon vent à vous tous, et n'oubliez pas de garder espoir, car la vie est combat, et chacun à le droit de choisir la façon de mener le sien! Alors ne jugé pas trop durement ceux qui baisse les bras...
Voilà qui est fort intéressant, je tape quelques mots sur Google car j'avoue en avoir un peu ras la patate de la vie que je mène avec mon épouse, et je me retrouve confronté à une réalité que j'ai tenté de fuir depuis bien quelques années: malgré tout l'espoir que vous pouvez fonder sur votre avenir avec une/un borderline, la réalité fini de toute façon par vous rattraper... Quelle vérité??? Il n'y a pas d'avenir!!!!
Pour être un peu plus précis: qui parle d'avenir, parle de projets, et dans le cas des borderline, il n'est pas possible d'en faire, car vous êtes en permanence dans le doute qu'il ai une quelconque chance que ceux-ci se réalisent. En fait, si je fait le bilan des projets de voyages, sorties, formations, professionnels et j'en passe, je pense que seulement 5% des projets que nous avons fait ont connu une réelle chance de se réaliser... et je ne dit pas qu'il se sont réaliser!!!
Maintenant que je vous ai exprimé ma frustration, mon désarrois, ma rage, ma colère (sentiments tous passager, mais je me sens déjà mieux...), je vous invite à découvrir une autre facette de cette personnalité dont je suis tombé éperdument amoureux il y a déjà bien quelques années. Et vous comprendrez peut-être pourquoi, malgré la difficulté de garder espoir, je suis encore et toujours à ses côtés, dans les bons, comme dans les mauvais moments...
J'ai 33 ans et suis depuis 8 ans avec une femme dépressive, diagnostiquée bordeline depuis seulement 1.5 an. Je l'aime comme je n'ai jamais aimé personne et c'est la femme la plus sensible et merveilleuse que j'ai jamais eu l'occasion de connaître. Elle est talentueuse (plus les personnes sont sensibles, plus elles ont une propension à développer des affinités pour les activités faisant appellent à la créativité, l'art, les langues... enfin, c'est qu'il m'a été donné de constater jusqu'ici), elle est efficace et expéditive dans ses activités, et merveilleusement chaotique dans les domaine plus cartésiens. Elle est parfois candide, parfois une peu "fofolle", souvent très joyeuse. Elle a le contact facile avec les gens et beaucoup de personnes se confient spontanément à elle, même si elle ne les connaît pas. Elle a donc une personnalité riche et fragile dont je ne peux plus imaginer me passer. Bref, il n'y pas d'autre femme avec qui j'aimerais faire ma vie.... Mais cela implique d'accepter de faire des concessions, ainsi que de maîtriser un minimum son environnement.
Alors que ceux que cela effraie passent leur chemin, moi j'ai décidé d'y faire face et je n'impose à personne d'en faire de même, car il faut avouer que c'est dure. Mais pour ce qui est de mon expérience, cela en vaut la peine.
Voilà, je voulais vous faire partager mon point de vue et mes sentiments, même si je sais que certains d'entre vous seront choqués par la brutalité de mes propos. Mais c'est bien là le problème: une relation avec une/un borderline est passionnée, et les relations passionnées sont souvent brutales!
Bon vent à vous tous, et n'oubliez pas de garder espoir, car la vie est combat, et chacun à le droit de choisir la façon de mener le sien! Alors ne jugé pas trop durement ceux qui baisse les bras...
Bonjour,
Rencontrant des problèmes récurrents avec ma compagne (agée de 22 ans) depuis bientôt trois ans, j'ai entrepris des recherches et suis tombé, entre autres, sur ce post.
J'ai 8 ans de plus qu'elle, et j'identifie d'autant plus les signes précédent une crise que j'ai moi-même, souffert du même type de trouble, tout du moins de quelque chose qui y ressemble beaucoup...
Ce qui a été le déclic pour moi, c'est une rupture suite à mon comportement harceleur, il y a 6 ans, suivie d'une bonne année de dépression, avec consommation de cocaïne ainsi que de cannabis dans des proportions hallucinantes (le cannabis).
Le cocktail idéal pour bien tomber au fin fond du gouffre, avec en bonus une pioche pour continuer à creuser!
Quelques mots, dits par une connaissance, ont suffi à créer le déclic en ce qui me concerne: "Cette rupture, c'est la fin d'une vie... Et là on t'en redonne une (de vie)... Tu en fais quoi?
Ces quelques mots, ont suffi à me faire prendre de la hauteur sur la situation. (Par quel miracle? Je ne me l'explique pas!)
J'ai complètement et définitivement arrêté du jour au lendemain de consommer de la cocaïne, j'ai divisé ma consommation de cannabis par 10, je ne consomme pas d'alcool...
J'ai réfléchi sur ma personnalité, ma vie, sur le pourquoi du comment, et tout le "puzzle" s'est mis en place. C'était une expérience très particulière, inexpliquable en fait. Une sorte de méditation entreprise sans même le savoir. J'en ai par la suite à deux ou trois reprises parlé à des psychologues, qui m'ont confirmé que j'avais en quelque sorte fait ma psychanalyse tout seul. L'une d'entre eux avait même refusé de me faire payer la consultation car elle refusait de reçevoir de l'argent pour une "conversation" avec quelqu'un.
Mon problème est que ma compagne actuelle présente ce type de troubles, et a toutes les raisons de les présenter, compte tenu du climat particulier dans lequel elle a vécu toute sa vie jusqu'à notre rencontre...
J'ai rapidement identifié chez elle les signes de ce que je pensais alors être les changements d'humeur de monsieur et madame tout le monde, ceux qui minent les relations quotidiennes, mais qui ne sont pas nécessairement une pathologie...
Nous en avons immédiatement discuté, se disant que c'était meurtrier pour un couple. Je savais avoir besoin de calme et de stabilité pour continuer moi-même à être calme et stable.
Bien que consciente de son problème, elle a jusqu'ici refusé d'aller voir quelqu'un, hormis un spécialiste du couple qui n'a rien réglé à rien. Et les choses sont allées crescendo jusqu'aujourd'hui, où après une énième journée de guerre froide, suite à une de ses sautes d'humeur à l'occasion du mariage d'un proche, qui m' a bien bousillé la journée alors que je traverse déjà une période difficile, je tombe sur le Mot Borderline.
A la lecture des définitions et témoignages, elle a enfin accepté dès demain de prendre des dispositions, d'aller voir quelqu'un.
Ce trouble, méconnu par la plupart des gens, a un potentiel destructeur effrayant, pour le malade ET pour son entourage.
Je pense que le chiffre avancé de 2% de la population française qui serait atteinte est largement sous-estimé.
Quel est le pourcentage réel de gens atteints, toutes mesures confondues, par ce type de troubles ou par quelque chose qui y ressemble? A mon humble avis si le chiffre pouvait être établi et divulgué (que personne ne le prenne mal, je vais faire un peu d'humour... H-U-M-O-U-R...) on distribuerait en pharmacie des camisoles et entonnoirs à se mettre sur la tête (pardon pour le cliché, je rapelle... humour), plutôt que des masques pour cette fameuse grippe... La société dans laquelle on "survit" tous n'arrange pas vraiment les choses...
En espérant que la touche d'humour, seul exutoire valable, avec la musique, que j'aie trouvé pour améliorer mon quotidien, n'aura en rien entamé la crédibilité de mon témoignage...
Bon courage à tous ceux qui, concernés par le sujet, parcoureront ces quelques lignes.
PS: La seule personne qui contrôle votre esprit, c'est vous-même. Votre cerveau est dans votre tête et c'est vous qui êtes aux commandes, collez-vous un post-it quelque part! ;)
Rencontrant des problèmes récurrents avec ma compagne (agée de 22 ans) depuis bientôt trois ans, j'ai entrepris des recherches et suis tombé, entre autres, sur ce post.
J'ai 8 ans de plus qu'elle, et j'identifie d'autant plus les signes précédent une crise que j'ai moi-même, souffert du même type de trouble, tout du moins de quelque chose qui y ressemble beaucoup...
Ce qui a été le déclic pour moi, c'est une rupture suite à mon comportement harceleur, il y a 6 ans, suivie d'une bonne année de dépression, avec consommation de cocaïne ainsi que de cannabis dans des proportions hallucinantes (le cannabis).
Le cocktail idéal pour bien tomber au fin fond du gouffre, avec en bonus une pioche pour continuer à creuser!
Quelques mots, dits par une connaissance, ont suffi à créer le déclic en ce qui me concerne: "Cette rupture, c'est la fin d'une vie... Et là on t'en redonne une (de vie)... Tu en fais quoi?
Ces quelques mots, ont suffi à me faire prendre de la hauteur sur la situation. (Par quel miracle? Je ne me l'explique pas!)
J'ai complètement et définitivement arrêté du jour au lendemain de consommer de la cocaïne, j'ai divisé ma consommation de cannabis par 10, je ne consomme pas d'alcool...
J'ai réfléchi sur ma personnalité, ma vie, sur le pourquoi du comment, et tout le "puzzle" s'est mis en place. C'était une expérience très particulière, inexpliquable en fait. Une sorte de méditation entreprise sans même le savoir. J'en ai par la suite à deux ou trois reprises parlé à des psychologues, qui m'ont confirmé que j'avais en quelque sorte fait ma psychanalyse tout seul. L'une d'entre eux avait même refusé de me faire payer la consultation car elle refusait de reçevoir de l'argent pour une "conversation" avec quelqu'un.
Mon problème est que ma compagne actuelle présente ce type de troubles, et a toutes les raisons de les présenter, compte tenu du climat particulier dans lequel elle a vécu toute sa vie jusqu'à notre rencontre...
J'ai rapidement identifié chez elle les signes de ce que je pensais alors être les changements d'humeur de monsieur et madame tout le monde, ceux qui minent les relations quotidiennes, mais qui ne sont pas nécessairement une pathologie...
Nous en avons immédiatement discuté, se disant que c'était meurtrier pour un couple. Je savais avoir besoin de calme et de stabilité pour continuer moi-même à être calme et stable.
Bien que consciente de son problème, elle a jusqu'ici refusé d'aller voir quelqu'un, hormis un spécialiste du couple qui n'a rien réglé à rien. Et les choses sont allées crescendo jusqu'aujourd'hui, où après une énième journée de guerre froide, suite à une de ses sautes d'humeur à l'occasion du mariage d'un proche, qui m' a bien bousillé la journée alors que je traverse déjà une période difficile, je tombe sur le Mot Borderline.
A la lecture des définitions et témoignages, elle a enfin accepté dès demain de prendre des dispositions, d'aller voir quelqu'un.
Ce trouble, méconnu par la plupart des gens, a un potentiel destructeur effrayant, pour le malade ET pour son entourage.
Je pense que le chiffre avancé de 2% de la population française qui serait atteinte est largement sous-estimé.
Quel est le pourcentage réel de gens atteints, toutes mesures confondues, par ce type de troubles ou par quelque chose qui y ressemble? A mon humble avis si le chiffre pouvait être établi et divulgué (que personne ne le prenne mal, je vais faire un peu d'humour... H-U-M-O-U-R...) on distribuerait en pharmacie des camisoles et entonnoirs à se mettre sur la tête (pardon pour le cliché, je rapelle... humour), plutôt que des masques pour cette fameuse grippe... La société dans laquelle on "survit" tous n'arrange pas vraiment les choses...
En espérant que la touche d'humour, seul exutoire valable, avec la musique, que j'aie trouvé pour améliorer mon quotidien, n'aura en rien entamé la crédibilité de mon témoignage...
Bon courage à tous ceux qui, concernés par le sujet, parcoureront ces quelques lignes.
PS: La seule personne qui contrôle votre esprit, c'est vous-même. Votre cerveau est dans votre tête et c'est vous qui êtes aux commandes, collez-vous un post-it quelque part! ;)
Bonjour, j'ai lu quelque commentaires ici, et j'en suis outrée. Ayant été diagnostiquée Borderline, je peux vous assurer a tout ceux qui prennent ce trouble comme quelque chose d'horrible que vous vous tromper. Nous ne sommes pas des gens dérangés qui n'aurant jamais d'amour et qui finiront par tous détruire autour de nous. Voyez-vous, étant dotés d'une hypersensibilité, nous ressentons des émotions et avons des perceptions différentes de la plupart des gens, ce qui nous rend plus attentif a plusieurs choses. Nous somem des personnes vrais, guidées par des émotions réelles qui nous poussent a tout donner. Nous sommes donc très sensibles aux personnes et a leur sentiments, et aussi aux causes qui nous tiennent a coeur, ce qui expliue pourquoi beaucoup de nous travaillent en environnement, auprès des malades, aupres des gens en diffiulté. Nous donnons tout e que nous avons, et parfois, espérons que les gens dits <normaux> en fasse autant. Oui nous sommes des gens passionés, de coeur et un peu extrêmistes. Cela ne nous rends pas impossible a aimer. ela fait de nous des êtres humains spéiaux, attachants et tres importants. Ouvrez vous un peu. Arrêter de juger sans comprendre. Ce n'est pas qu'un trouble de personnalité, c'est aussi une partie de nous qui comportent aussi ses qualités. Si vous nous juger et dites qu'on finira par tout dértruire, c'est peut-etre vous qui avez un probleme et qui manquer de sensibilité et de compréhension. Vous avez peur parce que vous n'arriver pas a comprendre notre vision un peu différente. Désolée de vous choquer, mais je crois que nous avons seulement besoin d'un peu de respect, de soutient, de compréhension et d'Indulgence de votre part. Merci, et â tous les borderlines, ne vous laissez pas desendre par des commentaires déplacés de gens ignorants.
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bonjour à tous,
voilà, je suis borderline et je vais bien. (on se croirait à une psychothérapie de groupe lol )
il faut savoir que nous ne sommes pas des gens inhumains, sans coeur et qui soient conscients pleinement de leurs actes dans un but destructeur. donc, pour résumer, ceux qui ne nous supportent pas, passez votre chemin car vos commentaires sont loin d’être formateurs. çà ne vous arrive jamais de piquer une colère ou d’être paumé? pourtant, borderline ou pas, çà arrive à tout le monde et c’est pas pour autant qu’on vous en tient forcément rigueur.
le stade de cette “maladie” varie selon les contextes, l’environnement et les gens qui nous entourent. personnellement, je suis passée de presque rien à tout (et bien dans ce sens). je me refusais tout, me recentrais sur moi même et m’étais isolée de toute vie sociale. au travail, je faisais mon travail de façon excessive et une fois la porte de mon appartement fermée, je me faisais oublier de toute compagnie humaine.
cependant, il a bien fallu sortir de cette situation et malgré ma bonne volonté, un bon psy et une analyse personnelle, il n’est pas toujours facile de se modérer. plus les gens qui vous entourent seront compatissants, plus votre attitude borderline s’atténuera. je reste persuadée que ce comportement peut s’effacer. pas parce que je veux m’en convaincre, mais parce qu’au fond, je sais que ce comportement n’est que la conséquence d’un évènement et c’est à cause de lui qu’on perd les pédales. c’est pourquoi j’ai décidé non pas de l’oublier mais d’accepter de vivre avec et à partir de là, (et beaucoup d’efforts et de volonté) je commence à relativiser mon quotidien. dès qu’une crise arrive, je m’isole prétextant n’importe quoi et à mon retour, j’en parle aisément avec mon conjoint qui m’écoute avec beaucoup d’empathie. cela n’a été facile ni pour l’un ni pour l’autre mais avec le temps, on s’est serré les coudes.
depuis peu, je me suis ouverte et j’ai envie de vivre pleinement et non survivre comme je le faisais auparavant. je sais que je n’ai plus peur de faire des choix car ils sont devenus pondérés et réfléchis, comme quoi, çà peut arriver!
faut pas non plus que les gens nous prennent pour des dingues, on n’est pas des monstres. c’est juste une hypersensibilité qu’il faut accompagner doucement et beaucoup de communication.
certes, je ne fais pas partie des extrêmes et je ne vis pas votre histoire mais en effet, certaines personnes ont besoin d’aide médicale approfondie.
je vous souhaite une bonne semaine à tous et bon courage.....
voilà, je suis borderline et je vais bien. (on se croirait à une psychothérapie de groupe lol )
il faut savoir que nous ne sommes pas des gens inhumains, sans coeur et qui soient conscients pleinement de leurs actes dans un but destructeur. donc, pour résumer, ceux qui ne nous supportent pas, passez votre chemin car vos commentaires sont loin d’être formateurs. çà ne vous arrive jamais de piquer une colère ou d’être paumé? pourtant, borderline ou pas, çà arrive à tout le monde et c’est pas pour autant qu’on vous en tient forcément rigueur.
le stade de cette “maladie” varie selon les contextes, l’environnement et les gens qui nous entourent. personnellement, je suis passée de presque rien à tout (et bien dans ce sens). je me refusais tout, me recentrais sur moi même et m’étais isolée de toute vie sociale. au travail, je faisais mon travail de façon excessive et une fois la porte de mon appartement fermée, je me faisais oublier de toute compagnie humaine.
cependant, il a bien fallu sortir de cette situation et malgré ma bonne volonté, un bon psy et une analyse personnelle, il n’est pas toujours facile de se modérer. plus les gens qui vous entourent seront compatissants, plus votre attitude borderline s’atténuera. je reste persuadée que ce comportement peut s’effacer. pas parce que je veux m’en convaincre, mais parce qu’au fond, je sais que ce comportement n’est que la conséquence d’un évènement et c’est à cause de lui qu’on perd les pédales. c’est pourquoi j’ai décidé non pas de l’oublier mais d’accepter de vivre avec et à partir de là, (et beaucoup d’efforts et de volonté) je commence à relativiser mon quotidien. dès qu’une crise arrive, je m’isole prétextant n’importe quoi et à mon retour, j’en parle aisément avec mon conjoint qui m’écoute avec beaucoup d’empathie. cela n’a été facile ni pour l’un ni pour l’autre mais avec le temps, on s’est serré les coudes.
depuis peu, je me suis ouverte et j’ai envie de vivre pleinement et non survivre comme je le faisais auparavant. je sais que je n’ai plus peur de faire des choix car ils sont devenus pondérés et réfléchis, comme quoi, çà peut arriver!
faut pas non plus que les gens nous prennent pour des dingues, on n’est pas des monstres. c’est juste une hypersensibilité qu’il faut accompagner doucement et beaucoup de communication.
certes, je ne fais pas partie des extrêmes et je ne vis pas votre histoire mais en effet, certaines personnes ont besoin d’aide médicale approfondie.
je vous souhaite une bonne semaine à tous et bon courage.....
Bonjour,
Ton conjoint a beaucoup de chances de t'avoir à ses côtés car ta prise de conscience donne des raisons d'espérer. Je suis bien d'accord avec toi sur le fait que les borderline (dont l'étendue des variétés n'autorise pas les généralités) ont, malgré tout, un désir sincère et profond de développer un lien affectif authentique avec l'autre mais que leur dérégulation émotionnelle vient trop souvent contredire. La sensation pour le proche d'être manipulé, contrôlé, exploité et même agressé est pourtant bien légitime. Et il en vient d'ailleurs parfois a passer lui-même à la manipulation et au contrôle de l'autre quand la croyance ferme que l'amour et les encouragements suffisent s'estompe. Il n'y a pas si longtemps que j'ai compris que face au déni de ma compagne et son refus de soins, il était devenu inutile de réagir avec logique qui n'a que trop peu souvent sa place dans son univers tant sa vie semble régie par toute sortes de lois étranges. Voila bientôt un mois qu'elle a quitté brutalement le domicile en prétextant que c'était elle qui devait se protéger de moi. Il me faut reconnaître qu'après avoir été agressé physiquement 3 fois et trompé de façon ostentatoire, j'ai craqué et lui ai administré une grosse gifle que je regrette encore. La première et j'espère, la dernière que j'ai donnée à une femme à 45 ans. Depuis, nous sommes chacun dans une situation de non contact mais j'ai appris récemment par un ami commun qu'elle me dénigrait auprès de qui voulait l'entendre en me faisant passer pour un fou dangereux. Si je n'avais pas un cercle d'amis puissants et d'excellents thérapeutes pour m'accompagner dans cette épreuve, j'ai peur d'imaginer ce qui pourrait se passer. Tenez bon tous les deux et soyez heureux !
Ton conjoint a beaucoup de chances de t'avoir à ses côtés car ta prise de conscience donne des raisons d'espérer. Je suis bien d'accord avec toi sur le fait que les borderline (dont l'étendue des variétés n'autorise pas les généralités) ont, malgré tout, un désir sincère et profond de développer un lien affectif authentique avec l'autre mais que leur dérégulation émotionnelle vient trop souvent contredire. La sensation pour le proche d'être manipulé, contrôlé, exploité et même agressé est pourtant bien légitime. Et il en vient d'ailleurs parfois a passer lui-même à la manipulation et au contrôle de l'autre quand la croyance ferme que l'amour et les encouragements suffisent s'estompe. Il n'y a pas si longtemps que j'ai compris que face au déni de ma compagne et son refus de soins, il était devenu inutile de réagir avec logique qui n'a que trop peu souvent sa place dans son univers tant sa vie semble régie par toute sortes de lois étranges. Voila bientôt un mois qu'elle a quitté brutalement le domicile en prétextant que c'était elle qui devait se protéger de moi. Il me faut reconnaître qu'après avoir été agressé physiquement 3 fois et trompé de façon ostentatoire, j'ai craqué et lui ai administré une grosse gifle que je regrette encore. La première et j'espère, la dernière que j'ai donnée à une femme à 45 ans. Depuis, nous sommes chacun dans une situation de non contact mais j'ai appris récemment par un ami commun qu'elle me dénigrait auprès de qui voulait l'entendre en me faisant passer pour un fou dangereux. Si je n'avais pas un cercle d'amis puissants et d'excellents thérapeutes pour m'accompagner dans cette épreuve, j'ai peur d'imaginer ce qui pourrait se passer. Tenez bon tous les deux et soyez heureux !
bonjour,
1ère chose , la personnalité borderline ne passe pas avec le temps.
2/ ta copine a eu ce diagnostic en France ? ( car en Suisse, ils ont le diagnostic borderline facile malgré le grand respect que je porte aux Helvètes )
2 / qu'est ce la personnalité borderline ? en gros c'est entre le névrosé ( personnalité "normale") et le psychotique ( qui est celui qui entend des voix, et peut être délirant). c'est donc assez déstructuré avec une difficulté à gérer la frustration, à construire dans le temps, à accepter les règles de la société.il y a une très grande angoisse et une dépression de base, avec une tendance à soit adorer quelqu'un , soit à le rejeter de facon tout aussi passionnée. si tu es un névrosé.....tu vas avoir du mal à tenir car ces personnalités sont peu compatibles. ( j'ai essayé de livrer mon expérience professionnelle de la façon la plus claire possible en espérant ne pas avoir "contrarié" certains lecteurs. )
1ère chose , la personnalité borderline ne passe pas avec le temps.
2/ ta copine a eu ce diagnostic en France ? ( car en Suisse, ils ont le diagnostic borderline facile malgré le grand respect que je porte aux Helvètes )
2 / qu'est ce la personnalité borderline ? en gros c'est entre le névrosé ( personnalité "normale") et le psychotique ( qui est celui qui entend des voix, et peut être délirant). c'est donc assez déstructuré avec une difficulté à gérer la frustration, à construire dans le temps, à accepter les règles de la société.il y a une très grande angoisse et une dépression de base, avec une tendance à soit adorer quelqu'un , soit à le rejeter de facon tout aussi passionnée. si tu es un névrosé.....tu vas avoir du mal à tenir car ces personnalités sont peu compatibles. ( j'ai essayé de livrer mon expérience professionnelle de la façon la plus claire possible en espérant ne pas avoir "contrarié" certains lecteurs. )
Je voudrais juste, à la lecture de certaines interventions, rappeler que n'importe qui peut écrire sur un forum...et que ceux qui emploie un vocabulaire un peu technique ne sont pas ceux qui veulent le plus rendre service...à celui qui est ainsi et qui dit que la personnalité borderline ne passe pas, je réponds de se renseigner sur les troubles iatrogènes s'il travaille en milieu médical ou psy!
Hormis cela, je vis moi aussi avec un homme ayant une personnalité borderline (mais sans tentative de suicide, ni mutilation...), il a plus de 30 ans, et son impulsvité, ses angoisses etc diminuent de manière très visible. Il voit un psy. Avec de la stabilité et une thérapie (parfois il faut d'abord un traitement médicamenteux) ça s'améliore.
Il faut avoir confiance.
Cela dit, si l'autre devient trop destructeur ou refuse de l'aide, il faut peut-être se demander ce qui est le mieux pour nous et savoir refuser ce qui nous fait du mal. Tout accepter du borderline ne l'aide pas, je crois, et n'est pas vivable me semble-t-il à long terme...
En ce qui me concerne-mais chacun est différent- au début de notre relation, mon conjoint par exemple m'a insultée, et n'arrêtait pas tant que je ne pleurais pas...il testait sans cesse mes limites! Au moment de la crise il ne m'entendais pas. Une fois la crise passé, je posais les limites en ces termes "je t'aime, malgré tout, et je te pardonne mais je ne supporterai plus d'être insultée. L'idée qu'un jour le père de mes enfants puisse insulter leur mère devant eux, je la refuse. Cependant, j'ai envie que nous aillons des enfants ensemble, parce que je suis convaincue que tu seras un père merveilleux comme tu peux être le plus merveilleux des conjoints"
C'est pas une recette magique, c'est un exemple, très intime, très personnel, de ce qui s'est joué au début de notre relation...c'est laborieux, mais pour nous ça fonctionne pas trop mal...
Bon courage et que chacun trouve son bonheur...
Hormis cela, je vis moi aussi avec un homme ayant une personnalité borderline (mais sans tentative de suicide, ni mutilation...), il a plus de 30 ans, et son impulsvité, ses angoisses etc diminuent de manière très visible. Il voit un psy. Avec de la stabilité et une thérapie (parfois il faut d'abord un traitement médicamenteux) ça s'améliore.
Il faut avoir confiance.
Cela dit, si l'autre devient trop destructeur ou refuse de l'aide, il faut peut-être se demander ce qui est le mieux pour nous et savoir refuser ce qui nous fait du mal. Tout accepter du borderline ne l'aide pas, je crois, et n'est pas vivable me semble-t-il à long terme...
En ce qui me concerne-mais chacun est différent- au début de notre relation, mon conjoint par exemple m'a insultée, et n'arrêtait pas tant que je ne pleurais pas...il testait sans cesse mes limites! Au moment de la crise il ne m'entendais pas. Une fois la crise passé, je posais les limites en ces termes "je t'aime, malgré tout, et je te pardonne mais je ne supporterai plus d'être insultée. L'idée qu'un jour le père de mes enfants puisse insulter leur mère devant eux, je la refuse. Cependant, j'ai envie que nous aillons des enfants ensemble, parce que je suis convaincue que tu seras un père merveilleux comme tu peux être le plus merveilleux des conjoints"
C'est pas une recette magique, c'est un exemple, très intime, très personnel, de ce qui s'est joué au début de notre relation...c'est laborieux, mais pour nous ça fonctionne pas trop mal...
Bon courage et que chacun trouve son bonheur...
Salut,jsui moi même possédé par cette maladie.Je l'ai découvert il y a deux ans,par mon ex,qui faisait des études de psycho.
Je savais que,depuis tout petit,ça tournait pas rond dans ma tête...
J'ai 24 ans,je suis multitoxicomane(alcool,et toutes les drogues)depuis l'âge de 12ans.
Ca fait 2ans que j'ai quitté la fille avec qui j'étais depuis l'age de 16ans,sur un coup de tête.
Aujourd'hui,je m'en mords encore les doigts,parce qu'elle me manque énormément,et parceque je l'aime encore.
Ce n'est pas une maladie que l'on peur guérir,et surtout pas avec les méthodes que l'on utilise pour éduquer un ado(excuse moi,mais je dis çà pour toi étoile)
Plus on a essayé de me donner des limites,plus je suis passé au dela.Cela aurait été plus simple si j'avais eu des parents objectifs!J'ai fais une tentative de suicide à 14ans,en cour...Je me suis ouvert les veines et j'en ai encore les cicatrices.Je sais ,avec du recul,que çà ressemble à un comportement d'adolescent mal dans sa peau,sauf que pour moi,ce passage de l'adolescence n'est pas resté qu'un "passage" de mon éxistence.Je suis mal dans ma peau, c'est tout!J'ai souvent l'impréssion d'être encore un enfant,mais je fais tout pour paraître adulte.(travail,appartement,voiture)
Rentré de ma journée de boulot,je me défonce la gueule,je bois et je me drogue pour compenser le fait d'avoir eu une apparence normale toute la journée.Je me cache.J'ai rompu tous les contacts avec mes amis,avec ma meuf.je déteste les gens,mais j'ai le sentiment d'avoir besoin d'eux.Je me conforte dans ma solitude,que j'ai moi même créé,pour ne plus faire soufrir mon entourage,à cause de mon comportement.J'ai une très faible estime de moi-même,j'ai l'impréssion d'ètre innutile,de ne pas être à ma place,dans ce corps.C'est pour çà que je le détruit.
Je n'arrive pas à accepter le fait de vivre.Pour moi,la vie,c'est pas normal.
Pour répondre à ta question,Katbabou2,je ne pense pas que tu puisse faire quoi que se soit pour ton amis,à part la soutenir,et lui tenir companie,parce que toute l'affection que tu pourra lui donner ne sera jamais suffisante.
Quoi qu'on fasse,j'ai toujours se sentiment de manquer d'amour,et c'est vraiment pesant,surtout quand on aime pas les gens!
Je savais que,depuis tout petit,ça tournait pas rond dans ma tête...
J'ai 24 ans,je suis multitoxicomane(alcool,et toutes les drogues)depuis l'âge de 12ans.
Ca fait 2ans que j'ai quitté la fille avec qui j'étais depuis l'age de 16ans,sur un coup de tête.
Aujourd'hui,je m'en mords encore les doigts,parce qu'elle me manque énormément,et parceque je l'aime encore.
Ce n'est pas une maladie que l'on peur guérir,et surtout pas avec les méthodes que l'on utilise pour éduquer un ado(excuse moi,mais je dis çà pour toi étoile)
Plus on a essayé de me donner des limites,plus je suis passé au dela.Cela aurait été plus simple si j'avais eu des parents objectifs!J'ai fais une tentative de suicide à 14ans,en cour...Je me suis ouvert les veines et j'en ai encore les cicatrices.Je sais ,avec du recul,que çà ressemble à un comportement d'adolescent mal dans sa peau,sauf que pour moi,ce passage de l'adolescence n'est pas resté qu'un "passage" de mon éxistence.Je suis mal dans ma peau, c'est tout!J'ai souvent l'impréssion d'être encore un enfant,mais je fais tout pour paraître adulte.(travail,appartement,voiture)
Rentré de ma journée de boulot,je me défonce la gueule,je bois et je me drogue pour compenser le fait d'avoir eu une apparence normale toute la journée.Je me cache.J'ai rompu tous les contacts avec mes amis,avec ma meuf.je déteste les gens,mais j'ai le sentiment d'avoir besoin d'eux.Je me conforte dans ma solitude,que j'ai moi même créé,pour ne plus faire soufrir mon entourage,à cause de mon comportement.J'ai une très faible estime de moi-même,j'ai l'impréssion d'ètre innutile,de ne pas être à ma place,dans ce corps.C'est pour çà que je le détruit.
Je n'arrive pas à accepter le fait de vivre.Pour moi,la vie,c'est pas normal.
Pour répondre à ta question,Katbabou2,je ne pense pas que tu puisse faire quoi que se soit pour ton amis,à part la soutenir,et lui tenir companie,parce que toute l'affection que tu pourra lui donner ne sera jamais suffisante.
Quoi qu'on fasse,j'ai toujours se sentiment de manquer d'amour,et c'est vraiment pesant,surtout quand on aime pas les gens!
Tu es conscient de ton probleme; et par ton recit, j'ai l'impression que tu veux t'en sortir.
Les borderline sont des personnes en manque d'amour et d'affection.Ils en exigent plus que d'autres.
Ce sont des personnes qui manquent de confiance en elles, se devalorisent et finissent par se dtruire malgré elle.
Elles se posent toujours des questions auxquelles personne ne pourra leur donner de reponse.
Elles "bouffent" l'energie de leur entourage .
Pour elles tout doit aller pour le mieux,a la moindre difficulté c'est la montagne a surmonter.....
Tout vient de l'enfance, et de la famille dans lesquelles elles ont grandi,cette famille qui leur demandait peut etre trop des leur plus jeune age; depassement de soi, faire mieux que les autres, ne pas decevoir ceux que l'on aime . Et le passage de l'enfance a l'adolescence a derapé, comme le passage à l'age adulte.
Ces deux phases n'ont pas pu etre realisees avec conscience et lucidité car la souffrance psychologique etait deja installée depuis longtemps.
D'ou des eternels enfants......................
Le remede je pense est dans le regard et le comportement des autres, ce n'est pas facile, je sais.
Et il est vrai que la solitude les plonge dans un climat rassurant;
ils se disent que ce monde n'est pas fait pour eux...........moi je dirais, ce sont eux qui ne sont pas faits pour ce monde.
Courage............
Les borderline sont des personnes en manque d'amour et d'affection.Ils en exigent plus que d'autres.
Ce sont des personnes qui manquent de confiance en elles, se devalorisent et finissent par se dtruire malgré elle.
Elles se posent toujours des questions auxquelles personne ne pourra leur donner de reponse.
Elles "bouffent" l'energie de leur entourage .
Pour elles tout doit aller pour le mieux,a la moindre difficulté c'est la montagne a surmonter.....
Tout vient de l'enfance, et de la famille dans lesquelles elles ont grandi,cette famille qui leur demandait peut etre trop des leur plus jeune age; depassement de soi, faire mieux que les autres, ne pas decevoir ceux que l'on aime . Et le passage de l'enfance a l'adolescence a derapé, comme le passage à l'age adulte.
Ces deux phases n'ont pas pu etre realisees avec conscience et lucidité car la souffrance psychologique etait deja installée depuis longtemps.
D'ou des eternels enfants......................
Le remede je pense est dans le regard et le comportement des autres, ce n'est pas facile, je sais.
Et il est vrai que la solitude les plonge dans un climat rassurant;
ils se disent que ce monde n'est pas fait pour eux...........moi je dirais, ce sont eux qui ne sont pas faits pour ce monde.
Courage............
Bellea
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6 mars 2009 à 04:20
6 mars 2009 à 04:20
Je suis bordeline.
Vous mettez comme excuse la maladie pour plusieurs mauvais comportements qui n'est pas causés par ce trouble de personnalité.
Je suis borderline jusqu'aux bouts des doigts, suivit par deux pychiatres. Je n'ai jamais insulté mon époux et mes enfants. Je ne suis pas violente.
Vous mélangez pleins de comportements qui est que de la violence pure avec le diagnostique bordeline. La violence verbale et physique ne s'excuse pas avec ce diagnostique. Ce sont deux choses bien distincte.
Un homme ou une femme qui bat sont conjouint (e), verbalement, phyquement ou autres n'a aucune excuse, quittez le(la).
Bordeline n'égale pas la violence. Etre bordeline, c'est avoir un vide en dedans, une douleur vive qu'on tente de soulagé par diverse automutilation. C'est la peur extrème d'etre rejeté. Une enfance habituellement difficile, ou l'enfant a été victime de violence physique, verbal et sexuelle. C,est une douleur a la poitrine, qui brule constament et que nous cherchons des moyens de soulagé. Impulsif dans nos choix, dans nos vies.
Pauvre petit il m'a frappé car il est bordeline FOUTASSE !!! Etre bordeline ne signifi pas etre violent, ne signifie pas etre lache et ne signifie pas etre sans génie.
Vous mettez comme excuse la maladie pour plusieurs mauvais comportements qui n'est pas causés par ce trouble de personnalité.
Je suis borderline jusqu'aux bouts des doigts, suivit par deux pychiatres. Je n'ai jamais insulté mon époux et mes enfants. Je ne suis pas violente.
Vous mélangez pleins de comportements qui est que de la violence pure avec le diagnostique bordeline. La violence verbale et physique ne s'excuse pas avec ce diagnostique. Ce sont deux choses bien distincte.
Un homme ou une femme qui bat sont conjouint (e), verbalement, phyquement ou autres n'a aucune excuse, quittez le(la).
Bordeline n'égale pas la violence. Etre bordeline, c'est avoir un vide en dedans, une douleur vive qu'on tente de soulagé par diverse automutilation. C'est la peur extrème d'etre rejeté. Une enfance habituellement difficile, ou l'enfant a été victime de violence physique, verbal et sexuelle. C,est une douleur a la poitrine, qui brule constament et que nous cherchons des moyens de soulagé. Impulsif dans nos choix, dans nos vies.
Pauvre petit il m'a frappé car il est bordeline FOUTASSE !!! Etre bordeline ne signifi pas etre violent, ne signifie pas etre lache et ne signifie pas etre sans génie.
oui, je suis tout à fait d accord avec toi, tout ce que décrivent certains ce n est pas du à la maladie, ce serait trop facile!! la maladie n excuse pas tout, il y a certaines personnes qui ont un mauvais fond , ne mélanger pas tout ou plutot arreter de leur trouver des excuses à ces personnes qui vous font tant de mal .
Bonjour,
Je comprends tout à fait ton attitude. j'ai vécu pendant 3 ans avec une borderline également. Je devais me marrier mais devant les insultes et les crises de boulimie, d'euphorie à répétition, j'ai tout annulé qq mois avant pour.. me protéger!
Les borderline sont des victimes de leur enfance et nous également!
Protégez-vous avant de vouloir jouer les sauveurs! Seuls des professionnels (psychiatre) allié à un traitement médical (antidépresseurs) peuvent améliorer la situation. Sans cela, c'est impossible!
Courage à vous
Je comprends tout à fait ton attitude. j'ai vécu pendant 3 ans avec une borderline également. Je devais me marrier mais devant les insultes et les crises de boulimie, d'euphorie à répétition, j'ai tout annulé qq mois avant pour.. me protéger!
Les borderline sont des victimes de leur enfance et nous également!
Protégez-vous avant de vouloir jouer les sauveurs! Seuls des professionnels (psychiatre) allié à un traitement médical (antidépresseurs) peuvent améliorer la situation. Sans cela, c'est impossible!
Courage à vous
Quand on aime une personne, on l'accepte avec ses qualités et ses defauts.
L'etre parfait n'existe pas! seulement dans vos fantasmes.
Si vous aimez un ou une borderline, aidez le; car il souffre plus que vous.
Il a surtout besoin d'etre arssuré et de dialogues.............
L'etre parfait n'existe pas! seulement dans vos fantasmes.
Si vous aimez un ou une borderline, aidez le; car il souffre plus que vous.
Il a surtout besoin d'etre arssuré et de dialogues.............
Bonjour Cynthia,
Entièrement d'accord avec tes deux premières lignes mais plus nuancé sur la suite.
Pour pouvoir aider une personne "borderline" ou TPL, il faut d'une part qu'elle soit consciente de son trouble et pas dans le déni et d'autre part qu'elle accepte l'aide que son entourage veut lui apporter. Ce qui est malheureusement rarement le cas ou tout au moins pas de façon durable.
A sa décharge, il faut que cette aide ne se transforme pas en un maladroit sauvetage inconsciemment culpabilisant. Et comme ces personnes vivent toutes leurs émotions ++++..., il leur faut un ou une partenaire qui puisse être 200% à leur écoute, un vrai "métier" à plein temps. Ce que je n'ai probablement pas pu ou pas su mettre en oeuvre à temps avec ma chérie car ce n'est qu'au bout de 3 ans de notre vie commune que j'ai pu mettre un nom sur ses comportements étranges et de plus en plus violents. J'avais l'impression de participer à une course pour laquelle elle déplaçait la ligne d'arrivée chaque fois que je m'en approchais pour ensuite me reprocher mon incompétence. De plus, ce trouble de la personnalité est très souvent accompagné d'un ou plusieurs autres comportements troubles, érotomanie dans le cas de ma compagne. J'étais donc en compétition avec un "fantôme". Avec moi qui était et qui suis toujours accro à elle comme à une drogue dure tant que je perdais mon contrôle chaque fois qu'elle essayait de me quitter, ça ne l'a pas fait. Je ne sais plus qui a dit "L'expérience, c'est que qui vient quand il est trop tard pour s'en servir" mais je suis en train d'en faire l'amère expérience. C'est terriblement frustrant de me dire qu'en ayant eu un comportement plus adapté plus tôt (la rassurer, l'écouter et lui parler plus et mieux), les choses se seraient peut-être passées différemment. Malheureusement, l'amour le plus puissant ne peut pas tout.
Entièrement d'accord avec tes deux premières lignes mais plus nuancé sur la suite.
Pour pouvoir aider une personne "borderline" ou TPL, il faut d'une part qu'elle soit consciente de son trouble et pas dans le déni et d'autre part qu'elle accepte l'aide que son entourage veut lui apporter. Ce qui est malheureusement rarement le cas ou tout au moins pas de façon durable.
A sa décharge, il faut que cette aide ne se transforme pas en un maladroit sauvetage inconsciemment culpabilisant. Et comme ces personnes vivent toutes leurs émotions ++++..., il leur faut un ou une partenaire qui puisse être 200% à leur écoute, un vrai "métier" à plein temps. Ce que je n'ai probablement pas pu ou pas su mettre en oeuvre à temps avec ma chérie car ce n'est qu'au bout de 3 ans de notre vie commune que j'ai pu mettre un nom sur ses comportements étranges et de plus en plus violents. J'avais l'impression de participer à une course pour laquelle elle déplaçait la ligne d'arrivée chaque fois que je m'en approchais pour ensuite me reprocher mon incompétence. De plus, ce trouble de la personnalité est très souvent accompagné d'un ou plusieurs autres comportements troubles, érotomanie dans le cas de ma compagne. J'étais donc en compétition avec un "fantôme". Avec moi qui était et qui suis toujours accro à elle comme à une drogue dure tant que je perdais mon contrôle chaque fois qu'elle essayait de me quitter, ça ne l'a pas fait. Je ne sais plus qui a dit "L'expérience, c'est que qui vient quand il est trop tard pour s'en servir" mais je suis en train d'en faire l'amère expérience. C'est terriblement frustrant de me dire qu'en ayant eu un comportement plus adapté plus tôt (la rassurer, l'écouter et lui parler plus et mieux), les choses se seraient peut-être passées différemment. Malheureusement, l'amour le plus puissant ne peut pas tout.
sinon pour savoir comment vivre avec une personne borderline, faut déjà savoir à quel point elle l'est
on est tous différents...
avoir un tempérament borderline c'est pas ça la vrais pathologie...
c'est ce qui entraine les pathologie que les psy diagnostiques.
mais les psy nous vois quasiment que comme des cas... des cas clinique et pas des personne...
je crois que pouvoir vivre avec quelqu'un de borderline n'est pas donnée à tout le monde
il faut là comprendre déjà, pouvoir comprendre comment elle fonctionne, et ça tut le monde n'en est pas capable... mais l'amour donne des ailes ^^
mais le but ne devrais pas être de vivre avec une personne borderline, mais de trouver un moyen de guérir la personne que l'on aime pour pouvoir vivre avec non?
on est tous différents...
avoir un tempérament borderline c'est pas ça la vrais pathologie...
c'est ce qui entraine les pathologie que les psy diagnostiques.
mais les psy nous vois quasiment que comme des cas... des cas clinique et pas des personne...
je crois que pouvoir vivre avec quelqu'un de borderline n'est pas donnée à tout le monde
il faut là comprendre déjà, pouvoir comprendre comment elle fonctionne, et ça tut le monde n'en est pas capable... mais l'amour donne des ailes ^^
mais le but ne devrais pas être de vivre avec une personne borderline, mais de trouver un moyen de guérir la personne que l'on aime pour pouvoir vivre avec non?
Bonjour à tous,
Je viens demander de l'aide, des conseils, quelques mots de réconfort, car je ne sais vraiment plus où j'en suis.
Mon ami, avec qui je suis - et avec qui je vis - depuis près de huit mois est, j'en suis presque persuadée, borderline.
Au début, il était gentil, doux, attentionné, souriant, vraiment adorable. Mais la situation s'est peu à peu dégradée ( changements d'humeur incompréhensibles, petites colères, bouderies .... ) et aujourd'hui je ne sais plus où j'en suis, je n'ai plus de repères, je me sens complètement perdue.
Plus j'essaie d'être douce, gentille, patiente, compréhensive, plus il m'en fait baver !!
Des crises de colère épouvantables pour rien ( une attitude qui lui aurait déplu, un mot de travers .... ). La semaine dernière, j'ai bien cru devenir folle : pendant des heures et des heures il m'a insultée, dénigrée, réduite à néant. J'étais folle, personne ne m'aimait, j'étais vieille, laide, j'avais raté ma vie, j'étais une " chienne" une ordure et c'est sûr, il n'avait aucun sentiment pour moi . " T'es qu'une merde,ne cessait-il de me répéter , t'es qu'une merde et je vais te quitter. A cause de toi je suis malade, déprimé.... Tu crois que tu vas gâcher ma vie ou quoi ?? Je te laisserais pas me détruire, salope va !! " A la fin, j'étais à genoux, en pleurs, à répéter bêtement " oui excuse-moi, je suis qu'une merde, t'as raison mais je t'en prie ne me quitte pas. Je te jure, je vais faire des efforts". Vous imaginez ?? Je ne savais plus qui j'étais, je ne savais plus qui, de nous deux, était en train de dérailler. C'était comme si la réalité, tous mes repères habituels, s'étaient dissous. Et lui, le regard chargé de haine et de menaces, lui, je ne le reconnaissais pas, il était quelqu'un d'autre. Il paraissait presque en transe. A la fin, après des heures et des heures de ce calvaire insensé, il m'a jeté des chips à la figure puis il m'a forcée à m'agenouiller sur le sol en ricanant " ne bouge pas, salope !! Tu vas voir qui commande ici, tu vas voir. Maintenant, je vais aller chez mon ex, je vais faire l'amour avec elle - moultes détails et rictus obscènes - et quand j'aurai fini, je reviendrai peut-être ". A ce moment là, à moitié folle de douleur, en voulant me relever, je me suis coupée la main. Il y avait du sang partout. Il s'est calmé presqu aussitôt, il est redevenu le garçon doux et protecteur que j'aime " là là, calme-toi, je vais nettoyer ta blessure, chut ( j'étais limite en pleine crise de nerf, je ne pouvais plus m'arrêter de pleurer, mon Dieu c'était pathétique !! ) ça va aller, t'inquiète pas, je ne vais nulle part, je reste avec toi .... "
Par la suite, il s'est excusé moultes fois, il semblait détruit, profondément affecté, il m'a promis de ne jamais recommencer, il m'a dit qu'il m'aimait ( mots qu'il ne prononce pas franchement facilement ) et qu'il regrettait.... Pendant quelques jours, il a été adorable, aimant ;;;;
Ca fait trois jours, il a disparu. Il est sorti pour faire une bricole et depuis, plus de nouvelle !! Son meilleur ami non plus. Je n'y comprends plus rien, je n'en peux plus. Que se passe-t-il dans sa tête ??
Je suis une fille douce, aimante, passionnée, charmante, j'adore la poésie et la littérature, je fais du théâtre et je pense être assez jolie ....
Que veut-il, lui ?? Pourquoi se comporte-t-il de la sorte ??
Je viens demander de l'aide, des conseils, quelques mots de réconfort, car je ne sais vraiment plus où j'en suis.
Mon ami, avec qui je suis - et avec qui je vis - depuis près de huit mois est, j'en suis presque persuadée, borderline.
Au début, il était gentil, doux, attentionné, souriant, vraiment adorable. Mais la situation s'est peu à peu dégradée ( changements d'humeur incompréhensibles, petites colères, bouderies .... ) et aujourd'hui je ne sais plus où j'en suis, je n'ai plus de repères, je me sens complètement perdue.
Plus j'essaie d'être douce, gentille, patiente, compréhensive, plus il m'en fait baver !!
Des crises de colère épouvantables pour rien ( une attitude qui lui aurait déplu, un mot de travers .... ). La semaine dernière, j'ai bien cru devenir folle : pendant des heures et des heures il m'a insultée, dénigrée, réduite à néant. J'étais folle, personne ne m'aimait, j'étais vieille, laide, j'avais raté ma vie, j'étais une " chienne" une ordure et c'est sûr, il n'avait aucun sentiment pour moi . " T'es qu'une merde,ne cessait-il de me répéter , t'es qu'une merde et je vais te quitter. A cause de toi je suis malade, déprimé.... Tu crois que tu vas gâcher ma vie ou quoi ?? Je te laisserais pas me détruire, salope va !! " A la fin, j'étais à genoux, en pleurs, à répéter bêtement " oui excuse-moi, je suis qu'une merde, t'as raison mais je t'en prie ne me quitte pas. Je te jure, je vais faire des efforts". Vous imaginez ?? Je ne savais plus qui j'étais, je ne savais plus qui, de nous deux, était en train de dérailler. C'était comme si la réalité, tous mes repères habituels, s'étaient dissous. Et lui, le regard chargé de haine et de menaces, lui, je ne le reconnaissais pas, il était quelqu'un d'autre. Il paraissait presque en transe. A la fin, après des heures et des heures de ce calvaire insensé, il m'a jeté des chips à la figure puis il m'a forcée à m'agenouiller sur le sol en ricanant " ne bouge pas, salope !! Tu vas voir qui commande ici, tu vas voir. Maintenant, je vais aller chez mon ex, je vais faire l'amour avec elle - moultes détails et rictus obscènes - et quand j'aurai fini, je reviendrai peut-être ". A ce moment là, à moitié folle de douleur, en voulant me relever, je me suis coupée la main. Il y avait du sang partout. Il s'est calmé presqu aussitôt, il est redevenu le garçon doux et protecteur que j'aime " là là, calme-toi, je vais nettoyer ta blessure, chut ( j'étais limite en pleine crise de nerf, je ne pouvais plus m'arrêter de pleurer, mon Dieu c'était pathétique !! ) ça va aller, t'inquiète pas, je ne vais nulle part, je reste avec toi .... "
Par la suite, il s'est excusé moultes fois, il semblait détruit, profondément affecté, il m'a promis de ne jamais recommencer, il m'a dit qu'il m'aimait ( mots qu'il ne prononce pas franchement facilement ) et qu'il regrettait.... Pendant quelques jours, il a été adorable, aimant ;;;;
Ca fait trois jours, il a disparu. Il est sorti pour faire une bricole et depuis, plus de nouvelle !! Son meilleur ami non plus. Je n'y comprends plus rien, je n'en peux plus. Que se passe-t-il dans sa tête ??
Je suis une fille douce, aimante, passionnée, charmante, j'adore la poésie et la littérature, je fais du théâtre et je pense être assez jolie ....
Que veut-il, lui ?? Pourquoi se comporte-t-il de la sorte ??
bah si il est parti c'est certainement parce qu'après la crise qu'il à faite, il se dis que si il reste avec toi il va te faire souffrir...
quand tu pourras lui reparler (parce qu'a mon avis il reviendra... si il à du mal à gérer ses émotions il ne pourra surement se retenir longtemps) essaye d'ouvrir un dialogue avec lui à propos de ça... c'est le seul moyen que tu peux avoir de l'aider, mais ne soit pas "trop" compréhensive ou complaisante parce que tu pense qu'il est comme ça à cause d'une pathologie... même si c'est le cas, il faut bien qu'il assume la responsabilité de ses actes, et puis ça ne l'aiderais pas de toutes façon...
quand tu pourras lui reparler (parce qu'a mon avis il reviendra... si il à du mal à gérer ses émotions il ne pourra surement se retenir longtemps) essaye d'ouvrir un dialogue avec lui à propos de ça... c'est le seul moyen que tu peux avoir de l'aider, mais ne soit pas "trop" compréhensive ou complaisante parce que tu pense qu'il est comme ça à cause d'une pathologie... même si c'est le cas, il faut bien qu'il assume la responsabilité de ses actes, et puis ça ne l'aiderais pas de toutes façon...
Bonsoir Natty,
J'ai lu ton message et j'ai mal pour toi parce que j'ai vécu ca pendant 5 ans et j'en pouvais plus.
Alors quand j'etais au fond du trou, a force de le pardonner, j'ai fini par craquer et lui dire que tout etait fin entre nous, et que son unique chance etait d'aller voir un psy. puis je suis parti pendant 1 mois.
ce mois la, il n'arretait pas de m'ecrire en colére contre moi et je n'ai rien laissé passer.
a la fin du mois il est allé voir un psychologue qui lui a dit d'aller voir un psychiatre pour prendre des médicaments.
Depuis, j'ai plus le meme homme, ayant vu qu'il faisait un effort je suis retourner avec lui. Il est doux, gentil, et a un comportement tout a fait normal.
Il faut dire qu'il continu a voir le psychologue une fois tous les 15 jours et que sans doute il a eu vraiment peur de me perdre parce que cette fois ci j'ai tenu bon.
ALors ce que je peux te dire c'est que tu ne dois pas te sacrifier ni accepter ses insultes ou ses crises, respecte toi, moi je l'ai compris presque trop tard et j'ai pu voir combien je me suis fait de mal en acceptant ses mots durs, ses insultes, ses coléres terribles etc......
A present qu'il se comporte normalement je sais que jamais je n'accepterai que cela revienne comme avant. Je voulais le sauver,mais je me tuer petit a petit.
prends soin de toi, soi ferme c'est la meilleurse facon de l'aider.
et si tu veux tu peux m'ecrire en direct. envoi ton mail et je te repondrai en direct.
courage.
J'ai lu ton message et j'ai mal pour toi parce que j'ai vécu ca pendant 5 ans et j'en pouvais plus.
Alors quand j'etais au fond du trou, a force de le pardonner, j'ai fini par craquer et lui dire que tout etait fin entre nous, et que son unique chance etait d'aller voir un psy. puis je suis parti pendant 1 mois.
ce mois la, il n'arretait pas de m'ecrire en colére contre moi et je n'ai rien laissé passer.
a la fin du mois il est allé voir un psychologue qui lui a dit d'aller voir un psychiatre pour prendre des médicaments.
Depuis, j'ai plus le meme homme, ayant vu qu'il faisait un effort je suis retourner avec lui. Il est doux, gentil, et a un comportement tout a fait normal.
Il faut dire qu'il continu a voir le psychologue une fois tous les 15 jours et que sans doute il a eu vraiment peur de me perdre parce que cette fois ci j'ai tenu bon.
ALors ce que je peux te dire c'est que tu ne dois pas te sacrifier ni accepter ses insultes ou ses crises, respecte toi, moi je l'ai compris presque trop tard et j'ai pu voir combien je me suis fait de mal en acceptant ses mots durs, ses insultes, ses coléres terribles etc......
A present qu'il se comporte normalement je sais que jamais je n'accepterai que cela revienne comme avant. Je voulais le sauver,mais je me tuer petit a petit.
prends soin de toi, soi ferme c'est la meilleurse facon de l'aider.
et si tu veux tu peux m'ecrire en direct. envoi ton mail et je te repondrai en direct.
courage.
tu l'as quand même sauvé... =)
c'est magnifique ce que tu as fait! je veux dire, tu l'as peu être laisser seul pendant plus d'un mois, et il en à surement souffert, mais c'était un mal pour un bien. c'était nécessaire je pense.
mais par dessus tout tu lui à laisser sa chance, tu ne l'as pas abandonner alors que tu était seul et que tu aurais pu trouver un autre homme, un homme "normal" (comme certaine femme serait prête à faire).
c'est magnifique ce que tu as fait! je veux dire, tu l'as peu être laisser seul pendant plus d'un mois, et il en à surement souffert, mais c'était un mal pour un bien. c'était nécessaire je pense.
mais par dessus tout tu lui à laisser sa chance, tu ne l'as pas abandonner alors que tu était seul et que tu aurais pu trouver un autre homme, un homme "normal" (comme certaine femme serait prête à faire).
Hello,
Je suis moi-même borderline.
Il faut, je pense lui donner des limites car si tu ne les poses pas rapidement elle va pas arrêter de te tester par peur de l'abandon et comme on a un basse estime de nous, on ne comprend pas comment on peut nous aimer.
Pour ma part, le problème vient clairement de mon enfance, c'est souvent d'ailleurs le cas, je vois un psy régulièrement car il est difficile de soigner l'enfant intérieur seul. On vit dans la peur, il nous faut absolument de la sécurité et quand on l'a on la baffoue nous même parce qu'on a peur que ca change ou qu'on nous abandonne. Comme on est un peu extrême au niveau des sentiments, notre bonne humeur est effectivement de toute beauté et sincère mais il y a malheureusement l'autre côté. Il faut peut-être aussi qu'elle essaie de formuler ses sentiments commme je suis triste, je suis vexée parce qu'on a tendance à tout mélangé et à être juste, finalement, dans une colère extrême. J'espère avoir pu t'aider. Ce qui est
plutôt bien c'est que l'on peut se soigner et que même si c'est un peu plus dur, on passes inaperçu dans la société donc
on est pas repoussé.
Je suis moi-même borderline.
Il faut, je pense lui donner des limites car si tu ne les poses pas rapidement elle va pas arrêter de te tester par peur de l'abandon et comme on a un basse estime de nous, on ne comprend pas comment on peut nous aimer.
Pour ma part, le problème vient clairement de mon enfance, c'est souvent d'ailleurs le cas, je vois un psy régulièrement car il est difficile de soigner l'enfant intérieur seul. On vit dans la peur, il nous faut absolument de la sécurité et quand on l'a on la baffoue nous même parce qu'on a peur que ca change ou qu'on nous abandonne. Comme on est un peu extrême au niveau des sentiments, notre bonne humeur est effectivement de toute beauté et sincère mais il y a malheureusement l'autre côté. Il faut peut-être aussi qu'elle essaie de formuler ses sentiments commme je suis triste, je suis vexée parce qu'on a tendance à tout mélangé et à être juste, finalement, dans une colère extrême. J'espère avoir pu t'aider. Ce qui est
plutôt bien c'est que l'on peut se soigner et que même si c'est un peu plus dur, on passes inaperçu dans la société donc
on est pas repoussé.
Bonjour étoile,
Ton commentaire du 26 aout 2008 m'a beaucoup touchée, dans tes propos, je reconnais une copine que j'étais sur le point de laisser tomber... C'est en parlant avec une amie médecin du dernier événement extremement blessant pour moi qu'elle m'a fait prendre conscience que cette copine, avait, de toute évidence des traits importants de personnalité limite... Ça m'a permi de mieux décoder ses réactions quand je la confrontais à des situations insécurisantes pour elle (dans la sécurité qu'elle s'est bâtie). Elle est comme dans un enclos et si on lui fait voir qu'à l'extérieur du clos, il pourrait y avoir encore plus de belles choses, on dirait que c'est là qu'elle peut se mettre à être "surprenamment" moche... Elle pose des gestes que je considere inacceptables mais selon elle, c'est moi qui n'est pas correcte... Ca me touche de voir que toi, t'es consciente de tes limites et que tu sembles arriver a bien gerer ca...
Le problème est que ma copine pense que le probleme, c'est les autres ou bien même si elle reconnait avoir eu tort, elle ne fait rien pour changer son attitude...
Je vais donc essayer de me trouver un mode d'emploi pour qu'on puisse fonctionner sans se faire de mal mutuellement parce que, moi non plus, je ne suis pas parfaite et je dois avouer que je finissais jusqu'ici par être vraiment tannée...
Merci donc te ton témoignage qui a participé à probablement mieux comprendre ma copine et de continuer à l'apprécier et la respecter avec ses limites...
Ton commentaire du 26 aout 2008 m'a beaucoup touchée, dans tes propos, je reconnais une copine que j'étais sur le point de laisser tomber... C'est en parlant avec une amie médecin du dernier événement extremement blessant pour moi qu'elle m'a fait prendre conscience que cette copine, avait, de toute évidence des traits importants de personnalité limite... Ça m'a permi de mieux décoder ses réactions quand je la confrontais à des situations insécurisantes pour elle (dans la sécurité qu'elle s'est bâtie). Elle est comme dans un enclos et si on lui fait voir qu'à l'extérieur du clos, il pourrait y avoir encore plus de belles choses, on dirait que c'est là qu'elle peut se mettre à être "surprenamment" moche... Elle pose des gestes que je considere inacceptables mais selon elle, c'est moi qui n'est pas correcte... Ca me touche de voir que toi, t'es consciente de tes limites et que tu sembles arriver a bien gerer ca...
Le problème est que ma copine pense que le probleme, c'est les autres ou bien même si elle reconnait avoir eu tort, elle ne fait rien pour changer son attitude...
Je vais donc essayer de me trouver un mode d'emploi pour qu'on puisse fonctionner sans se faire de mal mutuellement parce que, moi non plus, je ne suis pas parfaite et je dois avouer que je finissais jusqu'ici par être vraiment tannée...
Merci donc te ton témoignage qui a participé à probablement mieux comprendre ma copine et de continuer à l'apprécier et la respecter avec ses limites...
Bonjour Etoile,
Tes explications m'ont aidé à mieux comprendre mon amie qui est depuis 3 semaines mon ex.
Nous sommes sortis ensemble durant 20 mois et face à à ses troubles changeants, je l'ai encouragé à aller voir un psy, malgré ses peurs. Aprés quelques mois de thérapie et de médicaments elle allait mieux, mais "j'ai dégusté" : elle m'envoyait balader sans raison ou partait de chez moi en pleine nuit car elle pensait être abandonnée, (alors que je cherchais un document par ex) !!!
Il y a prés d'un mois j'ai reçu un texto "sentimental" d'une personne que j'ai rencontré sur internet, c'était un jeu pour moi (d'autant plus qu'elle était à 1200 kms et que j'ai jamais vu)et aussi recevoir une certaine "admiration" qui me manquait de la part de mon amie (que j'ai soutenue durant des moments difficiles comme la fugue d'une de ses filles de 17 ans).
Elle est "tombée sur ce texto est m'a virée, je lui ai expliquéeelle a repris 3 jours plus tard et malgré une déclaration de sa part me disant qu'elle m'aime et qu'elle voulait faire sa vie avec moi, elle a 5 jours aprés pris un autre homme qui a passé le W.E avec elle comme si notre histoire n'avait pas existée !
J'ai trés mal, je sais que son acte a été provoqué par la vengeance suite à ce qu'elle a considéré comme un abandon.
Aurais tu un des conseils à me donner ou penses tu que je dois considerer la relation définitivement terminée, je sais que l'Amour nous relie mais... Merci
Tes explications m'ont aidé à mieux comprendre mon amie qui est depuis 3 semaines mon ex.
Nous sommes sortis ensemble durant 20 mois et face à à ses troubles changeants, je l'ai encouragé à aller voir un psy, malgré ses peurs. Aprés quelques mois de thérapie et de médicaments elle allait mieux, mais "j'ai dégusté" : elle m'envoyait balader sans raison ou partait de chez moi en pleine nuit car elle pensait être abandonnée, (alors que je cherchais un document par ex) !!!
Il y a prés d'un mois j'ai reçu un texto "sentimental" d'une personne que j'ai rencontré sur internet, c'était un jeu pour moi (d'autant plus qu'elle était à 1200 kms et que j'ai jamais vu)et aussi recevoir une certaine "admiration" qui me manquait de la part de mon amie (que j'ai soutenue durant des moments difficiles comme la fugue d'une de ses filles de 17 ans).
Elle est "tombée sur ce texto est m'a virée, je lui ai expliquéeelle a repris 3 jours plus tard et malgré une déclaration de sa part me disant qu'elle m'aime et qu'elle voulait faire sa vie avec moi, elle a 5 jours aprés pris un autre homme qui a passé le W.E avec elle comme si notre histoire n'avait pas existée !
J'ai trés mal, je sais que son acte a été provoqué par la vengeance suite à ce qu'elle a considéré comme un abandon.
Aurais tu un des conseils à me donner ou penses tu que je dois considerer la relation définitivement terminée, je sais que l'Amour nous relie mais... Merci
Bonjour,
Je suis borderline et j'ai lu quelques poste qui m'ont tres déçu, du genre violence physique, verbal, manipulation... Je n'ais pas du tous ces symptôme donc je pense que la personne qui fait ça peut etre borderline et autre chose à la fois (violente, mytoman, nympho, manipulateur...).
j'ai beaucoup de mal à vivre mon état mais nous ne sommes quand même pas un cauchemard pour notre entourage je le vois parce que j'ai beaucoup d'amis et je m'entends tres bien avec tout le monde(sauf ma belle mère mais je pense que c'est normal :))
bien sur pour faire des projets c'est pas ça, on accepte pas la critique, changement d'humeurs, paranoia, tres basse estime de nous, anxiété... mais beaucoup de qualités aussi que personne d'autre de "normal" n'aura jamais...
je rappel que borderline est une maladie, on ne née pas avec et comme toute maladie elle peut se soigner!!!
Courage ;)
Je suis borderline et j'ai lu quelques poste qui m'ont tres déçu, du genre violence physique, verbal, manipulation... Je n'ais pas du tous ces symptôme donc je pense que la personne qui fait ça peut etre borderline et autre chose à la fois (violente, mytoman, nympho, manipulateur...).
j'ai beaucoup de mal à vivre mon état mais nous ne sommes quand même pas un cauchemard pour notre entourage je le vois parce que j'ai beaucoup d'amis et je m'entends tres bien avec tout le monde(sauf ma belle mère mais je pense que c'est normal :))
bien sur pour faire des projets c'est pas ça, on accepte pas la critique, changement d'humeurs, paranoia, tres basse estime de nous, anxiété... mais beaucoup de qualités aussi que personne d'autre de "normal" n'aura jamais...
je rappel que borderline est une maladie, on ne née pas avec et comme toute maladie elle peut se soigner!!!
Courage ;)
Bonjour à toutes et à tous,
Voila 3 ans que je partage la vie de ma compagne mais seulement 2 mois que j'ai pu mettre un nom sur ses troubles du comportement : "Borderline maxi extériorisante" (voir ces sites pour plus d'infos : http://ww1.personnalitelimite.org De confidences en confidences, j’ai appris à connaitre son difficile parcours et le long combat judiciaire qu’elle menait contre son beau-père suite aux violences sexuelles qu’il avait fait subir à presque toutes ses filles issues de plusieurs unions ainsi qu’à elle qui était donc sa belle-fille, par alliance avec sa maman. Maman vulnérable qui l’a fait beaucoup souffrir aussi en ne la protégeant pas, en la battant. Pour elle, pour sa demi-sœur et pour son demi-frère pour lesquels sa mère a toujours montré une nette préférence, elle a du se mettre à la place d’une maman. Ils lui ont pourtant tourné le dos durant ces 11 ans de procédures où elle s’est retrouvée seule, ballotée de foyers en foyers dans la plus grande précarité. Son histoire m’a profondément ému et a renforcé jour après jour mon amour pour elle même si déjà, à plusieurs reprises, elle tenta de mettre un terme à notre liaison. Et puis, à force d’amour, de patience et de persuasion, les premiers « Je t’aime » sont sortis de sa bouche, des sms de son téléphone mobile et des e-mails qu’elle m’envoyait depuis son travail. Elle allait beaucoup mieux depuis qu’elle avait entendu à deux reprises de la bouche du magistrat au procès de son « bourreau » qu’elle était une vic-ti-me, une vic-ti-me. Alors que jusqu’à cette échéance elle était encore torturée par un sentiment de culpabilité.
Depuis le verdict de ce procès en 2006, 10 ans de réclusion criminelle, qui a failli se rejouer en appel en 2008, au lendemain de son 31éme anniversaire (mais l’accusé s’est désisté au dernier moment), elle m’en a fait mille fois le récit comme pour mieux s’en persuader et je l’écoutais chaque fois avec la même intensité.
Il est important de préciser que notre histoire a été « polluée » par une tierce personne très charismatique qui l'attirait et qu’elle ne parvenait pas à oublier totalement jusqu’à ce qu’elle décide finalement à l’appeler pour avoir le cœur net sur ses intentions qui n’étaient justement pas authentiques puisqu'inexistantes. D’autant que, s’agissant d’un de ses formateurs, celui-ci officiait également chaque semaine dans l’entreprise où elle travaillait alors. Auparavant, elle lui avait envoyé plusieurs e-mails enflammés et même, je le sais maintenant que je suis parvenu à rencontrer ce monsieur, avec des termes pornographiques. Après quoi sa compagne avait sommé la mienne par retour d’e-mail de cesser ce harcèlement en la menaçant de porter plainte. J’ai donc décidé de prendre discrètement contact avec ce monsieur pour recueillir sa version des faits et c’est là que le déclic s’est créé : Elle souffre à l’évidence d’un trouble de la personnalité limite "borderline" avec des comportements érotomanes.
Ce que mes nombreuses recherches documentaires et l’entretien que j’ai eu avec le personnel d’accueil du CH psychiatrique ont confirmé. J’ai continué à énormément m’investir dans sa « reconstruction » car elle était meurtrie par toutes ces années de combat isolé mais malgré tout si optimiste et souvent joyeuse. Tellement que je m’y suis peut-être un peu oublié. Une fois, à ma plus grande stupéfaction, elle a accepté de m’accompagner chez ma psychologue, unanimement reconnue comme spécialiste du couple, même si elle annonce que sa seule motivation était plutôt de me faire cesser mes « délires ». Mais une fois dans le cabinet, elle ne semblait plus dans le même état d’esprit et elle se braquera ensuite car elle n’aura pas entendu ce qu’elle aurait souhaité entendre. Depuis, elle a même franchi 2 frontières qu'il m'est très difficile de pardonner : Une liaison sexuelle externe et, pire, des insultes, des coups, des morsures, des brulures de cigarette, des crachats et j'en passe qui m’ont amené à devoir déposer 2 plaintes contre elle pour violences conjugales. Car devant son refus de reprendre des soins et son déni, c'est la seule issue qui s'est imposée à moi pour qu'elle soit vue par un psy et aussi, je l'avoue, parce que je ne me sens plus en sécurité psychique et physique à ses côtés. Mais beaucoup de borderline sont capables de tromper leur monde, y-compris les psy, en maîtrisant leur flux émotionnel quand il le faut.
Plus notre relation avançait et plus je repérais sur sa façon d’être au monde, selon ses expressions, ses sentiments et ses comportements, une altération de son fonctionnement social ainsi qu’une souffrance persistante malgré des périodes euphoriques et constructives. Aujourd'hui, malgré toute la force des sentiments que je lui porte encore, je suis à bout et j'en viens à souhaiter qu'elle quitte le domicile ou qu'elle soit hospitalisée quelques temps pour être prise en charge. Très difficile d'adopter la bonne attitude sur la durée. Compagnes et compagnons de borderline, protégez--vous ! Il en va de votre vie.
Voila 3 ans que je partage la vie de ma compagne mais seulement 2 mois que j'ai pu mettre un nom sur ses troubles du comportement : "Borderline maxi extériorisante" (voir ces sites pour plus d'infos : http://ww1.personnalitelimite.org De confidences en confidences, j’ai appris à connaitre son difficile parcours et le long combat judiciaire qu’elle menait contre son beau-père suite aux violences sexuelles qu’il avait fait subir à presque toutes ses filles issues de plusieurs unions ainsi qu’à elle qui était donc sa belle-fille, par alliance avec sa maman. Maman vulnérable qui l’a fait beaucoup souffrir aussi en ne la protégeant pas, en la battant. Pour elle, pour sa demi-sœur et pour son demi-frère pour lesquels sa mère a toujours montré une nette préférence, elle a du se mettre à la place d’une maman. Ils lui ont pourtant tourné le dos durant ces 11 ans de procédures où elle s’est retrouvée seule, ballotée de foyers en foyers dans la plus grande précarité. Son histoire m’a profondément ému et a renforcé jour après jour mon amour pour elle même si déjà, à plusieurs reprises, elle tenta de mettre un terme à notre liaison. Et puis, à force d’amour, de patience et de persuasion, les premiers « Je t’aime » sont sortis de sa bouche, des sms de son téléphone mobile et des e-mails qu’elle m’envoyait depuis son travail. Elle allait beaucoup mieux depuis qu’elle avait entendu à deux reprises de la bouche du magistrat au procès de son « bourreau » qu’elle était une vic-ti-me, une vic-ti-me. Alors que jusqu’à cette échéance elle était encore torturée par un sentiment de culpabilité.
Depuis le verdict de ce procès en 2006, 10 ans de réclusion criminelle, qui a failli se rejouer en appel en 2008, au lendemain de son 31éme anniversaire (mais l’accusé s’est désisté au dernier moment), elle m’en a fait mille fois le récit comme pour mieux s’en persuader et je l’écoutais chaque fois avec la même intensité.
Il est important de préciser que notre histoire a été « polluée » par une tierce personne très charismatique qui l'attirait et qu’elle ne parvenait pas à oublier totalement jusqu’à ce qu’elle décide finalement à l’appeler pour avoir le cœur net sur ses intentions qui n’étaient justement pas authentiques puisqu'inexistantes. D’autant que, s’agissant d’un de ses formateurs, celui-ci officiait également chaque semaine dans l’entreprise où elle travaillait alors. Auparavant, elle lui avait envoyé plusieurs e-mails enflammés et même, je le sais maintenant que je suis parvenu à rencontrer ce monsieur, avec des termes pornographiques. Après quoi sa compagne avait sommé la mienne par retour d’e-mail de cesser ce harcèlement en la menaçant de porter plainte. J’ai donc décidé de prendre discrètement contact avec ce monsieur pour recueillir sa version des faits et c’est là que le déclic s’est créé : Elle souffre à l’évidence d’un trouble de la personnalité limite "borderline" avec des comportements érotomanes.
Ce que mes nombreuses recherches documentaires et l’entretien que j’ai eu avec le personnel d’accueil du CH psychiatrique ont confirmé. J’ai continué à énormément m’investir dans sa « reconstruction » car elle était meurtrie par toutes ces années de combat isolé mais malgré tout si optimiste et souvent joyeuse. Tellement que je m’y suis peut-être un peu oublié. Une fois, à ma plus grande stupéfaction, elle a accepté de m’accompagner chez ma psychologue, unanimement reconnue comme spécialiste du couple, même si elle annonce que sa seule motivation était plutôt de me faire cesser mes « délires ». Mais une fois dans le cabinet, elle ne semblait plus dans le même état d’esprit et elle se braquera ensuite car elle n’aura pas entendu ce qu’elle aurait souhaité entendre. Depuis, elle a même franchi 2 frontières qu'il m'est très difficile de pardonner : Une liaison sexuelle externe et, pire, des insultes, des coups, des morsures, des brulures de cigarette, des crachats et j'en passe qui m’ont amené à devoir déposer 2 plaintes contre elle pour violences conjugales. Car devant son refus de reprendre des soins et son déni, c'est la seule issue qui s'est imposée à moi pour qu'elle soit vue par un psy et aussi, je l'avoue, parce que je ne me sens plus en sécurité psychique et physique à ses côtés. Mais beaucoup de borderline sont capables de tromper leur monde, y-compris les psy, en maîtrisant leur flux émotionnel quand il le faut.
Plus notre relation avançait et plus je repérais sur sa façon d’être au monde, selon ses expressions, ses sentiments et ses comportements, une altération de son fonctionnement social ainsi qu’une souffrance persistante malgré des périodes euphoriques et constructives. Aujourd'hui, malgré toute la force des sentiments que je lui porte encore, je suis à bout et j'en viens à souhaiter qu'elle quitte le domicile ou qu'elle soit hospitalisée quelques temps pour être prise en charge. Très difficile d'adopter la bonne attitude sur la durée. Compagnes et compagnons de borderline, protégez--vous ! Il en va de votre vie.
C,est choquant, on vient tout juste de dire que vous mettez comme excuse la maladie pour plusieurs mauvais comportements qui n'est pas causés par ce trouble de personnalité.
Avoir des troubles de comportements, de signifie pas etre bordeline.
Tata, c'est simplement de la rivalité entre soeur que tu vies. C,est ta soeur, elle te voies comme une écoeurant et tu la voies comme un écourante. Non, tu n'as pas utilisé le mots éceourante tu as dis : fille facile, malipulatrice, quelle est déconnecté de la réalité.
C'est juste de la rivalité en soeur que tu vies. Arrete de chercher des diagnostique ou il en a pas. Autrement, va faire ta médecine.
Et etre bordeline ne signifie pas etre une fille facile ayant des troubles de comportement sexuelle, etre manipulateur, etre déconnecté de la réalité et trouvé que sa soeur est une écoeurante.
Avoir des troubles de comportements, de signifie pas etre bordeline.
Tata, c'est simplement de la rivalité entre soeur que tu vies. C,est ta soeur, elle te voies comme une écoeurant et tu la voies comme un écourante. Non, tu n'as pas utilisé le mots éceourante tu as dis : fille facile, malipulatrice, quelle est déconnecté de la réalité.
C'est juste de la rivalité en soeur que tu vies. Arrete de chercher des diagnostique ou il en a pas. Autrement, va faire ta médecine.
Et etre bordeline ne signifie pas etre une fille facile ayant des troubles de comportement sexuelle, etre manipulateur, etre déconnecté de la réalité et trouvé que sa soeur est une écoeurante.
Bonjour à tous,
A voir toutes vos interventions et témoignages, je suis abasourdie ! j'ose le dire : c'est très à la mode de diagnostiquer un individu atypique ; borderline ou maniaco-dépressif ! ce qui peut avoir des conséquences énormes puisque l'on donne un traitement médicamenteux assez lourd à ces personnes dont le nombre augmente de plus en plus.
Donc si je comprend bien, ce que l'on appelait avant un individu peu structuré, changeant, voir caractériel ou "coureur" ou les 3 à la fois se voit affublé d'une étiquette et hérite d'une pathologie en prime..
Les gens d'humeur changeante qu'on désignait avant comme lunatiques ou versatiles seraient-elles TOUTES des malades non diagnostiquées ? Le fait d'être euphorique ou de faire preuve d'enthousiasme ; un signe de maniaco-dépression ? Soyez triste et hop on vous voit dépressif (d'ailleurs on remarquera que le mot déprime n'est quasiment plus utilisé).
depuis quelques décennies, les individus dotés d'un "sale caractère" sont devenus des caractériels;.. on vit dans une société qui devient de plus en plus normative..
Je conseille à tous de lire cet excellent essai de Pascal Bruckner : "L'euphorie perpétuelle " (essai sur le devoir de bonheur).
Depuis qu'un dénommé Charcot a diagnostiqué hystériques des femmes en proie à des "crises de nerfs" et testé sur elles la fameuse méthode des électrochocs, on va de mal en pis...
Une phrase révélatrice de ces dérives et que l 'on entend chez de jeunes enfants : t'es parano toi !!" ....
A voir toutes vos interventions et témoignages, je suis abasourdie ! j'ose le dire : c'est très à la mode de diagnostiquer un individu atypique ; borderline ou maniaco-dépressif ! ce qui peut avoir des conséquences énormes puisque l'on donne un traitement médicamenteux assez lourd à ces personnes dont le nombre augmente de plus en plus.
Donc si je comprend bien, ce que l'on appelait avant un individu peu structuré, changeant, voir caractériel ou "coureur" ou les 3 à la fois se voit affublé d'une étiquette et hérite d'une pathologie en prime..
Les gens d'humeur changeante qu'on désignait avant comme lunatiques ou versatiles seraient-elles TOUTES des malades non diagnostiquées ? Le fait d'être euphorique ou de faire preuve d'enthousiasme ; un signe de maniaco-dépression ? Soyez triste et hop on vous voit dépressif (d'ailleurs on remarquera que le mot déprime n'est quasiment plus utilisé).
depuis quelques décennies, les individus dotés d'un "sale caractère" sont devenus des caractériels;.. on vit dans une société qui devient de plus en plus normative..
Je conseille à tous de lire cet excellent essai de Pascal Bruckner : "L'euphorie perpétuelle " (essai sur le devoir de bonheur).
Depuis qu'un dénommé Charcot a diagnostiqué hystériques des femmes en proie à des "crises de nerfs" et testé sur elles la fameuse méthode des électrochocs, on va de mal en pis...
Une phrase révélatrice de ces dérives et que l 'on entend chez de jeunes enfants : t'es parano toi !!" ....
Je n'ai pas été diagnostiquer car je n'ai encore jamais eté voir de psy ou autre...mais aprés beaucoup de lecture je pense etre borderline ou quelque chose de proche. J'ai lu tout vos post et j'avoue avoir les larmes au yeux, tout ce que vous dite est vrai (plus ou moins), je me reconnais dans certaines description et je conçois totalement qu'il est trés difficile de vivre avec quelqu'un qui souffre de ce trouble. Je voulais juste préscisé que selon moi mem s'il est difficile a supporter je pense que c'est personnes (nous ?) on beaucoup de chose a apporté et pas forcement en mal, et que quand ça va bien , c'est rayonnant, donc il faut s'armer de patience et pousser au cul pour ce faire aider..je suis actuellement en train de me "décidé" a consulter car bien consciente que mon ami perdra patience un jour , meme s'il dit le contraire...et le perdre serais pour moi comme signé mon arret de mort.
En esperant n'avoir embeter personne, merci de m'avoir lu
En esperant n'avoir embeter personne, merci de m'avoir lu
bonsoir , je pense souffrir du syndrome bordeline....
Mon ami est psy, c'est lui qui m'a aidé à ouvrir les yeux sur moi
En lisant certains temoignages je me reconnais ce qui est difficile et déroutant à accepter...
Au début de ma relation, je fus très agressive,et 2 min aprés très douce ce qui la beaucoup dérouté...
Mettre des mots sur ce trouble aide, je pense à avancer
Je pense que nous n'avons pas que des cotés négatif, nous possédons une hypersensibilité ce qui peut expliquer nos attitudes extrêmes, nous avons tous un "bon fond"et nous aimons sincèrement malgré nos attitudes déroutantes,alors j'espère que mon ami saura le comprendre et qu'il aura le courage de faire le deuil de la femme idéal et de m'accepter comme je suis
Mon ami est psy, c'est lui qui m'a aidé à ouvrir les yeux sur moi
En lisant certains temoignages je me reconnais ce qui est difficile et déroutant à accepter...
Au début de ma relation, je fus très agressive,et 2 min aprés très douce ce qui la beaucoup dérouté...
Mettre des mots sur ce trouble aide, je pense à avancer
Je pense que nous n'avons pas que des cotés négatif, nous possédons une hypersensibilité ce qui peut expliquer nos attitudes extrêmes, nous avons tous un "bon fond"et nous aimons sincèrement malgré nos attitudes déroutantes,alors j'espère que mon ami saura le comprendre et qu'il aura le courage de faire le deuil de la femme idéal et de m'accepter comme je suis
Bonjour,
En lisant tout les messages, je n'ai jamais lu si les personnes avait un traitement.
Je ne sais la différence entre "magnaco dépressif" et "bordeline".
Même si les Personnes ont un problème de santé il ont de l'amour à donné. J'ai lu beaucoup de plaintes, de choses peu agréables envers ces personnes qui souffrent aussi dans leur "mal de vivre".
A juste titre vous vous faite entendre.
OUI. Tout être humain a le droit à un minimum de respect.
Mais il y a des maladies où il la recherche est faible quasi inexistante, et on ne se donne guère de mal pour les diagnostiquer et surtout à adapter un traitement. Je dirais même que certaines personnes s'en amusent de ces maladies qui ne sont pas contagieuses.
Il ne viendrait pas à l'idée de se moquer d'une personne atteinte de cancer, de dire qu'elle était invivable.
Des personnes qui ont se syndrome bien suivies aiment et apporte toute leur tendresse à leur Famille.
Travaillent et cotisent.
Et vous seriez étonnés le nombre de génies ou de surdoués qui sont avec ce problème, mais eux consultent les plus grands spécialistes, c'est peut-être là le PROBLÈME..........
Oui la VIE est dure de vivre avec un malade, MAIS la VIE est dure pour le malade.
Bonne continuation "Espoir 69".
En lisant tout les messages, je n'ai jamais lu si les personnes avait un traitement.
Je ne sais la différence entre "magnaco dépressif" et "bordeline".
Même si les Personnes ont un problème de santé il ont de l'amour à donné. J'ai lu beaucoup de plaintes, de choses peu agréables envers ces personnes qui souffrent aussi dans leur "mal de vivre".
A juste titre vous vous faite entendre.
OUI. Tout être humain a le droit à un minimum de respect.
Mais il y a des maladies où il la recherche est faible quasi inexistante, et on ne se donne guère de mal pour les diagnostiquer et surtout à adapter un traitement. Je dirais même que certaines personnes s'en amusent de ces maladies qui ne sont pas contagieuses.
Il ne viendrait pas à l'idée de se moquer d'une personne atteinte de cancer, de dire qu'elle était invivable.
Des personnes qui ont se syndrome bien suivies aiment et apporte toute leur tendresse à leur Famille.
Travaillent et cotisent.
Et vous seriez étonnés le nombre de génies ou de surdoués qui sont avec ce problème, mais eux consultent les plus grands spécialistes, c'est peut-être là le PROBLÈME..........
Oui la VIE est dure de vivre avec un malade, MAIS la VIE est dure pour le malade.
Bonne continuation "Espoir 69".
espoir69
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jeudi 11 décembre 2008
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MARIE91
12 déc. 2008 à 01:35
12 déc. 2008 à 01:35
merci marie
Ta raison Lili, je vien vraiment de realiser qui est ma conjointe! j'ai commencer a en parler, il y a 3 mois, a ma fille qui est en travaille social et,Depuis le 5 nov , ma conjointe est en readaption pour reaprendre a marcher apres un tres grave accident d'auto!
J'aime ma conjointe, nous nous somme marié en Afrique il y a 5 ans, elle est jeune et moi je suis vieux, elle ma fait vivre des moment extraordinaires, elle a tellement de joie de vivre en elle, on a fait tellement de folie ensemble!
et Je n'ai aucun regret. Mais maintenant nous devront nous mettre des limites. Je m'en veu de ne pas avoir compris plus tot!
Il est vrai que les personne Bordeline ont beaucoup de choses a nous apporter
J'aime ma conjointe, nous nous somme marié en Afrique il y a 5 ans, elle est jeune et moi je suis vieux, elle ma fait vivre des moment extraordinaires, elle a tellement de joie de vivre en elle, on a fait tellement de folie ensemble!
et Je n'ai aucun regret. Mais maintenant nous devront nous mettre des limites. Je m'en veu de ne pas avoir compris plus tot!
Il est vrai que les personne Bordeline ont beaucoup de choses a nous apporter
Bonjour André etr aux autres
J'ai vécu des années avec ma femme qui avait un comportement qui ressemble beaucoup a celui que vous décrivez comme 'bordeur line' et à l' époque les psy ne connaissaient pas cette maladie!
Tout ce que ca m'a apporté: des tonnes d' emmerdes.
malgré les limites etc ...
Finalement, j'ai fini par la quitter, j' ai pu enfin respirer, vivre normalement, faire des projets ...
Je me suis sacrifié pendant des années pour rien : c'est ca qui t'attends !
Je ne sais pas comment vis l'autre personne car j'ai du couper tout contact mais ca dois pas etre facile pour elle.
Il n'y a rien à faire pour ces personnes : c'est à elles de se prendre en charge sinon elle finiront seules mais elles détruisent tout autour d'elles!
J'ai vécu des années avec ma femme qui avait un comportement qui ressemble beaucoup a celui que vous décrivez comme 'bordeur line' et à l' époque les psy ne connaissaient pas cette maladie!
Tout ce que ca m'a apporté: des tonnes d' emmerdes.
malgré les limites etc ...
Finalement, j'ai fini par la quitter, j' ai pu enfin respirer, vivre normalement, faire des projets ...
Je me suis sacrifié pendant des années pour rien : c'est ca qui t'attends !
Je ne sais pas comment vis l'autre personne car j'ai du couper tout contact mais ca dois pas etre facile pour elle.
Il n'y a rien à faire pour ces personnes : c'est à elles de se prendre en charge sinon elle finiront seules mais elles détruisent tout autour d'elles!
Bonjour,
Je soupçonne un membre de ma famille d'être bordeline... elle est toute jeune et j'aimerais lui venir en aide... je ne sais pas comment m'y pendre... j'aimerais qu'une personne borderline m'explique quoi lui dire, quoi faire...
Je veux simplement lui dire que je suis là pour elle, que je la respecte et que je ne la juge pas.
Merci de vos réponses...
Je soupçonne un membre de ma famille d'être bordeline... elle est toute jeune et j'aimerais lui venir en aide... je ne sais pas comment m'y pendre... j'aimerais qu'une personne borderline m'explique quoi lui dire, quoi faire...
Je veux simplement lui dire que je suis là pour elle, que je la respecte et que je ne la juge pas.
Merci de vos réponses...
nanajolie971
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lundi 9 février 2009
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9 février 2009
9 févr. 2009 à 04:37
9 févr. 2009 à 04:37
Bonjour a tous,
J'ai connu mon mari il y a exactement 7ans et nous nous sommes mariés en Juillet 2004, il a été diagnostiqué borderline en début 2006.Nous avons 34 et 41 ans pour moi , 2 enfants en communs de 3 et 6 ans et je peux dire que ce que j'ai vécu avec lui est proche de l'enfer...
Au départ il semblait doux, gentil, compréhensif, bon vivant mais aussi par période absent.
C'est en début 2003 que j'ai subit ces premières crises sans même savoir se qui se passait. Je l'aimais et lui nous faisait souffrir mes premiers enfants et moi même , je ne savais pas ce qu'étais d'être manipulé et j'étais devenue une autre personne. J'avais a faire a une personne d'une grande perversion et plus j'allais mal et plus il me faisais souffrir, il était violent physiquement moralement et verbalement. Ce qui nous a amené a consulter dans un moment de calme car en effet quand les crises passaient il se sentait mal voir très mal.
Il a toujours dit m'aimer plus que tout mais c'était pareil pour ces ex. alors?!
Moi en fait je pardonnais car je lui trouvais toujours des excuses et lorsque le psy m'a expliqué la maladie je me disais que l'amour arriverais a me faire tenir, surtout que forcement j'allais déjà beaucoup mieux depuis le jour ou j'ai cessé de culpabiliser, d'ailleurs çà l'a rendu largement moins pervers.
Le gros problèmes aussi c'était ces fuites a répétition, il partait quelques jours des fois 1 mois sans donner signes de vie...Comme je ne travaille pas il me laissait dans la dépendance financière.
Lorsque j'étais enceinte de notre deuxième enfant il parti pratiquement pendant toute ma grossesse et ce jusqu'à la fin prétextant que je faisais exprès de faire durer!!!
J'évalue a environ 2,3 ans ces premières trahisons et ensuites parcontre a la pelle mais a chaque fois un nouveau mensonge et afin d'éviter un nouveau départ je fais semblant d'oublier...
L'année dernière il s'est auto mutilé car une femme l'avais rejeté.
Les derniers explois qui ne sont pas les moindres sont une jeune fille de 21ans avec laqu'elle je le soupsonne d'avoir des relations sexuels depuis 1ans et demi , d'ou certains bruit font effet d'une vidéo amateur porno?!, Une bande de copains d'environs le même age avec lesquels il faisait de véritable orgie(alcool, femmes, dancehall...),ce qui m'a amené a le mettre dehors et depuis ces amis dises qu'il a une nouvelle petite amie, il vient d'acheter une voiture neuve bien audelà de ses moyens surtout qu'il n'a pas de permis! Sans oublier que le jour oùil est parti il a enmené la hifi, les PC, la console des enfants qu'il a d'ailleurs revendu et passé les meubles par la fenêtre. Alors depuis le 17 Janvier seul point positif il m'a envoyé de l'argent en mandat express...
Je précise qu'avant cette dernière crise il était calme, généreux et faisait même des effort pour être plus attentionné..
Alors, qui pense que je n'ai pas été assez compréhensif où que je ne l'ai pas aimé assez? Je précise qu'il refuse de se soigner et bien qu'il dit souffrir il dit que c'est le psy qui a un probleme et moi meme et en ce qui me concerne il a raison le psy dit: que du fait que je sois consciente de tout et que je supporte, c'est que je suis mazo, moi j'en sais rien, mais ce que je sais c'est que çà fait mal, très mal, me dire que je n'ai pas réussi, que ma famille est détruite
c'est dur, surtout que je crois que je l'aime encore.
Je ne connais pas encore la suite a cette histoire, car il y a les enfants et que l'on habite dans un petit endroit ou on sera amené a se croiser, est ce que je vais encore écouter ses mensonges ou décider de divorcer, je ne sais pas encore...Je me dit que le temps me donnera la réponse.
Moi ce que je voudrais dans l'interet de tout le monde et dans tout les cas c'est qu'il se soigne!!!
Nana
J'ai connu mon mari il y a exactement 7ans et nous nous sommes mariés en Juillet 2004, il a été diagnostiqué borderline en début 2006.Nous avons 34 et 41 ans pour moi , 2 enfants en communs de 3 et 6 ans et je peux dire que ce que j'ai vécu avec lui est proche de l'enfer...
Au départ il semblait doux, gentil, compréhensif, bon vivant mais aussi par période absent.
C'est en début 2003 que j'ai subit ces premières crises sans même savoir se qui se passait. Je l'aimais et lui nous faisait souffrir mes premiers enfants et moi même , je ne savais pas ce qu'étais d'être manipulé et j'étais devenue une autre personne. J'avais a faire a une personne d'une grande perversion et plus j'allais mal et plus il me faisais souffrir, il était violent physiquement moralement et verbalement. Ce qui nous a amené a consulter dans un moment de calme car en effet quand les crises passaient il se sentait mal voir très mal.
Il a toujours dit m'aimer plus que tout mais c'était pareil pour ces ex. alors?!
Moi en fait je pardonnais car je lui trouvais toujours des excuses et lorsque le psy m'a expliqué la maladie je me disais que l'amour arriverais a me faire tenir, surtout que forcement j'allais déjà beaucoup mieux depuis le jour ou j'ai cessé de culpabiliser, d'ailleurs çà l'a rendu largement moins pervers.
Le gros problèmes aussi c'était ces fuites a répétition, il partait quelques jours des fois 1 mois sans donner signes de vie...Comme je ne travaille pas il me laissait dans la dépendance financière.
Lorsque j'étais enceinte de notre deuxième enfant il parti pratiquement pendant toute ma grossesse et ce jusqu'à la fin prétextant que je faisais exprès de faire durer!!!
J'évalue a environ 2,3 ans ces premières trahisons et ensuites parcontre a la pelle mais a chaque fois un nouveau mensonge et afin d'éviter un nouveau départ je fais semblant d'oublier...
L'année dernière il s'est auto mutilé car une femme l'avais rejeté.
Les derniers explois qui ne sont pas les moindres sont une jeune fille de 21ans avec laqu'elle je le soupsonne d'avoir des relations sexuels depuis 1ans et demi , d'ou certains bruit font effet d'une vidéo amateur porno?!, Une bande de copains d'environs le même age avec lesquels il faisait de véritable orgie(alcool, femmes, dancehall...),ce qui m'a amené a le mettre dehors et depuis ces amis dises qu'il a une nouvelle petite amie, il vient d'acheter une voiture neuve bien audelà de ses moyens surtout qu'il n'a pas de permis! Sans oublier que le jour oùil est parti il a enmené la hifi, les PC, la console des enfants qu'il a d'ailleurs revendu et passé les meubles par la fenêtre. Alors depuis le 17 Janvier seul point positif il m'a envoyé de l'argent en mandat express...
Je précise qu'avant cette dernière crise il était calme, généreux et faisait même des effort pour être plus attentionné..
Alors, qui pense que je n'ai pas été assez compréhensif où que je ne l'ai pas aimé assez? Je précise qu'il refuse de se soigner et bien qu'il dit souffrir il dit que c'est le psy qui a un probleme et moi meme et en ce qui me concerne il a raison le psy dit: que du fait que je sois consciente de tout et que je supporte, c'est que je suis mazo, moi j'en sais rien, mais ce que je sais c'est que çà fait mal, très mal, me dire que je n'ai pas réussi, que ma famille est détruite
c'est dur, surtout que je crois que je l'aime encore.
Je ne connais pas encore la suite a cette histoire, car il y a les enfants et que l'on habite dans un petit endroit ou on sera amené a se croiser, est ce que je vais encore écouter ses mensonges ou décider de divorcer, je ne sais pas encore...Je me dit que le temps me donnera la réponse.
Moi ce que je voudrais dans l'interet de tout le monde et dans tout les cas c'est qu'il se soigne!!!
Nana
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14 févr. 2009 à 19:20
14 févr. 2009 à 19:20
Bonsoir moi je vis depuis huit ans et demi avec un homme diagnostique borderline il y a deja plus de 18 ans;
il a ete soigne par des calmants d apres ses parents mais il les a arrete d un coup;
depuis sa vie et la mienne ainsi que celle de ses enfants est chaotique;
il change d avis comme de chaussettes, d une heure a l autre, il change d idee;les projets c'est pas la peine non plus d en faire car on sait qu ils tomberont toujours a l eau;
il est une vraie girouette;
il a eu aussi de nombreuses aventures dont sont issus trois enfants de trois femmes differentes dont un garcon avec moi qui a trois ans;
ses enfants souffrent enormement a leur facon car leur ^pere fait toujours des projets du genre samedi on ira ici ou la et resultat il ne les tiens jamais
a 37 ans il n a eu qu un seul ou deux cdi ou il n a pas tenu plus de neuf mois car monsieur ne supporte pas l autorite et la routine; il dit avoir besoin de changement oui mais c exagere tous ces changements tout le temps;la vie est faite de stabilite normalement;lui c'est un mot qu il ne connait pas et dans aucun domaine;
resultat moi aussi je vais finir par developper une pathologie psychologique car il me rend la vie folle;
meme la nounou il la tourne en bourrique car lui change toujours ses horaires on ne peut pas avoir confiance en lui;
le probleme c'est que malgre le calvaire que je mene je lui pardonne toujours son instabilite, pourtant il me fait SOUFFRIR enormement;
la c'est la saint valentin il est sorti faire des courses et j attends depuis deux heures et demi qu il revienne;non il n est pas parti m acheter un cadeau il est chez une autre de ses conquetes;et quand il en aura marre il reviendra;
nous entourage de borderline on est VICTIME mais on n arrive pas a partir car il y a des enfantts;
j essaie de chercher des infos sur internet pour savoir ce qui peut etre a l origine de cette instabilite pathologique mais je ne trouve pas;
bon courage et chapeau a tous;
bonne saint valentin malgre tout;
il a ete soigne par des calmants d apres ses parents mais il les a arrete d un coup;
depuis sa vie et la mienne ainsi que celle de ses enfants est chaotique;
il change d avis comme de chaussettes, d une heure a l autre, il change d idee;les projets c'est pas la peine non plus d en faire car on sait qu ils tomberont toujours a l eau;
il est une vraie girouette;
il a eu aussi de nombreuses aventures dont sont issus trois enfants de trois femmes differentes dont un garcon avec moi qui a trois ans;
ses enfants souffrent enormement a leur facon car leur ^pere fait toujours des projets du genre samedi on ira ici ou la et resultat il ne les tiens jamais
a 37 ans il n a eu qu un seul ou deux cdi ou il n a pas tenu plus de neuf mois car monsieur ne supporte pas l autorite et la routine; il dit avoir besoin de changement oui mais c exagere tous ces changements tout le temps;la vie est faite de stabilite normalement;lui c'est un mot qu il ne connait pas et dans aucun domaine;
resultat moi aussi je vais finir par developper une pathologie psychologique car il me rend la vie folle;
meme la nounou il la tourne en bourrique car lui change toujours ses horaires on ne peut pas avoir confiance en lui;
le probleme c'est que malgre le calvaire que je mene je lui pardonne toujours son instabilite, pourtant il me fait SOUFFRIR enormement;
la c'est la saint valentin il est sorti faire des courses et j attends depuis deux heures et demi qu il revienne;non il n est pas parti m acheter un cadeau il est chez une autre de ses conquetes;et quand il en aura marre il reviendra;
nous entourage de borderline on est VICTIME mais on n arrive pas a partir car il y a des enfantts;
j essaie de chercher des infos sur internet pour savoir ce qui peut etre a l origine de cette instabilite pathologique mais je ne trouve pas;
bon courage et chapeau a tous;
bonne saint valentin malgre tout;
Je crois que ma soeur est borderline depuis l'adolescence, mais je ne suis pas certaine a 100% parce qu'il n'y a pas eu de diagnostique. Elle n'irait jamais voir un psy, donc comment pourrait-elle être diagnostiquée. Ce qui me fait croire qu'elle est borderline, c'est cette caractéristique du trouble qui leur fait voir tout blanc ou tout noirs, sans aucune nuance de gris. Un jour elle m'idealise, m'écrit des emails pour me dire mes merveilleuses qualites, puis le lendemain je suis la pire des ecoeurantes. Elle a aussi cette vision noir et blanc de tout, dans la vie en général. On vient d'un milieux familial difficile, avec une mère anxieuse et dépressive et un père égoïste et très humiliateur. Il a été particulierement rabaissant envers elle, plus que pour les autres. Mais dans sa vision "tout blanc", elle croit que notre famille était le royaume des bisounours et que je suis une ecoeurantes, quand je parle de nos problèmes familiaux. Elle est deconnecte de la réalité et sa vision des faits et événements est souvent le fruit de son imagination.elle est dans le déni. Puis comme les borderline, elle se place toujours en victime et est insensibles a la soufrance des autres.elle est très manipulatrice. donc jamais elle irait chez le psy. C'est moi qui y est allé car elle me rend folle. le psy ne m'a pas trouve de "maladie mentale", pourtant j'étais persuadée d'être folle. En fait, je crois que j'ai un trouble de la personnalité evitante". Je me reconnais quelques symptômes borderline, mais j'ai lu que les proches des personnes borderline finissent souvent par en avoir les symptômes. Par contre, le fait que je vois un psy et pas elle me porte a croire que c'est elle la vraie borderline. En plus, j'ai jamais eu des comportements auto-destructeurs, mais elle oui. Elle avait une conduite sexuelle a risque avec de multiples partenaires et passait pour la "fille facile" de la ville.
Bellea
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26 mars 2010
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8 mars 2009 à 02:55
8 mars 2009 à 02:55
Non, ce nest pas un symptome obligatoire d'avoir des pratiques sexuelles débridés. C,est pas parce que tu as des problemes de comportements sexuelle que tu es bordeline et verse versa. Je suis bordeline et je suis etremement fidele, responsable et sécuritaire dans mes relations et marier depuis 7 ans. J'ai connu en thérapie beaucoup de personnes bordeline et tres peu avaient ce symptome. C'était vraiment une minorité et c'était plus du a une agression sexuelle qui avaient subie.
Je ne suis pas médecin mais la preuve que ta soeur n'est pas bordeline est cette phrase ci : Ma soeur n'a aucune conscience du mal qu'elle fait aux autres. Les bordelines sont des personnes hypersensibles. Le mal qu'elles font aux autres leur arrache le coeur. Certaine prefere mourrir que de faire mal a leur proche. Ils se font mal a eu meme. Deplus, inventé des choses fausses a propos de sa soeur ne fait pas partie des symptomes. C,est juste une chose normal qui se passe entre soeur adolescente ou en bas age.
Je ne fais pas du déni, mes connaisses ne se basse pas sur un simple film. Avoir un trouble de comportement (envers soi ou autrui) qu'il soit de la violence physique, verbal et sexuelle ne signifie pas etre bordeline.
Etre borderline n'est pas une maladie, cela excuse en rien les mauvais comportements. C'est un trouble de personnalité. C'est une hypersensibilité qui les font souffrire.
P.SJe suis Nancy, j'ai oblié de me connecter aux messages précédents.
27 janv. 2009 à 09:22
Je reconnais beaucoup de caractéristique de mon ancien copain dans le trouble borderline. Selon ton expérience, il est très difficile pour les borderline de subir la critique. Et bien j'aimais mon copain plus que tout au monde. Mais je devais parfois m'exprimer sur certains de ses comportements. Chaque fois, c'était la crise...des crises épouvantables. Je devenais la pire de toutes les filles et je méritais un tas d'insultes. Il hurlait sans que je puisse placer un mot et tombait dans un monologue étrange dans lequel il ne faisait qu'entendre sa propre douleur et surtout pas la mienne...Je n'ai jamais réussi à le calmer. Inévitablement, il me hurlait qu'il ne voulait plus de moi. Je n'ai jamais pu comprendre comment il pouvait m'aimer et en même temps m'abandonner chaque fois qu'il était contrarié.
Comment vous expliquer que l'on ne cesse pas de vous aimer simplement parce que quelque chose nous a déplu et que tous les couples vivent ce genre de situation?
merci de m'avoir lu et aime ton copain, car il t'aime énormement, j'en suis certaine.
15 mars 2009 à 23:24