Une perception du bonheur ?
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Le bonheur n'est-il pas quelque chose que l'on peut choisir en partie à l'avance ? Que les choses soient agréables ou pas ne dépendent-elles pas de la façon dont on les perçoit ? Et n'avons nous pas finalement une telle décision à prendre chaque matin ? Celle de choisir de ne voir que le négatif ou celle de se réjouir du positif ?
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5 réponses
Chacun sa vision du bonheur ? le bonheur est il éphémère ? je pose cette question car si ma vison du bonheur est une idée précise, lorsque je l'aurais atteint, il me faudra une autre idée ? notre recherche du bonheur s'apparente alors à celle d'un chien qui cherche son nonos....
Le bonheur ne serait il pas un état d'esprit spécifique, nous permettant entre autre d'accepter et de s'adapter aux aléas de la vie, d'avoir une compréhension totale de soi et de se qui nous entoure nous permettant d'appréhender les évènement avec justesse et équilibre mais également de mettre en avant nos dons naturelles et également d'être libérer de l'extérieur, de nos tourment, peurs doutes, haines pour ne laisser place qu'a l'Amour de la vie et compagnie ?
peut importe le pays, l'origine, riche, pauvres ceci est une Réalité commune à tous les être humain.
Il me parait évident que de voir les choses positivement facilite la sérénité, mais il ne faut pas non plus que cela tourne à la méthode Coué ( je vais bien , je vais bien façon Danny Boon) . La réalité du monde peut aussi nous interpeler sur le sens de notre propre bonheur tant la misère et la souffrance semblent faire des petits ensemble tous les jours...
Une étude de l'union européenne indique que c'est à 65 ans que les européens se déclarent le plus heureux. La principale raison avancée par les personnes interrogées est l'absence de contrainte. Le bonheur est ici synonyme de liberté.
A mon niveau j'ai fait en sorte il y a quelques années de supprimer le plus de contrainte. J'en ai retiré une grande disponibilité de temps pour ma vie personnelle. après s'être "rassasié" personnellement, on peut songer aussi à se tourner vers les autres.
En un sens je me perçois donc libre et heureux. mais c'est plutôt un jugement a posteriori , qu'une décision de principe. Entre les 2, il y a la notion du choix conscient.
Chacun a une definition du bonheur qui lui est propre.
Je suis tout a fait d'accord avec Annick Tirache.
Une personne nommer "Frederique" va decider que pour lui le bonheur se sera de gagner au lotto.
Tant qu'il n'aura pas gagner il refusera de vivre dans le bonheur c'est a dire dans la joie de vivre avec ce sentiment positif en permanence.
Puis tout compte fait un jour Frederique realise que sa definition du bonheur est un peu stupide en ce sens ou il a place la barre trop haute.
Il possede une voiture, une maison, il vit avec une partenaire et a un enfant.
Le bonheur il le vivait au quotidien mais il ne souriait pas, ne le sentait pas mais maintenant les gens devinnent la joie qui emane de son etre.
Frederique a fait un grand pas un tres grand pas vers la sagesse.
Certains diront que Frederique a renonce au bonheur et qu'il se contente apres sa deception de ce qui lui reste. Ils ont tord de penser de la sorte et c'est eux qui sont a plaindre car ils sont encore au stade initial de la recherche du bonheur!
Pour montrer d'une autre facon comment nait le bonheur je prendrai l'exemple de ces deux gamins Charlie et Pierre tous deux enfant de la pauvrete vivant dans un enorme bidonville du Bresil. Ils ont tous les deux le meme age, 10 ans ils vivent en se nourissant des restes de repas trouves ca et la.
Mais tout deux ont en commun un sentiment que toute personne pourrait deviner en voyant leur visage: ils sont heureux. Leur situation si detestable qu'elle soit au yeux de la majorite de la population ne represente nullement leur etat d'esprit.
Pour c'est deux enfants le bonheur c'est de rire, de vagabonder a sa guise et de jouer a trouver des jouets dans le tas de dechets quand ce n'est pas de la nourriture.
Mais un jour Charlie trouve un ballon de foot en tres bon etat.
Les deux enfants jouent alors tres souvent et Charlie joue si bien qu'il est remarque par un entraineur de football peu connu du nom d'Arsene Lupaim.
Arsene lui propose de manger du paim frais chaque jour en echange Charlie devra quitter le bidonville definitivement pour aller s'entrainer dans la ville propre.
Charlie quitte son ami de misere seul et il continue d'etre heureux, de vivre dans le bonheur car meme s'il a perdue son copain Pierre qu'il a pleure un court moment il vit maintenant sans se soucier de la faim.
Par contre Pierre est devenu tres malheureux, il ne retrouvera plus le bonheur car le vide laisse par le depart de son ami le deprime. Il vit toujours dans ce bidonville mais il a choisi de preferer le malheur au bonheur.
Tout ce passe dans la tete.
Arretons la prise de tete.
La vie n'est pas si desesperante qu'on se l'imagine.
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Je vous remercie de votre participation, mais l'idée n'est pas de se prendre la tête, d'espérer ou de désespérer, ou de savoir qui a mieux, ou plus ou moins bien... L'idée serait plutôt que devant le verre à moitié vide ou le verre à moitié plein (...) l'on puisse se rendre compte du "bonheur" d'avoir un verre. C'est de ce choix là dont je vous parle.
