Effexor xr 150mg sevrage
annie
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Faby -
Faby -
Bonjour,
je prend effexor depuis 6 ans ,j,ai déjà essayer de me sevrer toute seule,grave erreur,j'ai racontée à mon médecin généraliste,lui même qui me prescrit effexor,et il ma fait recommencer immédiatement.Maintenant j'aimerais faire le sevrage avec un suivit cette fois,j'ai pris 30 livres depuis le début de mon traitement,j'ai des bouffées de chaleur de plus en plus fréquente,des perte de mémoire,je suis dans les nuages aussi bref,mon médecin n'est pas chaud à l'idée,me disant que je peux prendre effexor toute ma vie sans problème et aussi ,vu que j'ai déjà essayer de me sevrer toute seule,j'ai peu de chance que la 2ieme fois fonctionne,est ce que je devrais consulter un psychiatre?
Merci de m'éclairer Annie
je prend effexor depuis 6 ans ,j,ai déjà essayer de me sevrer toute seule,grave erreur,j'ai racontée à mon médecin généraliste,lui même qui me prescrit effexor,et il ma fait recommencer immédiatement.Maintenant j'aimerais faire le sevrage avec un suivit cette fois,j'ai pris 30 livres depuis le début de mon traitement,j'ai des bouffées de chaleur de plus en plus fréquente,des perte de mémoire,je suis dans les nuages aussi bref,mon médecin n'est pas chaud à l'idée,me disant que je peux prendre effexor toute ma vie sans problème et aussi ,vu que j'ai déjà essayer de me sevrer toute seule,j'ai peu de chance que la 2ieme fois fonctionne,est ce que je devrais consulter un psychiatre?
Merci de m'éclairer Annie
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5 réponses
Je suis sous Effexor ER 150 depuis 6 ans et je me porte merveille. Plus de rechute, capacité de mener mon activité professionnelle à 100%. Mes humeurs, mais aussi grâce à psychothérapie, sont plus stables tout comme mes émotions, sans que je ne sois un légume.....bien au contraire!
Comme j'allais mieux, je voulu stopper ... CATASTRHOPE! J'ai la chance de bien supporter ce médicament sans prise ni perte de poids...maintenant si je dois le prendre à vie, je préfère cela que mon état antérieur....
Je tiens encore à préciser que l'équilibre de cette médication est conjugée avec des neuroleptiques à doses homéopathique....soit 2 x 25 mg de seroquel le soir. Je vis avec toute ma vivacité d'esprit....et je dors comme loire...sans angoisse au lever! Quoi demander de plus quand durant des années vous avez cessé de vivre, si ce n'est l'enfer!
Voilà...en ce qui me concerne, j'ai compris que j'aurai besoin de cette béquille toute ma vie et je l'accepte, parce que je ne me suis jamais sentie aussi bien depuis que je suis ce traitement....même si je me sens parfois fatiguée, mais ce n'est rien par rapport à ma vie d'avant!
Comme j'allais mieux, je voulu stopper ... CATASTRHOPE! J'ai la chance de bien supporter ce médicament sans prise ni perte de poids...maintenant si je dois le prendre à vie, je préfère cela que mon état antérieur....
Je tiens encore à préciser que l'équilibre de cette médication est conjugée avec des neuroleptiques à doses homéopathique....soit 2 x 25 mg de seroquel le soir. Je vis avec toute ma vivacité d'esprit....et je dors comme loire...sans angoisse au lever! Quoi demander de plus quand durant des années vous avez cessé de vivre, si ce n'est l'enfer!
Voilà...en ce qui me concerne, j'ai compris que j'aurai besoin de cette béquille toute ma vie et je l'accepte, parce que je ne me suis jamais sentie aussi bien depuis que je suis ce traitement....même si je me sens parfois fatiguée, mais ce n'est rien par rapport à ma vie d'avant!
Je suis dans le même cas que vous mais je n'ai jamais tenté un sevrage car dès que je diminue le traitement je sombre (perte d'apétit, de poids alors que j'ai pris 10kg depuis le début du traitement, envie de rien et je pleure) donc moi aussi c'est une béquille pour toute la vie mais sous traitement je suis bien plus active mais il est vrai que je suis très souvent fatiguée ; mais je refuse de voir un psy je n'en ai pas besoin j'arrive à faire sans.....et j'ai essayé moi aussi toute la panoplie certainement depuis 1993 ! courage
Bonjour Annie,
Je ne suis pas médecin mais un simple patient....et moi aussi suis sous Effexor depuis 8 ans (1 gélule de 75 mg par jour) maintenant ainsi qu'en THERAPIE (Psychologue dans un C.M.P).
J'ai diminué les doses par deux depuis 2 mois environ, soit 1 gélule de 75 mg tous les deux jours .... et j'ai des symptômes physiques de sevrage ... : quelques palpitations , mal de tête , quelques contractures musculaires , un peu nauséeux.
Je te conseille de consulter auprès d'un psy... psychiatre ou psychologue.
Je suis tombé en forte dépression à la suite du décès de mes parents et pour me sauver de moi-même , avais décidé de voir un spécialiste de l'âme ...
Pour moi , c'est une thérapie psychologique qui est le socle , la base solide de la guérison... et les médicaments , un "accompagnement" souvent nécessaire ....
Il ne faut négliger ni l'un , ni l'autre ....
Mais pour moi , encore une fois , la très très nette amélioration de mon mental , vient de mon suivie psychologique. J'ai la chance d'être "tombé" sur un très bon psy. Je continue d'ailleurs de le voir 1 fois par semaine .
J'espère avoir été suffisament clair pour mon compte.
Si tu as des questions ?
Bonne journée.
Marc .
Je ne suis pas médecin mais un simple patient....et moi aussi suis sous Effexor depuis 8 ans (1 gélule de 75 mg par jour) maintenant ainsi qu'en THERAPIE (Psychologue dans un C.M.P).
J'ai diminué les doses par deux depuis 2 mois environ, soit 1 gélule de 75 mg tous les deux jours .... et j'ai des symptômes physiques de sevrage ... : quelques palpitations , mal de tête , quelques contractures musculaires , un peu nauséeux.
Je te conseille de consulter auprès d'un psy... psychiatre ou psychologue.
Je suis tombé en forte dépression à la suite du décès de mes parents et pour me sauver de moi-même , avais décidé de voir un spécialiste de l'âme ...
Pour moi , c'est une thérapie psychologique qui est le socle , la base solide de la guérison... et les médicaments , un "accompagnement" souvent nécessaire ....
Il ne faut négliger ni l'un , ni l'autre ....
Mais pour moi , encore une fois , la très très nette amélioration de mon mental , vient de mon suivie psychologique. J'ai la chance d'être "tombé" sur un très bon psy. Je continue d'ailleurs de le voir 1 fois par semaine .
J'espère avoir été suffisament clair pour mon compte.
Si tu as des questions ?
Bonne journée.
Marc .
Courage, je pense que le sevrage est possible, mais, hélas on connait mieux que le docteur, soi même nos réactions et ce que l'on ressent.
Je crois qu'il faut y aller très très doucement et progressivement, en sachant quand même qu'il faut s'attendre à des moments pénibles.
Je suis moi aussi sous effexor 75 (2 par jours en plus d'un autre anti-dépresseur costaud ainsi que d'anxiolytiques) seulement depuis quelques mois et je suis entrain moi aussi d'essayer d'arréter doucement.
Je prends hélas des anti-dépresseur depuis 10 ans et j'ai du essayer toute la panoplie et celui-ci m'est quand même apparu comme pire poison que les autres, déjà dans les effets secondaires en début et même en cours de traitement et maintenant encore plus pour le sevrage, d'autant que les effets escomptés du médicament ne se sont pas fait du tout ressentir. Je me sens successivement apathique ou hyper-angoissée, bref très mal.
Depuis que je suis passée à 1 comprimé par jour au lieu de 2 j'ai des insomnies et le peu que je dors des cauchemars horribles, des moments de bouffées de chaleur, d'autres de tremblements, des moments de pleurs injustifiés....
Mais je vais essayer de continuer et lorsque ces effets se seront atténués, dans plusieurs mois s'il le faut, j'essaierai encore de diminuer la dose, mais je veux vraiment me sortir de ce médicament qui en plus a tendance à me décupler les idées suicidaires.
Quant à un psychiatre, bof.......... Eux aussi sont là pour prescrire des médoc, alors .....
Par contre pourquoi pas une psychanalyse ? J'en ai fait 4 ans et demi et j'ai l'impression à postériori que ça ne m'a rien apporté, pourtant je pense que sur le moment rien que le fait de pouvoir parler m'a certainement aidée à ne pas sombrer complètement. Là non plus il ne faut pas en attendre des miracles mais en momentané ce peut être une bonne "béquille". Par contre pour ma part, outre le fait que ça m'a presque ruinée (ce n'est pas remboursé), sur le long terme je n'ai pas résolu tous les problèmes comme je l'espérais.
Pour t'aider, tu peux essayer la respiration par le ventre, la relaxation ou "l'auto-hypnose" (sur le net tu peux trouver des supports). C'est pas facile, il ne faut pas se décourager trop vite mais pour ma part ça m'aide un peu.
Gardes espoir tu y arriveras, et puis lorsque l'on voit qu'il y en a tant d'autres qui sont comme nous, je ne dis pas que ça soulage mais on se sent moins seul.
Je crois qu'il faut y aller très très doucement et progressivement, en sachant quand même qu'il faut s'attendre à des moments pénibles.
Je suis moi aussi sous effexor 75 (2 par jours en plus d'un autre anti-dépresseur costaud ainsi que d'anxiolytiques) seulement depuis quelques mois et je suis entrain moi aussi d'essayer d'arréter doucement.
Je prends hélas des anti-dépresseur depuis 10 ans et j'ai du essayer toute la panoplie et celui-ci m'est quand même apparu comme pire poison que les autres, déjà dans les effets secondaires en début et même en cours de traitement et maintenant encore plus pour le sevrage, d'autant que les effets escomptés du médicament ne se sont pas fait du tout ressentir. Je me sens successivement apathique ou hyper-angoissée, bref très mal.
Depuis que je suis passée à 1 comprimé par jour au lieu de 2 j'ai des insomnies et le peu que je dors des cauchemars horribles, des moments de bouffées de chaleur, d'autres de tremblements, des moments de pleurs injustifiés....
Mais je vais essayer de continuer et lorsque ces effets se seront atténués, dans plusieurs mois s'il le faut, j'essaierai encore de diminuer la dose, mais je veux vraiment me sortir de ce médicament qui en plus a tendance à me décupler les idées suicidaires.
Quant à un psychiatre, bof.......... Eux aussi sont là pour prescrire des médoc, alors .....
Par contre pourquoi pas une psychanalyse ? J'en ai fait 4 ans et demi et j'ai l'impression à postériori que ça ne m'a rien apporté, pourtant je pense que sur le moment rien que le fait de pouvoir parler m'a certainement aidée à ne pas sombrer complètement. Là non plus il ne faut pas en attendre des miracles mais en momentané ce peut être une bonne "béquille". Par contre pour ma part, outre le fait que ça m'a presque ruinée (ce n'est pas remboursé), sur le long terme je n'ai pas résolu tous les problèmes comme je l'espérais.
Pour t'aider, tu peux essayer la respiration par le ventre, la relaxation ou "l'auto-hypnose" (sur le net tu peux trouver des supports). C'est pas facile, il ne faut pas se décourager trop vite mais pour ma part ça m'aide un peu.
Gardes espoir tu y arriveras, et puis lorsque l'on voit qu'il y en a tant d'autres qui sont comme nous, je ne dis pas que ça soulage mais on se sent moins seul.
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