Bonjour,
je viens sur ce forum comme un appel au secours !!! j'ai fumé ma dernière cigarette le 14 aout 2009, à l'aide du champix, que j'ai pris un mois. depuis mi-septembre, je prends de l'euphytose, qui est à base de plantes, et conseillé par mon pharmacien.
mon problème, et pas le moindre, c'est que j'ai l'impression de m'enfoncer dans la dépression, rien de va, je dors très mal....
au bureau mon patron fume le cigare, et ça me prends tellement la tete que je ne pense plus qu'a ça, je lui ai expliqué en long en large et en travers que l'odeur me donnait envie de vomir, que ça me dérange, il me réponds que j'ai qu'a refumer. je m'emporte et après il me dit que j'ai trop changé, que je ne comprends plus la plaisanterie......
j'ai l'impression que personne ne m'écoute, quand je dis que c'est très dur, étant entourée que de fumeurs ou d'anciens fumeur, on ne sait que me répondre : tiens bon, tu va y arriver......
en fait je ne sais pas ce que je veux entendre, mais je sens que je vais craquer complètement !!!!!
alors si quelqu'un a ressenti cela en arretant de fumer, merci de me répondre !!!
1 totalement illégal en intérieur: "au bureau... fume le cigare,... il me réponds que j'ai qu'a refumer." surtout si ça vient de l'employeur qui doit faire respecter la loi , protection du personnel. T'as même le droit de menacer du procès, ( j'ai toujours respecté les autres et fumé dehors voire même plus loin des autres en extérieur si on me le demandais.)
Ceci est vrai que tu aie ou non un problème avec la cigarette.
C'est vrai que c'est dur à faire admettre à quelqu'un alors qu'on fumait aussi la semaine précédente.
2 La vraie dépendance physique à la seule nicotine est 3-4 jours!!!, passé ce cap sans fumer on a en réalité gagné. Tiens bon, tu vas y arriver est le seul message que tu dois conserver toute ta vie, on est des anciens fumeurs chaque jour comme les alcooliques des anciens buveurs. Il n' y a que la 1ère cigarette ou bouffée que tu ne dois jamais reprendre. Et c'est très dur de se décider à faire le premier pas dans ce sens.
Avec le temps il suffit d'attendre. L'envie qui reviendra toujours, de moins en moins souvent, si forte soit elle, disparait de plus en plus rapidement si on a su résister. Au début il faut tenir un quart d'heure, par la suite quelques minutes souvent suffisent et l'envie disparait. A condition de ne jamais reprendre une bouffée.
Toute ta vie les petits trucs pour attendre cinq secondes puis 5 minutes puis le quart d'heure puis la demie-heure te sauveront de la reprise. Les plus simples et naturels et qu'on a toujours près de soi sont les meilleurs. respirer, détendre ses muscles (par des mouvements si nécessaire), tripoter un truc, boire un verre d'eau (que de l'eau), compter les secondes puis regarder l'heure (les 5 mn...) J'ai aussi toujours quelques vieux gâteaux secs bien durs dans un plastique au fond d'une poche, suçoter un bout de gâteau est un palliatif gestuel quand on n'a pas d'occupation (longues marches) >pas besoin d'avaler beaucoup on risque moins de grossir. En réalité on a de moins en moins besoin de ce palliatif aussi.
MAIS ce n'est pas le plus dur.
-dépendance psychologique (les gestes, plaisir apparent, association avec circonstances :le café, la pose, la fin du repas, ouvrir un nouveau dossier voire le simple fait qu'on va rester 2 heures sans pouvoir en fumer une poussent à l'allumer sans besoin ). Au début changes toutes tes habitudes qui peuvent associer la cigarette, vires tous les excitants de ta vie (café, thé, alcool) tant que tu n'es pas persuadée d'avoir réussi l'arrêt de la cigarette.
-ou refuge psychologique derrière ce problème de cigarette qu'on entretient pour pas en aborder un autre.
> réussis à trouver une cause ou au moins une solution à chacun des tes petits soucis sans jamais évoquer la cigarette. (pour commencer).
Donc si tu regardes bien : tu as déjà arrêté la cigarette, ton problème est de te débarrasser de tes médicaments puis de tes symptômes dans les meilleurs conditions , améliorer ta qualité de vie pas à pas. En réalité plus rien de ce que tu peux ou dois améliorer n'a plus de vrai rapport avec la cigarette. Mais tu dois t'en rendre compte, enlever ce mot de tes raisonnements.
Physiquement tu peux quand même être dépendante quelques jours de plus à quelques autres ingrédients rajoutés parfois volontairement à la cigarette,
l'ammoniaque et les autres irritants causent indirectement un gros déséquilibre en disparaissant, notre dépendance vient d'un tas d'habitudes alimentaires ou de la vie courante qui étaient induites par ces douleurs sournoises (on n'en a pas conscience car elles viennent lentement). Habitudes qui finiront par ne plus avoir de raison d'être et cela nous perturbe.
L'intoxication chronique au CO provoquait une sorte d'anesthésie
Ces douleurs persistant plus longtemps que la nicotine on va dans un premier temps chercher un autre antidouleur et/ou calmant que la nicotine et le CO.
Ces antidouleurs ou calmants peuvent nous aider mais il faut comprendre pourquoi on les utilise pendant quelques jours et on peut aussi devenir dépendant ou subir leurs effets secondaires (souvent les mêmes que la cigarette et que le sevrage).
Tous les symptômes enfoncer dans dépression, rien ne va, dors très mal,envie de vomir, tête qui tourne ou prend la tête mais aussi je m'emporte et je ne comprends plus la plaisanterie...
Peuvent avoir d'autres causes que la cigarette et être aussi provoqués par ce qu'on utilise pour s'arrêter de fumer.
Grosse oxygénation (marche rapide ou jogging), bénéfique pour ramener les poumons à leur fonctionnement optimal (plusieurs mois), fait aussi tourner la tête et un effet d'ivresse.
Même si la cigarette était un jour à l'origine de ces symptômes ils ne vont pas stopper immédiatement. Il faut délibérément ne pas en tenir compte de ces symptômes pour prétexte à reprendre 1 seule cigarette.
Euphytose, produit naturel à base de plantes a des effets violents sur les organes et le mental, et même le comportement, c'est un vrai assemblage de plusieurs médicaments puissants, j'en ai pris des années sur prescription médicale, même l'arrêt d'Euphytose peut provoquer ou ramener les symptômes. Il n'y a pas lieu de l'utiliser des mois durant sans raison. Diminues rapidement et arrêtes . De simples tisanes au coucher sont largement plus bénéfiques à long terme. Nuit calme ou nuit paisible en grande surface. Effet remarquable de la fleur de camomille romaine au rayon herboristerie(4 ou 5 fleurs dans la tasse, tu peux ajouter autre chose pour le gout). Le soir au coucher bien après le repas . attendre raisonnablement 2-3 semaines après l'arrêt de Euphytose pour évaluer le résultat.
Quand on a mal dormi, la journée va moins bien. Aucun médicament nécessaire ça ira mieux après 2-3 bonnes nuits. Les nuits reposantes finissent par arriver avec la fatigue, si on se met en condition pour se calmer le soir. pas plus besoin de médicaments mais de la patience.
Patrick. fumeur ayant arrêté pour la 2ème fois. Ça dure déjà depuis un moment.
dés que je prends euphytose je deviens dépressive, je vois tout en noir et je n'arrete pas de pleurer. C'est pour ça que j'ai vite arrêté dans consommer .
je me suis arrêtée de fumer il y a 1 an et demi presque 2, au début j'avais très envie de fumer surtout en présence de fumeur c'était presque insoutenable le temps passait et je me disais que mon envie de fumer ne me passerait jamais. de plus en parallèle j'ai commencé à grossir au bout de 2 ou 3 mois environ. Donc mon envie de fumer qui ne passait pas et les kilos qui s'accumulaient petit à petit chaque mois un de plus même en faisant attention à ce que je mangeai, j'étais très mal dans mon corps et dans ma tête mon moral était au plus bas. Par la suite mon envie de fumer s'est dissipée et j'ai accepté mon nouveau corps. J'ai arrêter de grossir du jour au lendemain je suis passé de 54 kilos à 62 kilos pour 1m66, à ce jour j'essaye de reperdre du poids mais je n'y arrive pas, je n'ai plus jamais envie d'une cigarette et mon moral est revenu. Ceci dit j'ai passé une année très très compliquée et je me suis posée nombre de fois la question de reprendre la cigarette, je n'ai pas craqué car en fait c'était tellement difficile que je me disais que si je craquais je ne retrouverais plus le courage de repasser par ce que j'étais passé. J'ai tenu bon et je ne regrette pas malgré mes kilos que j'essaye de perdre en vain. Quand à ton patron c'est pour moi le fumeur type que je n'ai jamais supporté la non tolérance de celui qui ne fume pas, je fume je prends le risque du cancer et je fais prendre ce risque à tout le monde, de plus si l'odeur du tabac te dérange tant pis pour toi, un monstre d'égoisme. mon conseil continue ton combat même si c'est très dur et n'écoutes que toi il est souvent inutile de parler de ses problèmes aux autres on se sent souvent incompris ou plus faible que les autres en général plus les gens sont intolérants plus tu te rends compte quand fait ils sont pas capable de faire le quart de ce que toi tu es capable. Courage