Cancer:quelqu'un est il sous Femara?
Fermé
Bonjour,
J'ai terminé les traitements "standard" et je suis actuellement sous Femara je voudrais savoir si certaines ont ds effets secondaires non annoncés par les medecins comme d'habitude !
Fatigue permanente avec des coups de pompe imprevisibles , les yeux qui picotent regulierement et de gros problemes de sommeil pourtant je suis bien entourée surtout par un mari qui ne sait quoi faire pour me faire plaisir
J'ai aussi des periodes de grosse deprime pour lesquelles mon medecin traitant me conseille de voir la psyco oncologue de la clinique ou je suis suivie mais je n'ai pas trop envie de medicaliser ce probleme c'est pourquoi j'essaye de dialoguer avec des patientes qui sont passées par la !
J'ai terminé les traitements "standard" et je suis actuellement sous Femara je voudrais savoir si certaines ont ds effets secondaires non annoncés par les medecins comme d'habitude !
Fatigue permanente avec des coups de pompe imprevisibles , les yeux qui picotent regulierement et de gros problemes de sommeil pourtant je suis bien entourée surtout par un mari qui ne sait quoi faire pour me faire plaisir
J'ai aussi des periodes de grosse deprime pour lesquelles mon medecin traitant me conseille de voir la psyco oncologue de la clinique ou je suis suivie mais je n'ai pas trop envie de medicaliser ce probleme c'est pourquoi j'essaye de dialoguer avec des patientes qui sont passées par la !
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23 réponses
J'en prends depuis 1 an et demi, j'ai pris du poids, j'ai mal aux articulations et surtout JE PERDS MES CHEVEUX alors qu'ils étaient repoussés frissés et en volume mais depuis c'est la catastrophe.
J'ai aussi la sècheresse vaginale et très souvent des infections urinaires.
Ce sont les bactéries étrangères que mon organisme ne tolère pas parce que le FEMARA agit sur mes défenses naturelles, elles sont diminuées.
C'est un sale produit pour une sale maladie, mais d'un mal prenons le moindre surtout s'il nous prolonge la vie................
Seulement voilà, je suis en vie contrairement à deux des mes amies qui sont parties l'une à 32 ans et l'autre à 37 ans.
J'en ai une troisième qui attend des résultats de ses marqueurs qui se sont affolés considérablement et les médecins ne trouvent pas la chimio qui va bien, elle a 45ans.......
alors je me dis, tant pis pour mes cheveux, tant pis pour mes maux, je suis là et si les autres se fichent de moi parce que je suis presque chauve, qu'ils rigolent entre eux, ils se préserveront du cancer..............moi je ne me suis jamlais moquée de qui que ce soit et voilà c'est de moi qu'on se moque mais je m'en moque aussi plus fortement que je n'y suis pour rien.
Dès que nous sommes atteints par le CANCER nous prenons conscience que nous sommes en danger de mort et nous devons vivre avec cette épée au dessus de nos têtes........alors cheveux ou pas, appétit ou pas, les minutes qui passent sont notre victoire et pas celle des autres................
J'ai aussi la sècheresse vaginale et très souvent des infections urinaires.
Ce sont les bactéries étrangères que mon organisme ne tolère pas parce que le FEMARA agit sur mes défenses naturelles, elles sont diminuées.
C'est un sale produit pour une sale maladie, mais d'un mal prenons le moindre surtout s'il nous prolonge la vie................
Seulement voilà, je suis en vie contrairement à deux des mes amies qui sont parties l'une à 32 ans et l'autre à 37 ans.
J'en ai une troisième qui attend des résultats de ses marqueurs qui se sont affolés considérablement et les médecins ne trouvent pas la chimio qui va bien, elle a 45ans.......
alors je me dis, tant pis pour mes cheveux, tant pis pour mes maux, je suis là et si les autres se fichent de moi parce que je suis presque chauve, qu'ils rigolent entre eux, ils se préserveront du cancer..............moi je ne me suis jamlais moquée de qui que ce soit et voilà c'est de moi qu'on se moque mais je m'en moque aussi plus fortement que je n'y suis pour rien.
Dès que nous sommes atteints par le CANCER nous prenons conscience que nous sommes en danger de mort et nous devons vivre avec cette épée au dessus de nos têtes........alors cheveux ou pas, appétit ou pas, les minutes qui passent sont notre victoire et pas celle des autres................
Je me suis conditionnée mentalement pour accepter les douleurs et les effets secondaires du Femara :si l'on veut mettre toutes les chances de notre coté pour survivre il faut se rendre a l'evidence , le femara peut nous aider !!
Par contre je traverse une periode depressive que je ne veux pas medicaliser
Notre entourage et les amis soit voudraient que l'on ne soit plus malade ou ne comprennent pas que l'on ne reprenne pas la vie comme avant ......C'est tres difficile a faire admettre
J'ai ete operée d'un adenocarcinome en septembre 2007 et j'ai terminé les traitements en juillet 2008 donc il va y avoir un an
J'ai paradoxalement " tenu" tout le temps des traitements car il fallait lutter maintenant je ressens un grand vide que je supporte difficilement
J'aimerai savoir comment vous vivez cette periode puisque si vous etes sous Femara depuis un an : nous sommes sans doute au meme stade de la maladie
Bonne jounée
Par contre je traverse une periode depressive que je ne veux pas medicaliser
Notre entourage et les amis soit voudraient que l'on ne soit plus malade ou ne comprennent pas que l'on ne reprenne pas la vie comme avant ......C'est tres difficile a faire admettre
J'ai ete operée d'un adenocarcinome en septembre 2007 et j'ai terminé les traitements en juillet 2008 donc il va y avoir un an
J'ai paradoxalement " tenu" tout le temps des traitements car il fallait lutter maintenant je ressens un grand vide que je supporte difficilement
J'aimerai savoir comment vous vivez cette periode puisque si vous etes sous Femara depuis un an : nous sommes sans doute au meme stade de la maladie
Bonne jounée
fondcombes
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31 mai 2009 à 10:37
31 mai 2009 à 10:37
je suis sous femar depuis plus de deux ans.... opérée en mars 2006.
J'ai eu de grosses douleurs au départ, il faut passer le cap des 6 mois et après c'est plus que supportable. En revanche, il faut habituer son corps au traitement en ne cédant pas à la douleur. Ca passe.
Je ne me suis jamais arrêtée de faire de la marche malgré les douleurs des genoux. Maintenant, je peux randonner sur plus de 5 heures sans problème.
Tous les traitements anti-hormono attaquent les os, il faut le savoir, donc pas le choix. Il me reste deux ans à le prendre.
Pour le vide, j'y suis passée et j'y passe encore mais je me soigne..... rigolade avec les copines, sorties et travail m'occupent. J'ai repris une psychothérapie pour me reconstruire et je vais beaucoup mieux.
Si tu as des coups de blues, essaie la rhodiola rosea associée au magnesium B6. Cette plante est une bonne gestionnaire du stress et surtout rééquilibre le corps en améliorant ta résistance physique. Pas de problème sur les hormones, mon psy me l'a conseillé et j'ai de bons résultat. En 3 semaines, je vais déjà nettement mieux sur le plan mental. On est des battantes pour avoir survecue, donc on peut affronter le reste et continuer à se battre envers et contre tout.
J'ai eu de grosses douleurs au départ, il faut passer le cap des 6 mois et après c'est plus que supportable. En revanche, il faut habituer son corps au traitement en ne cédant pas à la douleur. Ca passe.
Je ne me suis jamais arrêtée de faire de la marche malgré les douleurs des genoux. Maintenant, je peux randonner sur plus de 5 heures sans problème.
Tous les traitements anti-hormono attaquent les os, il faut le savoir, donc pas le choix. Il me reste deux ans à le prendre.
Pour le vide, j'y suis passée et j'y passe encore mais je me soigne..... rigolade avec les copines, sorties et travail m'occupent. J'ai repris une psychothérapie pour me reconstruire et je vais beaucoup mieux.
Si tu as des coups de blues, essaie la rhodiola rosea associée au magnesium B6. Cette plante est une bonne gestionnaire du stress et surtout rééquilibre le corps en améliorant ta résistance physique. Pas de problème sur les hormones, mon psy me l'a conseillé et j'ai de bons résultat. En 3 semaines, je vais déjà nettement mieux sur le plan mental. On est des battantes pour avoir survecue, donc on peut affronter le reste et continuer à se battre envers et contre tout.
Gualione
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31 mai 2009
3 juin 2009 à 19:25
3 juin 2009 à 19:25
Je viens de découvrir ce site...je recherchais également quelques témoignages sur des femmes prenant le Fémara.
J'ai subi l'an dernier une mastectomie, 7 chimios + 25 séances de radiothérapie; fin des traitements en fin novembre 2008; j'ai supporté tout cela plus ou moins bien, avec le moral et la conviction de la guérison.
Je prends du Fémara depuis 6 mois; je l'ai très bien supporté au début; contrairement sans doute à beaucoup de femmes, j'étais en forme et je n'avais envie que de bouger, faire du sport,....Je me suis d'ailleurs remise à la gymnastique + équitation très rapidement mais "à mon aise" bien sûr!!
Après 3 mois de Fémara, j'ai commencé à sentir des douleurs articulaires et musculaires...d'intensité variant d'un jour à l'autre; cela m'empêche même de bien dormir...et donc une fatigue commence à s'installer; avec des bouffées de chaleur en prime!! Après 6 mois de prise de cet anti-hormonal, j'ai une sorte d'arthrose qui s'est installée à l'articulation du bras...et le soir, je suis "ko". Il n'y a rien de "psy" à tout ça!!
J'ai la chance de ne pas travailler et donc de pouvoir penser à moi, me reposer quand je veux...
Je suis hyper bien entourée, je continue à faire du sport (à mon rythme) et je mange sainement.
Mon 1ier gros bilan est excellent...
J'ai un RV avec un rhumatologue pour ces douleurs articulaires....d'ici 3 semaines.
J'essaie de rester très positive et de me convaincre à continuer le Fémara...il le faut!!
A vous toutes, bon courage et surtout gardez le moral...
Un site qui me paraît très positif est celui de guérir.fr; il y a de très bons conseils, de bons encouragements, des réponses à nos questions!!
J'ai subi l'an dernier une mastectomie, 7 chimios + 25 séances de radiothérapie; fin des traitements en fin novembre 2008; j'ai supporté tout cela plus ou moins bien, avec le moral et la conviction de la guérison.
Je prends du Fémara depuis 6 mois; je l'ai très bien supporté au début; contrairement sans doute à beaucoup de femmes, j'étais en forme et je n'avais envie que de bouger, faire du sport,....Je me suis d'ailleurs remise à la gymnastique + équitation très rapidement mais "à mon aise" bien sûr!!
Après 3 mois de Fémara, j'ai commencé à sentir des douleurs articulaires et musculaires...d'intensité variant d'un jour à l'autre; cela m'empêche même de bien dormir...et donc une fatigue commence à s'installer; avec des bouffées de chaleur en prime!! Après 6 mois de prise de cet anti-hormonal, j'ai une sorte d'arthrose qui s'est installée à l'articulation du bras...et le soir, je suis "ko". Il n'y a rien de "psy" à tout ça!!
J'ai la chance de ne pas travailler et donc de pouvoir penser à moi, me reposer quand je veux...
Je suis hyper bien entourée, je continue à faire du sport (à mon rythme) et je mange sainement.
Mon 1ier gros bilan est excellent...
J'ai un RV avec un rhumatologue pour ces douleurs articulaires....d'ici 3 semaines.
J'essaie de rester très positive et de me convaincre à continuer le Fémara...il le faut!!
A vous toutes, bon courage et surtout gardez le moral...
Un site qui me paraît très positif est celui de guérir.fr; il y a de très bons conseils, de bons encouragements, des réponses à nos questions!!
Pour les douleurs, mon rhumato qui est un spécialiste des grands sportifs m'a dit que malheureusement il n'y avait que l'ibuprophène pour traiter la douleur.
J'ai quand même eu deux infiltrations dans l'épaule dues à une sur-calcification.... mais ça je l'avais avant, je fabrique de l'os.
Pour les bouffées de chaleur, j'ai trouvé Sérélys. Plus rien au bout des deux mois de traitement. Je n'en prends qu'un comprimé lorsque je sens que cela revient : si j'abuse de café, de chocolat ou d'un peu d'alcool.
En tout cas bon réflexe, d'avoir continué le sport. La marche reste le meilleur sport pour remettre le corps en mouvement. Il faut habitué votre corps à Femara ou tout autre médoc de cette famille. C'est un cap qui passera : fatigue et douleurs. Cela fait 3 ans pour moi, les genoux se rappellent de temps à autre à mon bon souvenir mais cela ne m'empêche pas de sauter et de danser. Un ibuprophéne et je prends mon sac photo pour une virée. J'en avais dans tous les sacs, au début c'était permanent, maintenant c'est fort rare.
Bon courage !
J'ai quand même eu deux infiltrations dans l'épaule dues à une sur-calcification.... mais ça je l'avais avant, je fabrique de l'os.
Pour les bouffées de chaleur, j'ai trouvé Sérélys. Plus rien au bout des deux mois de traitement. Je n'en prends qu'un comprimé lorsque je sens que cela revient : si j'abuse de café, de chocolat ou d'un peu d'alcool.
En tout cas bon réflexe, d'avoir continué le sport. La marche reste le meilleur sport pour remettre le corps en mouvement. Il faut habitué votre corps à Femara ou tout autre médoc de cette famille. C'est un cap qui passera : fatigue et douleurs. Cela fait 3 ans pour moi, les genoux se rappellent de temps à autre à mon bon souvenir mais cela ne m'empêche pas de sauter et de danser. Un ibuprophéne et je prends mon sac photo pour une virée. J'en avais dans tous les sacs, au début c'était permanent, maintenant c'est fort rare.
Bon courage !
Comme vous j'ai eu un adécarcinome en 2007, fin de traitement en 2008 et sous fémara depuis oct 2008, depuis quelques semaines j'ai l'impression que je souffre de dépression alors que j'ai toujours été forte, en lisant les effets secondaires sur les forums je pense que tous mes maux sont liés au fémara, douleurs des muscles brûlures aux articulations, sciatique, crampes et surtout depuis oct vertiges demain je dois passer un scanner cérébral et j'ai très peur du résultat mais en lisant vos messages je m'aperçois que certaines ont aussi des vertiges.
En mai 2009, j'avais déjà répondu au sujet "Fémara".
Nous voici 8 mois plus tard et cela fait à présent bientôt 14 mois que je prend du fémara; à présent, je le supporte trrrès bien! Les crampes, les douleurs,....tout cela a disparu; quel bonheur ! Bien sûr, il me faut quelques secondes lorsque je passe de la position assise à debout; oui, je me sens très raide mais cela passe. Parfois aussi, j'ai des vertiges mais cela passe rapidement. C'est très bien de contrôler cela et je suis sûre que cela fait partie effectivement de la prise de l'anti-hormonal.
Mes examens médicaux sont excellents...
Je fais du sport quasi tous les jours, je "bouge" beaucoup, et j'ai le moral!
Le corps doit s'habituer à tous ces changements mais je crois que cela vaut la peine de tenir le coup.
Je vous souhaite à toutes un bon courage , un bon moral
Nous voici 8 mois plus tard et cela fait à présent bientôt 14 mois que je prend du fémara; à présent, je le supporte trrrès bien! Les crampes, les douleurs,....tout cela a disparu; quel bonheur ! Bien sûr, il me faut quelques secondes lorsque je passe de la position assise à debout; oui, je me sens très raide mais cela passe. Parfois aussi, j'ai des vertiges mais cela passe rapidement. C'est très bien de contrôler cela et je suis sûre que cela fait partie effectivement de la prise de l'anti-hormonal.
Mes examens médicaux sont excellents...
Je fais du sport quasi tous les jours, je "bouge" beaucoup, et j'ai le moral!
Le corps doit s'habituer à tous ces changements mais je crois que cela vaut la peine de tenir le coup.
Je vous souhaite à toutes un bon courage , un bon moral
Mich J'ai 75 ans et suis depuis 1an1et demi sous Fémara, les douleurs sont très fatigantes mêmes handicapantes, les mains les épaules le dos tout est coincé à longueur de journée. Quand ce n'est pas les nausées, le manque d'appétit ou le sentiment d'avoir avalé un boeuf qui ne passe pas. Ajouté cela une fatigue générale insensée sans rien faire. Je me pose vraiment la question de savoir si à mon âge le jeu en vaux la chandelle, encore plus de 3 ans comme ça ce n'est pas une qualité de fin de vie appréciable qu'en pensez-vous...
Bonjour, Je suis sous Femara depuis bientôt 4 ans.... Il y a eu des hauts et des bas, mais depuis un an, grosse fatigue, état dépressif, douleurs musculaires, mal à la nuques aux épaules, insomnies : pas plus de 4 heures de sommeil par nuit. Je suis toujours en activité (53 ans), mon médecin traitant ne m'arrête jamais et pourtant je suis épuisée. J'ai l'impression que l'Oncologue, la gynéco se renvoient la balle pour prescription de médicaments qui pourraient soulager sécheresse vaginale, insomnies, etc...
Pourtant tous m'incitent à finir mon traitement jusqu'à la cinquième année.
Mon entourage me trouve bien pourtant (mais blanche, maigre, mauvaise humeur) et bien sûr ça n'a rien à voir avec mon ANCIENNE MALADIE je fabule et profite de la situation. Dur, dur...
J'ai vraiment l'impression d'être seule au monde.
Pourtant tous m'incitent à finir mon traitement jusqu'à la cinquième année.
Mon entourage me trouve bien pourtant (mais blanche, maigre, mauvaise humeur) et bien sûr ça n'a rien à voir avec mon ANCIENNE MALADIE je fabule et profite de la situation. Dur, dur...
J'ai vraiment l'impression d'être seule au monde.
bonsoir
j'ai subi l'ablation d'une "petite tumeure du seins";tu as de la chance d'etre bien entourée,j'ai ete opree en septembre,puis 8 semaines de rayons,pas mal brulee!aujourd'hui;ma peau est nickelle.
J'ai commené un traitement ne me donne pas l'impression d'aller mieux.,pour les fameux 5 ans!! je ne pouvais plus plier mes doigts qui ressemblaent à des saucisses de strasbourg!
depuis j'aichangé pour femara;je croyais que tout irait mieuw,mais non!
mes doigts sont gonfles un peu moins,mes articulations des mains sont defomees,je casse pas mal.
J'ai aussi des douleurs un peu partout,des etourdissements,des bouffees de chaleur terrible;et cette deprime qui me colle à la peau.mon mari se comporte comme si j'etais completement guerie,comme si j'etas en conge et non pas en arret de travail.
J'apprehende les prochaines annees!!je suis toujours tres fatiguee en fin de journée,je fais beacoup de choses malgre tout,mais je le paye.J'ai aussi beaucoup grossie,et c'est tres mauvais pour mon moral.
j'ai subi l'ablation d'une "petite tumeure du seins";tu as de la chance d'etre bien entourée,j'ai ete opree en septembre,puis 8 semaines de rayons,pas mal brulee!aujourd'hui;ma peau est nickelle.
J'ai commené un traitement ne me donne pas l'impression d'aller mieux.,pour les fameux 5 ans!! je ne pouvais plus plier mes doigts qui ressemblaent à des saucisses de strasbourg!
depuis j'aichangé pour femara;je croyais que tout irait mieuw,mais non!
mes doigts sont gonfles un peu moins,mes articulations des mains sont defomees,je casse pas mal.
J'ai aussi des douleurs un peu partout,des etourdissements,des bouffees de chaleur terrible;et cette deprime qui me colle à la peau.mon mari se comporte comme si j'etais completement guerie,comme si j'etas en conge et non pas en arret de travail.
J'apprehende les prochaines annees!!je suis toujours tres fatiguee en fin de journée,je fais beacoup de choses malgre tout,mais je le paye.J'ai aussi beaucoup grossie,et c'est tres mauvais pour mon moral.
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Bonjour ! Je suis aussi sous "femara" depuis bientôt un an.
L'oncologue m'a surtout parlé d'ostéoporose et voulait me faire des injections (une tous les 3 à 6 mois) de "zometa" pour parer à cet inconvénient (le zometa fixe le calcium sur les os) mais il m'a tout de suite dit qu'il y avait des risques de complications au niveau des dents, si elles ne sont pas en ordre. J'ai refusé ce traitement de zometa.
Quant aux effets secondaires, c'est vrai que mon oncologue ne m'a rien dit d'autre, à part que j'allais un peu perdre le désir sexuel.
Je compatis à votre douleur, car moi aussi, je ressens : beaucoup de fatigue, mal aux articulations, maux de tête et sommeil parfois agité, ce qui ne m'arrivait jamais ou rarement auparavant. Parfois, je me dis que cela va avec le fait vécu du cancer et que c'est indépendant du femara. D'autres fois, cela me perturbe énormément... j'ai envie d'aller voir un médecin anthroposophe. Mais malheureusement je connais plusieurs cas de personnes qui n'ont pas voulu faire de la chimio et qui ont pris du guy et qui malheureusement ne s'en sont pas sortis. Mais c'est un autre problème. Je suis persuadée que je m'en suis "sortie" grâce à l'opération et, dans la moindre mesure, grâce aux rayons et à la chimio. Quant au "femara", les effets secondaires m'inquiètent beaucoup. Mon généraliste m'a prescrit un homeopathique qui aide à éliminer ces effets... sous forme de doses en 3 jours et 2 fois. Ceci est récent. Je pense que c'est efficace, néanmoins, je ne suis pas chaude pour continuer à prendre ce médicament pendant 5 ans ! Je vais de toute façon aller voir un anthroposophe (un très bon et très qualifié) ainsi qu'un autre oncologue, pour mieux en comprendre les risques et les avantages et éventuellement voir pour un substitut sans effets secondaires !...
A la base, je suis sûre et certaine que tout cela est "psychologique". Je ne partage pas entièrement l'avis de Serban-Schreiber, mais je pense qu'avec une nouvelle hygiène et discipline de vie (au sens large) peut-être, oui, une sorte de psycho-thérapie aussi, il y a moyen de prévenir le cancer et la suite... Voilà j'espère avoir répondu un peu à votre question.
Depuis quand prenez-vous ce médicament ? Quel stade dans votre cancer ? Meilleures salutations de la Suisse ! Musisa
L'oncologue m'a surtout parlé d'ostéoporose et voulait me faire des injections (une tous les 3 à 6 mois) de "zometa" pour parer à cet inconvénient (le zometa fixe le calcium sur les os) mais il m'a tout de suite dit qu'il y avait des risques de complications au niveau des dents, si elles ne sont pas en ordre. J'ai refusé ce traitement de zometa.
Quant aux effets secondaires, c'est vrai que mon oncologue ne m'a rien dit d'autre, à part que j'allais un peu perdre le désir sexuel.
Je compatis à votre douleur, car moi aussi, je ressens : beaucoup de fatigue, mal aux articulations, maux de tête et sommeil parfois agité, ce qui ne m'arrivait jamais ou rarement auparavant. Parfois, je me dis que cela va avec le fait vécu du cancer et que c'est indépendant du femara. D'autres fois, cela me perturbe énormément... j'ai envie d'aller voir un médecin anthroposophe. Mais malheureusement je connais plusieurs cas de personnes qui n'ont pas voulu faire de la chimio et qui ont pris du guy et qui malheureusement ne s'en sont pas sortis. Mais c'est un autre problème. Je suis persuadée que je m'en suis "sortie" grâce à l'opération et, dans la moindre mesure, grâce aux rayons et à la chimio. Quant au "femara", les effets secondaires m'inquiètent beaucoup. Mon généraliste m'a prescrit un homeopathique qui aide à éliminer ces effets... sous forme de doses en 3 jours et 2 fois. Ceci est récent. Je pense que c'est efficace, néanmoins, je ne suis pas chaude pour continuer à prendre ce médicament pendant 5 ans ! Je vais de toute façon aller voir un anthroposophe (un très bon et très qualifié) ainsi qu'un autre oncologue, pour mieux en comprendre les risques et les avantages et éventuellement voir pour un substitut sans effets secondaires !...
A la base, je suis sûre et certaine que tout cela est "psychologique". Je ne partage pas entièrement l'avis de Serban-Schreiber, mais je pense qu'avec une nouvelle hygiène et discipline de vie (au sens large) peut-être, oui, une sorte de psycho-thérapie aussi, il y a moyen de prévenir le cancer et la suite... Voilà j'espère avoir répondu un peu à votre question.
Depuis quand prenez-vous ce médicament ? Quel stade dans votre cancer ? Meilleures salutations de la Suisse ! Musisa
salut
je suis a me demander tout comme toi si ca vaut le coup de continuer ce femara ??
une amie a arreter elle est plus la ca sait mis dans les os ca as pas trainé , dernierement j'ai discuter avec une dame qui as pris le traitement 5 ans elle as fini en 2008 et là devine ? elle en as un peu partout principalement sur les os , je suis degoutée , j avais ete voir un acuponcteur il m'as dit a avoir soigné un cheval qui avait des metastases avec du guy et qu il avait plus rien , je lui ai dit que je veux pas passer apres le cheval !!!! j'ai guetter sur le net et j'ai pas confiance
en faite faut faire quoi ??
demain rdv vers l oncologue et je vais encore me prendre la tete avec lui quand je lui parle des 10 kg que j'ai pris il me repond madame si vous ouvrez pas la bouche vous allez pas grossir !!!
bon courage a toi bisous
je suis a me demander tout comme toi si ca vaut le coup de continuer ce femara ??
une amie a arreter elle est plus la ca sait mis dans les os ca as pas trainé , dernierement j'ai discuter avec une dame qui as pris le traitement 5 ans elle as fini en 2008 et là devine ? elle en as un peu partout principalement sur les os , je suis degoutée , j avais ete voir un acuponcteur il m'as dit a avoir soigné un cheval qui avait des metastases avec du guy et qu il avait plus rien , je lui ai dit que je veux pas passer apres le cheval !!!! j'ai guetter sur le net et j'ai pas confiance
en faite faut faire quoi ??
demain rdv vers l oncologue et je vais encore me prendre la tete avec lui quand je lui parle des 10 kg que j'ai pris il me repond madame si vous ouvrez pas la bouche vous allez pas grossir !!!
bon courage a toi bisous
Bonsoir,
j'ai eu il y a maintenant 9 ans un cancer du sein, la tumeur à été enlevée, avec traitement de chimio et radiothérapie.
Je viens de faire un contrôle fin Juin 2011 et là... Il savère qu'il y avait un autre cancer toujours au même sein, le 27 Juillet j'ai eu l'abblation, très difficile spychologiquement, mais bon ! il faut sortir la tête de l'eau.
Je viens d'avoir un RV avec le CHU pour les résultats... OUF!!! il m'annonce qu'il ny aura pas de
chimio, pas de radio "impossible d'avoir de la radio 2 fois, car risque iradiation"
Le traitement sera du FERAMA.
J'ai commencé le 13-08, pour le moment rien à dire....
Bon courage à toutes
BNC
j'ai eu il y a maintenant 9 ans un cancer du sein, la tumeur à été enlevée, avec traitement de chimio et radiothérapie.
Je viens de faire un contrôle fin Juin 2011 et là... Il savère qu'il y avait un autre cancer toujours au même sein, le 27 Juillet j'ai eu l'abblation, très difficile spychologiquement, mais bon ! il faut sortir la tête de l'eau.
Je viens d'avoir un RV avec le CHU pour les résultats... OUF!!! il m'annonce qu'il ny aura pas de
chimio, pas de radio "impossible d'avoir de la radio 2 fois, car risque iradiation"
Le traitement sera du FERAMA.
J'ai commencé le 13-08, pour le moment rien à dire....
Bon courage à toutes
BNC
Bonjour à toutes,
Comme sur le message du 13 août, 2003 cancer du sein tumeur enlevée puis chimio+radio, contrôle de août 2011 "récidive tardive"dixite mon oncologue donc scan irm puis abblation le chir; me dit qu'il s'agit du même crabe. résultats de la biopsie le 06/10 : pas de chimio, pas de radio sous FEMERA depuis 3 jours. Effets secondaires décrits par l'oncologue : bouffées de chaleur, risque d'ostéoporose. Aujourd'hui tirée d'affaires pour combien de temps ?Bien entourées, nous devons croquer la vie à pleines dents, profiter de chaque instant donner et ne pas hésiter à recevoir l'amour des autres, je dis l'amour pas la pitié !!
Bon courage à toutes
IH
Comme sur le message du 13 août, 2003 cancer du sein tumeur enlevée puis chimio+radio, contrôle de août 2011 "récidive tardive"dixite mon oncologue donc scan irm puis abblation le chir; me dit qu'il s'agit du même crabe. résultats de la biopsie le 06/10 : pas de chimio, pas de radio sous FEMERA depuis 3 jours. Effets secondaires décrits par l'oncologue : bouffées de chaleur, risque d'ostéoporose. Aujourd'hui tirée d'affaires pour combien de temps ?Bien entourées, nous devons croquer la vie à pleines dents, profiter de chaque instant donner et ne pas hésiter à recevoir l'amour des autres, je dis l'amour pas la pitié !!
Bon courage à toutes
IH
je combat aussi ce phenomene depuis 2003 rechute en 2008 je suis sous femara qui ma extenuie fatigue mal partout trouble du sommeil bref tres tres fatiguee je devrais prendre un doliprane a chaque prise du femara je ne le fais pas j'en ai mare de tout ces medoc je prends du poids femara est peut etre bon contre le cancer mais il masacre plein d'autre chose la vue les dents les articulations la patience le sommeil j'espere quon trouvera un autre remede moins brutal ,l'esszntiel c'est qu'on s'en sorte deja
bon retablissement a tous et prenez la vie du bon cote et toujours heureux cela aide ;je regarde tout le temps que des films rigolo
bon retablissement a tous et prenez la vie du bon cote et toujours heureux cela aide ;je regarde tout le temps que des films rigolo
Comme toi je suipporte mal le fémara surtout l'hiver j'ai des douleurs partout j'ai 47 ans j'ai l'impression d'en avoir 80 ça fait 3 ans et demi que je le prends et mon oncologue m'a dit qu'il fallait que je le prenne 10 ans je sais pas si je vais le supporter car comme toi une fatigue générale alors que j'ai un tempéremment à toujour
s bouger j'ai une petite fille de 5 ans et c'est vraiment dur pour moi je fais des cystites à répétition par contre mon gynéco m'a prescrit à force de voir que ma sècheresse était telle qu'il n'a pas pu me faire un frotis des ovules et gels aux hormones même que ce soit interdit par l'oncologue juste pour détendre un peu le vagin voyez vous !! et j'ai une amie qui est ds le meme cas et sa gynéco lui a prescris aussi des gels a base d'hormone
pour les insomnies je prends 1/4 de stilnox et 1/2 lexomil cela m'aide à m'endormir sans avoir la tête fracassée le matin mais en ce qui concerne mon médecin traitant il n'hésite pas à m'arrêter de toutes façons j'ai des gastroà répétition l'oncologue me dit que ce n'est pas le fémara mais moi je sais que si j'ai l'impression qu'il ne veut pas tout me dire car sinon je l'arrêterai desuite là j'ai l'impression que mon ossature se ratatine bref je comprends tes problèmes
s bouger j'ai une petite fille de 5 ans et c'est vraiment dur pour moi je fais des cystites à répétition par contre mon gynéco m'a prescrit à force de voir que ma sècheresse était telle qu'il n'a pas pu me faire un frotis des ovules et gels aux hormones même que ce soit interdit par l'oncologue juste pour détendre un peu le vagin voyez vous !! et j'ai une amie qui est ds le meme cas et sa gynéco lui a prescris aussi des gels a base d'hormone
pour les insomnies je prends 1/4 de stilnox et 1/2 lexomil cela m'aide à m'endormir sans avoir la tête fracassée le matin mais en ce qui concerne mon médecin traitant il n'hésite pas à m'arrêter de toutes façons j'ai des gastroà répétition l'oncologue me dit que ce n'est pas le fémara mais moi je sais que si j'ai l'impression qu'il ne veut pas tout me dire car sinon je l'arrêterai desuite là j'ai l'impression que mon ossature se ratatine bref je comprends tes problèmes
JE PRENDS FEMARA DEPUIS SEPT 2009 ET LE SEUL PROBLEME QUE J'ai RENCONTRE C'est les douleurs des articulations (je signale que j'ai un taux de calcium dépassant légèrement le maximum) depuis que j'ai arrêté les laitages cà va beaucoup mieux les douleurs se sont estompées, j'avais perdu 6 Kilos après l'arrêt de ma chimio, je fais très attention à mon alimentation beaucoup de légumes et fruits, j'ai zappé tous ce qui est conserves j'essaie de ne manger que du bio surtout légumes et fruits j'utilise beaucoup de produits naturels même pour hydrater la peau, huile de graine de figue de barbarie, huile d'avocat, je nage en moyenne 1 HEURE PAR JOUR et cà me fait beaucoup de bien physiquement et moralement.
PS : le basilic rend de très bonne humeur (feuilles bio hachées à mélanger avec tomates et huile d'olive (très bonne salade)
bon courage
PS : le basilic rend de très bonne humeur (feuilles bio hachées à mélanger avec tomates et huile d'olive (très bonne salade)
bon courage
http://www.hc-sc.gc.ca/dhp-mps/prodpharma/notices-avis/conditions/femara_fs_fd_091486-fra.php
Moi aussi je prends Femara et en effet , "les effets secondaires" sont loin d'être nuls. L'étude canadienne confirme les problèmes de vue et autres soucis. Je pense que je vais arrêter. Car s'il faut prendre des remèdes pour les douleurs osseuses pour la déprime etc...pour un bénéfice hypothétique, mieux vaut pour moi arrêter.
Je me souviens comme on me disait de prendre des hormones pour soulager la ménopose...il n'y avait que des avantages, j'en ai pris 10 ans....résultat un cancer. C'était d'autant plus bête que j'avais déjà eu un autre cancer.
Ce remède coute si cher qu'il rapoorte beaucoup à Novartis qui doit faire tout son possible pour que les cancerologues nous le prescrivent
Moi aussi je prends Femara et en effet , "les effets secondaires" sont loin d'être nuls. L'étude canadienne confirme les problèmes de vue et autres soucis. Je pense que je vais arrêter. Car s'il faut prendre des remèdes pour les douleurs osseuses pour la déprime etc...pour un bénéfice hypothétique, mieux vaut pour moi arrêter.
Je me souviens comme on me disait de prendre des hormones pour soulager la ménopose...il n'y avait que des avantages, j'en ai pris 10 ans....résultat un cancer. C'était d'autant plus bête que j'avais déjà eu un autre cancer.
Ce remède coute si cher qu'il rapoorte beaucoup à Novartis qui doit faire tout son possible pour que les cancerologues nous le prescrivent
Pour Ria
Je suis contente de lire votre sentiment sur Femara. Tout comme vous je prends conscience que je peux arrêter. Cela fait 4 ans que je le prends, après une chimio et des rayons. Donc douleurs, puis au bout de trois ans rupture des tendons des deux épaules, un genou sans cartilage j'envisage une prothèse, une ostéodensitométrie en piteux état au niveau vertèbral, pose d'un stent dans une coronaire, fatigue, envie de rien. Moi aussi 10 ans de THS puis cancer... Ras le bol des médicaments. Où en êtes vous, avez vous arrêté ? Comment vous sentez vous ? Excusez moi de ce déballage mais votre révolte rejoint la mienne et je ne sais si je fais bien?
Merci de me répondre. Je vous souhaite beaucoup de mieux.
Je suis contente de lire votre sentiment sur Femara. Tout comme vous je prends conscience que je peux arrêter. Cela fait 4 ans que je le prends, après une chimio et des rayons. Donc douleurs, puis au bout de trois ans rupture des tendons des deux épaules, un genou sans cartilage j'envisage une prothèse, une ostéodensitométrie en piteux état au niveau vertèbral, pose d'un stent dans une coronaire, fatigue, envie de rien. Moi aussi 10 ans de THS puis cancer... Ras le bol des médicaments. Où en êtes vous, avez vous arrêté ? Comment vous sentez vous ? Excusez moi de ce déballage mais votre révolte rejoint la mienne et je ne sais si je fais bien?
Merci de me répondre. Je vous souhaite beaucoup de mieux.
Bonjour,
Je suis sous femara depuis août 2009 et les effets secondaires les plus difficiles à supporter sont des douleurs articulaires et une sècheresse très marquée de la peau et des muqueuses. Donc, problèmes de douleurs pendant les relations intimes, une libido en berne et une peau vraiment décatie. (J'ai 56 ans). J'en ai parlé depuis le début, mon chirurgien a réduit la dose de femara à 5 jours sur 7 avec des ovules d'oestrogènes à mettre localement. Pas d'amélioration. J'en ai ensuite parlé à ma gynéco qui a bien compris que j'étais à deux doigts d'arrêter le fémara. Donc, du Laroxyl pour diminuer durablement les douleurs et des crèmes pour la sècheresse vaginale. C'est mieux aux deux niveaux. Mais maintenant je me heurte aux problèmes d'effets secondaires du Laroxyl .....!!!!
J'ai décidé de perséverer un trimestre, avant de consulter de nouveau.
A mon avis, La petite déprime dont tu parles est plus un contre-coup lié au traitement du cancer qu'un effet du Femara. Personnellement j'ai été aussi un peu ébranlée de constater qu'une fois débarrassée de la chimio et de la radiothérapie, je me retrouvais avec un traitement assez lourd pour encore 5 ans... Pour ma part, j'en ai toujours parlé aux médecins qui me suivent, justement sans retenue car c'est à eux de nous aider à poursuivre ... J'espère que je t'ai aidé.
Je suis sous femara depuis août 2009 et les effets secondaires les plus difficiles à supporter sont des douleurs articulaires et une sècheresse très marquée de la peau et des muqueuses. Donc, problèmes de douleurs pendant les relations intimes, une libido en berne et une peau vraiment décatie. (J'ai 56 ans). J'en ai parlé depuis le début, mon chirurgien a réduit la dose de femara à 5 jours sur 7 avec des ovules d'oestrogènes à mettre localement. Pas d'amélioration. J'en ai ensuite parlé à ma gynéco qui a bien compris que j'étais à deux doigts d'arrêter le fémara. Donc, du Laroxyl pour diminuer durablement les douleurs et des crèmes pour la sècheresse vaginale. C'est mieux aux deux niveaux. Mais maintenant je me heurte aux problèmes d'effets secondaires du Laroxyl .....!!!!
J'ai décidé de perséverer un trimestre, avant de consulter de nouveau.
A mon avis, La petite déprime dont tu parles est plus un contre-coup lié au traitement du cancer qu'un effet du Femara. Personnellement j'ai été aussi un peu ébranlée de constater qu'une fois débarrassée de la chimio et de la radiothérapie, je me retrouvais avec un traitement assez lourd pour encore 5 ans... Pour ma part, j'en ai toujours parlé aux médecins qui me suivent, justement sans retenue car c'est à eux de nous aider à poursuivre ... J'espère que je t'ai aidé.
Chère Madame, j'avais commencé à vous répondre et voilà que pour une raison inconnue, mon texte a soudain disparu, merde alors.
Il faut que je recommence mon histoire...
Il me semble que votre état était plus avancé que le mien. J'ai eu la chance de m'apercevoir très vite de ce qui m'arrivait (la grosseur dure) et j'ai couru sans attendre chez mon gynéco. En août 2007, j'avais reçu un sérieux coup sur le sein (le coffre de la voiture) Et il semble bien que c'est suite à ce petit accident que les tissus ont commencé à "déconner" en cicatrisant. Le chirurgien qui m'a opéré le 19 décembre m'a tranquilisée définitivement, me disant que je pouvais être rassurée, que c'était fini. J'ai même crû un moment que je n'aurais pas besoin de chimio, car mes ganglions étaient indemnes.
C'est le regard des autres qui a commencé à m'alerter... En effet, dans mon entourage, il y avait deux sortes de personnes : ceux qui étaient très protecteurs et les autres, effrayés, embarrassés et désormais distants. C'était utile pour vérifier "qui étaient les vrais" parmi les amis et les proches.
C'est sûr, j'ai été d'abord plutôt effrayée que démoralisée. Car j'ai eu la chance d'avoir beaucoup de soutien de la part de quelques amis avertis (soit qu'elles avaient aussi passé par là) soit parce que je me suis adressée à par ex. la méthode Simonton.
Ces proches amies, m'ont conseillé de n'écouter désormais que moi. Et de faire ce que bon me semblait, en premier lieu : ne pas arrêter de travailler. (C'est vrai que j'ai un travail agréable, peu rémunératif, mais léger, et mes élèves de musique, piano, guitare, ne m'ont pas laissé tomber, c'était fantastique et inespéré. Donc, de ce côté-là, j'ai rencontré beaucoup, beaucoup de compréhension, d'écoute et de compassion. Je me suis appliquée à continuer à vivre comme je l'entendais (j'ai été skier par ex. pdt la chimio). Je me répétais sans cesse que c'était sûr, que j'allais m'en sortir, sans aucun doute, que c'était une chose qui arrive actuellement à tant de femmes, presque courante et que les rémissions et guérisons étaient de plus en plus nombreuses et assurées.
J'ai gardé confiance, tout en me demandant pourquoi cela m'était arrivé à moi. J'ai trouvé - en partie - une réponse mais pas complète. Et puis, j'ai surtout décidé d'arrêter de me "regarder le nombril" et de continuer à lutter vaillamment et efficacement.
Il n'y a pas eu à proprement parler de déprime, sauf à certains moments fugitifs. Mais j'ai toujours chasser les mauvaises pensées et encore une fois, je vous dis, j'ai eu beaucoup de soutien autour de moi.
On m'a fait travailler sur les "fausses croyances" (ce qu'on a tous) cf. méthode Simonton.
Après 6 mois de traitement au Femara, c'est là que j'ai commencé à avoir de nouveau un peu des doutes, car cet hiver a été très rude pour moi, à tous points de vue : perdu mon travail d'activité dépendante ; sinusites chroniques, fatigue excessive, maux de tête et insomnies, sans oublier les douleurs rhumatismales assez épouvantables et alarmantes. Ce qui m'a fait "croire" et penser que c'était comme si, suite à ma résilience active, j'étais "la femme à abattre"... Comment expliquer autrement ?
Je n'aime pas avoir tort et j'ai le sentiment qu'on veut toujours - soit me donner tort, - soit m'infantiliser et me dicter ma conduite.
Pourtant les amis en général, les médecins trouvent que je suis BIEN, indépendante et autonome. Il y en a certains (...) c'est le cas pour mon dentiste, qui ont le "don" de vouloir vous faire croire que vous n'êtes pas bien dans votre tête. Je ne dis pas que je suis "tip-top" et au-dessus de tout soupçon, mais je fuis ce genre d'attitude : personne n'a le droit de juger. Ce qui fait que parfois, je me sens un peu comme "vidée de toutes mes émotions". Je sais que cela passera.
En résumé, ce cancer a provoqué des réactions très positives, en moi, et parmi mon entourage. Mon mari en premier a beaucoup changé son attitude. Il croyait que je ne pourrais jamais être malade... Maintenant il est beaucoup plus prévenant, et prudent quand il me demande quelque chose.
De mon côté, j'ai appris à dédramatiser, à me vider d'émotions négatives et de ces nombreuses "fausses-croyances" auxquelles nous sommes, nous les femmes en particulier, très sujettes. Parfois, c'est comme si on faisait du mesmérisme, de l'auto-hypnose avec toutes sortes d'idées qui nous passent par la tête. Le jugement des gens ne m'intéresse pas. Il n'y a que ce que je ressens comme joies intérieures diverses qui compte et je bannis d'emblée tout ce qui semble ne pas aller et me console quotidiennement en me disant que je fais ce que je peux avec ce que j'ai et que personne n'est parfait, que tout le monde peut un jour non seulement tomber malade, mais mourir évidemment ! Je pense qu'il est important de se préparer à une fin de vie sereine, n'oubliez pas, j'ai 63 ans. Et vous ?
Sur cette palabre, je vous la souhaite radieuse, cette journée de Pentecôte, qui nous rappelle la présence de l'"Esprit", que vous soyez croyante ou non. Meilleures salutations. Musisa
Il faut que je recommence mon histoire...
Il me semble que votre état était plus avancé que le mien. J'ai eu la chance de m'apercevoir très vite de ce qui m'arrivait (la grosseur dure) et j'ai couru sans attendre chez mon gynéco. En août 2007, j'avais reçu un sérieux coup sur le sein (le coffre de la voiture) Et il semble bien que c'est suite à ce petit accident que les tissus ont commencé à "déconner" en cicatrisant. Le chirurgien qui m'a opéré le 19 décembre m'a tranquilisée définitivement, me disant que je pouvais être rassurée, que c'était fini. J'ai même crû un moment que je n'aurais pas besoin de chimio, car mes ganglions étaient indemnes.
C'est le regard des autres qui a commencé à m'alerter... En effet, dans mon entourage, il y avait deux sortes de personnes : ceux qui étaient très protecteurs et les autres, effrayés, embarrassés et désormais distants. C'était utile pour vérifier "qui étaient les vrais" parmi les amis et les proches.
C'est sûr, j'ai été d'abord plutôt effrayée que démoralisée. Car j'ai eu la chance d'avoir beaucoup de soutien de la part de quelques amis avertis (soit qu'elles avaient aussi passé par là) soit parce que je me suis adressée à par ex. la méthode Simonton.
Ces proches amies, m'ont conseillé de n'écouter désormais que moi. Et de faire ce que bon me semblait, en premier lieu : ne pas arrêter de travailler. (C'est vrai que j'ai un travail agréable, peu rémunératif, mais léger, et mes élèves de musique, piano, guitare, ne m'ont pas laissé tomber, c'était fantastique et inespéré. Donc, de ce côté-là, j'ai rencontré beaucoup, beaucoup de compréhension, d'écoute et de compassion. Je me suis appliquée à continuer à vivre comme je l'entendais (j'ai été skier par ex. pdt la chimio). Je me répétais sans cesse que c'était sûr, que j'allais m'en sortir, sans aucun doute, que c'était une chose qui arrive actuellement à tant de femmes, presque courante et que les rémissions et guérisons étaient de plus en plus nombreuses et assurées.
J'ai gardé confiance, tout en me demandant pourquoi cela m'était arrivé à moi. J'ai trouvé - en partie - une réponse mais pas complète. Et puis, j'ai surtout décidé d'arrêter de me "regarder le nombril" et de continuer à lutter vaillamment et efficacement.
Il n'y a pas eu à proprement parler de déprime, sauf à certains moments fugitifs. Mais j'ai toujours chasser les mauvaises pensées et encore une fois, je vous dis, j'ai eu beaucoup de soutien autour de moi.
On m'a fait travailler sur les "fausses croyances" (ce qu'on a tous) cf. méthode Simonton.
Après 6 mois de traitement au Femara, c'est là que j'ai commencé à avoir de nouveau un peu des doutes, car cet hiver a été très rude pour moi, à tous points de vue : perdu mon travail d'activité dépendante ; sinusites chroniques, fatigue excessive, maux de tête et insomnies, sans oublier les douleurs rhumatismales assez épouvantables et alarmantes. Ce qui m'a fait "croire" et penser que c'était comme si, suite à ma résilience active, j'étais "la femme à abattre"... Comment expliquer autrement ?
Je n'aime pas avoir tort et j'ai le sentiment qu'on veut toujours - soit me donner tort, - soit m'infantiliser et me dicter ma conduite.
Pourtant les amis en général, les médecins trouvent que je suis BIEN, indépendante et autonome. Il y en a certains (...) c'est le cas pour mon dentiste, qui ont le "don" de vouloir vous faire croire que vous n'êtes pas bien dans votre tête. Je ne dis pas que je suis "tip-top" et au-dessus de tout soupçon, mais je fuis ce genre d'attitude : personne n'a le droit de juger. Ce qui fait que parfois, je me sens un peu comme "vidée de toutes mes émotions". Je sais que cela passera.
En résumé, ce cancer a provoqué des réactions très positives, en moi, et parmi mon entourage. Mon mari en premier a beaucoup changé son attitude. Il croyait que je ne pourrais jamais être malade... Maintenant il est beaucoup plus prévenant, et prudent quand il me demande quelque chose.
De mon côté, j'ai appris à dédramatiser, à me vider d'émotions négatives et de ces nombreuses "fausses-croyances" auxquelles nous sommes, nous les femmes en particulier, très sujettes. Parfois, c'est comme si on faisait du mesmérisme, de l'auto-hypnose avec toutes sortes d'idées qui nous passent par la tête. Le jugement des gens ne m'intéresse pas. Il n'y a que ce que je ressens comme joies intérieures diverses qui compte et je bannis d'emblée tout ce qui semble ne pas aller et me console quotidiennement en me disant que je fais ce que je peux avec ce que j'ai et que personne n'est parfait, que tout le monde peut un jour non seulement tomber malade, mais mourir évidemment ! Je pense qu'il est important de se préparer à une fin de vie sereine, n'oubliez pas, j'ai 63 ans. Et vous ?
Sur cette palabre, je vous la souhaite radieuse, cette journée de Pentecôte, qui nous rappelle la présence de l'"Esprit", que vous soyez croyante ou non. Meilleures salutations. Musisa
bonjour,
je suis dans le même cas que vous, j'ai commencé ce médicament fin décembre. moi aussi je suis très bien accompagnée avec mon mari et mes enfants, mais je suis allée voir l'onco-psy et ça vous fait voire les choses différament. et comprendre l'état de fatique qui n'est peut être pas lié à la prise du médicament. j'ai eu des nausées alors je le prends le soir au coucher et c'est résolu. il y a plein de petites choses auquelles on fait plus attention qu'avant l'important c'est d'avoir confiance dans le personel médical qui vous suit. on m'a dit d'attendre 6 mois et si les désordres ne sont pas passés il y a d'autre marques !!!
je suis dans le même cas que vous, j'ai commencé ce médicament fin décembre. moi aussi je suis très bien accompagnée avec mon mari et mes enfants, mais je suis allée voir l'onco-psy et ça vous fait voire les choses différament. et comprendre l'état de fatique qui n'est peut être pas lié à la prise du médicament. j'ai eu des nausées alors je le prends le soir au coucher et c'est résolu. il y a plein de petites choses auquelles on fait plus attention qu'avant l'important c'est d'avoir confiance dans le personel médical qui vous suit. on m'a dit d'attendre 6 mois et si les désordres ne sont pas passés il y a d'autre marques !!!
sous femara depuis 3 semaines, bien sur des bouffées de chaleur régulieres, des insomnies oui mais dues à des douleurs neuropatiques traitées par quelques gouttes de rivotril.
Je conseille sincèrement de consulter un médecin d'un centre anti douleur. Les problèmes sont bien cernés et surtout bien traitées d'ou un confort de vie. C'est mon second cancer du sein et je vois la différence dans la prise en charge de la douleur, n'hésitez pas à contacter ces centres. Bon courage à toutes
Je conseille sincèrement de consulter un médecin d'un centre anti douleur. Les problèmes sont bien cernés et surtout bien traitées d'ou un confort de vie. C'est mon second cancer du sein et je vois la différence dans la prise en charge de la douleur, n'hésitez pas à contacter ces centres. Bon courage à toutes
Bonjour, je suis sous fémara depuis plus d'un an après avoir eu le droit au retrait de la tumeur et des ganglions sentinelles. Après 6 chimio et 35 séances de rayon on a fait comme si la vie reprenait ses droits et on m'a prescrit le fémara et le tour est joué. Résultats, des mains qui ont doublé de volume, des douleurs horribles dans les jambes, des maux de tête, 12 kilos de plus et en plus je ne me reconnais même plus dans le miroir. Je ne parle pas de ma dépression permanente où la moindre réflexion me fait pleurer alors que j'étais quelqu'un de forte. J'ai fait l'erreur de retravailler à mi-temps en pensant que la reprise d'une vie normale passait par le travail et une vie sociale plus riche. Quelle erreur je suis sur le flanc je dois repasser à temps complet et je sais que je ne vais pas pouvoir , résultat un arrêt pour longue maladie . Je réagis aussi pour la perte de cheveux ça fait deux ans que j'ai fait ma chimio je ressemble toujours à une grand mère et passe du temps à cacher les trous. J'ai vu que quelqu'un disait que le fait que l'on soit là dispo on nous considéré comme guérie mais non on a besoin de soutient, d'aide et surtout d'un suivi plus présent, dès que j'ai une douleur ou une sensation de boules à mon sein le cauchemar recommence et on a personne pour en parler, on nous laisse dans la nature comme ça c'est surprenant. Bon je souhaite bon courage à toutes par contre je crois qu'il faut tenir ces 5 ans notre vie en dépend!!!!!!
fondcombes
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dimanche 31 mai 2009
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31 mai 2009
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31 mai 2009 à 13:32
31 mai 2009 à 13:32
j'ai 51 ans, et donc opérée à 47 ans, j'allais avoir les 48 deux mois plus tard.
Mon carcinome de grade 2 n'a pas été décelé un mois avant par une échographie. La boule est sortie d'un seule coup après une randonnée. La douche a été salutrice. Mais bonne nouvelle, je n'avais aucune ramification et les ganglions étaient sains, donc le pronostic était plus que favorable et il l'est encore. Je me considére comme guérie - pas au sens d'une angine ou d'une rougeole, - mais j'ai plus de chance de mourir d'autres choses que de mon ex cancer.
C'est vrai que le regard qu'on porte sur vous change lorsqu'on annonce le cancer. Il ne faut pas que ce regard devienne vérité pour nous : à savoir, "t'as le cancer, t'es mort". Pfff les ignorants !
Certains ne savent pas comment se comporter, d'autres fuient et d'autres vous aident. Famille, amis et entourage réservent des surprises. Ceux sur lesquels on aurait aimé s'appuyer disparaissent et d'autres qu'on connait à peine sont là... un bon moyen pour faire le ménage. La méthode simonton est pour ma part excellente. Si durant l'année de traitement, j'ai pas paniqué c'est l'après qui a été dure. Lorsqu'on apprend qu'on est atteint, on dirait qu'on passe en mode automatique, le corps et l'esprit s'unissent pour combattre ensemble pour la survie; En revanche, une fois ce combat gagné, la relâche est terrible.
J'ai fait un sevrage chimique à l'agréal que le cancérologue m'avait donné pour les bouffées de chaleur l'année d'après, le poumon saturé a fait des siennes.
Ce n'est pas de retomber malade qui m'inquiète mais de repasser par la chimio ; la perte des cheveux a été le moment où j'ai vraiment réalisé ma maladie. Mon sein est resté entier puisque reconstitué immédiatement lors de l'opération. La chance s'est d'avoir eu un chirurgien excellent dans une structure à taille humaine, sans que j'ai besoin de gagner un énorme centre. Je vis en Corse et c'est à Bastia que j'ai été opéré. Les miens étaient près de moi.
Une grande passion, la photo qui m'a été d'un grand secours. Durant les deux ans d'arrêt, j'ai pu améliorer ma technique et randonner sur l'ile. Un coup de blues, je prenais mon sac, mon appareil et m'en aller voir ailleurs. Technique qui me réussie.
La reprise en main a été essentielle, changement de vie : moins de stress, plus de prise de tete pour des bêtises et je m'autorise toutes les choses dont j'ai envie (dans la limite de mes moyens bien sur). Je ne remets plus au lendemain ce que je peux faire et je cultive le bien être.
Les bouffées de chaleur ont disparu grâce à SERELYS, uniquement du pollen et trouvé sur un forum. Au bout des deux mois de traitement, plus rien. Je revis.
Pour ma part, ce cancer a été une bonne et mauvaise chose. Une bonne pour une remise en question et une nouvelle vie. Une mauvais, car il m'a détruit. Mais peut être que cette destruction était le but de tout ceci.
Alors prenons le comme une chance de redémarrer, de voir autrement les choses.
Croyante, à moitié. Je crois en un esprit en toute chose. Plus proche du chamanisme que de mon baptême. Un respect de tout et une croyance dans la vie à tout épreuve
A bientot
Marie
Mon carcinome de grade 2 n'a pas été décelé un mois avant par une échographie. La boule est sortie d'un seule coup après une randonnée. La douche a été salutrice. Mais bonne nouvelle, je n'avais aucune ramification et les ganglions étaient sains, donc le pronostic était plus que favorable et il l'est encore. Je me considére comme guérie - pas au sens d'une angine ou d'une rougeole, - mais j'ai plus de chance de mourir d'autres choses que de mon ex cancer.
C'est vrai que le regard qu'on porte sur vous change lorsqu'on annonce le cancer. Il ne faut pas que ce regard devienne vérité pour nous : à savoir, "t'as le cancer, t'es mort". Pfff les ignorants !
Certains ne savent pas comment se comporter, d'autres fuient et d'autres vous aident. Famille, amis et entourage réservent des surprises. Ceux sur lesquels on aurait aimé s'appuyer disparaissent et d'autres qu'on connait à peine sont là... un bon moyen pour faire le ménage. La méthode simonton est pour ma part excellente. Si durant l'année de traitement, j'ai pas paniqué c'est l'après qui a été dure. Lorsqu'on apprend qu'on est atteint, on dirait qu'on passe en mode automatique, le corps et l'esprit s'unissent pour combattre ensemble pour la survie; En revanche, une fois ce combat gagné, la relâche est terrible.
J'ai fait un sevrage chimique à l'agréal que le cancérologue m'avait donné pour les bouffées de chaleur l'année d'après, le poumon saturé a fait des siennes.
Ce n'est pas de retomber malade qui m'inquiète mais de repasser par la chimio ; la perte des cheveux a été le moment où j'ai vraiment réalisé ma maladie. Mon sein est resté entier puisque reconstitué immédiatement lors de l'opération. La chance s'est d'avoir eu un chirurgien excellent dans une structure à taille humaine, sans que j'ai besoin de gagner un énorme centre. Je vis en Corse et c'est à Bastia que j'ai été opéré. Les miens étaient près de moi.
Une grande passion, la photo qui m'a été d'un grand secours. Durant les deux ans d'arrêt, j'ai pu améliorer ma technique et randonner sur l'ile. Un coup de blues, je prenais mon sac, mon appareil et m'en aller voir ailleurs. Technique qui me réussie.
La reprise en main a été essentielle, changement de vie : moins de stress, plus de prise de tete pour des bêtises et je m'autorise toutes les choses dont j'ai envie (dans la limite de mes moyens bien sur). Je ne remets plus au lendemain ce que je peux faire et je cultive le bien être.
Les bouffées de chaleur ont disparu grâce à SERELYS, uniquement du pollen et trouvé sur un forum. Au bout des deux mois de traitement, plus rien. Je revis.
Pour ma part, ce cancer a été une bonne et mauvaise chose. Une bonne pour une remise en question et une nouvelle vie. Une mauvais, car il m'a détruit. Mais peut être que cette destruction était le but de tout ceci.
Alors prenons le comme une chance de redémarrer, de voir autrement les choses.
Croyante, à moitié. Je crois en un esprit en toute chose. Plus proche du chamanisme que de mon baptême. Un respect de tout et une croyance dans la vie à tout épreuve
A bientot
Marie
Je retrouve dans vos propos exactement ce que j'ai ressenti !
Au debut j'ai essayé de dire autour de moi que j'avais un cancer mais lorsque j'ai vu cet air de pitié j'ai arreté je voulais que l'on me considere comme tout le monde mais surtout pas de pitié !
C'est dans ces moments la que l'on selectionne les amis sinceres : ceux sur qui on peut compter a qui l'on peut se confier et qui repondent toujours present quand ca ne va pas ....
Moi aussi 4 mois apres une mammo et echo ou rien n'avait ete detecte en prenant ma douche j'ai senti une grosseur au niveau du sein et j'ai tout de suite compris , je suis allée voir mon generaliste et la machine s'est mise en route
J'habite a cote d'un centre de lutte contre le cancer et mon medecin et ami a pris tout de suite un rendez vous afin que je sois prise en charge serieusement
J'ai surtout mal vecu la chute des cheveux comme toutes apparemment :j'ai plus pleuré pour ca que pour les traitements meme si il y a des moments difficiles
J'ai eu la chance d'etre tres bien soutenue par mon Mari qui a ete toujours tres present, il m'a accompagné tout au long de mon parcours
J'ai des periodes de deprime mais j'essaye de relativiser : ce qui me contrarie le plus c'est que j'ai ete plus courageuse pendant les traitements que maintenant , je n'arrive pas a me rassurer et me considerer " guerie"Cela me fait du bien de voir que d'autres passent par les memes etats d'ame
Bonne journée et peut etre a bientot
Au debut j'ai essayé de dire autour de moi que j'avais un cancer mais lorsque j'ai vu cet air de pitié j'ai arreté je voulais que l'on me considere comme tout le monde mais surtout pas de pitié !
C'est dans ces moments la que l'on selectionne les amis sinceres : ceux sur qui on peut compter a qui l'on peut se confier et qui repondent toujours present quand ca ne va pas ....
Moi aussi 4 mois apres une mammo et echo ou rien n'avait ete detecte en prenant ma douche j'ai senti une grosseur au niveau du sein et j'ai tout de suite compris , je suis allée voir mon generaliste et la machine s'est mise en route
J'habite a cote d'un centre de lutte contre le cancer et mon medecin et ami a pris tout de suite un rendez vous afin que je sois prise en charge serieusement
J'ai surtout mal vecu la chute des cheveux comme toutes apparemment :j'ai plus pleuré pour ca que pour les traitements meme si il y a des moments difficiles
J'ai eu la chance d'etre tres bien soutenue par mon Mari qui a ete toujours tres present, il m'a accompagné tout au long de mon parcours
J'ai des periodes de deprime mais j'essaye de relativiser : ce qui me contrarie le plus c'est que j'ai ete plus courageuse pendant les traitements que maintenant , je n'arrive pas a me rassurer et me considerer " guerie"Cela me fait du bien de voir que d'autres passent par les memes etats d'ame
Bonne journée et peut etre a bientot
fondcombes
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dimanche 31 mai 2009
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aglaée
31 mai 2009 à 17:49
31 mai 2009 à 17:49
Il est difficile pour ceux qui nous entoure de comprendre notre état d'esprit. Pour eux, ils nous voient souriante ou bien triste.... et se demande si nous allons bien.
Au bout de trois ans, je me suis aperçu que ma façon de vivre n'était pas comprise et risquait même d'éloigner, mari et amis. Meme si ma meilleure amie était au courant de tout, c'était la seule avec qui je parlais vraiment, il fallait faire de même avec ceux avec qui je vivais, ma famille. J'ai expliqué clairement à mon entourage, mari, enfant et amis, ce qui c'était passé dans ma tête. La destruction d'une image et le travail de reconstruction long et difficile pour regagner ma propre estime et une confiance en moi. Chaque fois qu'ils me donnent une joie c'est une brique à mes fondations, si c'est négatif, mes fondations se fragilisent. Je suis sur du sable en position instable. Je me renferme et tout me semble noir sans avenir.
Le chemin sera long vers la sérénité, leur aide est précieuse... et ce n'est pas joué contre eux que de vouloir bouger, sortir, rentrer, voyager... une façon de s'occuper en permanence l'esprit pour ne pas tourner en rond mais aller de l'avant. Plus on s''éloignera dans le temps, mieux nous irons sans oublier toutefois ces fameux 10 ans.
Les cycles tristesse, joie, alternent, ils finiront pas aller vers de plus en plus de joie, c'est une question de survie comme de temps. Reconnaitre qu'on a besoin de se faire aider par un thérapeute c'est un premier pas vers l'avenir heureux. Je discute de tout et de rien avec lui, il me fait rebondir dans la discussion et me dirige vers ce qui est essentiel à mes yeux. Peu à peu je reprends confiance et je ne laisse rien ni personne essayer de me ramener en arrière. Mes fondations se solidifient, et mon stress s'éloigne peu à peu. Il y aura des retours en arrière, mais pour mieux avancer, c'est ainsi que les enfants se construisent, et nous sommes en pleine reconstruction. Nouvelle personnalité et nouvelle image à accepter.
Au bout de trois ans, je me suis aperçu que ma façon de vivre n'était pas comprise et risquait même d'éloigner, mari et amis. Meme si ma meilleure amie était au courant de tout, c'était la seule avec qui je parlais vraiment, il fallait faire de même avec ceux avec qui je vivais, ma famille. J'ai expliqué clairement à mon entourage, mari, enfant et amis, ce qui c'était passé dans ma tête. La destruction d'une image et le travail de reconstruction long et difficile pour regagner ma propre estime et une confiance en moi. Chaque fois qu'ils me donnent une joie c'est une brique à mes fondations, si c'est négatif, mes fondations se fragilisent. Je suis sur du sable en position instable. Je me renferme et tout me semble noir sans avenir.
Le chemin sera long vers la sérénité, leur aide est précieuse... et ce n'est pas joué contre eux que de vouloir bouger, sortir, rentrer, voyager... une façon de s'occuper en permanence l'esprit pour ne pas tourner en rond mais aller de l'avant. Plus on s''éloignera dans le temps, mieux nous irons sans oublier toutefois ces fameux 10 ans.
Les cycles tristesse, joie, alternent, ils finiront pas aller vers de plus en plus de joie, c'est une question de survie comme de temps. Reconnaitre qu'on a besoin de se faire aider par un thérapeute c'est un premier pas vers l'avenir heureux. Je discute de tout et de rien avec lui, il me fait rebondir dans la discussion et me dirige vers ce qui est essentiel à mes yeux. Peu à peu je reprends confiance et je ne laisse rien ni personne essayer de me ramener en arrière. Mes fondations se solidifient, et mon stress s'éloigne peu à peu. Il y aura des retours en arrière, mais pour mieux avancer, c'est ainsi que les enfants se construisent, et nous sommes en pleine reconstruction. Nouvelle personnalité et nouvelle image à accepter.
Bonjour,
Vous parlez de la Méthode Simonton... Pourrais-je savoir auprès de qui vous l'avez pratiqué?
Cette méthode que je connais un peu également, est vraiment très efficace et est un complément, selon moi, indispensable aux soins cliniques!
Certains crient au loup! car elle n'est pas "reconnue" en France!
Faut-il pour autant la rejeter ??
Amitiés, Baboline
Vous parlez de la Méthode Simonton... Pourrais-je savoir auprès de qui vous l'avez pratiqué?
Cette méthode que je connais un peu également, est vraiment très efficace et est un complément, selon moi, indispensable aux soins cliniques!
Certains crient au loup! car elle n'est pas "reconnue" en France!
Faut-il pour autant la rejeter ??
Amitiés, Baboline
J'ai eu la chance de suivre la méthode (un peu de loin...) grâce à une personne qui travaille au Centre de Lausanne. Comme les toutes les méthodes, il y a des choses à critiquer... Mais dans l'ensemble, j'en ai été très satisfaite. Cette personne nous a prises, une autre dame et moi, seules à son domicile, 3-4 fois et ce n'était pas cher. Elle nous a questionnées, expliqué la méthode et suivies dans notre parcours. Elle nous a donné des feuilles de questions fondamentales et nous devions y répondre par écrit.
L'accent est mis sur notre manière d'appréhender la maladie, tenter de retrouver notre nature première, qui est saine par des exercices psychiques et d'auto-analyse. Pas de médicaments, pas de produit-miracle. On nous a beaucoup parlé de notre propre image (quelle image ai-je de moi... ?) et de l'attitude à avoir pour conduire la guérison, positiver, découvrir et bannir les "fausses-croyances" dont tout le monde est victime à des degrés divers. Super ! J'en ai été très satisfaite, mais certains trouvent que c'est coûteux et pas pris en charge par les caisses-maladie. C'est vrai que c'est un inconvénient assez regrettable. Cliquez sur "Simonton" (dans le moteur de recherche et vous aurez d'autres réponses. Avec mes amicales salutations. Musaregne
L'accent est mis sur notre manière d'appréhender la maladie, tenter de retrouver notre nature première, qui est saine par des exercices psychiques et d'auto-analyse. Pas de médicaments, pas de produit-miracle. On nous a beaucoup parlé de notre propre image (quelle image ai-je de moi... ?) et de l'attitude à avoir pour conduire la guérison, positiver, découvrir et bannir les "fausses-croyances" dont tout le monde est victime à des degrés divers. Super ! J'en ai été très satisfaite, mais certains trouvent que c'est coûteux et pas pris en charge par les caisses-maladie. C'est vrai que c'est un inconvénient assez regrettable. Cliquez sur "Simonton" (dans le moteur de recherche et vous aurez d'autres réponses. Avec mes amicales salutations. Musaregne
C'en en contactant une sophrologue que j'ai découvert la méthode. Elle m'a donné à lire le livre et m'a appris la technique de visualisation.
En lisant le bouquin, les vérités sont dites sur le stress et ses conséquences. Une mauvaise adaptation à un stress heureux ou malheureux fait chuter vos défenses immunitaires et les hormones jouent un grand role dans cet équilibre. Ne pas savoir donner de réponse c'est pas forcément se faire un cancer il n'est qu'une possibilité. Analysé ce qui a provoqué ce déséquilibre et se remettre en question, changer sa façon de penser c'est la base de la méthode.
La visualisation vous aide a vous reprendre en cas de douleurs ou de stress, c'est simple et efficace.
Pour ma part, j'ai aussi repris une analyse pour me reconstruire et m'aider à ne pas retomber dans la non réponse.
La méthode simonton fonctionne si on est près à s'investir dans cette démarche, si on doute et on est pas près à changer, surtout à accepter le changement, j'ai franchement des doutes sur sa réussite.
En lisant le bouquin, les vérités sont dites sur le stress et ses conséquences. Une mauvaise adaptation à un stress heureux ou malheureux fait chuter vos défenses immunitaires et les hormones jouent un grand role dans cet équilibre. Ne pas savoir donner de réponse c'est pas forcément se faire un cancer il n'est qu'une possibilité. Analysé ce qui a provoqué ce déséquilibre et se remettre en question, changer sa façon de penser c'est la base de la méthode.
La visualisation vous aide a vous reprendre en cas de douleurs ou de stress, c'est simple et efficace.
Pour ma part, j'ai aussi repris une analyse pour me reconstruire et m'aider à ne pas retomber dans la non réponse.
La méthode simonton fonctionne si on est près à s'investir dans cette démarche, si on doute et on est pas près à changer, surtout à accepter le changement, j'ai franchement des doutes sur sa réussite.
Sous femara depuis 3 mois, je présente exactement les mêmes effets secondaires,déprime , troubles du sommeil et surtout des" coups de fatigue" ce qui est trés pénible et m'empéchent de reprendre mon activité pro , j'ai en plus des nausées qui s'installent généralement pour la journée. J'ai en parallelle un Ttt homéo dont les effets tardent à venir,mais je ne le prend que depuis 3 semaines. Domi 47 ans.
Oui, j'ai 57 ans, je suis sous FEMARA depuis le 1er juillet 2OO9. J'ai connu neuf mois très difficiles ( arthrite, insomnie, grosse fatigue, douleurs articulaires aiguës, faiblesse musculaire, vue brouillée), bref la totale et souvent, je l'avoue, j'ai été tentée d'arrêter, mais le soutien et les encouragements du médecin cancérologue m'ont été précieux. A présent subsistent la fatigue et les raideurs articulaires et de constantes bouffées de chaleurs. Mais cela reste cependant difficile d'autant plus que je me suis bien enrobée malgré une alimentation soignée. Je pratique beaucoup la relaxation (training autogène), fais du sport (salle de fitness, et marche). Je rends visite aux malades aussi, gens placés en centre à cause de leur sclérose en plaques. Car à côté de ces pauvres gens complètement dépendants, je me trouve en forme. Eh oui ! Je suis aussi en pleine reconstruction mammaire et je dis un grand Merci à la vie, parce que mon cancer a été dépisté à temps. Je dis aussi merci pour toutes les bonnes choses que la vie m'a déjà accordé. Positiver ne coule pas de source mais demande tous les jours un travail sur soi. Mais cela en vaut la peine, car la vie ne s'arrête pas, elle continue, avec le traitement en plus. Tous les matins je choisis ma vie, et la peine qui va avec. Ainsi je ne me considère pas comme victime, mais suis membre actif dans ma vie. Bon courage à toutes mes soeurs dans la peine.
je suis sous Fémara depuis presque 2 ans, j'ai mal partout des crises de sacro iliaque terrible de la lombalgie je ne dors plus que sous temesta 1 efflexor 75 le matin zolpiden le soir de temps en temps des coups de pompe qui demandent le lit immédiatement, tremblement et faisant des crises de tachycardie Bouvret depuis age de 27 ans j'en ai 63 je ne vous dis pas bref doit on absolument prendre 5 ans du fémara en ayant fait 30 séances de radiothérapie. sans compter les bouffets de chaleur.
je suis sous fémara depuis 1 an1/2 douleurs articulaires, fatiguée, sotalex pour mon coeur, altéis duo pour eau et tension effexor 75 gros antidéprésseur, ziloric lypantil temesta 2,5 mon coeur bat à 200 sans être
freiné, j'ai très mal aux os sacre illéite, je marche difficilement, alors avec fémara c'est l'enfer, grosse
dépression, je ne dors plus mal partout mais je soigne maman de 90 ans que faire!
freiné, j'ai très mal aux os sacre illéite, je marche difficilement, alors avec fémara c'est l'enfer, grosse
dépression, je ne dors plus mal partout mais je soigne maman de 90 ans que faire!
je suis sous femara depuis 1 an j en peu plus , bouffées de chaleur , mal partout et ses kilos qui s accumulent me mette mal dans ma peau sans parler des insomnies je dors 2 heures et je veux pas me resigner a prende des medocs courage a toutes
sous FEMARA depuis 2 ans, en dehors des vertiges, arthralgies, nausées et insomnies, les tendons et articulations ont été fragilisées, de ce fait, mon genou gauche vient de "lâcher" on m'opère la semaine prochaine par artroscopie, et le genou droit ne va pas tarder. Le résulktat du traitement par femara n'étant pas de 100%, j'ai pris la décision d'arrêter, mon corps est usé par la chimio et les rayons et au lieu de m'aider, ce médicamment continue de mùe détruire, pourtant la première année s'était déroulée sans trop d'effets....
13 mars 2011 à 09:38
21 sept. 2011 à 11:15
3 nov. 2019 à 16:48
7 nov. 2019 à 14:25
Il y a un traitement c’est déjà ça, le femara me convient comparé au générique letrozole où j’avais des problèmes intestinaux. Quand il y a trop d’effets secondaires, ne pas hésiter à en parler à l’oncologue, il pourra prescrire un autre traitement. Contre les bouffées de chaleur, prendre le soir au couché le comprimé ça atténue considérablement les effets indésirables. Les douleurs articulaires, faire de l’aquagym, balnéothérapie
Courage les filles. .