Expertise psychologique
Bonjour,
J'ai subi abusivement une expertise psychologique suite à une plainte pour coups et blessures de la part de mon mari.
Le gendarme qui a enregistré ma plainte m'a demandé mon accord pour une expertise psychiatique pour mon mari et moi-même.
J'ai donné mon accord.
M'apprêtant à quitter la région, j'ai demandé à plusieurs reprises, la date de cette expertise.
Comme je n'avais pas de réponse, je me suis adressée à une association de victimes. La juriste a téléphoné à la gendarmerie,et, dans j'ai été convoquée dans les jours qui suivaient.
Quelle ne fut pas ma stupéfaction quand j'ai lu le rapport d'expertise!
Il relatait une sçène d' hystérie] (je me serais mise à hurler, je me serais roulée par terre, j'aurais menacé le gendarme pour l'obliger à enregistrer ma plainte!!!)
Et le rapport d'expertise va dans son sens (je serais immature, théâtrale,délirante!!!). Ceci accompagné d'une série d'adjectifs tous plus calomnieux les uns que les autres.
Tout cela va, bien évidemment, dans le sens inverse de ma plainte qui a été classée sans suite.
J'ai appris plus tard que, dans la situation, il n'y avait pas lieu de subir une expertise.
Je pense que le gendarme a abusé de ma confiance et, mis au pied du mur, il s'est enfoncé d'avantage en inventant cette scène délirante et qu'il a influencé la psychologue] pour qu'elle confirme ses inventions.
Bien sûr, ma plainte a été classée sans suite et mon mari a présenté ce "rapport" dans le dossier de divorce.
Que faire?
Pierrette
J'ai subi abusivement une expertise psychologique suite à une plainte pour coups et blessures de la part de mon mari.
Le gendarme qui a enregistré ma plainte m'a demandé mon accord pour une expertise psychiatique pour mon mari et moi-même.
J'ai donné mon accord.
M'apprêtant à quitter la région, j'ai demandé à plusieurs reprises, la date de cette expertise.
Comme je n'avais pas de réponse, je me suis adressée à une association de victimes. La juriste a téléphoné à la gendarmerie,et, dans j'ai été convoquée dans les jours qui suivaient.
Quelle ne fut pas ma stupéfaction quand j'ai lu le rapport d'expertise!
Il relatait une sçène d' hystérie] (je me serais mise à hurler, je me serais roulée par terre, j'aurais menacé le gendarme pour l'obliger à enregistrer ma plainte!!!)
Et le rapport d'expertise va dans son sens (je serais immature, théâtrale,délirante!!!). Ceci accompagné d'une série d'adjectifs tous plus calomnieux les uns que les autres.
Tout cela va, bien évidemment, dans le sens inverse de ma plainte qui a été classée sans suite.
J'ai appris plus tard que, dans la situation, il n'y avait pas lieu de subir une expertise.
Je pense que le gendarme a abusé de ma confiance et, mis au pied du mur, il s'est enfoncé d'avantage en inventant cette scène délirante et qu'il a influencé la psychologue] pour qu'elle confirme ses inventions.
Bien sûr, ma plainte a été classée sans suite et mon mari a présenté ce "rapport" dans le dossier de divorce.
Que faire?
Pierrette
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3 réponses
Bonjour,
Une expertise psychologique ne peut pas être décidée par un simple gendarme mais par un magistrat dans le cadre d'une action en justice.
Et cette expertise ne peut être réalisée que par un expert désigné par un juge.
Dans cette affaire, qui a décidé quoi ??
Une expertise psychologique ne peut pas être décidée par un simple gendarme mais par un magistrat dans le cadre d'une action en justice.
Et cette expertise ne peut être réalisée que par un expert désigné par un juge.
Dans cette affaire, qui a décidé quoi ??
Bonjour,
J'ai subi abusivement une expertise psychologique suite à une plainte pour coups et blessures de la part de mon mari.
Le gendarme qui a enregistré ma plainte m'a demandé mon accord pour une expertise psychiatique pour mon mari et moi-même.
J'ai donné mon accord.
M'apprêtant à quitter la région, j'ai demandé à plusieurs reprises, la date de cette expertise.
Comme je n'avais pas de réponse, je me suis adressée à une association de victimes. La juriste a téléphoné à la gendarmerie,et, dans j'ai été convoquée dans les jours qui suivaient.
C'est LE JUGE qui décide les expertises.
C'est le TRIBUNAL qui décide les expertises.
Le juge et le tribunal NOMME un expert.
Ou alors, vous nous avez pas tout dit ....
+
J'ai subi abusivement une expertise psychologique suite à une plainte pour coups et blessures de la part de mon mari.
Le gendarme qui a enregistré ma plainte m'a demandé mon accord pour une expertise psychiatique pour mon mari et moi-même.
J'ai donné mon accord.
M'apprêtant à quitter la région, j'ai demandé à plusieurs reprises, la date de cette expertise.
Comme je n'avais pas de réponse, je me suis adressée à une association de victimes. La juriste a téléphoné à la gendarmerie,et, dans j'ai été convoquée dans les jours qui suivaient.
C'est LE JUGE qui décide les expertises.
C'est le TRIBUNAL qui décide les expertises.
Le juge et le tribunal NOMME un expert.
Ou alors, vous nous avez pas tout dit ....
+
Mais cela a été maquillé:la date de la réquisition par "le procureur" étant ultérieure à la date de l'expertise.
Je pense que le gendarme a abusé de ma confiance et, mis au pied du mur, il s'est enfoncé d'avantage en inventant cette scène délirante et qu'il a influencé la psychologue] pour qu'elle confirme ses inventions.
Prends un avocat.