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4 réponses
Les répercussions de ces réactions de stress et d'angoisse, visibles ou non, nécessitent des soins précoces structurés, précis : « les cellules d'urgence médico-psychologique » sont spécialisées pour opérer ce qui appelé « un debriefing » afin de prévenir totalement ou partiellement les souffrances d' une névrose traumatique. Leur action est déclenchée par le préfet en cas de catastrophe impliquant un grand nombre de personnes. Des « aides psychologiques » fournies par des praticiens non formés au traumatisme psychologique peuvent faire des erreurs qui renforceront l'impossibilité de communiquer de la personne traumatisée.
Tiprince
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15 avril 2010 à 22:22
15 avril 2010 à 22:22
Je ne suis pas spécialiste, mais...
Survivre à un séisme doit être à double tranchant.
D'un côté : trop heureux d'être en vie
De l'autre : quel malheur, et dire qu'une telle catastrophe peut arriver à tout moment.
Il doit y avoir un curseur à déplacer entre ces deux propositions. Entre l'optimisme et le pessimisme.
Les calmants sont une bonne chose pour retrouver un cycle de sommeil convenable. Il faut maintenant chercher à se passer d'eux à tout prix. Car tant que tu seras sous calmants, cela risque d'être difficile de prendre des initiatives.
Et ce sont sûrement les initiatives qui te manquent. Fais des projets, même infimes, même inutiles. Les possibilités sont immenses.
Evite de fréquenter trop souvent des personnes qui, comme toi, ne voient plus que la morosité de la vie. Et ne te laisse pas accaparer par des discours sectaires qui, à base de machins trucs magiques, pourront te sortir de ta tourmente.
Ton seul allié, c'est toi-même, avec tes aspirations et tes envies.
Ne te dis pas que tu n'as envie de rien. C'est faux. Tu as forcément envie de quelque chose, même si c'est insignifiant, même si c'est instantané, même si c'est inutile. Va au bout. Fonce, et couve de nouveaux projets.
Courage à toi !
Survivre à un séisme doit être à double tranchant.
D'un côté : trop heureux d'être en vie
De l'autre : quel malheur, et dire qu'une telle catastrophe peut arriver à tout moment.
Il doit y avoir un curseur à déplacer entre ces deux propositions. Entre l'optimisme et le pessimisme.
Les calmants sont une bonne chose pour retrouver un cycle de sommeil convenable. Il faut maintenant chercher à se passer d'eux à tout prix. Car tant que tu seras sous calmants, cela risque d'être difficile de prendre des initiatives.
Et ce sont sûrement les initiatives qui te manquent. Fais des projets, même infimes, même inutiles. Les possibilités sont immenses.
Evite de fréquenter trop souvent des personnes qui, comme toi, ne voient plus que la morosité de la vie. Et ne te laisse pas accaparer par des discours sectaires qui, à base de machins trucs magiques, pourront te sortir de ta tourmente.
Ton seul allié, c'est toi-même, avec tes aspirations et tes envies.
Ne te dis pas que tu n'as envie de rien. C'est faux. Tu as forcément envie de quelque chose, même si c'est insignifiant, même si c'est instantané, même si c'est inutile. Va au bout. Fonce, et couve de nouveaux projets.
Courage à toi !
merci pour ton encouragement, et j'avoue que des messages comme le tien, m'aident bcps et me redonne confiance en moin quant aux tranquillisants je peux te rassurer que je ne suis pas dutout fan, d'ailleur, j'ai diminué la dose prescruite de plus de la moitié. et je me sens tres bien mais pas au point de tout lacher d'un coup car c'est la case de depart sinon. merci encor
momodirigny
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28 avril 2010 à 17:05
28 avril 2010 à 17:05
Bonjour, j'ai également une grosse crise d'angoisse depuis quelques semaines et j'aimerai savoir si la langue blanche et les aphtes sont une conséquences plausible de stress ?
