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17 réponses
Bonjour,
voici mon témoignage qui j'espère pourra aider quelqu'un.
Il y a 20 ans lors de mon service militaire, j'ai courru en descente avec des rangers et mon genou droit s'est bloqué.
Traitement sommaire, anti-inflammatoires et tout est presque rentré dans l'ordre puisque je ne supportais plus les chocs de la course à pied mais pouvais marcher et faire du vélo sans soucis.
Il y a 10 mois je me suis blessé le genou gauche en me relevant sur un appui de fenêtre, avec les deux genoux orientés du même côté. Craquement sinistre, violente douleur. Un kiné m'a palpé et m'a dit "c'est le ménisque interne". Il a tripoté un peu, appuié comme pour remettre quelque chose en place et ô miracle, je remarchais normalement. Pendant 1H environ, puis la douleur s'est réinstallée. J'ai des enfants en bas âge et dois faire beaucoup de "manutention". J'ai donc continué à vivre en reportant tous les efforts sur la jambe droite. Le temps que mon genou gauche se remettre tout seul, soit environ 1 mois, le droit s'est fortement dégradé.
J'ai commencé à avoir des douleurs lancinantes sur l'arrière du genou droit, presques nulles au réveil et qui s'aggravaient au fil de la journée jusqu'à devenir insupportables le soir avec une sensation de brûlure et de déchirement. A devenir fou. La douleur disparaissait dès que je pouvais étendre la jambe sans effort, donc soit assis sur un fauteuil soit couché.
Généraliste, Ostéo, Arthropathe (je ne sais pas si ça s'appelle comme ça), radio du genou, IRM.
Soit dit en passant, le premier contact avec l'arthropathe et sa secrétaire tiennent du canular.
La brave dame me dit : c'est un problème de ligaments ou non ? Parce que le docteur machin ne soigne pas les ligaments.
Ben, je n'en sais rien, si je le savais je ne viendrais pas voir un spécialiste ...
Le spécialiste en question m'a examiné assis sur un lit, il ne m'a pas fait marcher ni mettre debout. Etonnant, non ?
Un peu comme si j'achetais une voiture d'occasion sans demander qu'on me fasse tourner le moteur.
Mais bon, c'était un spécialiste du genou et moi pas, donc j'ai fait confiance.
L'IRM a enfin montré qq chose : fissure de grade 3 sur la corne postérieure du ménisque interne. J'ai été opéré par athroscopie, le chirurgien m'a arraché quelques morceaux de ménisque, on aurait dit de la méduse, ça partait en filaments. Deux jours après l'opération, j'étais euphorique. Encore shooté par l'anesthésie, je n'avais plus mal du tout ce qui ne m'était pas arrivé depuis 6 mois. Mon corps a éliminé la chimie et au bout d'une semaine, j'avais aussi mal qu'avant.
Re-généraliste qui me trouve... une bête tendinite.
Le seul remêde serait le repos, ce qui dans mon cas est impossible pour l'instant.
Pour éviter d'avoir mal, je reporte maintenant l'effort sur le genou gauche, et le cercle est bouclé.
Le problème de ménisque se réveille à gauche si je force trop.
Je vis donc avec un genou affecté de chaque mal, un ménisque blessé et une tendinite.
Pour résumer, les symptomes sont les suivants :
Ménisque abimé : douleurs de jour comme de nuit, je sens nettement une gêne dans l'articulation avec l'impression que quelque chose se promène et n'est pas à sa place. L'entrave au mouvement n'est pas flagrante. La gène augmente fortement avec les mouvements de torsion, par exemple en faisant pivoter le tronc sans bouger les pieds.
Tendinite sur l'arrière : faible douleur au révéil, terrible le soir. S'atténue à chaud, insupportable à froid lorsque la jambe est fatiguée, surtout après le repas du soir : le fait de m'assoir refroidit le tout et quand je me relève, je souffre énormément. Sensation de déchirure et de brûlure qui provient de l'extérieur de l'articulation.
Les étirements du genre assis au sol jambes allongées et je touche mes pieds avec mes mains ont tendance à atténuer la douleur de la tendinite.
Le seul conseil que je puisse donner à quelqu'un qui souffre d'un mal similaire : faites vous dire et redire que les symptomes sont bien en correspondance avec ce dont on va vous opérer.
J'aurais été voir un gastro entérologue, il m'aurait enlevé un bout d'estomac, un psy m'aurait dit que la douleur était psychosomatique et un oméopathe m'aurait donné des petits grains en sucre.
Je suis allé voir un type qui coupe du ménisque toute la journée, il m'a coupé un bout de ménisque.
C'est d'une logique implacable et j'ai toujours aussi mal au genou.
Bon courage à ceux qui souffrent.
voici mon témoignage qui j'espère pourra aider quelqu'un.
Il y a 20 ans lors de mon service militaire, j'ai courru en descente avec des rangers et mon genou droit s'est bloqué.
Traitement sommaire, anti-inflammatoires et tout est presque rentré dans l'ordre puisque je ne supportais plus les chocs de la course à pied mais pouvais marcher et faire du vélo sans soucis.
Il y a 10 mois je me suis blessé le genou gauche en me relevant sur un appui de fenêtre, avec les deux genoux orientés du même côté. Craquement sinistre, violente douleur. Un kiné m'a palpé et m'a dit "c'est le ménisque interne". Il a tripoté un peu, appuié comme pour remettre quelque chose en place et ô miracle, je remarchais normalement. Pendant 1H environ, puis la douleur s'est réinstallée. J'ai des enfants en bas âge et dois faire beaucoup de "manutention". J'ai donc continué à vivre en reportant tous les efforts sur la jambe droite. Le temps que mon genou gauche se remettre tout seul, soit environ 1 mois, le droit s'est fortement dégradé.
J'ai commencé à avoir des douleurs lancinantes sur l'arrière du genou droit, presques nulles au réveil et qui s'aggravaient au fil de la journée jusqu'à devenir insupportables le soir avec une sensation de brûlure et de déchirement. A devenir fou. La douleur disparaissait dès que je pouvais étendre la jambe sans effort, donc soit assis sur un fauteuil soit couché.
Généraliste, Ostéo, Arthropathe (je ne sais pas si ça s'appelle comme ça), radio du genou, IRM.
Soit dit en passant, le premier contact avec l'arthropathe et sa secrétaire tiennent du canular.
La brave dame me dit : c'est un problème de ligaments ou non ? Parce que le docteur machin ne soigne pas les ligaments.
Ben, je n'en sais rien, si je le savais je ne viendrais pas voir un spécialiste ...
Le spécialiste en question m'a examiné assis sur un lit, il ne m'a pas fait marcher ni mettre debout. Etonnant, non ?
Un peu comme si j'achetais une voiture d'occasion sans demander qu'on me fasse tourner le moteur.
Mais bon, c'était un spécialiste du genou et moi pas, donc j'ai fait confiance.
L'IRM a enfin montré qq chose : fissure de grade 3 sur la corne postérieure du ménisque interne. J'ai été opéré par athroscopie, le chirurgien m'a arraché quelques morceaux de ménisque, on aurait dit de la méduse, ça partait en filaments. Deux jours après l'opération, j'étais euphorique. Encore shooté par l'anesthésie, je n'avais plus mal du tout ce qui ne m'était pas arrivé depuis 6 mois. Mon corps a éliminé la chimie et au bout d'une semaine, j'avais aussi mal qu'avant.
Re-généraliste qui me trouve... une bête tendinite.
Le seul remêde serait le repos, ce qui dans mon cas est impossible pour l'instant.
Pour éviter d'avoir mal, je reporte maintenant l'effort sur le genou gauche, et le cercle est bouclé.
Le problème de ménisque se réveille à gauche si je force trop.
Je vis donc avec un genou affecté de chaque mal, un ménisque blessé et une tendinite.
Pour résumer, les symptomes sont les suivants :
Ménisque abimé : douleurs de jour comme de nuit, je sens nettement une gêne dans l'articulation avec l'impression que quelque chose se promène et n'est pas à sa place. L'entrave au mouvement n'est pas flagrante. La gène augmente fortement avec les mouvements de torsion, par exemple en faisant pivoter le tronc sans bouger les pieds.
Tendinite sur l'arrière : faible douleur au révéil, terrible le soir. S'atténue à chaud, insupportable à froid lorsque la jambe est fatiguée, surtout après le repas du soir : le fait de m'assoir refroidit le tout et quand je me relève, je souffre énormément. Sensation de déchirure et de brûlure qui provient de l'extérieur de l'articulation.
Les étirements du genre assis au sol jambes allongées et je touche mes pieds avec mes mains ont tendance à atténuer la douleur de la tendinite.
Le seul conseil que je puisse donner à quelqu'un qui souffre d'un mal similaire : faites vous dire et redire que les symptomes sont bien en correspondance avec ce dont on va vous opérer.
J'aurais été voir un gastro entérologue, il m'aurait enlevé un bout d'estomac, un psy m'aurait dit que la douleur était psychosomatique et un oméopathe m'aurait donné des petits grains en sucre.
Je suis allé voir un type qui coupe du ménisque toute la journée, il m'a coupé un bout de ménisque.
C'est d'une logique implacable et j'ai toujours aussi mal au genou.
Bon courage à ceux qui souffrent.
14 avril 2017 à 08:45
Mon genou me tiraille mais le document a dit ...
Le mal est tjr là mais le document a,dit...le prix ne répare rien...la douleur est chère... L'intuition , perspicace,
26 juil. 2017 à 21:10
3 mars 2018 à 09:27
J'ai refusé l'intervention sur le ménisque.
J'ai le genou qui enfle et cela pousse derriere le genoux comme un kyste.Je pense que cela pousse sur le tendon du muscle poplité
Je vais voir pour traiter une tendinite.