Tachycardie bouveret
Bonjour,
Je veux partager mon expérience personnelle pour arrêter un accès de tachycardie. Je fais de la tachycardie paroxystique jonctionnelle, dite de Bouveret. Si mon histoire ne vous intéresse pas, passez directement à la fin où j'explique concrètement comment je fais.
Mon historique :
J'ai été diagnostiquée à 6 ans mais dans mes souvenirs j'ai toujours eu des accès. C'était alors des crises de quelques secondes à quelques minutes, tous les quelques mois. J'ai pris des médicaments en traitement de fond contre les crises de l'âge de 10 ans à 12 ans. Je n'ai jamais eu vraiment peur d'en mourir, parce que mon père est médecin. Il m'avait expliqué que mon coeur a une anomalie mais qu'il est en bonne santé et que je ne risque rien.
Les accès se sont faits très rares à l'âge de 12 ans, ils ont repris à mes 22 ans. C'était alors des accès de 1 à 2 heures, tous les mois. Aucune gravité, sauf que ça m'essoufflait vraiment, j'avais la tête qui tournait et ça me laissait très fatiguée. Comme si je courais à fond mais sans courir ! Mon entourage s'inquiétait beaucoup, mais moi j'étais confiante. A chaque accès je me disais que je faisais un marathon
Je veux partager mon expérience personnelle pour arrêter un accès de tachycardie. Je fais de la tachycardie paroxystique jonctionnelle, dite de Bouveret. Si mon histoire ne vous intéresse pas, passez directement à la fin où j'explique concrètement comment je fais.
Mon historique :
J'ai été diagnostiquée à 6 ans mais dans mes souvenirs j'ai toujours eu des accès. C'était alors des crises de quelques secondes à quelques minutes, tous les quelques mois. J'ai pris des médicaments en traitement de fond contre les crises de l'âge de 10 ans à 12 ans. Je n'ai jamais eu vraiment peur d'en mourir, parce que mon père est médecin. Il m'avait expliqué que mon coeur a une anomalie mais qu'il est en bonne santé et que je ne risque rien.
Les accès se sont faits très rares à l'âge de 12 ans, ils ont repris à mes 22 ans. C'était alors des accès de 1 à 2 heures, tous les mois. Aucune gravité, sauf que ça m'essoufflait vraiment, j'avais la tête qui tournait et ça me laissait très fatiguée. Comme si je courais à fond mais sans courir ! Mon entourage s'inquiétait beaucoup, mais moi j'étais confiante. A chaque accès je me disais que je faisais un marathon
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