Malgré la cirrhose, il continue à boire

Résolu/Fermé
simonejulie Messages postés 2 Date d'inscription mercredi 6 mars 2013 Statut Membre Dernière intervention 21 juin 2013 - Modifié par begonie le 13/04/2013 à 05:23
sandy2277 Messages postés 1 Date d'inscription vendredi 28 juin 2013 Statut Membre Dernière intervention 28 juin 2013 - 28 juin 2013 à 19:07
Bonjour,
Depuis 6 ans mon mari a une cirrhose alcoolique , sans jamais avoir été ivre , découverte à la suite de rupture de varices oesophagiennes.Il a 65 ans
Il est en pleine forme mais continue de boire en cachette mais je trouve toujours les boissons , un cubi de 5 litre lui fait 5 jours et 750 cc de whisky un jour et demi . Je n'arrive pas à lui faire modérer ou arreter sa consommation
Il refuse d'admettre qu'il est alcoolique et nous nous disputons à cause de ça .
Il n'arrète pas de travailler ( pour nous ) et se sent bien mais je sais que les complications
vont arriver et ça me rend malade je suis infirmière
ses examens se sont améliores ce qui m'a surpris , son IRM est bonne pas de cancer
La psy que j'ai vu me dit de vivre pour moi , mais c'est facile à dire mais pas à faire .
Je me retiend mais je ne peux m'empécher de lui faire des réflexions.
J'ai tout essayé , la douceur , l'enervement rien n'y fait de plus il est trés introverti et ne s'ouvre pas facilement , le dialogue est difficile
je ne sais pas pourquoi il fait ça et il ne veut pas voir d'addictologue .
Je sais que notre fils est gay et lui s'en doute , mais l'alcool remonte à très longtemps donc pas de lien

Si vous etes passés par cette épreuve donnait moi votre vecu cela me fera du bien


EDIT : Modification du titre : " savoir si des personnes connaissent le même cas "
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13 réponses

Teora Messages postés 849 Date d'inscription mardi 29 janvier 2013 Statut Membre Dernière intervention 21 mai 2013 322
25 mars 2013 à 10:42
Bonjour,

Si votre époux se donne à la boisson, c'est un moyen pour lui de fuir une angoisse qui l'habite.

Une thérapie serait une bonne chose, dans un premier temps une prise de conscience de ce mal-être qu'il essaie d'éteindre par l'alcool, ensuite ce sera plus facile.

Lui parler directement d'addictologie, d'alcoolisme, il se braque, il ne veut pas que vous pensiez cela de lui, mais de toute la façon, il a conscience qu'il a ce problème.

S'il est à jeun, il se sent mal, l'angoisse l'envahie.
Il n'est pas facile de vivre avec un proche qui s'alcoolise, c'est bien vrai.

Bon courage !

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