Alcool et vie de famille ne font pas bon ménage
francklin18
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jusdab Messages postés 171 Statut Membre -
jusdab Messages postés 171 Statut Membre -
Bonjour,
Je une femme de 37 ans et maman d'une fille de 2 ans. J'ai une vie professionnelle stable et épanouie. Mon seul hic "mon conjoint". Il a des problèmes d'alcool mais refuse de l'admettre. Je ne doute pas de ses sentimenst envers nous mais nous ne somme pas sa priorité. Il a un travail prenant, part le matin à 7 heures et ne revient qu'à 19 heures (du mardi au venredi et travaille le samedi matin); Le samedi midi s'arrête retrouver des copins au PMU et ne peut rentrer qu'à 14 heures et cela quand il rentre... Car c'est pas toujours le cas. C'est quelqu'un de bien mais qui est malade. Quand il est à la maison, j'ai l'impression qu'il s'ennuie et tous les prétextes sont bons pour mettre les voiles (aider un copin, aller faire du bois, aller au foot...) et ne faisons rien à trois. Nous ne pouvons plus rien prévoir (sortir ou recevoir des amis, car les verres ne désemplissent pas et je ne le supporte plus j'ai honte). Il peut .partir le samedi matin travailler et ne revenir que le diamnche. Ce n'est plus vivable. Actuellement, il n'a pas bu un verre d'alccol depuis 2 semaines car il s'est endormi au volant (je vous laisse immaginer le taux d'alccol) et a eu quelques problèmes avec les forces de l'ordre. Donc il se tient à carreaux; Je suis en colère qu'il ait prise cette décision uniquement par rapport à la police et non par rapport à sa famille. Il refuse tout dialogue et loupe plein de choses, plein de fous rire avec notre fille. Je suis perdue complètement. Je ne sais pas s'il faut que je sacrifie ma vie privée (et continuer à vivre cette situation) pour ma fille et lui montrer un semblant de famille ou alors se séparer une bonne fois pour toute (mais au jour d'aujourd'hui, je ne supporterais pas de la lui laisser quelques jours). Pouvez-vous me dire ce que voue en pensez ou même vous perso ce que vous feriez. Merci à toutes et tous pour vos réponses.
Je une femme de 37 ans et maman d'une fille de 2 ans. J'ai une vie professionnelle stable et épanouie. Mon seul hic "mon conjoint". Il a des problèmes d'alcool mais refuse de l'admettre. Je ne doute pas de ses sentimenst envers nous mais nous ne somme pas sa priorité. Il a un travail prenant, part le matin à 7 heures et ne revient qu'à 19 heures (du mardi au venredi et travaille le samedi matin); Le samedi midi s'arrête retrouver des copins au PMU et ne peut rentrer qu'à 14 heures et cela quand il rentre... Car c'est pas toujours le cas. C'est quelqu'un de bien mais qui est malade. Quand il est à la maison, j'ai l'impression qu'il s'ennuie et tous les prétextes sont bons pour mettre les voiles (aider un copin, aller faire du bois, aller au foot...) et ne faisons rien à trois. Nous ne pouvons plus rien prévoir (sortir ou recevoir des amis, car les verres ne désemplissent pas et je ne le supporte plus j'ai honte). Il peut .partir le samedi matin travailler et ne revenir que le diamnche. Ce n'est plus vivable. Actuellement, il n'a pas bu un verre d'alccol depuis 2 semaines car il s'est endormi au volant (je vous laisse immaginer le taux d'alccol) et a eu quelques problèmes avec les forces de l'ordre. Donc il se tient à carreaux; Je suis en colère qu'il ait prise cette décision uniquement par rapport à la police et non par rapport à sa famille. Il refuse tout dialogue et loupe plein de choses, plein de fous rire avec notre fille. Je suis perdue complètement. Je ne sais pas s'il faut que je sacrifie ma vie privée (et continuer à vivre cette situation) pour ma fille et lui montrer un semblant de famille ou alors se séparer une bonne fois pour toute (mais au jour d'aujourd'hui, je ne supporterais pas de la lui laisser quelques jours). Pouvez-vous me dire ce que voue en pensez ou même vous perso ce que vous feriez. Merci à toutes et tous pour vos réponses.
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2 réponses
Bonjour.
Dans cette situation, le plus important c'est de chercher de l'aide directement pour toi-même.
Ce lien vers un article de Santé-Médecine t'offrira des informations qui doivent t'intéresser :
http://sante-medecine.journaldesfemmes.com/faq/915-alcool-des-structures-qui-peuvent-vous-aider
Ces situations où l'alcool devient un problème nécessitent toujours de l'aide professionnelle.
Tu as tout intérêt de consulter (demander de l'aide) toi-même pour ton propre vécu et ceci dans le but d'arriver à mieux te situer dans ce qui pose problème dans ta vie personnelle, familiale et sociale.
Bonne journée, bonne soirée ou bonne nuit !
begonie
Dans cette situation, le plus important c'est de chercher de l'aide directement pour toi-même.
Ce lien vers un article de Santé-Médecine t'offrira des informations qui doivent t'intéresser :
http://sante-medecine.journaldesfemmes.com/faq/915-alcool-des-structures-qui-peuvent-vous-aider
Ces situations où l'alcool devient un problème nécessitent toujours de l'aide professionnelle.
Tu as tout intérêt de consulter (demander de l'aide) toi-même pour ton propre vécu et ceci dans le but d'arriver à mieux te situer dans ce qui pose problème dans ta vie personnelle, familiale et sociale.
Bonne journée, bonne soirée ou bonne nuit !
begonie
Bonsoir,
C'est une situation pénible que tu vis.
L'alcoolisme est une maladie et comme pour d'autres il ne suffit pas de dire "j'arrête !" pour que tout rentre dans l'ordre.
Ton conjoint ne maîtrise pas sa maladie. C'est un peu comme si c'était sa maladie qui commandait sa vie, le guidait.
Il souffre probablement lui aussi de vous faire subir cette maladie.
Malheureusement, il n'y a pas de secret... Pour vaincre l'alcoolisme, il faut un suivit médical, et une abstinence totale. Ton soutien seul l'aidera très difficilement. Et puis, tu es la femme qui partage sa vie et non son médecin. Tu es par ailleurs une mère qui se doit de protéger sa famille, ses enfants.
Tu es la seule à pouvoir évaluer si tu sois le quitter ou subir et faire subir à ton enfant cette maladie.
Tu es aussi la seule à connaître tes limites. Ta patience a t elle atteint son summum ?
Ce sont tes choix et tes responsabilités de femmes et de mère.
Que tu choisisses un départ pour lui faire peur et créer un électrochoc ou que tu décides une rupture définitive, ou encore que tu décides de rester, c'est sûr que ce sera très difficile, quelque soit ton choix.
Donc, demande de l'aide à ton entourage, pour te soutenir et t'aider à prendre du recul, car tu ne peux pas tout porter. Y a t il des personnes susceptible de raisonner ton conjoint et donc te t'aider à le raisonner ?
Courage, tu sais que les choses sont compliquées, mais il y a des solutions qui te demanderont beaucoup de courage et de volonté.
L'aimes tu suffisamment ? En as tu la force ?
A très bientôt
C'est une situation pénible que tu vis.
L'alcoolisme est une maladie et comme pour d'autres il ne suffit pas de dire "j'arrête !" pour que tout rentre dans l'ordre.
Ton conjoint ne maîtrise pas sa maladie. C'est un peu comme si c'était sa maladie qui commandait sa vie, le guidait.
Il souffre probablement lui aussi de vous faire subir cette maladie.
Malheureusement, il n'y a pas de secret... Pour vaincre l'alcoolisme, il faut un suivit médical, et une abstinence totale. Ton soutien seul l'aidera très difficilement. Et puis, tu es la femme qui partage sa vie et non son médecin. Tu es par ailleurs une mère qui se doit de protéger sa famille, ses enfants.
Tu es la seule à pouvoir évaluer si tu sois le quitter ou subir et faire subir à ton enfant cette maladie.
Tu es aussi la seule à connaître tes limites. Ta patience a t elle atteint son summum ?
Ce sont tes choix et tes responsabilités de femmes et de mère.
Que tu choisisses un départ pour lui faire peur et créer un électrochoc ou que tu décides une rupture définitive, ou encore que tu décides de rester, c'est sûr que ce sera très difficile, quelque soit ton choix.
Donc, demande de l'aide à ton entourage, pour te soutenir et t'aider à prendre du recul, car tu ne peux pas tout porter. Y a t il des personnes susceptible de raisonner ton conjoint et donc te t'aider à le raisonner ?
Courage, tu sais que les choses sont compliquées, mais il y a des solutions qui te demanderont beaucoup de courage et de volonté.
L'aimes tu suffisamment ? En as tu la force ?
A très bientôt
Bonsoir et merci d'avoir pris connaissance de mon mail. C'est la 1ère fois que j'écris sur un forum. J'espère que cela me fera du bien. Je suis épuisée (physiquement et moralement). Je pensais être une personne forte mais je me rends compte que je suis faible finalement. Faible, car j'aurai dû dire stop avant d'en arriver là. Mon entourage et surtout ma famille connaisse ce problème. Mes parents me soutiennent mais mes amis, n'ont pas voulu prendre parti et de fait, je me retrouve bien seule. (je peux les comprendre mais cela fait mal). Je vis très mal la situation car je ne veux rien extérioriser. J'ai RDV chez mon médecin en fin de semaine, car je ne dors plus. Mon conjoint ou ex conjoint, est reparti chez sa mère mais je pense qu'il n'a aucun remort. Il n'a pas l'air d'avoir de soucis. Je ne suis pas une personne exigeante matériellement, un rien me comble. J'aurais tellement aimé avoir une vraie vie de famille, balade en vélo, piscine... Mais du coup je le fais toute seule. Actuellement, je le fais pour ma fille, mais ce qui est dommage c'est que je sois obligée de le faire pour elle et pas pour nous. Une fois qu'elle est couchée, je me retrouve seule et là les larmes coulent sans raison
Bonsoir,
Je pense que c'est une bonne chose d'aller voir ton médecin. Tout comme d'accepter d'avoir besoin d'aide. Difficile de rester seule avec le poids que tu portes. Ta souffrance est grande, c'est ce que je ressens en lisant ton message.
Surtout (je ne sais pas si les cas), ne te culpabilise pas. Toute situation de couple est complexe. Encore plus lorsqu'il y a une maladie comme celle- ci. Si il était possible de prévoir les choses ce serait bien plus facile ! Tu n'es pas faible, d'ailleurs, ce n'est pas une question de faiblesse mais plutôt d'humanité. Par exemple : les sentiments d'amour permettent de supporter beaucoup de choses.
En outre votre séparation (je ne sais s'il s'agit de la première) te permettra de prendre un peu de distance.
Il est temps que tu prennes soin de toi. Pour ta fille et toi. Car si tu ne vas pas bien, elle ne pourra aller bien.
Y a t il des moments où tu as été heureuse avec ton conjoint ? T'en souviens tu ?
Depuis quand consomme t il de façon aussi importante au point de vous délaisser et de se mettre en danger ?
Je te souhaite une bonne nuit même si je sais que c'est difficile. Reste bien entourée de tes proches pour éviter la solitude. Les combats sont plus difficiles à affronter en période de solitude...
A Bientôt,
Je pense que c'est une bonne chose d'aller voir ton médecin. Tout comme d'accepter d'avoir besoin d'aide. Difficile de rester seule avec le poids que tu portes. Ta souffrance est grande, c'est ce que je ressens en lisant ton message.
Surtout (je ne sais pas si les cas), ne te culpabilise pas. Toute situation de couple est complexe. Encore plus lorsqu'il y a une maladie comme celle- ci. Si il était possible de prévoir les choses ce serait bien plus facile ! Tu n'es pas faible, d'ailleurs, ce n'est pas une question de faiblesse mais plutôt d'humanité. Par exemple : les sentiments d'amour permettent de supporter beaucoup de choses.
En outre votre séparation (je ne sais s'il s'agit de la première) te permettra de prendre un peu de distance.
Il est temps que tu prennes soin de toi. Pour ta fille et toi. Car si tu ne vas pas bien, elle ne pourra aller bien.
Y a t il des moments où tu as été heureuse avec ton conjoint ? T'en souviens tu ?
Depuis quand consomme t il de façon aussi importante au point de vous délaisser et de se mettre en danger ?
Je te souhaite une bonne nuit même si je sais que c'est difficile. Reste bien entourée de tes proches pour éviter la solitude. Les combats sont plus difficiles à affronter en période de solitude...
A Bientôt,
Effectivement, j'espère que cette séparation me sera bénéfique et souhaite que dans un avenir proche ma vie reprenne un nouveau souffle. Les problèmes d'alcool sont assez ancients car son père l'était. Mon conjoint buvait ocasionellement la semaine mais peinait à se contrôler le wend. En juin 2011, il a démissionné de son travail et m'a mise sur le fait accompli. Les neufs mois de chomage ont été critiques à vivre (uniquement pour moi). Les choses se sont accélérées à ce moment. Pas de contrainte, de la liberté, la petite à la crèche et moi au travail. Les disputes ont persévéré et même s'il a retrouvé du travail les mauvaises habitudes sont restées. Je ne concevais pas mettre notre fille à la crèche alors qu'il ne travaillait pas. Je me rapelle bien quelques bons moments passés ensemble mais honnêtement les mauvais ressortent plus facilement. Ecrire fait du bien et cette sollicitute m'appaise.
Bonsoir,
Tu va pouvoir souffler, prendre du recule et réfléchir.
La situation que tu vivais était problématique c'est sûr.
Maintenant il faut que tu vives pour ta fille et toi, que tu sois un peu égoïste.
De toutes les façons, tu ne peux pas résoudre son problème d'alcool. C'est à ton conjoint de faire la démarche. Ce qui paraît inquiétant c'est qu'il semble ne plus contrôler la situation...
Surtout, ne reste pas isolée, laisse tes proches prendre soin de toi et te guider.
A Bientôt
Tu va pouvoir souffler, prendre du recule et réfléchir.
La situation que tu vivais était problématique c'est sûr.
Maintenant il faut que tu vives pour ta fille et toi, que tu sois un peu égoïste.
De toutes les façons, tu ne peux pas résoudre son problème d'alcool. C'est à ton conjoint de faire la démarche. Ce qui paraît inquiétant c'est qu'il semble ne plus contrôler la situation...
Surtout, ne reste pas isolée, laisse tes proches prendre soin de toi et te guider.
A Bientôt
