Arrêt du subutex
Granalt
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21 févr. 2012 à 14:55
Granalt - 11 avril 2012 à 21:42
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lafouine.
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29 août 2023
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21 févr. 2012 à 16:25
21 févr. 2012 à 16:25
Bonjour
Je te dis BRAVO et félicitation. Tu as fais le gros travail du sevrage.
Maintenant c'est tenir sur la duré.
Tu y arriveras tu es un battant :-)
Je te dis BRAVO et félicitation. Tu as fais le gros travail du sevrage.
Maintenant c'est tenir sur la duré.
Tu y arriveras tu es un battant :-)
21 févr. 2012 à 18:22
Merci de m'avoir répondu aussi vite, ça fait plaisir.
J'ai un peu relu mon post, et je me suis rendu compte que j'avais une question dont je n'avais pas parlé. Etant donné que je ne suis plus du tout suivi par un médecin, je dois vous avouer que j'avance un peu dans le flou. Je discutais de tout ça avec un bon ami qui est infirmier, et devant ce que j'avais accompli (je devais être rendu à une semaine de sevrage), il m'a bien mis en garde en me disant que même si pour moi, le plus dur était fait (car c'était vraiment la souffrance physique qui m'inquiétais), le plus dur serait l'aspect psychologique qui suivrait. J'ai un peu suivi d'autres posts, et je me rends compte que beaucoup de personnes se retrouvent vraiment en difficulté. Durant la première semaine, j'ai profité de vacances pour me reposer chez moi. Je ne suis pas beaucoup sorti, quelques amis passaient me voir de temps en temps, mais maintenant que je me sens mieux, je n'ai pas l'impression d'être plus affecté psychologiquement que ça. Je me sens même plutôt bien dans ma tête, et depuis une semaine, même si on trainerait bien de temps en temps chez soi, j'arrive à me motiver à faire quelque chose de mes journées, je vois du monde, j'ai repris contact avec pas mal d'amis que j'avais plus ou moins perdu de vue, je suis à la recherche d'un stage, et même en étant un peu dans le mal, j'ai fais de bons entretiens, et je suis certainement sur le point d'être embauché pour un stage de 6 mois. Enfin, j'essaie de dire par là que j'ai l'impression de ne pas resentir de faiblesse psychologique, et quelque part, ça me fait peut-être un peu peur, d'être serein et confiant, mais je me demande si ce n'est pas un coup à me prendre ça en pleine gueule à un moment donné.
Je me dis que trouver du taf me changera les idées, je devrais pouvoir commencer dans un petit mois, le temps de me reposer encore un peu, mais j'espère vraiment que ça ne me posera pas de problème par la suite dans mon travail. Pour le moment, à 18 jours d'arrêt, j'éternue encore beaucoup, j'ai de petites crampes mais supportables, et je transpire encore beaucoup. Est-ce-que tout ça est plutôt bon signe, ou est-ce-que je ne me leurre pas quelque part?
Merci pour le soutien, je crois qu'on en a tous un peu besoin dans ces moments là.
21 févr. 2012 à 18:23
6 mars 2012 à 10:33
6 mars 2012 à 11:45
6 mars 2012 à 11:46