Comment avez-vous vécu le départ de vos enfants de la maison ?

Résolu
Utilisateur anonyme - 22 sept. 2010 à 19:12
 cris - 2 oct. 2011 à 14:40
Vos enfants sont-ils restés dans la même région ?
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8 réponses

Utilisateur anonyme
23 sept. 2010 à 09:19
tres mal un peu perdu .je suis inscrit des club de loisir amicalement
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Utilisateur anonyme
23 sept. 2010 à 10:22
Bonjour, J'ai un fils de 36 ans bientôt et le plus dur, ça a été la période du service militaire qu'il faisait en 1993 en Allemagne. Il venait pour 3 jours à la maison. L'été, la séparation se faisait à peu près bien mais l'hiver, c'était très dur de l'imaginer en gare de Baden-Baden à 4h44 du matin exactement, en attendant qu'on vienne le chercher en camion vers 8h. Il y a des mardi matin ou des lundi soir où je pleurais toutes les larmes de mon corps. Après, en septembre 2000, il m'annonce un matin vers 7h00 qu'il a trouvé une copine et qu'il part s'installer chez elle. Ca m'a fait un choc mais pas tant que ça finalement. On a des enfants mais on ne les élève pas pour soi. Ils partent tous un jour ou l'autre et on espère qu'ils seront heureux. Ce ne sont pas tous des "Tanguy". Cette fameuse copine l'a planté il y a 5 ans après avoir fait ensemble un adorable petit Théo. Lui est resté célibataire, elle s'est mariée, a eu un 2ème garçon. Mais nous sommes restés tous en très bon contact. Nous nous voyons très souvent l'été autour d'un barbecue. A bientôt peut-être Kathy
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Utilisateur anonyme
23 sept. 2010 à 15:33
Mon fils de 23 ans est parti à Toulouse pour faire ses études au Conservatoire de Danse de Toulouse. Il ne revient plus qu'aux vacances de Noël, de Pâques et un mois pendant l'été. Bien que ça fasse un vide, car il est très communicatif et un peu bruyant il faut le dire, le fait qu'il fasse sa vie et que ce soit pour vivre sa passion, je suis heureuse pour lui. Ma fille de 21 ans, elle, ne fait pas trop grand chose. Elle a été étudiante à Poitiers pendant 2 ans, est revenue à la maison, et j'avoue que ça me pèse. On n'élève pas nos enfants pour qu'ils restent dans le giron familial, et d'un autre côté, on a aussi l'envie de vivre notre vie tranquille, de voir des amis, de sortir sans avoir "un fil à la patte". On aime ses enfants, mais il arrive un moment où chacun doit vivre sa vie.
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Utilisateur anonyme
23 sept. 2010 à 17:57
mon fils est parti à bordeaux il y a bientot trois ans, il revient de temps en temps aux vacances, c'est la vie, on ne fait pas ses enfants pour les garder près de soi véro
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Utilisateur anonyme
24 sept. 2010 à 09:26
il y a1an mon fils est parti dans le sud de la France! faire sa "vie" comme il dit! la séparation a ete très dure pour moi! mais il a ses convictions ses idées qui sont différentes des notres nous nous sommes vus 2 fois dans l'année noel et 1semaine cet ete il n'avait ni logement ;ni travail,ni meme de connaissantes; vous imaginez mon angoisse , j'en suis tombée malade! aujourd'hui il travaille il assume son logement ;tts ses affaires nourriture habits, frais ;il parle de s'acheter une voiture neuve (travail oblige commercial) ila eu24 ans le 10 . mon réconfort est que ma fille habite a 2kms de chez ns avec ses 2 filles 12et 7 ans. ma joie de vivre et d'apaisser mes angoisses tjrs présentes chaque coup de téléphone me fait trembler ;"la peur n'évite pas le danger ".faire confiance,avoir confiance croire en eux j'ai un mari très présent et rassurant : voila j'espère vs avoir fait avancer b journée!
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Utilisateur anonyme
25 sept. 2010 à 08:04
merci pour tout ses messages
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Utilisateur anonyme
26 sept. 2010 à 10:12
oui heureusement dans la meuse bien amicalement daniele
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Utilisateur anonyme
21 nov. 2010 à 15:12
bien ça va faut dire que j en ai deux a coté de moi et le dernier a une heure de chez nous la seule chose que j ai eu du mal enfin si on peut dire ça cest que je calculais touours la nourriture pour cinq mais maintenant ça va

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je suis heureuse de vous lire. Mon fils est parti un an au Canada, merci les angoises, le stress la tristesse jusqu'au jour où nous sommes allés le voir. Quelle surprise il était tellement heureux, attentif à nous.
Depuis il a repassé deux ans chez nous, cette semaine il part en Australie, je pensais être tranquille puisqu'il avait été bien à Montréal, mais voilà l'angoisse la tristesse qui me reprennent avec ce sentiment de ne servir à rien, de n'avoir rien à faire, je me suis toujours dit "on ne fait pas les enfants pour nous" mais chaque fois qu'un enfant partait j'étais malheureuse et ça recommence avec le troisième un peu plus bourlingueur que ses soeurs. Il va falloir s'en remettre et réapprendre à vivre sans lui. Je fais rire mes copines à fouiller toute la maison pour trouver suffisament de linge pour remplir ma machine. Cette fois je vais essayer de trouver une occupation assez prenante pour ne pas sombrer dans la tristesse.
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