Comment éloigner les chats des voisins ?

Je vis en appartement, la voisine du dessus ramène tous les chats du quartier dont pas mal de chats errants. Resultat ? Ma loggia sent l'urine et avec la chaleur ça n'arrange rien, et la planche qu'elle a installé pour les faire monter et descendre plus facilement provoque un tapage diurne comme nocturne dont toute la résidence se plaint. Sans compter aussi que ces mêmes «braves» minous n'ont évidemment d'autres endroits pour se battre bruyamment, en pleine nuit, que devant ma loggia. C'est pas comme si on avait quelques milliers de m2 de colline en guise de jardin collectif...

Oui sauf que les chats sont une des pires espèces de prédateurs. Ils chassent  et tuent par instinct même sans avoir faim. J'habite en campagne et depuis que mes voisins ont emménagé avec leurs chats, c'est un carnage parmis  les oiseaux et même les écureuils. Je n'ai plus le plaisir de voir ces animaux qui passaient par mon jardin  mais à contrario j'ai maintenant en les crottes de chat dans mes plates-bandes. Aujourd'hui, même l'Australie dans les grandes villes à interdit les propriétaires de chats de les laisser sortir car ils causent des ravages dans la faune sauvage.

Je pense que de tous les propriétaires d'animaux les propriétaires de chats sont les plus insoucients... Pourquoi prendre un chat ? c'est mignon, rigolo, ca fait pas chier, et t'as pas à t'en occuper contrairement à un chien qui engage le propriétaire sur un max de contraintes.

Pour répondre à la question soit ils s'en foutent soit ils comprennent pas que tu n'accepte pas leur "adorable" animal... chez toi.

J'ai toujours vécu en appartement et j'ai toujours eu à subir les chats errants.

Actuellement, je subis les 3 chats que mon voisins laisse errer dans la résidence.

Ils viennent sur ma terrasse, pisse sur mes coussins, font leurs besoins dans ma jardinière, laissent des cadavres d'oiseaux (moi qui adore les oiseaux, c'est horrible !!!!) Et le pire est que maintenant j'ai des allergie avec les poils qu'ils laissent sur les fauteuils d'exterieur. Je me retrouve avec une partie de mon appartement condamné... (Et je repense encore aux 18 chats errants qui ont été dénombrés par la SPA dans l'ancienne résidence où j'habitais en rez de chaussée et retrouvais des chats chez moi qui pissaient contre les volets et la porte et se faufilaient parfois par une fenêtre, le temps de déposer des puces sur mon lit...)

Donc non, vivre en appartement n'est pas forcement une solution ! 

Demain, j'essaie la moutarde vu que les bouteilles en plastique ne fonctionnent pas... 

Et inutile d'essayer de communiquer avec leur maître, nous avons (des voisins et moi-même) déjà essayé poliment 7 fois et nous avons fini par nous faire insulter, idem du côté du proprio qui ne veut rien entendre...

ce n'est pas injurier les gens que de dire qu'il sont irresponsable c'est partout pareil moi j'ai un chien et j'ai aussi eu des chats mais je ne vois pas pourquoi les voisins devraient supporter les animaux des autres ;quand on a des animaux on doit s'en occuper mais pas faire subir aux autresun point c'est tout .Si tout le monde se respectaient un peu plus cela irai beaucoup mieux mais les gens ont tendances a se decharger de tout , il faut pas toucher leur chat qui erre mais si ce chat fait arriver un accident a un velo ou moto vous ne verrez pas le proprietaire dire que c'est son chat , la c'est personne bien souvent car en plus les 2/3 ne sont pas pucé.

Non, ce n'est pas la nature... La nature c'est un équilibre entre proies et prédateurs. Au moins un foyer sur quatre possède un ou des chats en France, imaginez la densité de ces prédateurs dans les zones urbaines et péri-urbaines. Il y en a malheureusement beaucoup trop pour ce que peut supporter l'environnement (un chat tue en moyenne 7 animaux par jour). Si les proies disparaissent, la population de chats ne diminuera pas, nourris qu'ils sont par leurs propriétaires. Et nos parcs et jardins qui pourraient servir de réservoir de biodiversité, à l'abri des chasseurs et des pesticides ne sont que des abris illusoires pour la petite faune sauvage qui disparait lentement et dont tout le monde se contre-fout.