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12 réponses
Zut ! Et aujourd'hui j'ai fait ça pour rien ??? 20 ans foutus en l'air pour RIEN ? Ah ben là c'est trop fort, j'vais prendre un café et boire une sieste !
C'est vrai, je me suis interdit d'être heureux, parce qu'à 11 ans on m'a engueulé comme si j'étais un adulte ! Pour un truc nécessaire à mon développement ! J'avais peur de ce que j'allais trouver à mon sujet ! Aujourd'hui, je franchis le pas pour "regarder la réalité dans toute son horreur", et - STUPEUR ! - en fait, j'étais normal.
Du coup, maintenant, je me suis tordu alors que j'étais droit ! Le Destin, j'te jure, quel farceur ! Mais j'aime pas trop son humour !
Bonjour Alexandra !
Je viens de lire le témoignage touchant de Monique et il est vrai que derrière ce qui est dit on pourrait ne plus avoir besoin de rajouter quoi que ce soit !
Cependant c'est votre question qui m'a attirée car je crois pouvoir dire aujourd'hui que tout est possible, on peut s'interdire d'être heureux et c'est généralement ce qu'on fait souvent quand on y regarde de plus prés.... ! On peut s'interdire d'être heureux et s'obliger à souffrir, s'obliger à ne pas vivre correctement et à se faire d'incroyables blessures au coeur et à l'âme ! on peut le faire parce que l'homme est ainsi fait mais ce qu'on peut faire aussi, c'est s'arréter et regarder, se regarder, s'ecouter et se respirer et s'il est vrai qu'après analyse on s'appercoit qu'on ne s'autorise pas le bonheur alors il faut se dire une chose, une seule peut être :!
La vie n'a de sens que si on la vit ! on peut la vivre ou bien ou mal mais on doit la vivre du mieux qu'on peut et donc se poser les questions qui nous sont toutes personnelles et intimes pour deceller en nous ce qui nous rend vraiment heureux et voir combien parfois on se fait souffrir soi-même !
Je sais qu'il n'existe pas de recette magique mais s'interdire d'être heureux c'est comme vivre dans une vie en noir et blanc ! On a les pinceaux et les couleurs, il ne tient qu'à nous de nous en servir et de rendre à notre vie ses vraies couleurs et de s'autoriser à être heureux !
Simplement comme pour toutes les démarches de ce genres il faut être prêt et bien souvent il faut être prêt à s'affronter soi.... !
Quand le réveil arrive.... C'est là qu'on comprend que nous sommes nous même acteurs jusque dans les moindres recoins de notre existance et que même si notre faculté à s'interdir le bonheur a été provoqué par l'intervention de tiers personnes quellles quelles soient, on peut toujours y faire quelque chose, changer quelque chose chez nous pour que rien ou tout ne soit plus comme ça l'était dans ce passé où on se faisait tout simplement souffrir !
Victime des autres, bourreau de soi-même ! Je n'aime pas les citations mais ce titre de livre est parfait il me semble !
Nathalie
C'est quoi, "être heureux"?
Lorsqu'on n'a plus d'autre choix que de sacrifier sa conscience pour "être heureux", je crois qu'on peut préférer une vie de souffrance.
C'est relativement rare, ici, sur ce site.
En général, la plupart des gens cèdent au bout d'un moment, ou alors, ils n'ont pas les outils pour supporter la réalité de leurs sentiments Ils ont sans cesse recours à la dénégation.
Et vous aurez remarqué qu'ils tentent insidieusement de faire passer leur faiblesse pour une qualité : "le but de la vie, c'est manger, boire, satisfaire sa libido et déféquer quand ça s'impose - nous on a tout compris, on est heureux, et pas vous parce que vous vous prenez trop la tête..."
Si simple.
Si parcellaire.
Tellement méprisant pour l'individualité de chacun.
Sans perspective d'avenir.
Notre évolution s'est faite dans le sang, les larmes et les cendres. Seuls les conflits déclenchent la nécessité de réfléchir pour mettre un terme aux difficultés. Et c'est l'enquête que nous menons pour nous en sortir, nous et les générations à venir, qui permet d'obtenir un "bonheur plus profond que la simple pâture bestiale", parce que ce faisant, nous ouvrons une porte vers un avenir meilleur.
D'un coup, toute souffrance prend un sens, s'inscrit dans la continuité de l'oeuvre de nos ancêtres, et se perpétuera longtemps après notre mort... D'un coup, la mort devient espoir, et non fin brutale.
On ressent une sécurité étrange, malgré les moqueries et persécutions permanentes dont on fait l'objet parce qu'on a le courage de construire tandis que tant d'autres végètent.
Je préfère être "ça" qu'être heureux. (j'ai choisi mon camp seul, sous aucune bannière, et je ne fais partie d'aucun autre culte que le mien. Excusez-moi de parler à la première personne, mais ça m'apporte également une certaine satisfaction de constater que j'ai trouvé la force de ne pas me contenter de suivre, comme tant d'autres. C'était une parenthèse).
En espérant avoir servi...
Oui,on peut s'interdire d'etre heureux,est ce bien raisonnable,c'est de l'autodestruction volontaire.Mais aussi,peut-on s'autoriser à etre heureux ?Les Trappistes s'autorise à souffrir,mais détiennent-ils la vérité ?Le bonheur est quelque chose de fragile,alors quand il passe,attrapons le de toutes nos forces et si possible,gardont le........................
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Bonjour,
Je ne savais pas que pour être heureux, il suffisait de se l'autoriser.
Dorénavant, je m'autorise le bonheur, s'est simple il suffisait d'y penser.
Merci, je vais être enfin heureux!
F Portier
Je ne sais pas... Je ne suis pas psy, mais dans mon cas, il y a une censure qui m'interdit d'être heureux, que je me suis imposée, et dont je ne peux plus me débarrasser. Parce que j'ai (peut-être beaucoup, peut-être moins que ce que j'imagine) fait du mal à quelqu'un. Je crois que j'ai forcé sur la punition parce que je n'ai jamais eu le courage de demander à ladite personne ce qu'elle a vécu de son côté. J'en bave encore, mais j'essaye d'aider les autres et de croire à ma pénitence... S'ils sont heureux grace à moi, alors je peux me sentir heureux aussi, malgré la peine et le remords.
Pas besoin d' être maso pour s' interdire d' être heureux. Etre heureux c 'est un savoir, parfois on n' a pas les bases. Parfois les éléments de bonheur sont très disparates, parfois on enchaine tellement de souffrances que l' on a du mal à s' extasier sur la suite... parce qu' on a vu un beau couché de soleil, ça ne suffit pas toujours.En réponse : oui, il est possible de s' interdire d' être heureux mais il y a des solutions au fond de soi. Faut chercher... paraît-il !
Et puis il y a l' entourage...