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3 réponses
Bsr,
La pratique du vélo (avec selle !), un TR, un rapport sexuel etc... ont un incidence(faible) sur le taux de PSA.
Cdlt
La pratique du vélo (avec selle !), un TR, un rapport sexuel etc... ont un incidence(faible) sur le taux de PSA.
Cdlt
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Variation du taux de PSA dans le temps
La vélocité du PSA est considéré comme un reflet potentiel d'évolutivité des tumeurs [16]. Les patients avec un PSA à vélocité supérieure à 2 ng/ml/an, dans l'année qui précède la prostatectomie radicale, présentent un risque accru de mort par cancer dans les suites.
Le doublement du taux de PSA correspondant à une analyse non linéaire de son évolution serait sans doute plus proche de la biologie des tumeurs, ce qui explique son utilisation comme marqueur d'évolutivité [17].
Cependant, si les variations du taux de PSA dans le temps sont bien reliées à l'évolutivité de la tumeur, il est difficile à utiliser pour deux raisons :
* tout d'abord, les variations du taux de PSA ne sont pas spécifiques de la tumeur et nombreuses sont les variations qui sont la conséquence du contingent de tissu bénin (hypertrophie bénigne de la prostate) ;
* par ailleurs, il est possible que lorsque le PSA varie, du fait d'une évolution tumorale, il soit déjà trop tard et que la tumeur soit déjà dans un état évolutif qui n'est plus compatible avec une surveillance active. Ainsi, plus qu'un critère de sélection, la variation du taux de PSA dans le temps est un critère de suivi et de déclenchement d'une biopsie pour vérifier l'état pathologique de la tumeur.
http://www.anamacap.fr/traitements-contre-cancer-prostate-04-surveillance-active-01.php
La vélocité du PSA est considéré comme un reflet potentiel d'évolutivité des tumeurs [16]. Les patients avec un PSA à vélocité supérieure à 2 ng/ml/an, dans l'année qui précède la prostatectomie radicale, présentent un risque accru de mort par cancer dans les suites.
Le doublement du taux de PSA correspondant à une analyse non linéaire de son évolution serait sans doute plus proche de la biologie des tumeurs, ce qui explique son utilisation comme marqueur d'évolutivité [17].
Cependant, si les variations du taux de PSA dans le temps sont bien reliées à l'évolutivité de la tumeur, il est difficile à utiliser pour deux raisons :
* tout d'abord, les variations du taux de PSA ne sont pas spécifiques de la tumeur et nombreuses sont les variations qui sont la conséquence du contingent de tissu bénin (hypertrophie bénigne de la prostate) ;
* par ailleurs, il est possible que lorsque le PSA varie, du fait d'une évolution tumorale, il soit déjà trop tard et que la tumeur soit déjà dans un état évolutif qui n'est plus compatible avec une surveillance active. Ainsi, plus qu'un critère de sélection, la variation du taux de PSA dans le temps est un critère de suivi et de déclenchement d'une biopsie pour vérifier l'état pathologique de la tumeur.
http://www.anamacap.fr/traitements-contre-cancer-prostate-04-surveillance-active-01.php