Pension alimentaire, rétroactive ?
Résolu
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1 réponse
Il me semble que non....
Mais votre problème, c'est que vous mélangez dans cette question, les détails juridiques, les détails persos, les détails "humains" et les sentiments : ce n'est pas parce que votre enfant est "magnifique" ou que "vous n'en pouvez plus" ou que "le père est comme ceci ou comme cela" (jugement de valeur), que juridiquement ce serait (conditionnel) celà.
Dans les faits concrets, il faut rester neutre, concvret, réaliste :
je vous pose une seule question : si c'étai l'inverse : que vous-même n'auriez pas voulu reconaitre l'enfant de suite (c'est votre droit et Droit jurdiquement parlant), auriez-vous trouvé "normal" que votre "conjointe" réclame 15 ans de PA en arrière ?!
Bien-sûr que non !
La loi est identique pour les femmes comme pour les hommes. Pour les femmes, il parait humainement "évident" qu'un homme doive payer tant d'argent durant 15 ans alors que, n'oubliez surtout pas : le monsieur n'avait PAS LE DROIT DE GARDE NI AUCUN DROIT ! donc durant 15 ans l'enfant n'était (juridiquement) pas le sien !
Eh oui, c'est cruel humainement, mais c'est la loi.
La loi dit : si une personne (H ou F) "reconnait" un enfant, il a des droits certes, mais aussi des devoirs envers cet enfant.
Donc, d'un point de vue juridique, pourquoi un homme qui renoncerait à "ses droits" (de choix d'éducation, de choix de l'école, de choix pour l'enfant), devrait-il quand-même assumer "ses devoirs" ??!!
Il faut que les engagements soient équilibrés : pas de droits = pas de devoirs. C'est la loi, ce n'est pas moi qui le dit.
Imaginez une femme qui abandonnerait son enfant (au père ou à la DDASS) donc renonce expressément à ses "droits", pourrait-on imaginer qu'un père aurait le "culot" d'exiger 15 ans de pension alimentaire de la part de la femme ?
-le baptême, qu'à t-il à voir là-dedans? il n'a AUCUNE valeur juridique, c'est un rituel religieux, c'est tout.
- la ressemblance physique n'est pas non plus un argument juridique...
- le nom que porte l'enfant n'est pas non plus un élément constitutif de la garde ou la reconnaissance de l'enfant... car lorsque les parents ne sont pas mariés, il me semble que l'enfant peut porter soit le nom de la mère soit du père, soit des deux accolés, et de toute façon, votre nom à vous madame, officiellement c'est celui de "jeune fille", donc forcément différent de celui du géniteur.
Mais votre problème, c'est que vous mélangez dans cette question, les détails juridiques, les détails persos, les détails "humains" et les sentiments : ce n'est pas parce que votre enfant est "magnifique" ou que "vous n'en pouvez plus" ou que "le père est comme ceci ou comme cela" (jugement de valeur), que juridiquement ce serait (conditionnel) celà.
Dans les faits concrets, il faut rester neutre, concvret, réaliste :
je vous pose une seule question : si c'étai l'inverse : que vous-même n'auriez pas voulu reconaitre l'enfant de suite (c'est votre droit et Droit jurdiquement parlant), auriez-vous trouvé "normal" que votre "conjointe" réclame 15 ans de PA en arrière ?!
Bien-sûr que non !
La loi est identique pour les femmes comme pour les hommes. Pour les femmes, il parait humainement "évident" qu'un homme doive payer tant d'argent durant 15 ans alors que, n'oubliez surtout pas : le monsieur n'avait PAS LE DROIT DE GARDE NI AUCUN DROIT ! donc durant 15 ans l'enfant n'était (juridiquement) pas le sien !
Eh oui, c'est cruel humainement, mais c'est la loi.
La loi dit : si une personne (H ou F) "reconnait" un enfant, il a des droits certes, mais aussi des devoirs envers cet enfant.
Donc, d'un point de vue juridique, pourquoi un homme qui renoncerait à "ses droits" (de choix d'éducation, de choix de l'école, de choix pour l'enfant), devrait-il quand-même assumer "ses devoirs" ??!!
Il faut que les engagements soient équilibrés : pas de droits = pas de devoirs. C'est la loi, ce n'est pas moi qui le dit.
Imaginez une femme qui abandonnerait son enfant (au père ou à la DDASS) donc renonce expressément à ses "droits", pourrait-on imaginer qu'un père aurait le "culot" d'exiger 15 ans de pension alimentaire de la part de la femme ?
-le baptême, qu'à t-il à voir là-dedans? il n'a AUCUNE valeur juridique, c'est un rituel religieux, c'est tout.
- la ressemblance physique n'est pas non plus un argument juridique...
- le nom que porte l'enfant n'est pas non plus un élément constitutif de la garde ou la reconnaissance de l'enfant... car lorsque les parents ne sont pas mariés, il me semble que l'enfant peut porter soit le nom de la mère soit du père, soit des deux accolés, et de toute façon, votre nom à vous madame, officiellement c'est celui de "jeune fille", donc forcément différent de celui du géniteur.