Addiction alcool
Soizic83
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11 réponses
Bonjour
Malheureusement vous ne pouvez pas faire grand chose, tant qu'il ne met pas la vie d'autrui et la sienne en danger pour que la police se déplace.
A-t-il déjà fait des coma éthylique ?
Une "chose" que vous pouvez faire, serait de mettre éventuellement, un voisin dans la confidence, pour expliquer votre tracas, et que le voisin en question appelle la police pour "tapage nocturne". Mais, c'est délicat.
++
Malheureusement vous ne pouvez pas faire grand chose, tant qu'il ne met pas la vie d'autrui et la sienne en danger pour que la police se déplace.
A-t-il déjà fait des coma éthylique ?
Une "chose" que vous pouvez faire, serait de mettre éventuellement, un voisin dans la confidence, pour expliquer votre tracas, et que le voisin en question appelle la police pour "tapage nocturne". Mais, c'est délicat.
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Soizic83
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9 juillet 2013
8 juil. 2013 à 05:55
8 juil. 2013 à 05:55
Bonjour puisqu'il est 5h45. Je viens de passer une nuit blanche, mon fils hallucinait encore, il était à la fenêtre à parler soit disant avec des hommes armés en 4x4 noir et qui voulaient lui tirer dessus. Comme il parlait fort et que je craignais pour les voisins (je suis en appartement), j'ai appelé les pompiers qui m'ont dirigée sur le SAMU, le médecin m'a dit qu'il ne pouvait rien faire et qu'il fallait que j'appelle la police. Le médecin ayant voulu parler à mon fils, je lui ai passé le téléphone, il a du avoir le même conseil que moi c'est à dire appeler la police chose qu'il a faite. La Police est venue, ils ont constaté que mon fils était ivre et racontait n'importe quoi, il lui ont conseillé d'aller se recoucher. Point barre. Là en ce moment il fait encore de l'esclandre à la fenêtre, mais je n'interviens plus. Si un voisin appelle la police peut être que là quelque chose sera fait. J'ai appelé les alcoolique anonymes qui m'ont dit de l'alcoolisme était une maladie mais comment faire lorsque la personne concernée ne veut pas reconnaître son état et ne veut pas se faire soigner ??
Soizic83
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9 juillet 2013
8 juil. 2013 à 05:56
8 juil. 2013 à 05:56
Merci de vos réponses, je ne sais vraiment plus quoi faire. Bonne journée.
F.M.
F.M.
Soizic83
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9 juillet 2013
8 juil. 2013 à 08:10
8 juil. 2013 à 08:10
Bonjour ^^...^^, Sa vie il la met en danger puisqu'il boit plus que de raison et ne fait pas de vrais repas. Mon fils a déjà été au bord du comas éthylique. Comme il boit à la maison et non dehors, chaque fois que je demande de l'aide on me répond qu'il est chez lui (enfin chez moi puisqu'il vit avec moi) et qu'il ne met pas la vie d'autrui en danger. Si il allait dehors en étant ivre et qu'il se blesse là la police ferait quelque chose. C'est difficile de vouloir venir en aide à son fils quand toutes les barrières sont fermée. Mais j'estime que de ne pas vouloir m'aider à le sortir de cette situation c'est de la non assistance à personne en danger. Quand à mettre un voisin dans la confidence, je ne les fréquente pas pour faire ce genre de chose. Merci ^^...^^ pour m'avoir répondu. Bonne journée.
F.M.
F.M.
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En as-tu discuté avec le médecin de famille, c'est son rôle d'intervenir ? As-tu pris contact avec un centre de cure ambulatoire en alcoologie (CCAA), certains responsables se déplacent à domicile.
Soizic83
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9 juillet 2013
8 juil. 2013 à 08:45
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Merci je vais voir sur internet.
Soizic83
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9 juillet 2013
8 juil. 2013 à 08:52
8 juil. 2013 à 08:52
Oui j'en ai parlé à notre médecin, mais là il est en congé toute la semaine. Dès lundi prochain je le ferai venir à la maison. J'espère que mon fils acceptera ses soins ce qui n'est pas une évidence.
begonie
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8 juil. 2013 à 08:35
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Bonjour.
Tu trouveras des informations qui t'intéresseront probablement dans ce lien vers un article de santé-Médecine :
http://sante-medecine.journaldesfemmes.com/faq/5560-comment-aider-un-alcoolique
Tu trouveras des informations qui t'intéresseront probablement dans ce lien vers un article de santé-Médecine :
http://sante-medecine.journaldesfemmes.com/faq/5560-comment-aider-un-alcoolique
Soizic83
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9 juillet 2013
8 juil. 2013 à 08:48
8 juil. 2013 à 08:48
Bonjour Begonie, dans le lien santé médecine, il faut que la personne concernée soit consentante pour se faire soigner et ce n'est pas le cas de mon fils il ne reconnaît pas son addiction à l'alcool et ne veut pas se faire soigner, il ne veut même pas voir notre médecin traitant que nous connaissons depuis très longtemps.. Merci de m'avoir répondu Begonie c'est gentil.
begonie
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8 juil. 2013 à 08:54
8 juil. 2013 à 08:54
Dans ce lien il y a aussi des références qui aident les proches qui se trouvent constamment dans la situation de celle ou de celui qui a un problème avec l'alcool.
Dans ces cas il est toujours important de s'occuper de soi et de faire appel aux services spécialisés qui t'aideront à faire face aux situations et trouver des solutions adaptées.
Dans ces cas il est toujours important de s'occuper de soi et de faire appel aux services spécialisés qui t'aideront à faire face aux situations et trouver des solutions adaptées.
Soizic83
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9 juillet 2013
8 juil. 2013 à 08:49
8 juil. 2013 à 08:49
Merci à toutes et tous de me soutenir cela fait du bien de ne plus se sentir seule dans le désarroi.
DCI
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8 juil. 2013 à 09:16
8 juil. 2013 à 09:16
Bonjour,
En dernier recours, il reste l'hospitalisation sur demande d'un tiers (HDT) ou l'hospitalisation d'office (HO)
Voir ici => http://www.google.fr/...
C'est une démarche assez lourde et qui ne doit intervenir que lorsque toutes les autres incitations ont échoués.
En dernier recours, il reste l'hospitalisation sur demande d'un tiers (HDT) ou l'hospitalisation d'office (HO)
Voir ici => http://www.google.fr/...
C'est une démarche assez lourde et qui ne doit intervenir que lorsque toutes les autres incitations ont échoués.
Soizic83
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9 juillet 2013
8 juil. 2013 à 12:46
8 juil. 2013 à 12:46
Merci DCI, j'ai contacté une assistante sociale de ma ville, j'ai expliqué le cas de mon fils elle doit me rappeler dans l'après midi. Pour le moment il s'est endormi mais son sommeil est agité. J'espère qu'elle pourra faire les démarches nécessaires. Bonne journée à vous.
F.M.
F.M.
Il y a des lois pour ça.
DCI t'a mis le lien
Des personnes de votre entourage peuvent avoir un comportement nécessitant un traitement particulier. Ce comportement peut résulter d'une intoxication à l'alcool ou aux stupéfiants ou d'une déficience mentale liée à une maladie ou à l'âge.
Ces personnes sont des malades et doivent être traitées comme telles.
Elles peuvent faire l'objet de deux grandes catégories de mesures destinées, l'une, à les protéger dans les actes de la vie civile et, l'autre, à leur prodiguer des soins.
Les mesures de protection judiciaire
Elles ont pour but de protéger un majeur dans les actes de la vie civile lorsque ses facultés mentales sont altérées par une maladie, une infirmité ou un affaiblissement dû à l'âge.
En fonction du degré d'altération mentale, il peut être pris l'une des trois mesures suivantes :
Mise sous sauvegarde de justice : mesure provisoire qui autorise la personne à agir seule pour tous les actes de la vie civile ; néanmoins, les actes ou engagements qu'elle a contractés à son détriment pourront être annulés à la demande de ses proches, de son médecin ou de ses héritiers.
Mise sous curatelle : régime de protection souple réservé aux majeurs capables de raisonner ou d'agir par eux-mêmes, mais qui ont néanmoins besoin, pour les actes les plus graves, d'être conseillés, contrôlés ou assistés.
Mise sous tutelle : régime de protection strict pour les personnes qui ont besoin d'être représentées d'une manière continue dans tous les actes de la vie civile.
L'hospitalisation
Les troubles mentaux peuvent altérer la conscience du malade au point de le conduire à ne plus se soigner ou à présenter un caractère de dangerosité plus ou moins prononcé.
Dans ce cas, l'hospitalisation est le meilleur moyen d'assurer la continuité du traitement médical.
En fonction de la maladie, l'hospitalisation peut se faire avec ou sans le consentement du patient.
Il y a trois catégories d'hospitalisation :
L'hospitalisation libre a lieu avec le consentement du malade. Le malade se rend donc dans un établissement comme pour toute affection. C'est ainsi le cas pour une cure de désintoxication alcoolique.
L'hospitalisation sur demande d'un tiers se fait sans le consentement du malade. La demande est présentée soit par un membre de la famille du malade, soit par une personne susceptible d'agir dans l'intérêt de celui-ci.
Deux conditions doivent être satisfaites : les troubles du malade rendent impossibles son consentement ; son état mental nécessite des soins immédiats assortis d'une surveillance constante en milieu hospitalier.
La demande d'hospitalisation doit être nominative et signée par la personne qui la formule. Elle comporte les noms, prénoms, âge et domicile tant de la personne qui demande l'hospitalisation que celle dont l'hospitalisation est demandée et l'indication de la nature des relations qui existent entre elles ainsi que, s'il y a lieu, de leur ligne de parenté.
La demande est accompagnée de deux certificats médicaux datant de moins de 15 jours et circonstanciés qui constatent l'état mental du malade et la nécessité de l'hospitalisation.
L'hospitalisation d'office est prononcée, sans le consentement du malade, par un arrêté préfectoral si les troubles mentaux nécessitent des soins et compromettent la sûreté des personnes ou portent atteinte de façon grave à l'ordre public.
En cas d'urgence, le maire (à Paris, le commissaire de police) peut prendre un arrêté provisoire d'hospitalisation d'office, au vu d'un avis médical et d'un rapport de police. Cette mesure d'hospitalisation d'office est confirmée ou levée par le préfet dans les 48 heures.
Pour en savoir plus :
Direction départementale des affaires sanitaires et sociales (DDASS)
Comités régionaux et départementaux d'éducation de la santé
Comités départementaux de prévention
Centres médico-psychologiques des services de secteur psychiatrique
Centres d'hygiène alimentaire et d'alcoologie
Tribunal d'instance de votre domicile
Assistante sociale
Votre médecin
DCI t'a mis le lien
Des personnes de votre entourage peuvent avoir un comportement nécessitant un traitement particulier. Ce comportement peut résulter d'une intoxication à l'alcool ou aux stupéfiants ou d'une déficience mentale liée à une maladie ou à l'âge.
Ces personnes sont des malades et doivent être traitées comme telles.
Elles peuvent faire l'objet de deux grandes catégories de mesures destinées, l'une, à les protéger dans les actes de la vie civile et, l'autre, à leur prodiguer des soins.
Les mesures de protection judiciaire
Elles ont pour but de protéger un majeur dans les actes de la vie civile lorsque ses facultés mentales sont altérées par une maladie, une infirmité ou un affaiblissement dû à l'âge.
En fonction du degré d'altération mentale, il peut être pris l'une des trois mesures suivantes :
Mise sous sauvegarde de justice : mesure provisoire qui autorise la personne à agir seule pour tous les actes de la vie civile ; néanmoins, les actes ou engagements qu'elle a contractés à son détriment pourront être annulés à la demande de ses proches, de son médecin ou de ses héritiers.
Mise sous curatelle : régime de protection souple réservé aux majeurs capables de raisonner ou d'agir par eux-mêmes, mais qui ont néanmoins besoin, pour les actes les plus graves, d'être conseillés, contrôlés ou assistés.
Mise sous tutelle : régime de protection strict pour les personnes qui ont besoin d'être représentées d'une manière continue dans tous les actes de la vie civile.
L'hospitalisation
Les troubles mentaux peuvent altérer la conscience du malade au point de le conduire à ne plus se soigner ou à présenter un caractère de dangerosité plus ou moins prononcé.
Dans ce cas, l'hospitalisation est le meilleur moyen d'assurer la continuité du traitement médical.
En fonction de la maladie, l'hospitalisation peut se faire avec ou sans le consentement du patient.
Il y a trois catégories d'hospitalisation :
L'hospitalisation libre a lieu avec le consentement du malade. Le malade se rend donc dans un établissement comme pour toute affection. C'est ainsi le cas pour une cure de désintoxication alcoolique.
L'hospitalisation sur demande d'un tiers se fait sans le consentement du malade. La demande est présentée soit par un membre de la famille du malade, soit par une personne susceptible d'agir dans l'intérêt de celui-ci.
Deux conditions doivent être satisfaites : les troubles du malade rendent impossibles son consentement ; son état mental nécessite des soins immédiats assortis d'une surveillance constante en milieu hospitalier.
La demande d'hospitalisation doit être nominative et signée par la personne qui la formule. Elle comporte les noms, prénoms, âge et domicile tant de la personne qui demande l'hospitalisation que celle dont l'hospitalisation est demandée et l'indication de la nature des relations qui existent entre elles ainsi que, s'il y a lieu, de leur ligne de parenté.
La demande est accompagnée de deux certificats médicaux datant de moins de 15 jours et circonstanciés qui constatent l'état mental du malade et la nécessité de l'hospitalisation.
L'hospitalisation d'office est prononcée, sans le consentement du malade, par un arrêté préfectoral si les troubles mentaux nécessitent des soins et compromettent la sûreté des personnes ou portent atteinte de façon grave à l'ordre public.
En cas d'urgence, le maire (à Paris, le commissaire de police) peut prendre un arrêté provisoire d'hospitalisation d'office, au vu d'un avis médical et d'un rapport de police. Cette mesure d'hospitalisation d'office est confirmée ou levée par le préfet dans les 48 heures.
Pour en savoir plus :
Direction départementale des affaires sanitaires et sociales (DDASS)
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Soizic83
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9 juil. 2013 à 16:53
Merci ^^....^^, pour tous ces renseignements, lundi prochain j'irai voir mon médecin traitant (il est en congé cette semaine) pour envisager une demande d'hospitalisation demandée par un tiers (en l'ocurence moi) sans le consentement de mon fils. Encore merci et bonne journée.
fanfouedelamotte
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7 juil. 2013 à 21:47
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Bonjour,
La reconnaissance de la maladie alcoolique par votre fils est absolument nécessaire pour qu' il ait une chance de guérison. Parfois, il faut que la personne touche le fond pour qu'elle reconnaisse les faits; Comme une hospitalisation forcée pour un délirium tremens ( qui semble menacer votre fils); ou le départ du conjoint et des enfants; ou une incarcération pour un délit lié à l' alcool; parfois simplement la perte du travail ou du permis de conduire.
La reconnaissance de la maladie alcoolique par votre fils est absolument nécessaire pour qu' il ait une chance de guérison. Parfois, il faut que la personne touche le fond pour qu'elle reconnaisse les faits; Comme une hospitalisation forcée pour un délirium tremens ( qui semble menacer votre fils); ou le départ du conjoint et des enfants; ou une incarcération pour un délit lié à l' alcool; parfois simplement la perte du travail ou du permis de conduire.
Enka1
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7 juil. 2013 à 22:03
7 juil. 2013 à 22:03
Bonjour,
Effectivement, votre inquiétude est plus que justifiée ... Seulement voilà; comme tous parents ... passée la majorité de leurs enfants ... ils se retrouvent quasiment impuissants face à des situations dramatiques dans lesquelles se retrouvent parfois leurs grands enfants ! ... et ils faut pratiquement qu' ils attendent qu' une situation extrème se présente ... Pour pouvoir agir.
Avez vous parlé de ce problème à une assistante sociale ? A un psy ? A une association d' alcooliques anonymes ?
A part vous, a t' il des proches susceptibles de l' aider ?
Effectivement, votre inquiétude est plus que justifiée ... Seulement voilà; comme tous parents ... passée la majorité de leurs enfants ... ils se retrouvent quasiment impuissants face à des situations dramatiques dans lesquelles se retrouvent parfois leurs grands enfants ! ... et ils faut pratiquement qu' ils attendent qu' une situation extrème se présente ... Pour pouvoir agir.
Avez vous parlé de ce problème à une assistante sociale ? A un psy ? A une association d' alcooliques anonymes ?
A part vous, a t' il des proches susceptibles de l' aider ?