Maladie longue durée

Résolu
michmut2 Messages postés 1 Date d'inscription jeudi 28 mars 2013 Statut Membre Dernière intervention 28 mars 2013 - 28 mars 2013 à 16:47
DCI Messages postés 88488 Date d'inscription mercredi 30 avril 2008 Statut Modérateur Dernière intervention 21 décembre 2024 - 28 mars 2013 à 18:09
Bonjour,

Je suis actuellement en maladie longue duréd (ALD1) depuis 16 mois pour un accident médical car je souffre de lombalgie chronique et hernie discale depuis cette manipulation.
Le médecin de la sécu m'a convoquée pour me signaler qu'il fallait que je reprenne le travail d'ici 2 à 3 mois, mais je lui ai signalé que ma situation avait entrainé une dépression (manque de sommeil, etc...).
Il m'a donc fait convoquer par le médecin du travail qui après avoir bien discuté avec moi m'a dit que j'étais trop fragilisée pour reprendre le travail, il m'a conseillé une thérapie.
J'ai revu mon médecin traitant qui m'a orientée vers un psychiâtre et m'a prescrit du zoloft.
J'i déjà effectué deux séances.
Le médecin de la sécu peut-il m'obliger à reprendre le travail compte tenu de mes deux problèmes (douleurs lombaires et autres + dépression) car je ne me sens pas du tout apte à reprendre pour l'instant (j'ai30 ans d'ancienneté), ne dormant presque pas et dans la journée je n'ai envie de rien (je fais deux séances de kiné par semaine), je suis désespérée par tout ce qui m'arrive. Que dois-je faire au cas où il me notifierait ma reprise, mon médecin traitant et le médecin du travail peuvent-ils agir ?
Merci pour votre aide, c'est urgent.
A voir également:

1 réponse

DCI Messages postés 88488 Date d'inscription mercredi 30 avril 2008 Statut Modérateur Dernière intervention 21 décembre 2024 37 723
28 mars 2013 à 18:09
Bonjour,

" le médecin du travail qui après avoir bien discuté avec moi m'a dit que j'étais trop fragilisée pour reprendre le travail, il m'a conseillé une thérapie. "

C'est l'avis du médecin du travail qui prime puisque son avis avait été demandé par le médecin conseil de la caisse d'assurance maladie afin de juger de la nécessité ou non de poursuivre l'arrêt de travail.


6