Mes enfants sont-ils prioritaires si je m'inscris comme donneur d'organes ?

Utilisateur anonyme - 18 août 2009 à 09:13
 Utilisateur anonyme - 21 août 2009 à 19:28
Bonjour, je voudrais savoir si mes enfants sont prioritaires en cas de besoin d'organe au moment où je fais mon don d'organes.
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2 réponses

Utilisateur anonyme
19 août 2009 à 18:03
"Anonyme" ? pas systématique ! Lorsque des enfants ont une pathologique nécessitant une greffe d'organe, les médecins font d'abord le check-up des donneurs les plus potentiellement compatibles, c'est-à-dire la FAMILLE PROCHE ! puis les 2e rang, plus éloignée... Bien évidemment que les personnes atteintes d'une pathologies nécessitant une greffe d'organe (donc de son vivant) peuvent, avant tout demander à leurs proches, frère, soeur, parents, ou même enfants adultes, de bien vouloir être le donneur! DE VOTRE VIVANT : - Le don est uniquement ANONYME ET GRATUIT pour le sang et les dérivés sanguins ainsi que pour la moelle osseuse (très contraignant !) aux tierces personnes (« autres gens anonymes »), afin de ne pas créer des histoires d'argent, de représailles, de pressions! - Le don d’organes de « donneur spécifié » (vous) à un « receveur spécifié » (un de vos proches) est bien-sûr envisagé si une pathologique touche l’un de vos proches,, et qu’un accord est conclu entre le donneur et le receveur, et que les deux soit préparés médicalement et compatibles. APRÈS VOTRE DÉCÈS : Don d’organes : Si on s'inscrit sur une liste « positive » (Carte de donneur d'organe) ou si on ne s’inscrit pas (consentement présumé automatique, après que le personnel médical s’est enquéri du non-refus), ou lors d'un coma artificiel (mort encéphalique) suite à un accident. Concernant votre question, soit vous réglez ces dispositions de votre vivant (et l’opération), soit vous demandez le personnel médical, car effectivement, je ne sais quelle est la loi ou « la procédure classique » si par exemple, votre enfant souffre d’un cœur défaillant, et « qu’il attende votre mort » pour être transplanté » ?! Effectivement, dans ce cas, rare, les dispositions doivent être assez particulières, à étudier avec le personnel médical qui envisage l’intervention : peut-on oui ou non, également lorsqu’on meurt, appliquer les mêmes « priorités » que lors d’une intervention de transplantation entre deux membres vivants d’une famille ?.... Mais à mon avis, les chirurgiens transplanteurs donnent la priorité à la « compatibilité médicale » et non à la « raison familiale » : cela veut dire que, même si lors de votre mort, votre cœur serait compatible, mais qu’un autre cœur, anonyme, dispo du centre de transplantation, serait encore davantage compatible, ce dernier sera privilégié, car les chir donnent une priorité absolue aux « meilleures chances au receveur ». Voila en gros les dispositions. Si un médecin ou assimilé veut bien corriger ou préciser ma réponse, sa réponse sera la bienvenue.
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Utilisateur anonyme
21 août 2009 à 19:28
pas forcément- il s'agit de compatibilité-
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