Pensez-vous être suffisamment affirmés pour pouvoir mettre des limites, savoir d

anonyme - 9 nov. 2008 à 12:40
 anonyme - 9 nov. 2008 à 20:11
Pensez-vous être suffisamment affirmés pour pouvoir mettre des limites, savoir dire non, vous faire respecter ?
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11 réponses

et non, je suis trop gentille , et la vie m'a prouvée qu'il faut mettre des limites ! mais pourquoi dire non, si une situation vous fait plaisir. Bien sur, il y a la bonne retombée ou la singularitée de mal retombée. J'ai très vite peur, car j'analyse très vite une situation, et je cherche pourquoi, cette alarme doit fonctionner. Il ne faut jamais chercher le pourquoi, mais poser des questions , et si elles sont sans réponse, le pourquoi est la réponse.
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Oui,après avoir reçu des coups pendant une dizaine d'année, je me suis retrouvé au sol Ko. J'ai trouvé une méthode, la ruse et c'est moi qui maitrise la situation maintenant . Tout les coups sont permis même ce qui illégal, c'est un combat sans régles; Si vous respectez les règles vous allez directement au tapis
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Avant que je ne commence à enseigner, un voisin (un militaire) m'a expliqué sur quelles bases était construite l'autorité: "sois au courant de tout ce qui se passe, connais le plus de détails possibles concernant tes élèves, marque les moindres détails de leurs fautes et surtout, ne punis jamais" m'a-t-il dit. "punir est la revenche de celui qui n'a pas pu se faire respecter". "Dès le début, énonce les règles simplement: elles ne doivent pas être nombreuses et tu ne dois JAMAIS, même une seule fois, laisser quelqu'un aller à leur encontre". -J'ai donc énoncé la première règle: vous n'entrerez en classe qu'après au moins une minute de silence. Les élèves se mettent en rang, et quelques élèves parlent: je les regarde, regarde ma montre. Ils deviennent un peu nerveux et se taisent, tout le monde attend. Si d'autres commencent à parler, on recule l'échéance. Ceux qui commencent à s'impatienter, font taire les autres: ils font mon travail, je me félicite intérieurement. Quand tout est rentré dans l'ordre, ils entrent dans la classe. Je fais l'appel, vérifie ce qui a à vérifier et je commence à enseigner: je dois les intéresser dès la première minute, les rendre passionnés (ce qui est facile en enseignant l'art). Après ça, mon autre règle c'est qu'aucun élève ne pouvait pas réussir son travail: tout échec est démoralisant et un élève démoralisé est un chahuteur potentiel. En 5 ans, je n'ai "puni" qu'une fois: j'ai écrit une note sur le livret des parents. Les jours de grève, ma classe était ouverte à tous ceux qui voulaient venir dans ma classe: les élèves m'adoraient, les profs grévistes, eux...m'ont promis de se venger quand le nouveau gouvernement serait en place. A la fin de 1980 j'ai quitté l'enseignement.
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oui et non cela dépend des circonstances,mais je sais dire non quant il le faut je ne me laisse plus guider là où je ne veut pas aller candide
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Vous avez tous évoqué les raisons qui font que oui ou non . La première des règles =respecter les autres ,ce qui rend une exposition plus faible . Par ailleurs il faut savoir que votre réputation vous précède dans quelque domaine qu'il soit ,je l'ai vérifié sur mes entourages de différents régistres ainsi qu'avec moi ,(prétentieux n'est-ce pas?) Heureusement que nous sommes différents ,immaginez qu'il n'y ait que des roudot ,ce ne serait pas rigolot . Je terminerai en disant ceci : on ne puise pas sa force en combattant les faibles mais en combattant ceux qui veulent les écraser .Bernard.
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Celà semble difficile à admettre que en 5 ans, je n'ai jamais puni. Je demanderai donc à deux de mes anciens élèves de venir témoigner sur cette question. Je me répète donc: je n'ai jamais puni, mes cours n'ont JAMAIS connu un chahut ou du bavardage et mes élèves travaillaient d'arrache-pied et créaient des chef d'oeuvres, tous!
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Tout dépend avec qui, comment, pourquoi et dans quels contextes. tout est résumé dans cette phrase. Dans ma vie personnelle, je m'en sors pas mal, voire bien, bien mieux même. Dans ma vie professionnelle, ce n'est pas ça. J'ai "deux mots" à dire, redire même aux patrons, je "crève" d'envie et de besoin de tout balancer direct, crûment, aussi violemment que ce que je ressens quand j'en ai ras le bol (suis en burn-out depuis 2 ans..), mais je ne peux pas, je ne dois pas....pas comme je le voudrais. La révolte gronde, mais je ne peux pas la lâcher. Et là, je suis encore bien trop faible à mon goût...pourquoi? Parce que j'ai encore à y perdre, même si je sais que c'est plutôt eux qui ont besoin de moi avant tout. Je dois y aller avec diplomatie, et franchement ils ne le méritent pas.
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Bonjour Anne-Marie déjà pour se faire respecter il faut se respecter soit même et respecter l'autre ensuite nous pouvons prétendre à se faire respecter.......par contre pour le "NON" ben moi quand je dis NON c'est NON et sans préavis mais il faut aussi voir les circonstances tout comme les limites mais je suis un Ancien Chef donc je me devais de mettre de l'ordre parfois sinon sa partait en vrille tres vite..tout comme les retards au travail un sa passe,deux sa commence à bien faire car c'est toute une équipe et une production qui prends du retard...mais d'une situation à l'autre.... CDL
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Chère Anne Marie, je dirai que pour se faire respecter et savoir dire non il faut avant tout savoir se dire non à soi-même, se respecter et dépasser ses propres limites afin de se connaître et ainsi être affirmé avec les autres. Si je pense être suffisamment affirmée, je ne pense pas encore vu que je ne me connais pas assez. Voilà j'espère que ma réponse te satisfera. Bisous.
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Coucou... Tout dépend dans quel domaine,et vis à vis de qui...S'il s'agit d'un enfant,d'un ami ou d'un collègue,on peut dire NON,mais en donnant des raisons concernant ce refus... Par contre,dans une relation de couple,c'est plus délicat...
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bonsoir Anne-marie je dis toujours oui mais si un jour je ne peux pas c'est non bonne soirée sylvie
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