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4 réponses
Tout d’abord il convient de distinguer entre souffrance physique et souffrance morale. Dans le premier cas, je pense qu’il n’y a pas de grande différence entre une personne et une autre. S’il s’agit de souffrance morale, ce n’est pas si simple car cette même souffrance est fonction d’un certain nombre de paramètres, quelques-uns d’entre eux ayant trait au vécu de la personne. On est donc en présence d’un nombre presque infini de cas différents ; pour l’un quelconque d’entre eux, telle personne souffrira plus que telle autre dans la mesure où ce qui a provoqué cet état touche plus profondément une période de sa vie qu’elle désire rejeter.
On dirait que la sensibilité physique et la sensibilité psychique sont intimement liées, et qu'elles varient selon un nombre incalculable de paramètres, et d'expériences personnelles. Alors, il faut garder à l'esprit qu'on est peut-être moins résistant qu'un autre, ou au contraire, qu'on risque de le briser sans le vouloir, par manque de sensibilité... Au final, pour répondre à ta question, ça veut dire "oui".
jJe trouve cet avis trés juste,la souffrance n'est pas la même à mon avis suivant certains critéres.généralement quand elle est comprise par des proches, bien considérée, que ces personnes soient entourées de ceux qu'ils aiment n'a pas la même signification pour ceux qui sont isolés.ce qui fait toute la différence, Elle devrait parfois être mieux considérée suivant le cas de chacun.
