Sujet Précédent Sujet Suivant

Comment démontrer le déni de la mère

anonyme - 22 janv. 2009 à 00:14
 anonyme - 25 janv. 2009 à 01:26
Le père de mon fils dit de sa mère : Il faudrait que je la considère comme une mère pour pouvoir l'aimer". Depuis que je suis devenue mère, il m'a totalement rejeté de sa vie, allant même jusqu'à dire que je le dégoutais et que c'est pour celà que nous n'avons plus aucune relation d'ordre sexuelle. Nous sommes maintenant séparé, il veut absolument récupérer son fils, il va demander une expertise spychiatrique me concernant ainsi qu'une enquète sociale. J'ai 2 autres enfants d'un 1er mariage, à notre séparation, tout était clair pour lui, j'avais mes 2 premiers enfants et lui avait le sien, commme si il n'y avais aucun attachement d'une mère à son enfant. Comment faire pour démontrer que son déni de la mère ai la cause de notre echec et comment le lui faire accepter et le guérir pour notre bien à tous, car mes enfants vivent maintenant dans la crainte de perdre leur petit frère.
A voir également:

1 réponse

Réponse 1 / 1
anonyme
25 janv. 2009 à 01:26
Je pense que si le père de votre dernier enfant demande une expertise spychiatrique à votre encontre, c’est que le problème a été pris à l’envers. Il me semble que vous pourriez peut-être lui proposer VOUS d’aller ensemble voir un spécialiste et que devant ce spy, il accepte de développer ses arguments et ses motivations d’une par rapport à sa propre mère et de deux par rapport à vous (ce qui n’a rien à voir). Vous n’êtes pas SA mère à lui et si vous avez fait un enfant, vous l’avez fait à deux ! Essayez de le convaincre de faire cette démarche de vous accompagner pour qu’il ait l’air de vous aider, laissez-le parler, ne vous mettez pas en avant. Je pense qu’un spy qui fait son boulot correctement aura tôt fait de savoir à qui il a affaire et vous ne serez pas forcément perdante, ni vous, ni lui, ni vos trois enfants. Une thérapie serait peut-être aussi profitable à votre mari, afin qu’il « solde » définitivement le problème relationnel qu’il a avec sa propre mère. Quoiqu’il en soit, je vous souhaite d’être forte comme une « mère » se doit d’être…
0