Des évènements maheureux, d'actualité.

anonyme - 11 mars 2009 à 18:08
 anonyme - 1 avril 2009 à 22:13
L'agressivité actuelle n'est pas d'aujourd'hui, elle existe depuis des années. Comment est-il possible de ne pas protéger nos enfants que nous envoyons à l'école et comment font les enseignants, confrontés à cette agressivité. Comment peut-on laisser des gens vivre dans ces lieux où le danger est partout, où il n'est même pas possible de se sentir à l'abri chez soi. Les discours ne résolvent rien, il serait souhaitable de trouver des solutions à appliquer, de se poser les bonnes questions. Ces faits ne se passent pas dans un film, ils sont réels. Alors, remontons dans le passé pour essayer de comprendre le présent et faire que demain annonce une prise de conscience et des améliorations pour ne plus vivre dans la peur que ces évènements se reproduisent.
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5 réponses

Le problème de notre socièté est que nous interdisons "tout" à nos enfants. Plus le droit de dire des gros mots ( ! ), plus le droit de se révolter avec des mots, qui permettent souvent de se soulager et ainsi ne pas passer à l'acte. L'interdiction se trouve partout, et nous ne sommes plus au début du XXème s, ou faire une bétise se finissait par une bonne raclèe de l'autorité parentale. ( j'exclue bien sûr la violence ). Le profll de la socièté a changé, avec d'autres mentalité ethniques, et que se soit l'autorité publique ou éducative, les jeunes en mal de vivre passent à l'acte se sentant forts et impunis, n'ayant plus aucunes références devant ce monde "économique" qui touche leurs ainés. Et bien sûr, pour la plupart les sanctions sont non suivies des faits par la suite. Cette "actualité" fait "justement" parler d'eux et ils sont contents !
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Merci pour vos réponses. Et il y a des solutions. Embaucher, créer des emplois, former des hommes et des femmes aux sports martiaux qui pourraient empêcher des groupes de jeunes et moins jeunes de vouloir avoir le pouvoir sur les autres en utilisant la violence. De même, apprendre les arts martiaux à l'école, dès le plus jeune âge. Quand on peut se défendre, on n'a plus peur. Comme le fait remarquer Claude, lorsque les auteurs de tels actes sont arrêtés, ils sont relâchés ensuite. En prison, non, les faire travailler, nettoyer les tags, les forêts et autres travaux (par exemple, dans le bâtiment), en étant encadrés. Convoquer les parents, ils sont responsables pour les mineurs, avec un suivi. Il y a des exemples de jeunes délinquants qui sont placés dans des "centres" pour apprendre à cultiver la terre ou s'occuper d'animaux et les résultats sont positifs. Il n'y a pas assez d'employés (je devrais plus écrire de bénévoles) dans les refuges pour animaux. Et la liste ne s'arrête pas là. Tout problème a une solution.
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je pense aux parents de ce jeune garçon..personne ne prévoit se genre de corpotement....
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Bien dit Carole !!! Et parfaitement d'ac avec toi. Interdiction = pression x transgression ! Comme Jackson avec son masque : quand on s'aseptise, on tombe malade !!!
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J'aurais bien voulu avoir mes parents, mais entre nous, il y avait la télé, la mode, le système éducatif ou on entasse des tas de jeunes qui doivent tous se respecter mutuellement, autrement dit, la fermer, ne pas répondre aux provocations de ceux qui se fichent du règlement, de la discipline etc.. Le respect, c'est pourtant une belle chose, alors pourquoi ça ressemble d'un coup à un bouchon de cocotte-minute qui ne laisse plus passer la vapeur ? Cette violence ne serait-elle pas voulue ? En ce qui me concerne, l'adolescence a été une periode horrible et dévastatrice. Mes parents m'avaient donné une bonne éducaion, m'avaient appris à aimer mon prochain ; je pouvais me confier à eux. Mais le dialogue entre nos générations avait été rompu. Le monde a évolué trop vite, surtout le business. Leurs principes, aussi nobles et utiles à l'épanouïssement de notre société fussent-ils, ont fait de moi un ados désireux de s'intégrer, de rendre heureux mes contemporains, mais également l'Autre, l'Imbécile, l'Inadapté, le Trisomique. Dans le cercle d'une famille conciliante et morale, j'étais un garçon gentil, plein de vivacité, admiré pour son esprit d'analyse etc. mais à l'extérieur, dans la réalité puisqu'il s'agit bien de celà, j'étais la cible n°1 d'un harcèlement qu'on ne peut plus qualifier de simples moqueries, et pour ceux qui ont vu Salo, de Pasolini, je pense que l'image sera plus nette. Tout ceci à partir de la 4°. Ceux qui me démolissaient au point que je ne pouvais plus communiquer à mon entrée au Lycée, ce n'étaient pas d'affreux monstres élevés en porcherie, mais peut-être bien VOS enfants. Seulement, vous ne les avez peut-être jamais connus sous un tel éclairage ? Eh bien le brâve garçon que j'étais vous en aurait peut-être privé s'il avait pu mettre la main sur une arme. Tout le monde aurait été "stupéfait", "sous le choc", pour reprendre les expressions favorites du médiabusiness, et personne n'aurait su. Pouvons nous affirmer, en notre âme et conscience, que les morts de cette tuerie sont innocents ? Et nous autres adultes, le sommes nous ?
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