Médecin conseil à la sécu, métier d'avenir.
gégé12
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fanfouedelamotte Messages postés 4168 Date d'inscription Statut Modérateur Dernière intervention -
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Bonjour,
MARETZ, 1400 habitants perd son généraliste.
Il faut que le généraliste s'en aille pour que son côté indispensable soit mis en avant.
L'histoire ne dit pas combien de médecins conseils se reconvertissent à la médecine générale.
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Cambrai/actualite/De_Caudry_au_Cateau/2011/08/04/article_le-depart-precipite-du-docteur-cauchy-se.shtml
MARETZ, 1400 habitants perd son généraliste.
Il faut que le généraliste s'en aille pour que son côté indispensable soit mis en avant.
L'histoire ne dit pas combien de médecins conseils se reconvertissent à la médecine générale.
http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Cambrai/actualite/De_Caudry_au_Cateau/2011/08/04/article_le-depart-precipite-du-docteur-cauchy-se.shtml
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1 réponse
Eh! oui, les français sont comme ça: quand ils ont un beau jouet, il faut qu' il le cassent. Et après, ils pleurent, mais c' est trop tard.
Quand je me suis installé, en 1971, c' était un métier extraordinaire. Trente ans après, je n' ai même pas attendu l' âge légal de la retraite pour dévisser ma plaque. En temps, l' administration (ministère de la santé et toutes ses annexes comme les DASS et autres ARS), la sécu confiée à des syndicalistes paranoïaques en avaient fait un métier ou les aspects négatifs l' emportent largement sur les bon côtés du métier. Donc les candidats se font rares.
Il n' y a pas d' urgence, il n'y a que des gens pressés.
Quand je me suis installé, en 1971, c' était un métier extraordinaire. Trente ans après, je n' ai même pas attendu l' âge légal de la retraite pour dévisser ma plaque. En temps, l' administration (ministère de la santé et toutes ses annexes comme les DASS et autres ARS), la sécu confiée à des syndicalistes paranoïaques en avaient fait un métier ou les aspects négatifs l' emportent largement sur les bon côtés du métier. Donc les candidats se font rares.
Il n' y a pas d' urgence, il n'y a que des gens pressés.