Mon mari, m'ordonne de me faire avorter
sabrina
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Emma -
Emma -
Bonjour, Je suis complètement perdue et je ne sais plus comment m'en sortir. Je viens de me découvrir enceinte. Mais mon mari refuse ce bébé et m'ordonne d'aller me faire avorter. Il est vrai qu'il a ses raisons, mais il refuse la moindre chance de le convaincre.
j'ai 31 ans. A l'âge de 19 ans j'ai conçue mon premier enfant. Puis 3 autres ont suivis. Le problème a cette époque était que j'avais mis au monde un enfant en grande difficultées psychologiques. ( il a un trouble de la personalitée et encore aujourd'hui a 12 ans commet des gestes tres graves ) a 18 mois il ne marchais toujours pas, a 3ans ne parlait pas. En plus du papa de lépoque qui n'était pas de confiance. Lorsque je me suis retrouvée malgré moi enceinte pour la 4em fois ( je subissais violence et rapports forcés. et n'envisagais pas du tout d'avorter. aujourd'hui je me sais avoir agis avec irresponsabilitée. j'ai manqué d'amour petite et ai crue que mes enfants combleraient ce vide )
étant tres jeune, et moi même en difficultées mais enfants ont étés confiés a l'aide sociale a l'enfance. Pour autant l'on ne m'a jamais qualifiée de mauvaise mère il a toujours été précisé que je m'en occupais tres bien. mais que de par la difficultée de mon fils en plus de ma relation je finissais moi par tomber en depression. Je me suis battue pour eux jusqu'au bout durant de longues années. J'ai fini par les récuperer l'année dernière mais nous ne nous connaissions pas en profondeur ils m'ont étés pris petits. eux même n'ont pas étés élevés ensembles. Entre temps il y a 4 ans je me suis mariée et ai eu un enfant. Mes precedents enfants n'ont pas supporté le retour ce ne sont que des enfants. ils sont attaché a moi mais pas assez pour m'accepeter en tant que mère a part entiere. Ils ont alors demandés a etre placés en foyer avec leurs frere etant en grandes difficultées qui lui y etait déja. Me revoilà donc seule avec mon mari et mon petit garçon de 3 ans. J'ai appris il y a quelques jours être enceinte. Je ne le desirais pas du tout. Mais il est là je ne sais pas comment. Je me dis que j'ai due a un moment oublier ma pillule. Mon mari me refuse cet enfant pretextant mes 4 premiers. Il soutient que cela implique trop de charges alors que ceux ci ne vivent pas avec nous. Et que je sais parfaitement que leurs retour se fait de plus en plus improbable. on l'a déjà tenté ça a été un terrible echec. J'ai le sentiment que tous passent leurs temps a vouloir m'arracher mes enfants.. je n'en peut plus et ne crois pas avoir la force de subir cet avortement. Je n'ai a ce jour eu que des garçons. J'ai toujours désirée avoir une fille. Me viens alors l'horreur de me dire que je suis certaine que cet enfant en ai une et que l'on me force a la tuer. Pensez vous qu'il est déraisonée de vouloir tout de même garder cet enfant? mon mari me soupsonne de l'avoir fais expres pour ne plus jamais avoir a récupérer mes enfants. chose totalement fausse. J'ai simplement pris en luciditée et me demande si je dois réellement garder espoir en limitant ma vie de famille présente. J'ai peur de regretter toute ma vie cette avortement et cette privation familliale pour mes enfants qui ne me désirent pas en dehors de visites. Je ne leurs en veux pas et aimerais pouvoir me construire une vie sans être sans arret stopée par ce passé. je vous remercie de vos reponses
j'ai 31 ans. A l'âge de 19 ans j'ai conçue mon premier enfant. Puis 3 autres ont suivis. Le problème a cette époque était que j'avais mis au monde un enfant en grande difficultées psychologiques. ( il a un trouble de la personalitée et encore aujourd'hui a 12 ans commet des gestes tres graves ) a 18 mois il ne marchais toujours pas, a 3ans ne parlait pas. En plus du papa de lépoque qui n'était pas de confiance. Lorsque je me suis retrouvée malgré moi enceinte pour la 4em fois ( je subissais violence et rapports forcés. et n'envisagais pas du tout d'avorter. aujourd'hui je me sais avoir agis avec irresponsabilitée. j'ai manqué d'amour petite et ai crue que mes enfants combleraient ce vide )
étant tres jeune, et moi même en difficultées mais enfants ont étés confiés a l'aide sociale a l'enfance. Pour autant l'on ne m'a jamais qualifiée de mauvaise mère il a toujours été précisé que je m'en occupais tres bien. mais que de par la difficultée de mon fils en plus de ma relation je finissais moi par tomber en depression. Je me suis battue pour eux jusqu'au bout durant de longues années. J'ai fini par les récuperer l'année dernière mais nous ne nous connaissions pas en profondeur ils m'ont étés pris petits. eux même n'ont pas étés élevés ensembles. Entre temps il y a 4 ans je me suis mariée et ai eu un enfant. Mes precedents enfants n'ont pas supporté le retour ce ne sont que des enfants. ils sont attaché a moi mais pas assez pour m'accepeter en tant que mère a part entiere. Ils ont alors demandés a etre placés en foyer avec leurs frere etant en grandes difficultées qui lui y etait déja. Me revoilà donc seule avec mon mari et mon petit garçon de 3 ans. J'ai appris il y a quelques jours être enceinte. Je ne le desirais pas du tout. Mais il est là je ne sais pas comment. Je me dis que j'ai due a un moment oublier ma pillule. Mon mari me refuse cet enfant pretextant mes 4 premiers. Il soutient que cela implique trop de charges alors que ceux ci ne vivent pas avec nous. Et que je sais parfaitement que leurs retour se fait de plus en plus improbable. on l'a déjà tenté ça a été un terrible echec. J'ai le sentiment que tous passent leurs temps a vouloir m'arracher mes enfants.. je n'en peut plus et ne crois pas avoir la force de subir cet avortement. Je n'ai a ce jour eu que des garçons. J'ai toujours désirée avoir une fille. Me viens alors l'horreur de me dire que je suis certaine que cet enfant en ai une et que l'on me force a la tuer. Pensez vous qu'il est déraisonée de vouloir tout de même garder cet enfant? mon mari me soupsonne de l'avoir fais expres pour ne plus jamais avoir a récupérer mes enfants. chose totalement fausse. J'ai simplement pris en luciditée et me demande si je dois réellement garder espoir en limitant ma vie de famille présente. J'ai peur de regretter toute ma vie cette avortement et cette privation familliale pour mes enfants qui ne me désirent pas en dehors de visites. Je ne leurs en veux pas et aimerais pouvoir me construire une vie sans être sans arret stopée par ce passé. je vous remercie de vos reponses
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11 réponses
Bonjour
Je pense que vous ne pouvez mettre un trait sur votre passé alors qu'il y a 3 enfants en foyer.
Le foyer n'offre pas une vie facile à ses enfants.
Il faut savoir quand même que la plupart des enfants vivant en foyer partent avec des contusions qui les suivront à vie.
Professionnellement, socialement,affectivement ils seront clopin-clopant.
Je ne veux pas vous juger mais honnêtement vous ne pouvez pas les mettre ni de côté ni au passé.
Sans compter que vous dites vous-même que vous avez eu vos 1ers enfants pour avoir l'amour qui vous a manqué tout au long de votre vie.
Ça était un échec alors vous ne pouvez pas avoir un autre enfant pour nourrir un autre espoir.
Un enfant n'est pas là pour combler un vide, un enfant doit se faire dans les meilleures conditions et en général si on souffre d'un mal quel qu'en soit la nature on se soigne d'abord et on fait un bébé après guérison.
Je pense que vous ne pouvez mettre un trait sur votre passé alors qu'il y a 3 enfants en foyer.
Le foyer n'offre pas une vie facile à ses enfants.
Il faut savoir quand même que la plupart des enfants vivant en foyer partent avec des contusions qui les suivront à vie.
Professionnellement, socialement,affectivement ils seront clopin-clopant.
Je ne veux pas vous juger mais honnêtement vous ne pouvez pas les mettre ni de côté ni au passé.
Sans compter que vous dites vous-même que vous avez eu vos 1ers enfants pour avoir l'amour qui vous a manqué tout au long de votre vie.
Ça était un échec alors vous ne pouvez pas avoir un autre enfant pour nourrir un autre espoir.
Un enfant n'est pas là pour combler un vide, un enfant doit se faire dans les meilleures conditions et en général si on souffre d'un mal quel qu'en soit la nature on se soigne d'abord et on fait un bébé après guérison.
Utilisateur anonyme
Je pense comme soraya, qui a su trouver les mots face à une question si difficile.
merci de m'avoir répondue. Le fait est que ma vie c'est tres largement améliorée et que l'on a les moyens d'elever cette enfants. Que psychologiquement j'ai enormement avancée. Je sais bien que mes autres enfants sont là eux aussi. Et qu'ils souffrent beaucoup de la situation. Mais dois je vraiment mettre un terme a la vie de celui ci alors qu'eux ne souhaitent pas vivre avec nous.
je ne fais pas cet enfant dans l'espoir de combler un vide, je l'ai eu sans doute par oublie de pillule que j'ai pourtant toujours crue prendre serieusement.
je ne ressent pas de vide actuellement mais ai peur d'en vivre un enorme apres l'avortement. Mettre fin a la vie d'un enfant ce n'est vraiment pas simple.
je ne fais pas cet enfant dans l'espoir de combler un vide, je l'ai eu sans doute par oublie de pillule que j'ai pourtant toujours crue prendre serieusement.
je ne ressent pas de vide actuellement mais ai peur d'en vivre un enorme apres l'avortement. Mettre fin a la vie d'un enfant ce n'est vraiment pas simple.
Je vais être directe ...
Mettre fin a la vie d'un enfant ce n'est vraiment pas simple.
Il y a plusieurs façon de tuer un enfant, et l'avortement n'en fait pas partie !
L'avortement c'est avoir la lucidité et le courage de reconnaitre que la vie de l'enfant ne sera pas facile donc arrêter une grossesse tant qu'il n'est pas encore formé.
On tue un enfant psychologiquement.
On tue ses rêves, on tue tout ce qui peut le faire évoluer dans les meilleures conditions.
Et on le tue physiquement.
Vous ne parlez que de vous et si peu de vos enfants.
Ils ont décidés que...
Ils ont peut-être des rêves, peut-être besoin que vous les rassuriez, qu'ils prennent conscience que leurs vies est importante à vos yeux.
Mettre fin a la vie d'un enfant ce n'est vraiment pas simple.
Il y a plusieurs façon de tuer un enfant, et l'avortement n'en fait pas partie !
L'avortement c'est avoir la lucidité et le courage de reconnaitre que la vie de l'enfant ne sera pas facile donc arrêter une grossesse tant qu'il n'est pas encore formé.
On tue un enfant psychologiquement.
On tue ses rêves, on tue tout ce qui peut le faire évoluer dans les meilleures conditions.
Et on le tue physiquement.
Vous ne parlez que de vous et si peu de vos enfants.
Ils ont décidés que...
Ils ont peut-être des rêves, peut-être besoin que vous les rassuriez, qu'ils prennent conscience que leurs vies est importante à vos yeux.
oui c'est vrai....
On a tout essayé mon mari et moi pour les rassurer. Toute l'année tout le monde y a crue ( juges, educateurs.. on avait les moyens toutes les capacitées l'amour qu'il leurs fallait etc. ) Simplement ces enfants ont grandie loin les uns des autres. et de moi même. En famille d'acceuil durant de longues années. Et voient maintenant plus ces femmes qui ont étées formidables comme etants leurs mère plus que moi même.
Je paraît détachée mais je vous assure qu'il fallait voir ce qu'ils mettaient en place pour être placés a nouveau et ne pas rester a la maison. le juge ne leurs a cedé qu'au dernier moment pour proteger l'equilibre de tous.
je comprend votre point de vue. Ne pas le tolerer ne serais qu'attendre qu'on abonde dans mon sens. ce qui n'est pas le cas.. j'essaie juste d'eclaircir la situation au mieux
merci beaucoup pour vos interventions
On a tout essayé mon mari et moi pour les rassurer. Toute l'année tout le monde y a crue ( juges, educateurs.. on avait les moyens toutes les capacitées l'amour qu'il leurs fallait etc. ) Simplement ces enfants ont grandie loin les uns des autres. et de moi même. En famille d'acceuil durant de longues années. Et voient maintenant plus ces femmes qui ont étées formidables comme etants leurs mère plus que moi même.
Je paraît détachée mais je vous assure qu'il fallait voir ce qu'ils mettaient en place pour être placés a nouveau et ne pas rester a la maison. le juge ne leurs a cedé qu'au dernier moment pour proteger l'equilibre de tous.
je comprend votre point de vue. Ne pas le tolerer ne serais qu'attendre qu'on abonde dans mon sens. ce qui n'est pas le cas.. j'essaie juste d'eclaircir la situation au mieux
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Vous ne me paraissais pas être détachée au contraire vous me semblez être une personne qui a eu une vie en pointillée et qui essaie d'accrocher tous les wagons ensemble afin de former un train, et moi ce que j'essaie de vous dire c'est que vous ne pouvez pas remplacer un wagon par un autre sous peine de créer un accident.
Je ne sais pas ce que vous endurez, je ne sais pas comment vous arrivez à tenir le coup et il est vrai que je me mets uniquement à la place de vos enfants.
Je laisse le soin à d'autre personnes de répondre et je vous souhaite de trouver la sérénité que vous avez l'air de chercher.
Bonne continuation.
Je ne sais pas ce que vous endurez, je ne sais pas comment vous arrivez à tenir le coup et il est vrai que je me mets uniquement à la place de vos enfants.
Je laisse le soin à d'autre personnes de répondre et je vous souhaite de trouver la sérénité que vous avez l'air de chercher.
Bonne continuation.
merci beaucoup. Votre opinion est tout a fait logique, Moi même je suis consciente que c'est compliqué. Seulement voilà c'est ça que je me demande est ce que je tiendrais encore le coup face a cet avortement.
merci encore bonne soirée a vous
merci encore bonne soirée a vous
Mon seul conseil serait de vous demandez quelle vie aura ce bébé à venir. Réfléchissez y sérieusement à tête reposée ! Un enfant ne naît pas et ne devrait pas naître pour subir des choses auquel il n'a pu se préparer au préalable et qu'il n'a pas demandé à vivre alors mettez vous à sa place un petit instant. Quelle place aura cet enfant dans votre vie ? Je pense que votre mari ne parlait pas de trop de charge financière mais plutôt d'un point de vue psychologique.
Bonjour Emma, merci de votre réponse. Mais pourquoi psychologique, je ne comprend pas. notre premier fils a tout les deux vie avec nous. on a une bonen situation. le petit a tout se qu'il faut.... est heureux tres vivant c'est d'ailleurs bien pour cela que lui vie avec nous. CE n'est pas moi qui n'ai pas capable de les assumer. Mais le fait que l'on est étés séparé 8 ans depuis pour les plus petit leurs 16 mois le 4em j'en etais enceinte il ne l'on pas pris en même temps que ses frere mais on attendue 16 mois et qu'encore ils ne l'ai pas pris parce que je m'en occupais mal mais parce que ça perturbais les autres enfants de venir d'être placé et de voir un autre bébé avec leurs maman. maitenant ils ont tous entres 12 ans et 8 ans. La presence de bébé a la maison ne les gène plus. Et ils savent que l'on s'occupe tres bien déjà de notre premier enfant. C'est le lien entres eux même et moi qui est difficile du fait qu'il voient maintenant leurs familles d'acceuils respectifs comme etant leurs parents adoptifs. voilà considerons qu'ils se sentent adoptés et qu'il se sentent mieux ainsi c'est normal. Mais nos enfants a mon mari et moi seraient bel et bien avec nous donc quel traumatisme psychologiques eux subiraient ils?
J'espère que vous n'avez pas pris mon message comme un jugement, ça n'était pas mon intention. Je ne mettais pas vos compétences de mère en avant en sous entendant que vous n'étiez pas capable de les assumer comme il fallait ; j'ai juste pensé au bébé à venir et ce que vous avez dit , que vous ne le désirais pas du tout et qu'avant même de naître son père est contre lui. (je ne dis pas qu'il ne le voudra pas en voyant sa petite bouille d'ange à la naissance mais je parle de maintenant). Je me suis mise à la place de l'enfant parce que grandir avec des propos pareils avant sa naissance n'engage pas forcément de bonnes choses (même si je dis pas que ça changera pas par la suite) , mais j'ai peut être fait une réponse un peu trop par rapport à mon cas personnel en prenant direct le parti de l'enfant sachant le parcours que j'ai eu avec mes propres parents et qui ne changera jamais.
Je parlais d'un point de vue psychologique par rapport à ce que vous avez traversé , peut être en avez vous toujours des séquelles. Si tout se passe en tout cas bien avec votre fils , dans ce cas n'ayez pas d'inquiétude pour le bébé à venir , vous aurez un rayon de soleil de plus dans votre vie. Mais réfléchissez y bien avec votre mari , que vous soyez tout deux en accord.
Je parlais d'un point de vue psychologique par rapport à ce que vous avez traversé , peut être en avez vous toujours des séquelles. Si tout se passe en tout cas bien avec votre fils , dans ce cas n'ayez pas d'inquiétude pour le bébé à venir , vous aurez un rayon de soleil de plus dans votre vie. Mais réfléchissez y bien avec votre mari , que vous soyez tout deux en accord.
Raison pour laquelle j'ai conseillé de réfléchir à tête reposée à tout ça dans mon message juste au-dessus. Après si ses frères savent faire passer le message que bien qu'ils ne vivent pas avec leur mère , ils sont heureux en explicitant de quelle manière et que ça ne les empêche pas de l'aimer, je pense que le petit comprendra quand il sera en âge d'écouter et de comprendre cela.
C'est évident pour personne cette situation je pense c'est pourquoi bien prendre le temps de la réflexion , sans en faire de trop hâtive.
C'est évident pour personne cette situation je pense c'est pourquoi bien prendre le temps de la réflexion , sans en faire de trop hâtive.
non, je ne l'ai pas mal pris. Je ne comprenais juste pas le coté psychologique de l'enfant qui intervenait. Côté jugement je m'attend a bien pire. 2tant donné mon passé, certains risque de m'en mettre plein la figure je l'assume.
Il est certain qui si vraiment je n'arrive pas a le convaincre je ne garderais pas ce bébé. J'en risquerais de faire partir son père et là pour du coup l'on pourrait a nouveau m'estimer en dificultées ( dans mes capacitées a ma reflexion concernant ma famille ) ce n 'est pas le but. Effectivement je ne voulais pas d'autres enfants. Mes premiers m'en ont tellement fais voir l'année dernière. Ils avaient mis le feu a la maison, se battaient avec des ciseaux en mains. cachaient des couteau dans leurs chambres en cas ou ils devraient se defendre les uns contre les autres. Le premier me faisais des fugues etc.. j'en ai un qui hurlait toutes les nuits en demandant a retourner chez lui. Enfin, c'etait veritablement horrible entres eux même. ça m'avait moi même choquée je me disais plus jamais je n'enfanterais, c'est trop difficile.. Mais maintenant que je me sais enceinte ( et ce n'est pas le désir d'un enfant specialement parce que j'en ai un ) Mais plus ce sentiment que j'ai peut être idiot que c'est une fille. n'en ayant pas! cette idée me transperce. Alors j'ai sincèrement peur de mal vivre cet avortement et de toute ma vie me demander si enfin j'aurais pue mettre au monde une fille.
Son papa lui n'en veux vraiment pas. On en a re discuté hier soir, Je pense que quoi qu'il arrive il vas finir par falloir plier si je ne veux pas nous enfoncer. D'un autre côté je lui en veux beaucoup même si je le comprend quelque part. Puis ça me donne le sentiment qu'en dehors mon petit dernier l'on ne m'aura quasiment jamais être mère ou faire mes propres choix ( seule, sans que l'on m'impose et non me conseil ) en tant que mère.
merci pour vos réponses. ça me fais du bien d'en discuter
Il est certain qui si vraiment je n'arrive pas a le convaincre je ne garderais pas ce bébé. J'en risquerais de faire partir son père et là pour du coup l'on pourrait a nouveau m'estimer en dificultées ( dans mes capacitées a ma reflexion concernant ma famille ) ce n 'est pas le but. Effectivement je ne voulais pas d'autres enfants. Mes premiers m'en ont tellement fais voir l'année dernière. Ils avaient mis le feu a la maison, se battaient avec des ciseaux en mains. cachaient des couteau dans leurs chambres en cas ou ils devraient se defendre les uns contre les autres. Le premier me faisais des fugues etc.. j'en ai un qui hurlait toutes les nuits en demandant a retourner chez lui. Enfin, c'etait veritablement horrible entres eux même. ça m'avait moi même choquée je me disais plus jamais je n'enfanterais, c'est trop difficile.. Mais maintenant que je me sais enceinte ( et ce n'est pas le désir d'un enfant specialement parce que j'en ai un ) Mais plus ce sentiment que j'ai peut être idiot que c'est une fille. n'en ayant pas! cette idée me transperce. Alors j'ai sincèrement peur de mal vivre cet avortement et de toute ma vie me demander si enfin j'aurais pue mettre au monde une fille.
Son papa lui n'en veux vraiment pas. On en a re discuté hier soir, Je pense que quoi qu'il arrive il vas finir par falloir plier si je ne veux pas nous enfoncer. D'un autre côté je lui en veux beaucoup même si je le comprend quelque part. Puis ça me donne le sentiment qu'en dehors mon petit dernier l'on ne m'aura quasiment jamais être mère ou faire mes propres choix ( seule, sans que l'on m'impose et non me conseil ) en tant que mère.
merci pour vos réponses. ça me fais du bien d'en discuter
Je pense que personne n'a à te juger ni ne devrais le faire. Votre situation n'est pas simple et ne l'a pas été mais vous vous êtes quand même battu et aujourd'hui vous faites face de votre mieux sans avoir lâcher , vous tentez de vous reconstruire et même si dans le passé vous avez fait des erreurs , vous gardez la tête hors de l'eau de votre mieux. Bref , en effet vos enfants y sont allés fort mais si ils ne vous considèrent plus comme leur mère , et donc plus comme une personne pouvant leur imposer une autorité quelconque , ça dégénérera quand ils seront en votre présence , tout du moins jusqu'à ce qu'ils soient plus grand et comprennent qu'ils étaient et sont important pour vous malgré la séparation et que vous les aimez et que bien que vous n'ayez pas eu la possibilité d'être là pour eux , paradoxalement vous n'êtes plus une mère pour eux peut être mais que eux seront toujours vos enfants que vous chérissez et à qui vous ne voulez que du bien.
Pourquoi ne pas demander au médecin le sexe de l'enfant et dans le cas où c'est une fille , expliquer à votre mari votre besoin d'en avoir une pour construire avec elle ce que vous , d'une part vous n'avez pas eu enfant et d'autre part ce que vous n'avez pas réussi à partager avec vos aînés et que vous souhaitez recoller certains morceaux , cicatriser certaines plaies et que vous pourrez le faire avec une petite qui vous fera un peu "oublier" la douleur de la séparation successive avec vos 4 premiers garçons. Il dit ne pas vouloir de ce bébé du fait de ce qui se passer pour les aînés mais peut être devriez vous lui rappeler (à nouveau) que c'était des époques où vous n'aviez pas de soutien même pas du père , que vous avez été battue, que vous avez eu des rapports forcés ... et que c'est différent avec lui aujourd'hui où vous êtes aimée , que vous avez une situation financière où vous pouvez l'envisager , de l'amour à donner , une partie de vous même à retrouver et que cet enfant vous apportera en vous reconnaissant en tant que mère ... Et parle lui aussi du fait de tes impressions d'avoir dû subir chaque placement sans t'avoir laissée la possibilité de remplir ton rôle de mère et que vous avez besoin de pouvoir faire ce choix de vous reconstruire en vous laissant cette nouvelle chance d'être mère et d'apporter de l'amour à ce petit bout de chou. Chose importante à vos yeux et que vous avez besoin de son soutien pour le faire tranquillement , sans crainte et avec l'impression d'une autre réussite qui vous apportera aussi beaucoup personnellement.
Pourquoi ne pas demander au médecin le sexe de l'enfant et dans le cas où c'est une fille , expliquer à votre mari votre besoin d'en avoir une pour construire avec elle ce que vous , d'une part vous n'avez pas eu enfant et d'autre part ce que vous n'avez pas réussi à partager avec vos aînés et que vous souhaitez recoller certains morceaux , cicatriser certaines plaies et que vous pourrez le faire avec une petite qui vous fera un peu "oublier" la douleur de la séparation successive avec vos 4 premiers garçons. Il dit ne pas vouloir de ce bébé du fait de ce qui se passer pour les aînés mais peut être devriez vous lui rappeler (à nouveau) que c'était des époques où vous n'aviez pas de soutien même pas du père , que vous avez été battue, que vous avez eu des rapports forcés ... et que c'est différent avec lui aujourd'hui où vous êtes aimée , que vous avez une situation financière où vous pouvez l'envisager , de l'amour à donner , une partie de vous même à retrouver et que cet enfant vous apportera en vous reconnaissant en tant que mère ... Et parle lui aussi du fait de tes impressions d'avoir dû subir chaque placement sans t'avoir laissée la possibilité de remplir ton rôle de mère et que vous avez besoin de pouvoir faire ce choix de vous reconstruire en vous laissant cette nouvelle chance d'être mère et d'apporter de l'amour à ce petit bout de chou. Chose importante à vos yeux et que vous avez besoin de son soutien pour le faire tranquillement , sans crainte et avec l'impression d'une autre réussite qui vous apportera aussi beaucoup personnellement.
