Psa =0 aprés Hormonothérapie ; énantone
Bonjour,
J'ai 75 ans.
Aprés prostatectomie radicale il y a 3 ans , Glason 8, rayons, hormono thérapie : énantone pendant 18 mois : psa 0 aprés arrêt énantone pendant 3 mois.
Question 1 : La prise de citrobiotic (antibiotique naturel au pamplemouse ) modifie-elle le taux de psa ?
Question 2 : L'efficacité de l'énantone se poursuit-elle au dela de quelques mois aprés son arrêt ?
Question 3 : Peut-on conclure que la récidive est presque totalement exclue ?
Merci de m'éclairer sur ces sujets
J'ai 75 ans.
Aprés prostatectomie radicale il y a 3 ans , Glason 8, rayons, hormono thérapie : énantone pendant 18 mois : psa 0 aprés arrêt énantone pendant 3 mois.
Question 1 : La prise de citrobiotic (antibiotique naturel au pamplemouse ) modifie-elle le taux de psa ?
Question 2 : L'efficacité de l'énantone se poursuit-elle au dela de quelques mois aprés son arrêt ?
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1 réponse
Bonjour,
Citrobiotic : aucun intérêt.
L'arrêt de l'Enan... signifie soit qu'il y a eu échec thérapeutique matérialisé par une croissance du PSA (ce qui n'est pas ton cas) ou bien que le succès thérapeutique a été complet et que plus aucune hormone sexuelle n'est sécrétée, en particulier la testostérone (ce qui est ton cas).
La surveillance du taux de PSA reste malgré tout indispensable pour surveiller un éventuelle réveil des sécrétions hormonales susceptibles de stimuler à nouveau la prostate.
Il faut un recul de plusieurs années (5 ans au minimum) avant de pouvoir parler de rémission complète puis de guérison. Mais la surveillance se poursuivra bien au delà.
Citrobiotic : aucun intérêt.
L'arrêt de l'Enan... signifie soit qu'il y a eu échec thérapeutique matérialisé par une croissance du PSA (ce qui n'est pas ton cas) ou bien que le succès thérapeutique a été complet et que plus aucune hormone sexuelle n'est sécrétée, en particulier la testostérone (ce qui est ton cas).
La surveillance du taux de PSA reste malgré tout indispensable pour surveiller un éventuelle réveil des sécrétions hormonales susceptibles de stimuler à nouveau la prostate.
Il faut un recul de plusieurs années (5 ans au minimum) avant de pouvoir parler de rémission complète puis de guérison. Mais la surveillance se poursuivra bien au delà.
