Ablation de la rate ou non ?
Kefairedans ce cas
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mamina -
mamina -
Bonjour,
Depuis deux ans , je suis suivie dans un service d'hématologie pour une thrombopénie idiopathique; ma moëlle osseuse fonctionne normalement mais les plaquettes sanguines sont détruites et chutent à un seuil limite( risques d'hémorragie spontanée)Des corthicothérapies ont fait remonté le taux , mais maintenant, çqa n'agit plus. L'équipe médicale me conseille l'ablation de la rate , qui à part ça ne présente aucune anomalie, non plus que les autres organes d'ailleurs(foie, etc...) Après avoir beaucoup hésité, je m'y étais résignée; Mais un médecin formé aux techniques traditionnelles chinoises se fait fort de rémedier par d'autres thérapies(pharmacologies adaptées etc...) à mon problème. Merci à ceux qui pourraient me donner des éléments de réflexion
Depuis deux ans , je suis suivie dans un service d'hématologie pour une thrombopénie idiopathique; ma moëlle osseuse fonctionne normalement mais les plaquettes sanguines sont détruites et chutent à un seuil limite( risques d'hémorragie spontanée)Des corthicothérapies ont fait remonté le taux , mais maintenant, çqa n'agit plus. L'équipe médicale me conseille l'ablation de la rate , qui à part ça ne présente aucune anomalie, non plus que les autres organes d'ailleurs(foie, etc...) Après avoir beaucoup hésité, je m'y étais résignée; Mais un médecin formé aux techniques traditionnelles chinoises se fait fort de rémedier par d'autres thérapies(pharmacologies adaptées etc...) à mon problème. Merci à ceux qui pourraient me donner des éléments de réflexion
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3 réponses
J'ai été suivie pendant plusieurs mois pour le même problème que vous. La ponction de la moëlle n'a révélé aucun cancer. C'était déjà un bon point même si le moral en prend un coup. Ensuite, nous sommes passés au plan A: cortisone. J'ai dû prendre 3 x la dose autorisée pour que la médication agisse correctement. Je ne vous décrirai pas ici l'état de mon visage (c'était l'année où je me suis mariée...). Dés que j'arrêtais le traitement, mes plaquettes redescendaient à 40.000, ce qui est largement insuffisant. J'ai d'ailleurs appris à ce moment que j'étais en danger permanent. Nous sommes alors passé au plan B: injection de plaquettes par transfusion à la clinique pendant 36 heures. Résultat négatif. Nous avons fait alors des examens approfondis pour savoir si le problème venait du foie ou de la rate. A partir du moment où on a pu savoir que c'était la rate le problème, l'opération était alors inévitable si je voulais un jour donner la vie. C'est ce que j'ai fait. L'opération a été très réussie et très propre également. Maintenant, je ne suis pas à l'abri d'un mauvais rhume ou d'une grippe mais je fais le vaccin du pneumocoque tous les 5 ans, ce qui est très important pour éviter les septicémies! Bonne chance à vous.
Bonjour,
j'ai eu un PTI (prupura thrombopénie idiopathique) en 1997. Mes plaquettes variaient entre 45 000 et 30 000 selon l'état de forme général. Pour ma part, la corticothérapie de fonctionnait pas, mais l'injection de gammaglobulines ne fonctionnait que durant 3 semaines. Ne pouvant vivre au quotidien ainsi, tout comme vous, j'ai subi les tests pour savoir si la rate était bien le lieu de desctruction. Cela a été le cas.
Au premiers froids, un petit rhume et de nouveau chute à 5 000. La décision a été vite prise. Sportive, je ne me voyais pas arrêter toute activité sous crainte d'une hémoragie: splénectomie et ensuite surveillance particulière. Tenir à jour les vaccins (et en particulier contre le pnuemocoque et la grippe) et consultation chez mon medecin traitant dès que j'ai plus de 38°C; et suivi très particulier en cas de grossesse.
Un succès: plus de 10 ans après je suis toujours aux alentours de 200 000 plaquettes, j'ai eu un petit garçon (5 ans) qui se porte à merveille et avec une grossesse sans aucune difficulté (une ponction foetale à 3 semaines du terme pour être sur que je ne détruisais pas les plaquettes du foetus). J'ai accouché dans le même hopital que dans celui ou je suis suivie par mon hématologue. Ca aide!
J'ai revu mon hematologue dernièrement et tout va bien.
Mon conseil: il vaut mieux faire ses vaccins et vivre pleinement plutôt que de vivre dans l'inquiétude du taux de palquettes
j'ai eu un PTI (prupura thrombopénie idiopathique) en 1997. Mes plaquettes variaient entre 45 000 et 30 000 selon l'état de forme général. Pour ma part, la corticothérapie de fonctionnait pas, mais l'injection de gammaglobulines ne fonctionnait que durant 3 semaines. Ne pouvant vivre au quotidien ainsi, tout comme vous, j'ai subi les tests pour savoir si la rate était bien le lieu de desctruction. Cela a été le cas.
Au premiers froids, un petit rhume et de nouveau chute à 5 000. La décision a été vite prise. Sportive, je ne me voyais pas arrêter toute activité sous crainte d'une hémoragie: splénectomie et ensuite surveillance particulière. Tenir à jour les vaccins (et en particulier contre le pnuemocoque et la grippe) et consultation chez mon medecin traitant dès que j'ai plus de 38°C; et suivi très particulier en cas de grossesse.
Un succès: plus de 10 ans après je suis toujours aux alentours de 200 000 plaquettes, j'ai eu un petit garçon (5 ans) qui se porte à merveille et avec une grossesse sans aucune difficulté (une ponction foetale à 3 semaines du terme pour être sur que je ne détruisais pas les plaquettes du foetus). J'ai accouché dans le même hopital que dans celui ou je suis suivie par mon hématologue. Ca aide!
J'ai revu mon hematologue dernièrement et tout va bien.
Mon conseil: il vaut mieux faire ses vaccins et vivre pleinement plutôt que de vivre dans l'inquiétude du taux de palquettes
Re-
A toi de choisir entre la médecine scientifique et les "techniques traditionnelles" chinoises ou autres qui ont sont peut être utiles dans certaines pathologies mais pas dans toutes.....
S'agissant d'une thrombopénie avec tout ce que cela comporte de complications possibles, il faut prendre ce problème au sérieux...
Si aucune chimiothérapie n'est possible, la splénectomie représente le choix thérapeutique le plus souvent retenu dans certains cas de thrombopénie.
A toi de choisir entre la médecine scientifique et les "techniques traditionnelles" chinoises ou autres qui ont sont peut être utiles dans certaines pathologies mais pas dans toutes.....
S'agissant d'une thrombopénie avec tout ce que cela comporte de complications possibles, il faut prendre ce problème au sérieux...
Si aucune chimiothérapie n'est possible, la splénectomie représente le choix thérapeutique le plus souvent retenu dans certains cas de thrombopénie.