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5 août 2023
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8 juin 2009 à 11:46
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Bonjour,
Je ne cotoie pas de "borderline" ni même suis celà, mais vous êtes en train en ce moment de "couler". Vous allez y perdre votre santé à ce train là. Vous ne pourrez plus, par la suite, vous occuper de votre fils qui a besoin de vous.
Il faut que vous preniez une décision définitive. Vous ne pouvez plus rester dans cette situation. Vous l'aimez, c'est bien mais vous n'êtes pas son assistance sociale, ni son psy. Vous êtes sa Compagne et elle vous doit le respect et réciproquement, même si vous dites qu'elle est malade.
Je ne cotoie pas de "borderline" ni même suis celà, mais vous êtes en train en ce moment de "couler". Vous allez y perdre votre santé à ce train là. Vous ne pourrez plus, par la suite, vous occuper de votre fils qui a besoin de vous.
Il faut que vous preniez une décision définitive. Vous ne pouvez plus rester dans cette situation. Vous l'aimez, c'est bien mais vous n'êtes pas son assistance sociale, ni son psy. Vous êtes sa Compagne et elle vous doit le respect et réciproquement, même si vous dites qu'elle est malade.
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8 juin 2009 à 11:47
8 juin 2009 à 11:47
Bonjour,
Très franchement, je ne suis pas arrivé au bout de ton "pavé" et j'ai abandonné en cours de route...
Il serait souhaitable de mettre un peu d'air dans ton texte en sautant quelques lignes et en séparant les paragraphes.
Si tu laisse en l'état la majorité des lecteurs laisseront tomber avant d'arriver au bout.
Très franchement, je ne suis pas arrivé au bout de ton "pavé" et j'ai abandonné en cours de route...
Il serait souhaitable de mettre un peu d'air dans ton texte en sautant quelques lignes et en séparant les paragraphes.
Si tu laisse en l'état la majorité des lecteurs laisseront tomber avant d'arriver au bout.
Utilisateur anonyme
8 juin 2009 à 13:00
8 juin 2009 à 13:00
Bonjour Marie,
Dans ton témoignage émouvant, une chose m'a interpellé. Ta compagne borderline a des amies.. j'en déduis que pour que ces amitiés perdurent, elle n'a pas le même comportement avec elles qu'avec toi. (ceci sans jugement de ma part).
Donc, on peut distinguer le problème inhérent à la vie de couple et la personnalité de ta compagne en dehors de celui-ci.
Peut-tu nous donner quelques informations complémentaires quand à son comportement en société ?
Dans l'optique de t'aider au mieux.
Amicalement, lillith
Dans ton témoignage émouvant, une chose m'a interpellé. Ta compagne borderline a des amies.. j'en déduis que pour que ces amitiés perdurent, elle n'a pas le même comportement avec elles qu'avec toi. (ceci sans jugement de ma part).
Donc, on peut distinguer le problème inhérent à la vie de couple et la personnalité de ta compagne en dehors de celui-ci.
Peut-tu nous donner quelques informations complémentaires quand à son comportement en société ?
Dans l'optique de t'aider au mieux.
Amicalement, lillith
Je vis avec une femme depuis 21 ans et ma vie avec elle n'a rien d'un rève. depuis peu j'ai decouvert qu'elle etait très probablement borderline et actuellement je cherche , je me renseigne, pour affiner ce diagnostique.
de toutes les lectures que j'ai fait il ressort que le meilleur service a leurs rendre c'est de ne pas rentrer dans leurs jeu. Ces 21 ans m'on bouffé ,détruit, j'ai cédé à 99% de ces exigeances non sans mal et malgrès cela je suis le méchant qui ne l'aime pas et qui ne la respecte pas. pour le moment elle n'est pas diagnostiquée et je cherche un psy qui tienne la route dans ce domaine.
vu la situation de raz le bol de ma part, Depuis 3 semaines j'ai décidé tout de même de remettre des limites, pas facile apres toutes ces années et pour le moment je fonctionne sur le principe "je te respecte alors respecte moi sinon pas de discutions ou de négotiation possible"et je refuse categoriquement sur le meme principe toutes accusations sans preuves ou non fondée,
c'est trés dur mais je n'ai plus rien a perdre, ça a calmé très légèrement les choses mais le plus important c'est que cela m'a rendu un peu de ma dignité perdu à mes propres yeux et celà fait du bien.Je ne sais pas si cela tiendra .Pour moi ce qui est sur c'est que si tu ne parviens pas a lui mettre des limites ou si tu ne te protège pas , c'est toi qui te retrouvera a l'asile et qui s'occupera de ton fils?.
bon courage.
de toutes les lectures que j'ai fait il ressort que le meilleur service a leurs rendre c'est de ne pas rentrer dans leurs jeu. Ces 21 ans m'on bouffé ,détruit, j'ai cédé à 99% de ces exigeances non sans mal et malgrès cela je suis le méchant qui ne l'aime pas et qui ne la respecte pas. pour le moment elle n'est pas diagnostiquée et je cherche un psy qui tienne la route dans ce domaine.
vu la situation de raz le bol de ma part, Depuis 3 semaines j'ai décidé tout de même de remettre des limites, pas facile apres toutes ces années et pour le moment je fonctionne sur le principe "je te respecte alors respecte moi sinon pas de discutions ou de négotiation possible"et je refuse categoriquement sur le meme principe toutes accusations sans preuves ou non fondée,
c'est trés dur mais je n'ai plus rien a perdre, ça a calmé très légèrement les choses mais le plus important c'est que cela m'a rendu un peu de ma dignité perdu à mes propres yeux et celà fait du bien.Je ne sais pas si cela tiendra .Pour moi ce qui est sur c'est que si tu ne parviens pas a lui mettre des limites ou si tu ne te protège pas , c'est toi qui te retrouvera a l'asile et qui s'occupera de ton fils?.
bon courage.
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J'ai peine a te lire, c'est triste surtout pour votre fils, pense a lui en priorité, il a besoin de toi, quand a ta copine si tu ne t'impose pas plus tu vas alimenter son trouble.
Elle a besoin d'amour certes et aussi de limite, je connais une personne bordeline depuis qu'elle a pris conscience de son mal et qu'elle accepte le diagnostique son etat s'est beaucoup amélioré et stabilisé, je l'ai rencontre dernièrement elle m'a dit qu'elle sentait les crises arriver et arrivai a contrôler son agressivité, mais pas ses angoisses, j'ai l'impression de la découvrir, moins antipathique et beaucoup plus zen.
Pour naviguer avec un borderline, il faut tenir le gouvernail, et ne pas s'isoler afin qu'elle n'est pas d'emprise sur toi ,que tu puisses avoir assez de recul et bien la cerner enfin l'étape crucial qu'elle prenne conscience de son trouble,
je trouve que tu as beaucoup de courage, mais tu en fait trop avec elle, tu t'es soumise a sa maladie et comme dit plus haut c'est pas lui rendre service, accepte de faire un break ou reprend les rennes mais surtout menage toi
allez cOURAGE ET bonne chance a ton ptit bonhomme et a vous deux.
Tu es une femme vraiment courageuse je t'admire.
Elle a besoin d'amour certes et aussi de limite, je connais une personne bordeline depuis qu'elle a pris conscience de son mal et qu'elle accepte le diagnostique son etat s'est beaucoup amélioré et stabilisé, je l'ai rencontre dernièrement elle m'a dit qu'elle sentait les crises arriver et arrivai a contrôler son agressivité, mais pas ses angoisses, j'ai l'impression de la découvrir, moins antipathique et beaucoup plus zen.
Pour naviguer avec un borderline, il faut tenir le gouvernail, et ne pas s'isoler afin qu'elle n'est pas d'emprise sur toi ,que tu puisses avoir assez de recul et bien la cerner enfin l'étape crucial qu'elle prenne conscience de son trouble,
je trouve que tu as beaucoup de courage, mais tu en fait trop avec elle, tu t'es soumise a sa maladie et comme dit plus haut c'est pas lui rendre service, accepte de faire un break ou reprend les rennes mais surtout menage toi
allez cOURAGE ET bonne chance a ton ptit bonhomme et a vous deux.
Tu es une femme vraiment courageuse je t'admire.
Est-ce vraiment de l'amour ou de la pitié ? première question
Est-ce que l'on peut aimer quelqu'un qui nous fait souffrir malgré une maladie
Es-tu responsable de son mal ?
Est-ce de ta faute si elle a abandonné tout traitement ?
Est-ce que tu as le droit de faire que ta vie est un enfer ?
J'ai été mère Thérèsa durant très longtemps et maintenant après bien des souffrances, j'ai décidé de penser à moi. Attention, je ne pense pas qu'à moi mais je ne peux pas porter toute la misère du monde sur mon dos. Je ne peux pas soigner tous les maux de chacun et je ne suis pas médecin. C'est grâce à l'aide d'une psychologue que je suis parvenue à cela et j'en suis bien heureuse. Désolée
Est-ce que l'on peut aimer quelqu'un qui nous fait souffrir malgré une maladie
Es-tu responsable de son mal ?
Est-ce de ta faute si elle a abandonné tout traitement ?
Est-ce que tu as le droit de faire que ta vie est un enfer ?
J'ai été mère Thérèsa durant très longtemps et maintenant après bien des souffrances, j'ai décidé de penser à moi. Attention, je ne pense pas qu'à moi mais je ne peux pas porter toute la misère du monde sur mon dos. Je ne peux pas soigner tous les maux de chacun et je ne suis pas médecin. C'est grâce à l'aide d'une psychologue que je suis parvenue à cela et j'en suis bien heureuse. Désolée
begonie
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Modifié par begonie le 24/06/2010 à 11:52
Modifié par begonie le 24/06/2010 à 11:52
Bonjour maae_a_722,
Oui, je crois qu'on peut continuer à aimer une personne qui souffre d'une maladie importante.
Tu as raison : Dans des conditions de ce type de situations que tu cites, il est important de se laisser aider soi-même. Personne n'est responsable de la maladie de l'autre.
C'est le cas pour toutes les maladies qui ont un impact important sur la relation et la vie tout court (exemples : l'alcoolisme, les handicaps lourds, l'Alzheimer, etc...).
Et oui (toujours d'accord avec toi), on a le droit de ne pas porter seul(e) la valise de l'autre. On a le droit, et je dirais même le devoir, de s'occuper de sa santé personnelle si on veut vivre sa vie sereinement dans les limites où c'est possible.
Les professionnels de la santé sont là pour ça (ça = aider un peu à rendre la valise moins lourde).
Bonne journée.
begonie
Oui, je crois qu'on peut continuer à aimer une personne qui souffre d'une maladie importante.
Tu as raison : Dans des conditions de ce type de situations que tu cites, il est important de se laisser aider soi-même. Personne n'est responsable de la maladie de l'autre.
C'est le cas pour toutes les maladies qui ont un impact important sur la relation et la vie tout court (exemples : l'alcoolisme, les handicaps lourds, l'Alzheimer, etc...).
Et oui (toujours d'accord avec toi), on a le droit de ne pas porter seul(e) la valise de l'autre. On a le droit, et je dirais même le devoir, de s'occuper de sa santé personnelle si on veut vivre sa vie sereinement dans les limites où c'est possible.
Les professionnels de la santé sont là pour ça (ça = aider un peu à rendre la valise moins lourde).
Bonne journée.
begonie
GégéLAMBERT
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24 juin 2010 à 11:00
24 juin 2010 à 11:00
Bonjour,
même si la réponse de maae_a_722 est un peu brutale, je ne peux pas m'empêcher d'être d'accord avec elle.
Même par amour, tu n'as pas à t'imposer un enfer. Ton enfant a besoin de toi, ta compagne aussi, et toi, qui s'occupe de toi ?
Il faut que tu admettes que, si ELLE n'est pas responsable de sa maladie, TU n'en es pas responsable non plus. Et je peux te garantir que ta situation ne s'arrangera que si ELLE le décide.
Elle ne suit aucun traitement, refuse toute aide...
A toi d'être ferme : tu gères et assumes l'ensemble de votre foyer, alors impose tes règles, exige le respect, pose, toi aussi, des ultimatums...
Et choisis la vie qui te conviens.
Je ne peux pas te conseiller de vous séparer, j'ai bien compris que c'est la femme de ta vie. Mais la question est : est-ce que l'enfer (réel) de la vie avec elle est plus supportable que l'enfer (supposé) de la vie sans elle ?
Dis-toi bien que tu ne peux pas sauver quelqu'un, aussi cher soit-il, contre son gré. J'en ai fait l'expérience.
Je rajoute que j'admire aussi beaucoup ton courage et ton comportement, et te souhaite une vie meilleure.
Gégé
même si la réponse de maae_a_722 est un peu brutale, je ne peux pas m'empêcher d'être d'accord avec elle.
Même par amour, tu n'as pas à t'imposer un enfer. Ton enfant a besoin de toi, ta compagne aussi, et toi, qui s'occupe de toi ?
Il faut que tu admettes que, si ELLE n'est pas responsable de sa maladie, TU n'en es pas responsable non plus. Et je peux te garantir que ta situation ne s'arrangera que si ELLE le décide.
Elle ne suit aucun traitement, refuse toute aide...
A toi d'être ferme : tu gères et assumes l'ensemble de votre foyer, alors impose tes règles, exige le respect, pose, toi aussi, des ultimatums...
Et choisis la vie qui te conviens.
Je ne peux pas te conseiller de vous séparer, j'ai bien compris que c'est la femme de ta vie. Mais la question est : est-ce que l'enfer (réel) de la vie avec elle est plus supportable que l'enfer (supposé) de la vie sans elle ?
Dis-toi bien que tu ne peux pas sauver quelqu'un, aussi cher soit-il, contre son gré. J'en ai fait l'expérience.
Je rajoute que j'admire aussi beaucoup ton courage et ton comportement, et te souhaite une vie meilleure.
Gégé
bonjour
les mots que je lis sont une bien belle histoire, je ne peux pas te dire si tu es vraiment libre d'accepter ce que tu fais, ni même si tu as raison de le faire mais je vois se refléter une vie pleine avec quelqu'un qui aime tellement la vie au point de ne pas prendre le risque de trop forcer son tracé. chacun doit décider de la dose de souffrance qu'il peut endurer, surtout une personne mure et sensible comme toi. Chaque être humain est capable d'aimer un autre être humain et même plusieurs, la relation de couple n'est pas la seule preuve d'amour, loin de là. Je suis sur que tu pourras continuer d'aimer ton amie mais peut-être pas à n'importe quel prix. Peut-être que c'est quelque chose que tu peux comprendre et accepter, je ne sais pas, l'amour prend souvent des aspect très exclusif et tu aurais peut-être la certitude de la trahir ou de trahir ton amour si tu décidais de ne plus vouloir être en couple avec la personne que tu aimes. Mais je crois que tu devrais lui faire accepter que ton amour pour elle ne dois pas te faire cesser d'exister, que ton histoire doit se poursuivre car tu as la force et l'envie de l'animer.
Mon message est bien moralisateur mais je me permets de te le dire car je vis avec une femme également très difficile, borderline ? je n'en sais rien, mais je retrouve bien des points commun avec ton histoire. JE suis en couple avec elle depuis deux ans et demi, l'amour est donc encore très fort mais peut-être déjà un peu moins fort. Je veux dire... l'amour doit se construire il me semble, rester intact mais changer et c'est très difficile avec elle car elle estime que tout doit couler de source. Que le bonheur existe quelque part et qu'il faut le trouver. Une fois dedans tu y resterais. Moi je pense plutot qu'il faut le chercher sans cesse, comme l'amour, comme une flamme à alimenter. Je me bats pour lui montrer que le bonheur ça peut être moi si elle me suis et je lui demande souvent ce qu'elle voudrait comme "homme" (je ne sais pas exactement ce qu'elle entend par "homme" mais moi je comprends surtout "être humain"). Alors je ne sais pas... mais je te conseillerai peut-être de "faire le point" avec elle comme sur les navires puis de lui indiquer la direction que tu veux prendre même si tu dois lui jurer que tu ne l'oublieras pas.
les mots que je lis sont une bien belle histoire, je ne peux pas te dire si tu es vraiment libre d'accepter ce que tu fais, ni même si tu as raison de le faire mais je vois se refléter une vie pleine avec quelqu'un qui aime tellement la vie au point de ne pas prendre le risque de trop forcer son tracé. chacun doit décider de la dose de souffrance qu'il peut endurer, surtout une personne mure et sensible comme toi. Chaque être humain est capable d'aimer un autre être humain et même plusieurs, la relation de couple n'est pas la seule preuve d'amour, loin de là. Je suis sur que tu pourras continuer d'aimer ton amie mais peut-être pas à n'importe quel prix. Peut-être que c'est quelque chose que tu peux comprendre et accepter, je ne sais pas, l'amour prend souvent des aspect très exclusif et tu aurais peut-être la certitude de la trahir ou de trahir ton amour si tu décidais de ne plus vouloir être en couple avec la personne que tu aimes. Mais je crois que tu devrais lui faire accepter que ton amour pour elle ne dois pas te faire cesser d'exister, que ton histoire doit se poursuivre car tu as la force et l'envie de l'animer.
Mon message est bien moralisateur mais je me permets de te le dire car je vis avec une femme également très difficile, borderline ? je n'en sais rien, mais je retrouve bien des points commun avec ton histoire. JE suis en couple avec elle depuis deux ans et demi, l'amour est donc encore très fort mais peut-être déjà un peu moins fort. Je veux dire... l'amour doit se construire il me semble, rester intact mais changer et c'est très difficile avec elle car elle estime que tout doit couler de source. Que le bonheur existe quelque part et qu'il faut le trouver. Une fois dedans tu y resterais. Moi je pense plutot qu'il faut le chercher sans cesse, comme l'amour, comme une flamme à alimenter. Je me bats pour lui montrer que le bonheur ça peut être moi si elle me suis et je lui demande souvent ce qu'elle voudrait comme "homme" (je ne sais pas exactement ce qu'elle entend par "homme" mais moi je comprends surtout "être humain"). Alors je ne sais pas... mais je te conseillerai peut-être de "faire le point" avec elle comme sur les navires puis de lui indiquer la direction que tu veux prendre même si tu dois lui jurer que tu ne l'oublieras pas.