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3 réponses
Il peut y avoir une composante génétique dans ce cancer (et dans d'autres) pourquoi demandes tu cela?
bonjour je reponds a ta question
j ai eu moi aussi un cancer du sein ,heureusement soigné mais il faut se faire suivre surtout si il y en a dans la famille ma fille de 16 ans elle sait qu il faudras quelle se fasse suivre tres tot et j ai une soeur qui na rien eu ( dieu merci)
j ai eu moi aussi un cancer du sein ,heureusement soigné mais il faut se faire suivre surtout si il y en a dans la famille ma fille de 16 ans elle sait qu il faudras quelle se fasse suivre tres tot et j ai une soeur qui na rien eu ( dieu merci)
vu dans une revue de presse ce jour:
« Cancer du sein, la peur du dépistage »
Libération
Libération se penche ainsi sur ces « femmes, touchées de mère en fille par des drames à répétition, [qui] affrontent l’angoisse d’un dépistage qui pourrait les délivrer de la fatalité ».
Le quotidien publie un reportage réalisé au sein du service d’oncogénétique de l’Institut Gustave-Roussy, à Villejuif (Val-de-Marne), et livre les témoignages de femmes qui « poussent la porte de cette consultation ».
Le journal note que « la découverte, depuis les années 90, de mutations génétiques prédisposant au cancer du sein a bouleversé la prise en charge de cette maladie ».
« Mais, du même coup, de nouveaux dilemmes sont apparus, inhérents à toute la pratique de la médecine prédictive moderne : qui dépister, quand et pour quoi faire ? », remarque Libération.
Le quotidien livre les propos de la généticienne Ségolène Aymé, directrice de recherche à l’Inserm, qui note que « dans l’esprit des gens, les tests génétiques sont déterministes », mais rappelle que « les tests donnent des probabilités ».
« Cancer du sein, la peur du dépistage »
Libération
Libération se penche ainsi sur ces « femmes, touchées de mère en fille par des drames à répétition, [qui] affrontent l’angoisse d’un dépistage qui pourrait les délivrer de la fatalité ».
Le quotidien publie un reportage réalisé au sein du service d’oncogénétique de l’Institut Gustave-Roussy, à Villejuif (Val-de-Marne), et livre les témoignages de femmes qui « poussent la porte de cette consultation ».
Le journal note que « la découverte, depuis les années 90, de mutations génétiques prédisposant au cancer du sein a bouleversé la prise en charge de cette maladie ».
« Mais, du même coup, de nouveaux dilemmes sont apparus, inhérents à toute la pratique de la médecine prédictive moderne : qui dépister, quand et pour quoi faire ? », remarque Libération.
Le quotidien livre les propos de la généticienne Ségolène Aymé, directrice de recherche à l’Inserm, qui note que « dans l’esprit des gens, les tests génétiques sont déterministes », mais rappelle que « les tests donnent des probabilités ».