Grossese
alexdu14
-
1 déc. 2008 à 23:14
chloemax Messages postés 2996 Date d'inscription mardi 8 avril 2008 Statut Contributeur Dernière intervention 30 juin 2009 - 3 déc. 2008 à 20:55
chloemax Messages postés 2996 Date d'inscription mardi 8 avril 2008 Statut Contributeur Dernière intervention 30 juin 2009 - 3 déc. 2008 à 20:55
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3 réponses
chloemax
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2 déc. 2008 à 12:13
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ca sert a quoi de connaitre le sexe du bebe si tot pour faire un tri selectif?
^^Marie^^
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2 déc. 2008 à 12:04
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Salut
Un kit pour connaître le sexe de son enfant
Les futures mères en Grande-Bretagne peuvent désormais découvrir le sexe de leur enfant à naître six semaines après le début de leur grossesse grâce à des tests ADN vendus sur internet.
Les résultats du test se basent sur la présence du chromosome Y dans le sang de la mère, qui indique que le bébé est un garçon. L'absence du chromosome Y signifie au contraire que le bébé est une fille. Les femmes ont en effet deux chromosomes sexuels semblables (XX), tandis que les hommes en ont deux distincts (XY).
La société DNA Worldwide, qui vend déjà ces kits aux Etats-Unis, affirme que le test est fiable à 99% et s'engage à rembourser les parents en cas d'erreur. «Les ultrasons ne sont pas toujours sûrs pour déterminer le sexe d'un bébé, et sont en général effectués quatre à six mois après le début de la grossesse», affirme la société sur son site internet. Elle proclame que son test constitue «la meilleure solution pour déterminer le sexe d'un enfant à naître».
Mais le test a déjà créé la polémique en Grande-Bretagne car il peut, selon les militants anti-avortement, permettre aux couples qui le désirent de «choisir» le sexe de leur enfant en avortant. Les avortements peuvent être effectués jusqu'à 24 semaines, soit six mois, en Grande-Bretagne après le début de la grossesse. «Ce test est très dangereux», a affirmé Michaela Aston, porte-parole de l'association anti-avortement Life, au journal «The Sun». «Il pourrait mener à des avortements simplement parce que des bébés sont du "mauvais" sexe», a-t-elle ajouté.
Le kit contient tous les éléments pour effectuer le test à partir d'une goutte de sang de la mère, qui doit la transmettre à la société qui le commercialise et peut ensuite consulter les résultats en ligne dans les six jours. Son coût est de 189,95 livres (278 euros) dans sa version de base, et de 239,95 dans sa version «rapide», qui permet de connaître les résultats en quatre jours.
Un kit controversé pour connaître le sexe de son enfant dès six semaines de grossesse
LEMONDE.FR
Connaître le sexe de son enfant... à seulement six semaines de grossesse : c'est ce que proposent l'entreprise britannique DNA Worldwide et l'américaine Acu-Gen Biolab, qui vendent des kits sur Internet. Des offres pour le moins controversées, certains pointant du doigt le risque d'eugénisme lié à cette pratique.
Les deux entreprises proposent des formules assez similaires, basées sur l'analyse de l'ADN fœtal circulant dans le sang de la mère. Cette technique, mise au point en 1997 par une équipe de chercheurs de Hongkong, consiste à rechercher dans le sang de la mère la présence d'un chromosome Y. Si on le trouve, il s'agit d'un garçon, sinon c'est une fille. En France, comme dans la plupart des pays, c'est généralement lors de la deuxième échographie, à environ 18-20 semaines de grossesse, qu'une femme peut connaître le sexe de son enfant.
Cette technique, comme tous les tests génétiques et ceux effectués dans le cadre du diagnostic prénatal, est très règlementée en France. Elle n'est utilisée que sur indication médicale, généralement dans le cadre de maladies génétiques touchant plus particulièrement les garçons, comme les myopathies ou l'hémophilie. "En France, le laboratoire et les médecins pratiquant ces tests doivent être agréés, et on ne peut absolument pas les faire pour convenance personnelle", explique le docteur Jean-Marc Costa, du laboratoire Pasteur Cerba, le seul dans l'hexagone à effectuer ces tests.
"POTENTIELLEMENT TRÈS DANGEREUX"
Pour environ 275 euros chacune, DNA Worldwide et Acu-Gen Biolab proposent un kit envoyé à domicile qui permet à la future mère de prélever elle-même une goutte de sang sur son doigt. Après l'avoir appliquée sur un petit bout de papier, elle transmet le tout à l'entreprise. Le résultat lui est ensuite envoyé à domicile ou via un code sur Internet quelques jours après. Si le résultat se révèle par la suite erroné, les entreprises s'engagent à rembourser leurs clients.
Pour le docteur Costala, la fiabilité avancée par l'entreprise est douteuse. "Premièrement, je doute qu'on puisse avoir suffisamment d'ADN fœtal dans une goutte de sang, surtout aussi tôt dans la grossesse", explique-t-il. Il se dit également "choqué" par ce service et dit craindre des dérives. "Forcément, il y a une arrière-pensée derrière tout cela. On ne fait pas ce genre de test uniquement pour choisir la couleur des vêtements du bébé. C'est pour choisir le sexe de l'enfant. Quand on sait qu'en France, une interruption de grossesse est autorisée jusqu'à douze semaines de grossesse, je trouve cela potentiellement très dangereux", estime-t-il. De son côté, David Nicholson, directeur de DNA Worldwide, cité par la BBC, rejette ces accusations, argüant que ce temps supplémentaire permet simplement aux parents de mieux organiser la venue de leur enfant.
http://www.20minutes.fr/article/156099/Sciences-Un-kit-pour-connaitre-le-sexe-de-son-enfant.php
Un kit pour connaître le sexe de son enfant
Les futures mères en Grande-Bretagne peuvent désormais découvrir le sexe de leur enfant à naître six semaines après le début de leur grossesse grâce à des tests ADN vendus sur internet.
Les résultats du test se basent sur la présence du chromosome Y dans le sang de la mère, qui indique que le bébé est un garçon. L'absence du chromosome Y signifie au contraire que le bébé est une fille. Les femmes ont en effet deux chromosomes sexuels semblables (XX), tandis que les hommes en ont deux distincts (XY).
La société DNA Worldwide, qui vend déjà ces kits aux Etats-Unis, affirme que le test est fiable à 99% et s'engage à rembourser les parents en cas d'erreur. «Les ultrasons ne sont pas toujours sûrs pour déterminer le sexe d'un bébé, et sont en général effectués quatre à six mois après le début de la grossesse», affirme la société sur son site internet. Elle proclame que son test constitue «la meilleure solution pour déterminer le sexe d'un enfant à naître».
Mais le test a déjà créé la polémique en Grande-Bretagne car il peut, selon les militants anti-avortement, permettre aux couples qui le désirent de «choisir» le sexe de leur enfant en avortant. Les avortements peuvent être effectués jusqu'à 24 semaines, soit six mois, en Grande-Bretagne après le début de la grossesse. «Ce test est très dangereux», a affirmé Michaela Aston, porte-parole de l'association anti-avortement Life, au journal «The Sun». «Il pourrait mener à des avortements simplement parce que des bébés sont du "mauvais" sexe», a-t-elle ajouté.
Le kit contient tous les éléments pour effectuer le test à partir d'une goutte de sang de la mère, qui doit la transmettre à la société qui le commercialise et peut ensuite consulter les résultats en ligne dans les six jours. Son coût est de 189,95 livres (278 euros) dans sa version de base, et de 239,95 dans sa version «rapide», qui permet de connaître les résultats en quatre jours.
Un kit controversé pour connaître le sexe de son enfant dès six semaines de grossesse
LEMONDE.FR
Connaître le sexe de son enfant... à seulement six semaines de grossesse : c'est ce que proposent l'entreprise britannique DNA Worldwide et l'américaine Acu-Gen Biolab, qui vendent des kits sur Internet. Des offres pour le moins controversées, certains pointant du doigt le risque d'eugénisme lié à cette pratique.
Les deux entreprises proposent des formules assez similaires, basées sur l'analyse de l'ADN fœtal circulant dans le sang de la mère. Cette technique, mise au point en 1997 par une équipe de chercheurs de Hongkong, consiste à rechercher dans le sang de la mère la présence d'un chromosome Y. Si on le trouve, il s'agit d'un garçon, sinon c'est une fille. En France, comme dans la plupart des pays, c'est généralement lors de la deuxième échographie, à environ 18-20 semaines de grossesse, qu'une femme peut connaître le sexe de son enfant.
Cette technique, comme tous les tests génétiques et ceux effectués dans le cadre du diagnostic prénatal, est très règlementée en France. Elle n'est utilisée que sur indication médicale, généralement dans le cadre de maladies génétiques touchant plus particulièrement les garçons, comme les myopathies ou l'hémophilie. "En France, le laboratoire et les médecins pratiquant ces tests doivent être agréés, et on ne peut absolument pas les faire pour convenance personnelle", explique le docteur Jean-Marc Costa, du laboratoire Pasteur Cerba, le seul dans l'hexagone à effectuer ces tests.
"POTENTIELLEMENT TRÈS DANGEREUX"
Pour environ 275 euros chacune, DNA Worldwide et Acu-Gen Biolab proposent un kit envoyé à domicile qui permet à la future mère de prélever elle-même une goutte de sang sur son doigt. Après l'avoir appliquée sur un petit bout de papier, elle transmet le tout à l'entreprise. Le résultat lui est ensuite envoyé à domicile ou via un code sur Internet quelques jours après. Si le résultat se révèle par la suite erroné, les entreprises s'engagent à rembourser leurs clients.
Pour le docteur Costala, la fiabilité avancée par l'entreprise est douteuse. "Premièrement, je doute qu'on puisse avoir suffisamment d'ADN fœtal dans une goutte de sang, surtout aussi tôt dans la grossesse", explique-t-il. Il se dit également "choqué" par ce service et dit craindre des dérives. "Forcément, il y a une arrière-pensée derrière tout cela. On ne fait pas ce genre de test uniquement pour choisir la couleur des vêtements du bébé. C'est pour choisir le sexe de l'enfant. Quand on sait qu'en France, une interruption de grossesse est autorisée jusqu'à douze semaines de grossesse, je trouve cela potentiellement très dangereux", estime-t-il. De son côté, David Nicholson, directeur de DNA Worldwide, cité par la BBC, rejette ces accusations, argüant que ce temps supplémentaire permet simplement aux parents de mieux organiser la venue de leur enfant.
http://www.20minutes.fr/article/156099/Sciences-Un-kit-pour-connaitre-le-sexe-de-son-enfant.php
3 déc. 2008 à 20:43
3 déc. 2008 à 20:55