Obsessions sur des violences commises sur ma compagne
fabricefc
Messages postés2Date d'inscriptionvendredi 6 novembre 2015StatutMembreDernière intervention 6 novembre 2015
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6 nov. 2015 à 10:23
lafouine.
Messages postés102022Date d'inscriptionmercredi 7 octobre 2009StatutContributeurDernière intervention29 août 2023
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6 nov. 2015 à 12:57
Bonjour,
Je me permets de m'adresser à vous, peut être est ce sans objet et je m'en excuse par avance.
J'espère que vous prendrez néanmoins le temps de lire ce (long mail) car je suis en détresse et je ne sais où m'adresser, et je vous en remercie par avance.
La première chose qui peut paraître surprenante et « hors sujet » est que je suis un homme, qui s'adresse à une association pour la défense des femmes...
Je me permets de ma présenter. Je suis un homme de 47 ans, très respectueux des femmes et qui l'a toujours été, soit par éducation, soit par nature.
Certainement du au fait que j'ai grandi sous l'influence très bénéfique de 2 femmes qui m'ont élevé et pour lesquelles j'ai le plus grand respect même si elles sont décédées à savoir ma mère et ma grand-mère, et au fait que j'ai grandi avec un entourage de cousines.
Je n'ai pas pour autant de tendances homosexuelles, juste un grand respect des femmes.
Je n'hésiterai pas à mettre ma vie en péril pour aider des femmes et je suis de tous les combats pour l'égalité et le respect des femmes.
Je n'ai connu que 3 femmes dans ma vie, même pas de flirt étant jeune, 2 ont été mes épouses et la troisième le sera bientôt j'espère.
J'ai un esprit très chevaleresque et gentlemen.
J'ai rencontré ma compagne actuelle il y a un peu plus de 2 ans dans un contexte doublement particulier qui peuvent porter à jugement négatif, tant sur elle que sur moi.
D'abord nous nous sommes rencontrés sur un site de rencontre SM. Je sais toute l'image négative de ce type de jeux sexuels dans l'opinion publique, pourtant si éloignée dans les faits de la pratique que je peux en faire, avec beaucoup de respect pour ma partenaire, sans aucune envie « sadique » de la détruire ni physiquement ni psychologiquement.
Cela reste un jeu sexuel, juste un jeu. En dehors de ces jeux où je suis dominateur, la vie au quotidien se fait dans un soucis permanent d'égalité.
Pour faire un raccourci, l'image de ces jeux est celle d'un homme sadique qui domine une pauvre femme par des jeux humiliants ou douloureux qu'elle accepte dans une soumission totale, annihilatrice et destructrice.
Ma vision, partagée dans ce milieu, est que le rôle du Maître est tout au contraire d'être au service des envies de la Soumise. En effet, beaucoup de femmes s'interdisent certaines envies sexuelles, consciemment ou pas, sous l'emprise du « politiquement correct », de la religion, de la pression familiale... Le rôle du Maître, comme un guide, va être de lui permettre de vivre ces envies mais en lui « ordonnant » de les réaliser, ce qui la dédouane de réaliser un acte qu'elle s'interdit. Je ne sais pas si je suis bien clair, ce n'est pas évident d'évoquer cela en quelques lignes. Bien sur pour cela, il faut énormément d'Amour pour la personne qui crée la complicité, le dialogue, la confiance, de faire tomber des barrières, de prendre du temps, de faire presque un travail de psy, cela demande beaucoup d'investissement.
Oubliez les « 50 nuances de Grey », rien à voir avec la réalité...
J'espère ne pas vous choquer et ne pas déjà vous donner envie de cesser la lecture de ce mail.
Ensuite quand nous nous rencontrons en septembre 2013, ma compagne Cécile est mariée.
Elle s'est mariée avec son premier petit ami, elle est avec lui depuis ses 17 ans, soit 20 ans de vie commune. Ils ont 2 enfants de 10 et 14 ans.
Néanmoins, je reprends ses propos quand je la rencontre, elle n'est pas heureuse en couple.
Elle souhaite depuis longtemps se séparer mais lui refuse, il refuse même d'en parler.
Il faut savoir que Cécile est une « Mère Théresa » comme je la surnomme, la plus gentille personne que j'ai rencontré dans ma vie, d'un altruisme total.
Quand elle rencontre son mari, il a comme elle 17 ans, il a perdu 1 an auparavant ses parents et sa soeur dans un accident de voiture où lui seul a survécu. Il n'en faut pas plus à Cécile pour craquer et lui venir en aide. De là naît, très provisoirement, une relation amoureuse.
Assez rapidement, ce sentiment s'estompe chez elle, mais entre son altruisme, sa peur de faire mal aux autres, la pression familiale et religieuse, elle ne se sent pas capable de quitter cet homme avec lequel elle n'a pourtant rien en commun, aucun centre d'intérêt commun, aucune vision commune de la vie dans aucun domaine, y compris sexuellement.
Le mariage, la construction de la maison, les 2 enfants, plus le temps passe, elle se sent unie à lui définitivement.
Elle tente différente choses pour « survivre » dans ce couple, en vain.
Alcoolique et dépressif, sans emploi, elle le soutient mais tombe elle aussi dans la dépression, envisage le suicide, dont elle tente de se sortir seule.
Elle décide alors pour s'en sortir, contre ses valeurs mais pour survivre simplement, de vivre ses envies sexuelles, donc SM dans l'adultère.
Elle obtient une sorte d'accord tacite de la part de son mari « tant qu'il n'en sait rien », mari qu'elle décrit comme gentil et apathique.
Elle se lance alors dans « l'aventure SM ».
Cependant elle est novice dans ce domaine, naïve et inexpérimentée au niveau des hommes puisqu'elle n'en a connu qu'un seul et va tomber dans les griffes de « prédateurs ».
En souffrance psychologique, en carence affective à cause d'un mari qui la néglige totalement, elle succombe aux belles paroles de séducteurs/manipulateurs qu'elle rencontre sur internet.
Il faut aussi savoir que si elle se donne comme quête de trouver un amant qui va lui apporter de satisfaire ses envies sexuelles SM, il se cache derrière ces envies SM non pas comme elle croit le penser de façon « politiquement correcte » des envies sexuelles, mais une continuité de son envie de destruction qu'elle transforme en jeux sexuels. Sa vie la dégoûte, elle se dégoûte (elle n'a jamais eu d'estime d'elle-même malgré la belle personne qu'elle est), et ne pouvant se détruire définitivement par le suicide qui ferait souffrir ses proches, elle va chercher dans les jeux SM une destruction, une annihilation à petite dose, mais réelle.
Son « choix » inconscient se porte donc vers des dominants destructeurs, psychologiquement et/ou physiquement.
Elle tombe dans un milieu SM proche d'une secte où quelques dominants sont comme des gourous. Ils profitent de la détresse psychologique de femmes, de leur carence affective, de besoin nocifs de destruction, dans lesquels dans leurs petits intérêts personnels sadiques, ils les encouragent, leur bourrant le crâne qu'une bonne soumise est une soumise qui réalise tous les désirs de son maître. Paradoxalement, dans cet univers malsain, Cécile trouve une sorte de « reconnaissance », ce qu'elle n'a jamais connu de son mari. Elle accepte des choses atroces, des « tortures » physiques extrêmes, des rapports sexuels « forcés » dans l'échangisme (j'écris forcé car elle exprime qu'elle ne le souhaite pas mais on lui dit encore qu'en bonne soumise elle doit l'accepter), de réelles violences (elle en aura une dent fêlée), et une aliénation psychologique digne de ce qu'on peut imaginer d'une secte.
La reconnaissance a tout prix... Elle qui s'est toujours ressentie rejetée, pensant cela en lien avec un certain embonpoint, elle qui n'a jamais eu de compliment par son mari, elle qui ne pensait pas pouvoir plaire, tout cela se réalise enfin, même si d'une part tout cela est fictif (ce n'est pas Cécile qui les intéresse mais un corps à torturer) et même si c'est nocif pour elle au final, allant parfois dans certains jeux et dans certaines rencontres, à mettre se vie en danger.
Je lui ai souvent comparé cette situation avec celle des jeunes en banlieue qui acquièrent leur notoriété parce qu'ils ont tué un flic. Ok ils ont une reconnaissance d'un groupe, mais cela est il juste et sain ?.
Elle qui se voulait la femme d'un seule homme dans une vie familiale rangée, trahit toutes ses valeurs, par l'adultère et par des jeux et partenaires nombreux...
Mais ces « séances », ces rdv de quelques heures par semaine où elle a sa dose de destruction, lui permet de tenir la tête hors de l'eau dans une vie du quotidien où elle tente de survivre.
Cette situation dure 5 ans... Heureusement, Cécile est une femme intelligente et petit à petit, après chaque nouvelle expérience et dominant qu'elle quitte (ses relations sont de plus en plus courtes) car elle prend conscience du danger de ces relations, partiellement aussi de la destruction dont elle a tant besoin et décide de tourner le dos au SM, même si elle reste en contact virtuel avec ce milieu, cette « secte » où elle croit avoir des amis.
C'est à ce moment que je la rencontre. Je vis seul depuis 3 ans, j'ai des envies SM que je n'ai jamais vraiment assouvi sauf de façon très « théâtrales » partiellement avec ma précédente épouse. Après 3 ans de galères dans un divorce difficile, de soucis professionnels, des problèmes financiers, l'horizon s'éclaircit et ma psy me conseille de penser enfin un peu à moi et m'encourage à aller sur des sites de rencontres SM.
Je le fait sans conviction... Sans envie réelle... Après 2 divorces, je ne crois plus en l'Amour, encore moins à la possibilité de le vivre dans le cadre de mes envies SM.
Je rencontre alors Cécile, nous sommes l'un comme l'autre sans espoir et le but de nos échanges est juste de « confronter » ma vision d'un théoricien du SM (je m'y intéresse depuis mes 20 ans) sans expérience, et sa vision de soumise expérimentée.
Nous sommes éloignés, moi en Picardie, elle en Belgique à plus de 200 km.
Mais dès les premiers mails, c'est el coup de foudre (auquel je n'avais jamais cru).
Je rencontre une femme extraordinaire, touchante, avec qui j'ai beaucoup de valeurs en commun (même si elles les a trahis durant ces 5 années de SM), qui plus est très jolie (il faut être honnête), et que ô surprise, j'intéresse...
Elle rencontre un homme qui partage aussi ses valeurs, qui lui propose le SM dont elle a toujours rêvé (même si les autres lui avaient tenu le même discours pour la séduire même si après dans les actes ils font tout le contraire).
Nous devenons amants... (il était inconcevable pour moi d'aimer une femme mariée, mais je suis- et je suis toujours - fou d'elle...)
Mon côté « chevaleresque » voit aussi une femme en grande souffrance qu'il faut aider.
Je « décide » donc de l'aimer pour lui montrer ce qu'est vraiment l'Amour, dans un double but :
1/ A moyen terme lui faire quitter son mari, en lui montrant par mon exemple et celui de ma fille qu'un divorce est préférable à une vie infernale
2/ Lui faire comprendre toute la réalité sur ces 5 années de SM dont elle peut à la fois me dire qu'elle y a connu des choses horribles (quand le femme intelligente parle) et à la fois valoriser cette période (quand la femme en quête de destruction, mais aussi de reconnaissance parle).
Ses propos se contredisent, sont incohérents, elle a mis « 36 couches de vernis » sur cette période sombre pour se protéger et ne pas voir ô combien on a profité d'elle et que les gens de ce milieu qu'elle considère comme des amis sont en fait des profiteurs.
Mon Amour est sincère pour elle, d'une intensité que je n'ai jamais connue. En aucun cas je ne veux profiter d'elle, je ne veux que lui apporter tout le bonheur qu'une femme de sa qualité mérite et la satisfaire dans tous les domaines.
Donc à contrario de mes « prédécesseurs » qui ont encouragé ses envies de destruction en les valorisant, emballant cela dans des mots de séduction sans aucune sincérité, et compte tenu de ma vision du SM où la soumise doit « grandir » dans le respect de ses valeurs et de ses envies en étant elle-même et pas un « joujou sexuel », accordant une grande place au dialogue, je la mets en garde contre ses envies de destruction, de jeux que je trouve trop « hards » et nocifs tant physiquement que psychologiquement. Même dans les jeux de « douleur », toujours soft chez moi comme la fessée, je refuse de lui donner la douleur dont elle semble avoir besoin.
Et petit à petit la magie opère, l'Amour, la tendresse, l'attention, comblent ses besoins de douleur et notre relation s'intensifie.
Assez rapidement, je joue (sur les conseils de ma psy) sur mon rôle de Maître et je lui ordonne de couper tous les ponts avec ce milieu que je sais malsain même si elle a l'époque n'en a pas pleinement conscience. Sans vraiment comprendre, elle le fait pour moi.
Comme pour une secte, il fallait la sortir totalement de ce milieu pour qu'elle conscientise la réalité de cette période SM de 5 ans.
Petit à petit, souvent dans le déchirement, il faudra 2 ans, en fin de cet été 2015, pour que les dernières couches de vernis tombent et qu'elle prenne pleinement conscience de la nocivité pour elle de ces gens.
Première « mission » accomplie...
Sur le plan marital, les choses vont rapidement se compliquer car un peu plus de 4 mois après le début de notre relation, un événement de taille se produit.
Elle m'appelle un soir après que nous ayant passé la journée ensemble, en pleurs au téléphone car son mari, agacé par son retard et surtout supposant, je pense, qu'elle est avec un amant la met à la porte « violemment », même si ensuite il lui demande de revenir.
Je découvre alors que son mari n'est pas le gentil mari apathique qu'elle m'a décrit, mais un homme maltraitant, uniquement dans les paroles (et les regards), mais sans violence physique (apparemment, elle est tellement dans le déni de cette situation que je ne peux en être sur).
J'apprends aussi qu'il règne par la peur et les menaces, lui disant (criant) que si elle le quitte, il va la tuer, se suicider, tuer son amant...
Avant cet événement, je l'avais encouragé à aller voir un psy, pour sa situation maritale et aussi pour ses penchants à la destruction, ce qu'elle avait fait, et son constat était qu'effectivement, tant pour elle que pour les enfants, elle devait se séparer.
J'étais prêt à lui laisser tout le temps pour ça et à la soutenir, mais me faisant un devoir de ne pas l'y pousser, je voulais quel la prise de conscience et la démarche vienne d'elle-même.
Mais cette nouvelle donne d'un mari violent, maltraitant, change la donne...
Je la pousse à se rendre dans des centres d'assistance aux femmes en situation de maltraitance pour que des personnes extérieures, sans intérêt, la sort de ce déni et lui fasse prendre conscience qu'elle est en situation de maltraitance et qu'elle n'a pas d'autre choix, autant pour elle que pour l'exemple qu'elle donne à ses filles, que de quitter son mari.
Elle le fait et ces associations confirment mes dires.
Mais la peur, l'inconnu, sa volonté de ne blesser personne pas même un mari maltraitant, l'inquiétude de la réaction de ses filles, la font encore hésiter.
Vivre en sachant qu'à tout moment cette femme extraordinaire que j'aime peut se faire maltraiter par son mari m'est insupportable... Je sombre à mon tour dans une sorte de dépression, je n'en dors plus.
Entre l'Amour que j'ai pour elle, et un sens très développé de la justice (et du respect des femmes) qui me révolte contre ce type de situation, ma vie devient un enfer.
Je pose donc assez rapidement l'ultimatum ne voyant pas d'autre solution face à ses hésitations : c'est lui ou moi !
Elle sait que je peux lui apporter tout le bonheur dont elle a toujours rêvé, que je suis l'homme de sa vie (tout comme je pense qu'elle est la femme de ma vie) et fais le choix de la séparation.
Globalement, la séparation se passe bien, sans violence (contrairement aux menaces).
Ses filles l'acceptent assez bien (l'ado lui avait déjà exprimé avant qu'elle devait le faire).
Son mari est suivi par un psy mais ne sombre ni dans la dépression, ni dans l'alcool.
Il retrouvera quelques mois plus tard lui aussi une compagne.
Le divorce se passe bien tant au niveau relationnel que financièrement.
Cécile après quelques mois de location achète sa propre maison et s'y sent bien.
Elle crée une relation nouvelle avec ses filles, dont elle profite bien plus qu'avant dans un foyer où elle n'avait pas envie de rentrer, dans un climat permanent de disputes et de violences, qu'elle fuyait en passant des heures sur internet au détriment de temps passé avec ses filles.
Même si elle a une garde alternée et ne voit ses filles que la moitié du temps, ces moments sont précieux et leurs relations sont nettement plus fortes qu'avant.
Quelques mois après elle me présente aux filles, ça se passe assez bien, et aussi à sa famille.
Nous envisageons très sérieusement le mariage et aimerions avoir un enfant, ce qui ne serait pas raisonnable, une relation à distance n'étant déjà pas simple à gérer.
Tout va donc bien 2 ans après notre rencontre si je m'arrête là.
Mais hélas ce n'est pas le cas car je rencontre un problème psychologique qui gâche ce qui pourrait être un rêve.
En effet, quand je la rencontre, « formatée » par ce milieu SM où on cultive qu'une bonne soumise est une soumise qui accepte tout et surtout l'inacceptable, pensant que j'étais dans cet état d'esprit (tout au contraire !) et pour séduire le Maître que je suis, elle me raconte, se vante même, de toutes ces choses horribles qu'elle a acceptées.
Et à ce jour, je suis victime d'obsession car ces images me hantent en permanence l'esprit.
C'est devenu invivable, j'ai entrepris un suivi depuis plus d'un an avec un psy, nous avons essayé beaucoup de choses tant sur le plan médicamenteux que des théories comportementales et cognitives, en vain (je suis son 1er échec).
Cela a des conséquences sur mon travail où je ne suis pas efficace et fait des erreurs à cause des traitements et de la fatigue due aux insomnies.
J'avoue en avoir même du mal à assumer la garde de ma fille, malgré tout l'Amour que je lui porte.
Mon esprit n'a pas de repos, dès qu'il n'est pas occupé, des flashs de ces expériences qu'elle a vécues, entraînant de fortes souffrances. Je ne peux même plus me détendre 5mn dans un bain...
Je ne vous cache pas que j'ai envie de tuer ces monstres.
A défaut de pouvoir le faire, la souffrance est si forte que j'en suis arrivé à des scarifications et des envies parfois très fortes de suicide.
Cécile est au courant de ses souffrances, elles gâchent souvent nos propres moments de plaisir, et du coup en souffre aussi indirectement.
Je me permets de venir vers vous car je considère, quitte à vous choquer, que ces monstres sont assimilables à des violeurs. Leur GHB étant la détresse psychologique et la carence affective de Cécile.
Certes, Cécile était juridiquement « consentante ». Mais cette notion de consentement implique « une vision éclairée » des choses, or son état psychologique ne le permettait pas.
D'autant plus sachant qu'elle est déjà victime, dans le déni, de violences conjugales.
Je compare souvent ce milieu qu'elle a fréquenté avec une secte. On sait que souvent les gourous des sectes en profitent, bourrant le crâne à leurs victimes, pour obtenir des faveurs sexuelles, pédophiles parfois.
Peut-on parler de consentement de ces femmes « formatées » lorsqu'elles acceptent des actes sexuels ?
Je comprends que si vous avez affaire à des cas de « vrais » viols, sans consentement, mes propos peuvent vous paraître très déplacés.
Mais je cherche des solutions à mes souffrances dues à ces flashs et j'ai pensé que si je pouvais échanger avec des hommes dont les femmes ont été victimes de viols, qui doivent, je pense également en souffrir, peut être avec aussi l'envie de tuer le violeur, cela pourrait m'aider.
J'aurais besoin de votre avis, je vous remercie de m'avoir lu jusqu'au bout et j'espère que vous comprendrez ma démarche et ne la trouverez pas déplacée, si tel est le cas, je m'en excuse par avance.
Fabrice
A voir également:
Obsessions sur des violences commises sur ma compagne
lafouine.
Messages postés102022Date d'inscriptionmercredi 7 octobre 2009StatutContributeurDernière intervention29 août 202319 537 6 nov. 2015 à 11:46
Bonjour
Bien sûr qu'elle a vécu des viols !
Même en sm ,dire NON c'est NON .
Il doit toujours y avoir le respect .
La soumission ok. Mais en jeu malgré tout .
Il y a des ordres ok , mais dans la limite de ce que l'autre veut !
fabricefc
Messages postés2Date d'inscriptionvendredi 6 novembre 2015StatutMembreDernière intervention 6 novembre 2015 6 nov. 2015 à 11:54
Bonjour
Merci tout d'abord de répondre et de le faire sans préjugés.
Merci de me "rassurer" que cette situation est assimilable à du viol.
J'ai contacté des associations de femmes violées dans l'espoir de pouvoir entrer en contact avec leurs maris pour savoir comment eux le vivent, savoir s'ils ont des ressentis proches des miens, pour bénéficier de leurs conseils afin de m'en sortir.
Fabrice
lafouine.
Messages postés102022Date d'inscriptionmercredi 7 octobre 2009StatutContributeurDernière intervention29 août 202319 537
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fabricefc
Messages postés2Date d'inscriptionvendredi 6 novembre 2015StatutMembreDernière intervention 6 novembre 2015 6 nov. 2015 à 12:57
Pourquoi vous jugerais je ?
Ce que je peux te dire , c'est que le conjoint n'est pas un soignant. Et qu'elle ne devrait pas vous donner de détail , ni vous en parler de trop.
Cela la soulage ,ok , mais toi ,tu ne sais plus quoi faire de ce poids là .
6 nov. 2015 à 11:54
Merci tout d'abord de répondre et de le faire sans préjugés.
Merci de me "rassurer" que cette situation est assimilable à du viol.
J'ai contacté des associations de femmes violées dans l'espoir de pouvoir entrer en contact avec leurs maris pour savoir comment eux le vivent, savoir s'ils ont des ressentis proches des miens, pour bénéficier de leurs conseils afin de m'en sortir.
Fabrice
6 nov. 2015 à 12:57
Ce que je peux te dire , c'est que le conjoint n'est pas un soignant. Et qu'elle ne devrait pas vous donner de détail , ni vous en parler de trop.
Cela la soulage ,ok , mais toi ,tu ne sais plus quoi faire de ce poids là .