Alimentation des personnes (jeune et adulte) vivant avec le HIV
NGOSOUCK
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Bonjour,
A priori (tout au moins en France), s'il n'y a aucune carence alimentaire déjà présente, une alimentation simplement équilibrée, non hypercalorique, est amplement suffisante. Ceci dans le cadre de la seule séropositivité.
Dans le cadre du SIDA maladie, tout dépend du comportement alimentaire du patient et du degré d'altération de ses fonctions physiologiques essentielles.
A priori (tout au moins en France), s'il n'y a aucune carence alimentaire déjà présente, une alimentation simplement équilibrée, non hypercalorique, est amplement suffisante. Ceci dans le cadre de la seule séropositivité.
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10 nov. 2014 à 19:37
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J'ai répondu dans le cadre du simple contexte de séropositivité non compliquée car la question ne portait que sur ce critère.
Dans ce contexte précis, et concernant les questions relatives aux "macro- ou micronutriments", je ne pense pas (pour ma part) que cela soit vraiment prioritaire dans la nutrition basique d'un séropositif. L'équilibre entre les rations lipides, glucides et protides issus de produits de qualité, associé aux apports vitaminiques essentiels reste primordial. Après, chaque pays a ses spécificités en fonction des ses traditions alimentaires, culturelles et culinaires.
Quant aux problèmes nutritionnels posés par les patients malheureusement au stade du SIDA maladie, de son avancée et de ses différents paramètres, les cas de figure sont multiples selon le degré de complications organiques et le degré d'atteinte des fonctions physiologiques majeures. Et vu ces multiples cas de figure, je laisse la parole aux spécialistes de la nutrition s'il y en a qui passent par le forum.
Dans ce contexte précis, et concernant les questions relatives aux "macro- ou micronutriments", je ne pense pas (pour ma part) que cela soit vraiment prioritaire dans la nutrition basique d'un séropositif. L'équilibre entre les rations lipides, glucides et protides issus de produits de qualité, associé aux apports vitaminiques essentiels reste primordial. Après, chaque pays a ses spécificités en fonction des ses traditions alimentaires, culturelles et culinaires.
Quant aux problèmes nutritionnels posés par les patients malheureusement au stade du SIDA maladie, de son avancée et de ses différents paramètres, les cas de figure sont multiples selon le degré de complications organiques et le degré d'atteinte des fonctions physiologiques majeures. Et vu ces multiples cas de figure, je laisse la parole aux spécialistes de la nutrition s'il y en a qui passent par le forum.
10 nov. 2014 à 19:02
Ex: on peut trouver la vitamine C dans le citron, mais aussi dans le jus de Bissap (fleur d'hibiscus consommée dans certains pays) alors si je reste dans ma faim, c'est parce que je souhaiterais connaitre les nutriments et non les aliments (Si vous avez des connaissances physiologiques et nutritionnelles de certains aliments qui pourraient entrer en ligne de compte dans la composition des repas d'un malade atteint du HIV au stade du SIDA et présence des signes de dénutrition majeures qui en découlent,) alors j'aimerais les connaitre également et surtout le protocole du traitement médicamenteux ainsi que la durée du passage du stade SIDA à celui de virus non détectable dans son sérum. ,je saurais faire des calculs en fonction de son poids, de son age et de son état au moment de la consultation.
Tout compte fait, je reste convaincue qu'une alimentation adéquate et adaptée combinée au traitement médicamenteux bien suivi au stade avancé de la maladie serait incontestablement avantageux pour l'amélioration des malades oubliés quelque part.
Je vous remercie pour votre réponse nonobstant le vide qui reste non comblée.