Récidives de polypes
Résolu
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11 réponses
Bonjour
Il est très important de se faire aider, un soutien psychologique est surement nécessaire dans ton cas, beaucoup de choses à accepter, traverser le deuil de la séparation avec ta fille il y a une souffrance tu vis le temps de la colère et du questionnement.
Oui, je comprend la difficulté à vivre et accepter la maladie , ce n'est pas anodin.
C'est dur à accepter. C'est une guerre à mener, on ne sait pas si elle est finie, seulement si on voit un polype on sait qu'il faut attaquer et souffrir.
Le temps de la visite est toujours trop court pour le dialogue et on se retrouve seul avec ses questions, et on culpabilise d'avoir fumé.
Le médecin de famille est une aide, il peut nous accompagner, conseiller.
Un accompagnement psychologique pourrait t'aider à séparer tes émotions face à cette menace. Parfois des médicaments, c'est un médecin qui peut prescrire, mais pas forcé.
Toute la surface interne de la vessie a été irritée. Le doute. On ne sait pas alors on surveille.
L'endroit n'est pas le même: c'est que chaque polype trouvé a bien été supprimé, ne s'est pas aggravé, n'existe plus. Dans ce sens ce n'est pas une récidive, non. Chaque bataille a été gagnée.
Un nouveau polype a été trouvé alors qu'il fait seulement une tête d'épingle, la surveillance a payé c'est une bataille gagnée. On aurait pu ne pas le voir si on avait arrêté trop tôt la surveillance. Il faut l'attaquer tout de suite pour qu'il ne s'aggrave pas, n'existe plus.Pour gagner cette bataille.
Enlever le polype est douloureux c'est bien une opération en profondeur dans la paroi c'est bien grâce à cela que le polype repart pas à cet endroit. Et les 3 jours de spasme et de douleur c'est le temps de la cicatrisation de la paroi de la vessie. Le diabète ralentit la cicatrisation mais 3 jours est habituel.
Reporter sur la sonde et le chirurgien la cause de la douleur est habituel, c'est le rejet de la maladie que l'on transfère en rejetant les soins.
Se battre contre la maladie c'est aller au-devant de la douleur , se jeter dans la bataille c'est savoir que 3 jours on revient blessé, on est gêné et on a mal. L'accompagnement psychologique peut nous aider à prendre la décision quand elle fait peur, quand on est fatigué.
Oui, Tant que c'est superficiel on a des bonnes chances que ça reste superficiel même si on a pas la certitude cas par cas. Si on laisse jamais le temps de se développer à un nouveau polype s'il arrive. C'est très important. Au moindre signe.
C'est pour ça qu'il faut jamais arrêter la surveillance et le traitement même si elle est désagréable et qu'on sait jamais si un nouveau polype va apparaitre.
Suis le protocole que te propose le chirurgien pas à pas, établi sur des études, des cas assez nombreux pour montrer qu'il est plus adapté pour toi, même si on peut pas prédire chaque cas.
Et demande un accompagnement psychologique, ton médecin a pas complètement tord, on est pas tous des professionnel, on peut faire des erreurs, on peut être très maladroit tout en cherchant à t'aider.
Avec un accompagnement, si tu peux surmonter peu à peu la colère, tes difficultés et transformer tout ça en réflexion plus calme en prise de décision plus sereine quand c'est nécessaire. On sait très bien que les maladies décompensent souvent à une période de la vie où on est déjà affaibli physiquement, ou moralement. L'accompagnement psychologique participe directement ou indirectement à ton traitement, ta lutte contre une maladie. Supporter l'attente silencieuse sans savoir.
Surtout pour t'aider à supporter plus facilement la menace permanente qui vient du fait qu'on ne sait jamais ce qui se passe après, et t'aider à supporter la douleur et la gêne de chaque geste qui est une vraie bataille à chaque fois. Recentrer chaque fois avec l'objectif cette gêne ou cette douleur.
Trouver un polype assez tôt et l'opérer c'est une bataille gagnée.
Constater que les polypes précédents ont disparu c'est une bataille gagnée.
Revenir d'un contrôle sans trouver de polype c'est une bataille gagnée.
On en sait pas beaucoup plus que ces batailles gagnées mais on avance.
Il est très important de se faire aider, un soutien psychologique est surement nécessaire dans ton cas, beaucoup de choses à accepter, traverser le deuil de la séparation avec ta fille il y a une souffrance tu vis le temps de la colère et du questionnement.
Oui, je comprend la difficulté à vivre et accepter la maladie , ce n'est pas anodin.
C'est dur à accepter. C'est une guerre à mener, on ne sait pas si elle est finie, seulement si on voit un polype on sait qu'il faut attaquer et souffrir.
Le temps de la visite est toujours trop court pour le dialogue et on se retrouve seul avec ses questions, et on culpabilise d'avoir fumé.
Le médecin de famille est une aide, il peut nous accompagner, conseiller.
Un accompagnement psychologique pourrait t'aider à séparer tes émotions face à cette menace. Parfois des médicaments, c'est un médecin qui peut prescrire, mais pas forcé.
Toute la surface interne de la vessie a été irritée. Le doute. On ne sait pas alors on surveille.
L'endroit n'est pas le même: c'est que chaque polype trouvé a bien été supprimé, ne s'est pas aggravé, n'existe plus. Dans ce sens ce n'est pas une récidive, non. Chaque bataille a été gagnée.
Un nouveau polype a été trouvé alors qu'il fait seulement une tête d'épingle, la surveillance a payé c'est une bataille gagnée. On aurait pu ne pas le voir si on avait arrêté trop tôt la surveillance. Il faut l'attaquer tout de suite pour qu'il ne s'aggrave pas, n'existe plus.Pour gagner cette bataille.
Enlever le polype est douloureux c'est bien une opération en profondeur dans la paroi c'est bien grâce à cela que le polype repart pas à cet endroit. Et les 3 jours de spasme et de douleur c'est le temps de la cicatrisation de la paroi de la vessie. Le diabète ralentit la cicatrisation mais 3 jours est habituel.
Reporter sur la sonde et le chirurgien la cause de la douleur est habituel, c'est le rejet de la maladie que l'on transfère en rejetant les soins.
Se battre contre la maladie c'est aller au-devant de la douleur , se jeter dans la bataille c'est savoir que 3 jours on revient blessé, on est gêné et on a mal. L'accompagnement psychologique peut nous aider à prendre la décision quand elle fait peur, quand on est fatigué.
Oui, Tant que c'est superficiel on a des bonnes chances que ça reste superficiel même si on a pas la certitude cas par cas. Si on laisse jamais le temps de se développer à un nouveau polype s'il arrive. C'est très important. Au moindre signe.
C'est pour ça qu'il faut jamais arrêter la surveillance et le traitement même si elle est désagréable et qu'on sait jamais si un nouveau polype va apparaitre.
Suis le protocole que te propose le chirurgien pas à pas, établi sur des études, des cas assez nombreux pour montrer qu'il est plus adapté pour toi, même si on peut pas prédire chaque cas.
Et demande un accompagnement psychologique, ton médecin a pas complètement tord, on est pas tous des professionnel, on peut faire des erreurs, on peut être très maladroit tout en cherchant à t'aider.
Avec un accompagnement, si tu peux surmonter peu à peu la colère, tes difficultés et transformer tout ça en réflexion plus calme en prise de décision plus sereine quand c'est nécessaire. On sait très bien que les maladies décompensent souvent à une période de la vie où on est déjà affaibli physiquement, ou moralement. L'accompagnement psychologique participe directement ou indirectement à ton traitement, ta lutte contre une maladie. Supporter l'attente silencieuse sans savoir.
Surtout pour t'aider à supporter plus facilement la menace permanente qui vient du fait qu'on ne sait jamais ce qui se passe après, et t'aider à supporter la douleur et la gêne de chaque geste qui est une vraie bataille à chaque fois. Recentrer chaque fois avec l'objectif cette gêne ou cette douleur.
Trouver un polype assez tôt et l'opérer c'est une bataille gagnée.
Constater que les polypes précédents ont disparu c'est une bataille gagnée.
Revenir d'un contrôle sans trouver de polype c'est une bataille gagnée.
On en sait pas beaucoup plus que ces batailles gagnées mais on avance.