La sexualite en institution
Bonjour,
Comment protéger des abuts sexuel les résidentes atteints de la maladie d Alzheimer face aux hommes qui son aussi atteints de la maladie ?
ou son les limites du consentement des deux personne ?
J ai vécu en institution se problème avec ma collègue ,une déclaration de viole à été signalé sans suite par le procureur.
Et il y a des situations dans l institution qui ne son pas saine .
À qui doit ont se renseigner?
Comment protéger des abuts sexuel les résidentes atteints de la maladie d Alzheimer face aux hommes qui son aussi atteints de la maladie ?
ou son les limites du consentement des deux personne ?
J ai vécu en institution se problème avec ma collègue ,une déclaration de viole à été signalé sans suite par le procureur.
Et il y a des situations dans l institution qui ne son pas saine .
À qui doit ont se renseigner?
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6 réponses
Bonsoir,
"À qui doit ont se renseigner ?" se renseigner de quoi et dans quel but ?
Dans votre exemple le procureur a certainement "jugé" à juste titre le présumé violeur irresponsable donc la demande a été irrecevable.
C'est bien sûr au personnel de protéger les patients fragilisés physiquement ou intellectuellement.
Mais la sexualité est une réalité en institution, nous n'avons pas à intervenir si les personnes concernées sont majeures et consentantes.
"À qui doit ont se renseigner ?" se renseigner de quoi et dans quel but ?
Dans votre exemple le procureur a certainement "jugé" à juste titre le présumé violeur irresponsable donc la demande a été irrecevable.
C'est bien sûr au personnel de protéger les patients fragilisés physiquement ou intellectuellement.
Mais la sexualité est une réalité en institution, nous n'avons pas à intervenir si les personnes concernées sont majeures et consentantes.
Bonjour,
En général les malades alzeimer sont âgés, assez diminués, je ne pensais pas qu'ils puissent y avoir des problèmes de ce genre dans les institutions.
En général les malades alzeimer sont âgés, assez diminués, je ne pensais pas qu'ils puissent y avoir des problèmes de ce genre dans les institutions.
Bonjour.
Au cas où tu te poses des questions en lien avec le fonctionnement de l'institution pose la question plutôt sur Droit/Finances qui est l'autre section du site :
http://droit-finances.commentcamarche.net/forum/sante-27
Au cas où tu te poses des questions en lien avec le fonctionnement de l'institution pose la question plutôt sur Droit/Finances qui est l'autre section du site :
http://droit-finances.commentcamarche.net/forum/sante-27
Bonjour,
Nous pouvons continuer ici par une discussion sous un éclairage purement médical.
Les personnes victimes d'un Alzheimer sont avant tout des malades. Et des malades dont les facultés de raisonnement, d'analyses, de discernement sont altérés à des degrés divers. Y compris dans des domaines aussi sensibles que la pudeur physique et celle des sentiments. En résumé, on est parfois confronté à des comportements à l'état brut sans frein moral et qui vont au delà des règles de vie en société ou en collectivité.
En aucun cas il s'agit de comportements délictueux mais uniquement de manifestations liées à une maladie neurologique dégénérative à caractère démentiel particulièrement difficile à vivre notamment pour l'entourage familial de ces malades.
"une déclaration de viole à été signalé sans suite par le procureur. "
Le procureur a eu entièrement raison.
"Comment protéger des abuts sexuel les résidentes atteints de la maladie d Alzheimer face aux hommes qui son aussi atteints de la maladie ? "
Il n' a en aucun cas la notion d'abus mais uniquement la notion de troubles du comportements directement liés à une maladie.
En institution, cela demande une organisation spécifique afin d'éviter tout "incident" entre malades. C'est très couteux aussi bien en personnel qualifié qu'en infrastructures adaptées.
Il ne faut pas confondre cette situation avec celle concernant la sexualité des résidents encore en pleine possession de leur facultés intellectuelles et physiques et qui agissent en parfaite connaissance de cause entre adultes matures et consentants.
Nous pouvons continuer ici par une discussion sous un éclairage purement médical.
Les personnes victimes d'un Alzheimer sont avant tout des malades. Et des malades dont les facultés de raisonnement, d'analyses, de discernement sont altérés à des degrés divers. Y compris dans des domaines aussi sensibles que la pudeur physique et celle des sentiments. En résumé, on est parfois confronté à des comportements à l'état brut sans frein moral et qui vont au delà des règles de vie en société ou en collectivité.
En aucun cas il s'agit de comportements délictueux mais uniquement de manifestations liées à une maladie neurologique dégénérative à caractère démentiel particulièrement difficile à vivre notamment pour l'entourage familial de ces malades.
"une déclaration de viole à été signalé sans suite par le procureur. "
Le procureur a eu entièrement raison.
"Comment protéger des abuts sexuel les résidentes atteints de la maladie d Alzheimer face aux hommes qui son aussi atteints de la maladie ? "
Il n' a en aucun cas la notion d'abus mais uniquement la notion de troubles du comportements directement liés à une maladie.
En institution, cela demande une organisation spécifique afin d'éviter tout "incident" entre malades. C'est très couteux aussi bien en personnel qualifié qu'en infrastructures adaptées.
Il ne faut pas confondre cette situation avec celle concernant la sexualité des résidents encore en pleine possession de leur facultés intellectuelles et physiques et qui agissent en parfaite connaissance de cause entre adultes matures et consentants.
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Bonjour DCI,
Je suis tout à fait en accord avec vous mais en institution nous accueillons des personnes âgée avec indifférente pathologie et il y a des femmes que nous avons retrouver denuder le matin et depuis que la personne âgée est partit de l unité ,il n y a plus se problème .
Pourquoi attendre qu' il arrive un viole pour faire agire l institution et la victime elle est oublier ?ainsi que la famille !rien à été mis en place
Je suis tout à fait en accord avec vous mais en institution nous accueillons des personnes âgée avec indifférente pathologie et il y a des femmes que nous avons retrouver denuder le matin et depuis que la personne âgée est partit de l unité ,il n y a plus se problème .
Pourquoi attendre qu' il arrive un viole pour faire agire l institution et la victime elle est oublier ?ainsi que la famille !rien à été mis en place
