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1 réponse
Pour certaines approches psychosomatiques (psychisme et corps sont en relation constante et s'influencent l'un l'autre), un "choc" psychologique impacte notre corps et peut provoquer des maladies.
Thérapeutiquement trouver le choc et travailler dessus de manière "psychothérapeutique" débloque les choses et permet au corps de s'autoguérir, de retrouver un fonctionnement "normal".
" Pourquoi apparaît telle maladie, en réponse à quel conflit émotionnel non résolu ? "
Voilà la question centrale de ce type d'approche.
Théoriquement, un choc provoque des émotions qui vont mettre notre fonctionnement (corps) en alerte pouvant amener une maladie en réaction.
Libérer l'énergie de cette émotion mal digérée soulage le corps du stress et il n'est plus nécessaire de "somatiser".
Une phrase résume bien ce principe : ce qui ne s'exprime (les ressentis du choc) s'imprime (dans le corps).
Pour le vitiligo le type de ressenti conflictuel peut être en rapport avec, au choix (liste indicative non-exhaustive !):
- une "souillure" (réelle, symbolique... devoir montrer patte blanche ?),
- un "déshonneur" (ou quelque chose ressenti comme tel),
- un besoin de lumière (symboliquement, le regard d'un "père"),
- une séparation ou un besoin de protection vis à vis de la "lumière" (symboliquement, le regard d'un "père"),
- refus d'une différence (couleur de peau, tradition religieuse...),
- un choc en rapport avec la couleur blanche.
Il peut y avoir encore d'autres raisons psychologiques (psycho-bio-logiques, en fait)...
La zone corporelle concernée est généralement impliquée lors du choc traumatique - ce qui explique que souvent le vitiligo (comme le mélanome) apparaît de façon assez précise.
La difficulté est de retrouver, avec l'aide d'un professionnel de l'accompagnement (thérapeute), l'évènement à l'origine. Difficile car il est devenu inconscient puisque s'exprimant par le corps.
Maintenant, une approche purement médicale, qui s'intéresse essentiellement aux symptômes physiques, apporte aussi des solutions.
Les deux approches se complètent assez bien.
"Zozo" (le 17 octobre 2008) évoque un choc, sans en préciser la nature.
Voilà pourquoi ce type d'interprétation et la thérapie associée peuvent être particulièrement bienvenus.
Bonne chance.
Thérapeutiquement trouver le choc et travailler dessus de manière "psychothérapeutique" débloque les choses et permet au corps de s'autoguérir, de retrouver un fonctionnement "normal".
" Pourquoi apparaît telle maladie, en réponse à quel conflit émotionnel non résolu ? "
Voilà la question centrale de ce type d'approche.
Théoriquement, un choc provoque des émotions qui vont mettre notre fonctionnement (corps) en alerte pouvant amener une maladie en réaction.
Libérer l'énergie de cette émotion mal digérée soulage le corps du stress et il n'est plus nécessaire de "somatiser".
Une phrase résume bien ce principe : ce qui ne s'exprime (les ressentis du choc) s'imprime (dans le corps).
Pour le vitiligo le type de ressenti conflictuel peut être en rapport avec, au choix (liste indicative non-exhaustive !):
- une "souillure" (réelle, symbolique... devoir montrer patte blanche ?),
- un "déshonneur" (ou quelque chose ressenti comme tel),
- un besoin de lumière (symboliquement, le regard d'un "père"),
- une séparation ou un besoin de protection vis à vis de la "lumière" (symboliquement, le regard d'un "père"),
- refus d'une différence (couleur de peau, tradition religieuse...),
- un choc en rapport avec la couleur blanche.
Il peut y avoir encore d'autres raisons psychologiques (psycho-bio-logiques, en fait)...
La zone corporelle concernée est généralement impliquée lors du choc traumatique - ce qui explique que souvent le vitiligo (comme le mélanome) apparaît de façon assez précise.
La difficulté est de retrouver, avec l'aide d'un professionnel de l'accompagnement (thérapeute), l'évènement à l'origine. Difficile car il est devenu inconscient puisque s'exprimant par le corps.
Maintenant, une approche purement médicale, qui s'intéresse essentiellement aux symptômes physiques, apporte aussi des solutions.
Les deux approches se complètent assez bien.
"Zozo" (le 17 octobre 2008) évoque un choc, sans en préciser la nature.
Voilà pourquoi ce type d'interprétation et la thérapie associée peuvent être particulièrement bienvenus.
Bonne chance.
