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8 réponses
bsr Valerie
le parcours affectif et psychologique de chacun de nous est aussi assez fréquemment marqué par les vicissitudes de la vie et ses mauvais coups , sa marque certainement seulement je pense qu’arriver à relativiser , banaliser certaines choses autour de soi , autrement dit être un brin philosophe , considérer à leur juste valeur de petits bonheur quotidien que peu savent apprécier sauf quand on les perd constituent un début de quiétude intérieure à laquelle tout le monde aspire mais rare ceux qui y accède , parce que et de nature nous ne voyons pas ce que nous avons en main mais sommes soucieux de ce que nous n’avons pas et donc éternellement insatisfait et soucieux , regarder le soleil , un paysage ou le sourire d’un enfant , écouter le gazouillis des oiseaux , le bruit du vent ou la voix d’un ami , avoir la santé , faire des choses qu’on aime etc.. Une somme de choses très simples mais pas évidentes pour tous et donc c’est juste en soi qu’il faille trouver l’énergie nécessaire pour positiver et garder le sourire .
écoutez les battements de votre coeur. écoutez-le vraiment.
votre coeur bat et il ne cesse de vous dire que vous êtes en vie.
écoutez-le et il va vous parler. ce sera peut-être long mais cela vaut le coup d'essayer.
comment analysez-vous votre malaise ?
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bonsoir a toutes et à tous
et merci de votre soutien et de vos réponses, en fait mon malaise date depuis mon adolescence, mon père s'est donné la mort, j'avais à peine 17 ans, je venais d'obtenir deux diplômes et j'ai dû m'occuper de tout à la maison, ma mère étant dépressive, j'ai été livrée à moi même durant trop longtemps, et ce malaise qui est né en 1987 n'a jamais cessé d'être dans mon coeur, je crois que la vie m'a trop fait vite grandir, alors que je n'y étais pas du tout préparée...
je comprends votre "malaise" , enfin, j'essaie car évidemment je ne suis pas à votre place.
déjà, le fait de pouvoir le dire est une avancée.
je m'explique, j'ai une collègue de 30 ans qui me semblait vraiment souffrir de quelque chose de familial. elle souffre de procrastination, elle est figée. nous parlons beaucoup mais je m'aperçois qu'elle écoute beaucoup. elle aime faire parler les autres de leur famille mais ne dit jamais rien de son côté.
j'ai appris qu'elle avait perdue sa maman à 20 ans, d'un suicide.
depuis je suis perplexe, dois-je lui en parler ? je lui tend des perches mais c'est un mur.
le suicide d'un parent n'est pas une "expérience" à supporter seule. avez-vous des oncles et tantes qui pourraient être d'un secours moral ? je suppose que vous avez eu une aide psychologique ?
bien évidemment ce n'est pas suffisant.
cependant, n'hésitez pas à fréquenter des associations où vous pourrez parler à des personnes qui ont subi ce drame. sos suicide etc.
le deuil peut-être long, attention à ce qui ne devienne pas pathologique.
l'association vous aidera.
merci Agnès pour ton témoignage et pour tes conseils, hélas, je n'ai plus personne de ma famille à part ma mère, car lorque mon père s'est suicidé, toute la famille du côté de mon père se sont transformé en vautour, en rapaces, ils ont essayé de faire pression sur ma mère pour qu'elle vende la maison de mes parents en espérant sans doute récupérer quelque chose, depuis ce jour là j'ai décidé de coupé court et j'ai décidé qu'ils ne faisaient plus partie de ma famille, et dès que j'ai pu j'ai quitté la Normandie et je suis arrivée en Gironde où j'ai esayé de survivre tant bien que mal, je n'ai pas toujours été aussi mal qu'en ce moment, j'ai eu trois beaux enfants que j'aime et que j'adore du plus profond de mon coeur, mais en ce moment je repense beaucoup a cette année 1987 et ça fait mal;
pour ce quiest de ta collègue qui a perdu sa maman a 20 ans et qui refuse d'en parler je te conseille de lui dire qu'elle peut se confier à toi dans toutes les occasions que tu ne portera aucun jugement et qu'au contraire ça pourrait la libérer d'un poids, la mettre en confiance, lui dire que moralement ça pourrait l'aider, crois moi au début je n'arrivais pas du tout en parler, et c'est que depuis deux ans que je vais consulter un psy pour tenter de me libérer de ce poids si lourd, et de voir que lui tends lamain, et que tu lui dise qu'elle peut avoir totalement confiance en toi la peut être qu'elle entendra ce que tu essaye de lui dire et pourra à un moment ou un autre se confier à toi, ce qui pourrait vraiement beaucoup l'aider,
bien amicalement
val
valérie, je viens de voir ta réponse, je viens de répondre à la même question mais je me suis trompée de nom, j'ai mis marie!
je voulais juste te dire continue à te bousculer et à communiquer, ce ne sera pas facile mais c'est nécessaire.
la vie est parfois douloureuse et puis un jour arrive un rayon de soleil.
j'ai essayé un truc il y a une dizaine d'années, ce n'était pas évident : ne voir que le bon côté des choses. quel exercice, je me suis aperçue que malgré ma croyance que j'étais optimiste, je voyais beaucoup trop le mauvais côté des choses.
mon voeux pour 2011 ! lâchez prise;. je m'y emploie.
je commence par tout relativiser, na.