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15 réponses
Peut être souffrent ils trop pour pouvoir l'exprimer .Mais concernant "certaine" de mes amies qu'elle(!) sache que je suis là .si besoin ...
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Si je pouvais avoir la démarche à suivre auprès des médecins, assistantes sociales, etc, je ne vous en remercierais jamais assez. Comment fait-on, en tant que parents, lorsqu'il s'agit d'un enfant adulte, chargé de famille, qui plonge dans la dépression et refuse de se soigner?
La souffrance (à ne pas confondre avec la douleur physique) est tj solitaire car la personne s'enferme dans une "carapace". Ce n'est bien sûr pas la solution idéale mais il faut avoir bp de compétence et d'expérience pour parler avec une personne en souffrance sans tomber dans le gnan-gnan insipide. Certaines personnes veulent être tranquille pour "gérer" elles même leur souffrance (un peu comme les "migraineux" veulent avoir la paix.
Bien sûr que si....En respectant sa volonté de ne pas être aidé...en lui laissant le choix d'en parler ou non...en ne le brusquant pas.La seule chose importante dans ce cas c'est avoir la paix .
La Bipolarité est une pathologie qui touche des enfants adultes ...et là il faut etre présent à chaque instant ...ne jamais l'abandonner ...le sortir de ces galère ...vivre avec lui au jour le jour ...et parfois subir les montée en flèche et les descente dans le gouffre ...l'aimer au maximum ...ce qui est le plus dure c'est l'incompréhension de l'entourage ...expliquer à la fratrie ce qui se passe ...et croire aux jour meilleurs ...
Cela fait toujours mal d'assister au naufrage d'un être cher:peut_on sauver une personne d'elle_même?
Je pense que non et j'irais plus loin:certaines personnes n'ont-malheureusement -tout simplement pas les ressources pour s'en sortir.Car quand la douleur est là;elle peut être telle qu'il n'y a plus qu'elle dans votre vie au point que c'est toute votre vie qui est "souffrance"...alors tout ce qu'il y a "autour" ne peut plus l'atteindre...
ils ne refusent pas ..ils ne sont simplement pas prets à la prendre cette main..mais il faut juste qu'ils sachent, que le jour où ils seront prets... vous serez là..pour écouter ..sans juger , ce qui les étouffe.
"Entreprendre de consoler quelqu’un qui veut être inconsolable, c’est lui disputer la seule consolation qui lui reste."
Bien des personnes refusent toute aide, étant persuadées qu'elles ont raison et ce, parfois, en dépit du mal qui les ronge.
Accepter sa fragilité, sa faiblesse c'est le début de la sagesse....Accepter de se faire aider c'est le début de la guérison. Faire désirer l'autre pour qu'il aille mieux c'est un chemin difficile , mais pas impossible, il faut éssayer aprés on a rien a regrèter on a fait un chemin avec lui vers sa vérité ( on ne peut pas faire boire un âne qui n'a pas soif).
