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kefoo
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18 mai 2011 à 10:12
18 mai 2011 à 10:12
Peut être ne faut il pas non plus se focaliser sur l'arrêt de son traitement mais plutôt de son mieux être. Un traitement de substitution n'a pas de durée limite et l'extrapolation entre ces maux qu'il vit et les effets secondaires me semble un peu rapide. Mieux vaux qu'il en discute avec son médecin généraliste voire avec un spécialiste dans un CSAPA
Bonjour Chouette,
L'état de santé de votre mari semble beaucoup vous préoccuper, et cela me paraît bien normal quand on aime quelqu'un. Seulement, dans les moments difficiles, nous avons tendance, pour nous sentir mieux nous-même, à vouloir changer l'autre, à vouloir que son comportement change, qu'il se soigne, qu'il fasse ceci ou ne fasse pas cela... Malheureusement, en général nous nous y prenons mal et cela ne fait qu'aggraver la situation parce que l'autre ressent cette pression. Il ne peut alors que se rebiffer pour garder sa propre liberté. Sa santé lui appartient, ainsi que tout ce qu'il fait ou ne fait pas. Bien sûr, cela a des conséquences sur nous, et là il nous appartient de nous interroger sur ce que nous ressentons face à cela. Ce qui peut aider votre mari serait peut-être de lui parler de vous (et non de lui), de vos propres inquiétudes profondes... des raisons pour lesquelles sa santé vous préoccupe, et vous mettre, si vous le pouvez, à l'écoute de son propre point de vue, en étant prête à l'accepter même s'il ne correspond pas à ce que vous attendez. Pourquoi aussi ne pas rencontrer pour vous-même un addictologue, pour lui poser les questions qui vous inquiètent ? pour savoir ce qu'est ce traitement, les risques, les conséquences ? lui exprimer vos propres inquiétudes face à ce traitement, sans pour autant vous substituer à votre mari parce que c'est vous qui êtes inquiète, peut-être pas lui ? Et si cette situation est trop difficile, trop douloureuse pour vous, alors ne restez pas seule avec et n'hésitez pas à aller en parler à un(e) professionnel(le), psychologue ou autre, qui vous pourra vous soutenir et vous guider. Le mieux-être de votre mari vous tient probablement beaucoup à coeur, seulement vous ne pourrez rien faire contre sa volonté. Ce qui en revanche vous appartient, c'est votre mieux-être à vous... et s'il dépend de l'arrêt du Subutex de votre mari, vous risquez de beaucoup souffrir parce que ce choix ne vous appartient pas. Je vous invite à vous interroger et vous demander pourquoi au fond vous tenez tellement à ce qu'il arrête ce traitement. L'amour que vous lui portez vous fera probablement trouver les réponses, et les partager avec lui...
Bon courage.
L'état de santé de votre mari semble beaucoup vous préoccuper, et cela me paraît bien normal quand on aime quelqu'un. Seulement, dans les moments difficiles, nous avons tendance, pour nous sentir mieux nous-même, à vouloir changer l'autre, à vouloir que son comportement change, qu'il se soigne, qu'il fasse ceci ou ne fasse pas cela... Malheureusement, en général nous nous y prenons mal et cela ne fait qu'aggraver la situation parce que l'autre ressent cette pression. Il ne peut alors que se rebiffer pour garder sa propre liberté. Sa santé lui appartient, ainsi que tout ce qu'il fait ou ne fait pas. Bien sûr, cela a des conséquences sur nous, et là il nous appartient de nous interroger sur ce que nous ressentons face à cela. Ce qui peut aider votre mari serait peut-être de lui parler de vous (et non de lui), de vos propres inquiétudes profondes... des raisons pour lesquelles sa santé vous préoccupe, et vous mettre, si vous le pouvez, à l'écoute de son propre point de vue, en étant prête à l'accepter même s'il ne correspond pas à ce que vous attendez. Pourquoi aussi ne pas rencontrer pour vous-même un addictologue, pour lui poser les questions qui vous inquiètent ? pour savoir ce qu'est ce traitement, les risques, les conséquences ? lui exprimer vos propres inquiétudes face à ce traitement, sans pour autant vous substituer à votre mari parce que c'est vous qui êtes inquiète, peut-être pas lui ? Et si cette situation est trop difficile, trop douloureuse pour vous, alors ne restez pas seule avec et n'hésitez pas à aller en parler à un(e) professionnel(le), psychologue ou autre, qui vous pourra vous soutenir et vous guider. Le mieux-être de votre mari vous tient probablement beaucoup à coeur, seulement vous ne pourrez rien faire contre sa volonté. Ce qui en revanche vous appartient, c'est votre mieux-être à vous... et s'il dépend de l'arrêt du Subutex de votre mari, vous risquez de beaucoup souffrir parce que ce choix ne vous appartient pas. Je vous invite à vous interroger et vous demander pourquoi au fond vous tenez tellement à ce qu'il arrête ce traitement. L'amour que vous lui portez vous fera probablement trouver les réponses, et les partager avec lui...
Bon courage.
Cpassimple
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18 mai 2011 à 22:34
18 mai 2011 à 22:34
Salut, je suis sous Subutex depuis 7 années. Je n'ai jamais entendu ni ressenti ces effets secondaire et moi je suis à 20mg! Par contre ta ce que tu décris ressemble plus à une crise de manque!
J'espère pour toi que c'est simplement un sous dosage et non une rechute.
Pour moi je soigne une dépendance au médicaments (Néo Codion) avec une dépendance médicalisé. Et cela m'a sauvé la vie, depuis 5ans j'ai un travail que j'aime, deux enfants dont je suis fou et pour qui je donnerais mes yeux. La seule chose que fait le Subutex, c'est qu'il a cassé ma libido, et au résultat nous sommes séparé. Cela ne m'empêche pas de voir mes enfants 3 jours par semaines et un week end sur deux.
Si ton mari n'a pas replongé (ce que je t'espère), il faut que tu prenne son traitement comme celui d'un diabétique (c'est pour la vie et c'est mieux comme ça, sinon c'est la rechute)
Il faut qu'il fasse un test de dépistage de stupéfiant et si ce n'est pas la drogue, c'est qu'il est en sous dosage.
Quand à toi il faut que tu accepte son traitement, parce que si il ne l'avait pas ce serai pire! Ou alors il faut vous séparer.
De mon côté nous sommes tous les 4 bien plus heureux comme cela.
PS: pour le médecin, il faut voir un psychiatre spécialiste des addictions. De où êtes-vous? Je peux peut-être te renseigner sur un médecin en demandant au mien
J'espère pour toi que c'est simplement un sous dosage et non une rechute.
Pour moi je soigne une dépendance au médicaments (Néo Codion) avec une dépendance médicalisé. Et cela m'a sauvé la vie, depuis 5ans j'ai un travail que j'aime, deux enfants dont je suis fou et pour qui je donnerais mes yeux. La seule chose que fait le Subutex, c'est qu'il a cassé ma libido, et au résultat nous sommes séparé. Cela ne m'empêche pas de voir mes enfants 3 jours par semaines et un week end sur deux.
Si ton mari n'a pas replongé (ce que je t'espère), il faut que tu prenne son traitement comme celui d'un diabétique (c'est pour la vie et c'est mieux comme ça, sinon c'est la rechute)
Il faut qu'il fasse un test de dépistage de stupéfiant et si ce n'est pas la drogue, c'est qu'il est en sous dosage.
Quand à toi il faut que tu accepte son traitement, parce que si il ne l'avait pas ce serai pire! Ou alors il faut vous séparer.
De mon côté nous sommes tous les 4 bien plus heureux comme cela.
PS: pour le médecin, il faut voir un psychiatre spécialiste des addictions. De où êtes-vous? Je peux peut-être te renseigner sur un médecin en demandant au mien
Hello, moi c'est Kyle et le sub' je connais un peu... Avant tout je dirais que ce médicament reste une excellente alternative à l'utilisation d'héroïne, et que se dernier a permis à de nombreuses personnes de reprendre les commandes de leur vie au quotidien et ce sans avoir à dépenser de grosses sommes et à "courir" après la came à longueur de temps ! Ensuite à toi de l'accepter ou non, parce que dans ce dernier cas ce sera un sujet de perpétuelles disputes qui ne vous mènerons nul part... Et là y vaut encore mieux que chacun fasse sa vie de son côté parce que au quotidien c'est invivable. L'exemple du diabétique qui prend un traitement à vie est très bon et aussi révélateur : la toxicomanie étant une maladie à part entière il faut la traiter, or avec le sub' on a la chance d'avoir un excellent traitement si ce dernier est pris correctement et dans de bonnes conditions, notamment le dosage... Perso, en dehors de mon médecin personne ne sait ! Pourtant j'ai une vie plutôt "standard" avec un job, une copine et un fils aussi et je pense que si j'avais partager ce "problème" il ne m'aurait apporter que des ennuis, ce qui est le cas dans la plupart des couples ou famille confrontées à cette maladie. J'ai été tenté de le partager, parce que il m'arrive d'avoir besoin d'en parler, entre autre avec ma soeur avec laquelle on se dit tout, mais çà lui causerait des soucis inutiles et moi çà ne m'avancerais pas vraiment, alors... Eh ben, je garde çà pour moi et tout le monde se porte bien, même si c'est d'une certaine manière dans le mensonge, mais c'est mon choix et je ne l'ai à ce jour jamais regretté. Peut être que si tu n'avais jamais su pour ton mari, tout se passerait pour le mieux, je dis bien "peut-être", ensuite on a tous notre vie avec ses hauts et ses bas. Autre chose, 2 mg c'est pas beaucoup, c'est le dosage qui m'a permis de me stabiliser depuis 3 ans et j'arrive à mener une vie qui me semble être tout à fait normale et notamment je n'ai jamais arrêté de faire du sport, même quand j'étais à l'héro ! J'étais moins constant et performant, c'est évident mais même si j'ai eu quelques passages à vide çà m'a tjs permis de maintenir un équilibre certain et pour moi vital aussi au même titre qu'une bonne hygiène de vie... Mon toubib aussi m'a pris pour un alien au début, peut-être même pour un mytho', bref j'en ai besoin et çà me permet de m'évader mais aussi de prendre de grandes bouffées d'air pur au fin fond des bois, en pleine nature, d'ailleurs si je pouvais avoir un job en rapport ce serais pour moi le top... Bref, je dirais presque que tout dépend de toi, non pas vraiment, ce serait trop facile, en tous cas si tu arrive à "intégrer" ou tout simplement à accepter la maladie de ton époux, je suis certain que votre vie peut prendre une autre tournure. Saches aussi que le toxico' reste quelqu'un de faible qui a besoin d'un prod' pour affronter, voir fuir la réalité, et tu ne pourras pas remplacer çà, par contre tu as des capacités qui sont propre à "la femme" en général et c'est là où tu peux intervenir et même changer les choses et pourquoi pas changer l'ordre des priorités... Courage, pour autant n'oublies pas que tu as aussi ta propre vie et il faut bien dire que 11 ans c'est long, j'imagine à peine les soucis que tu as du endurer, mais arrivé un moment il faut savoir prendre des décisions et ne + se voiler la face et éternellement espérer et attendre... J"espère moi, ne pas t'avoir sapé le moral et t'avoir apporté ne serait ce qu'une petite contribution à votre bonheur, en suite je ne sais pas de quand date ton message, curieusement c'est pas daté, dommage, depuis les choses ont certainement bougé... kyle.
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18 mai 2011 à 09:52
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Bonjour.
" pour lui il arrêtera un jour "
C'est bien une situation qui appartient à ton mari et son médecin.
Tu peux l'encourager à ce qu'il discute de ses problèmes de douleurs et d'insomnies avec son médecin.
" pour lui il arrêtera un jour "
C'est bien une situation qui appartient à ton mari et son médecin.
Tu peux l'encourager à ce qu'il discute de ses problèmes de douleurs et d'insomnies avec son médecin.
RomyRichard
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18 mai 2011 à 10:08
18 mai 2011 à 10:08
Bonjour, je connais bien cette situation ma mère était elle aussi accro au médicaments sa ne sais pas vraiment fini au mieux, ces médicaments sont une véritable drogue pour ceux qui en prennent, il vous dis qu'un jour il arrêtera mais comment en être sur ! Voit-il un psy Avez vous pensez à allez voir un son médecin vous même ? Vous pourriez peut-être lui faire part de votre inquiétude. Il est très important de l'aider à arrêter, ces médicaments font plus de mal que de bien, je suis bien placés pour en parler, cela peut-être très dangereux !
J'espère vous avoir un peu aider, n'hésitez pas a me poser des questions si vous en sentez le besoin.
Bonne journée
J'espère vous avoir un peu aider, n'hésitez pas a me poser des questions si vous en sentez le besoin.
Bonne journée