A voir également:
- Combien de temps minimum avant de savoir si on est enceinte ?
- Covid contagieux combien de temps - Accueil - Sars-CoV-2
- Combien de temps dure le covid - Accueil - Maladie Covid-19
- Combien de temps une femme peut rester sans rapport - Accueil - Sexualité
- Jeûne intermittent combien de temps - Accueil - Régimes et équilibre alimentaire
- Combien de temps dure une gastro - - Gastro-entérologie
9 réponses
Merci pour votre réponse.
J'en profite pour poser une autre question. Mais pour ça il faut que j'explique un peu la situation.
Ma compagne est québécoise, nous sommes ensemble depuis le début de l'année dernière. Avant de revenir en août 2010, elle s'est fait poser un stérilet Mirena. Elle est repartie le 17 octobre 2010 au Canada. Elle n'est revenue en France que le 18 janvier 2011.
Sachant qu'elle a eu des vomissements qui se sont étalés sur environ 3 semaines fin octobre 2010, que ses seins avaient pris de l'ampleur lorsqu'elle est revenue en janvier, qu'elle a traversé une période où elle pleurait pour un rien, est-il possible qu'elle ne se soit rendue compte de sa grossesse que le 23 février 2011 ?
Il faut savoir par ailleurs qu'elle a 23 ans, déjà un enfant de 2 ans (d'une autre relation) et qu'elle avait eu auparavant 3 fausses couches (la première à 16 ans), ce qui veut dire que cette grossesse est réellement la cinquième.
Le soucis entre nous aujourd'hui est qu'elle m'affirme avoir fait un déni de grossesse. Je doute sérieusement de sa bonne foi, j'ai lu que le pourcentage d'un déni de grossesse est d'environ 0,004 pour mille.
Est-ce que quelqu'un pense qu'elle ne m'a pas menti ? Qu'elle peut être véritablement sincère malgré tous les signes ?
(elle a du surpoids ce qui fait que physiquement sa grossesse n'était pas visible, la soi-disant découverte a été à 4 mois et demi)
J'en profite pour poser une autre question. Mais pour ça il faut que j'explique un peu la situation.
Ma compagne est québécoise, nous sommes ensemble depuis le début de l'année dernière. Avant de revenir en août 2010, elle s'est fait poser un stérilet Mirena. Elle est repartie le 17 octobre 2010 au Canada. Elle n'est revenue en France que le 18 janvier 2011.
Sachant qu'elle a eu des vomissements qui se sont étalés sur environ 3 semaines fin octobre 2010, que ses seins avaient pris de l'ampleur lorsqu'elle est revenue en janvier, qu'elle a traversé une période où elle pleurait pour un rien, est-il possible qu'elle ne se soit rendue compte de sa grossesse que le 23 février 2011 ?
Il faut savoir par ailleurs qu'elle a 23 ans, déjà un enfant de 2 ans (d'une autre relation) et qu'elle avait eu auparavant 3 fausses couches (la première à 16 ans), ce qui veut dire que cette grossesse est réellement la cinquième.
Le soucis entre nous aujourd'hui est qu'elle m'affirme avoir fait un déni de grossesse. Je doute sérieusement de sa bonne foi, j'ai lu que le pourcentage d'un déni de grossesse est d'environ 0,004 pour mille.
Est-ce que quelqu'un pense qu'elle ne m'a pas menti ? Qu'elle peut être véritablement sincère malgré tous les signes ?
(elle a du surpoids ce qui fait que physiquement sa grossesse n'était pas visible, la soi-disant découverte a été à 4 mois et demi)
Ma compagne reviens de chez la gynéco et la date de conception qu'elle donne est le 4 octobre dernier.
Votre réponse signifie-t'elle que 15 jours après le 4 octobre elle aurait pu savoir qu'elle était enceinte ? Parce qu'elle m'affirme qu'elle n'aurait jamais pu le savoir avant le 4 novembre et j'ai donc beaucoup de mal à la croire.
Votre réponse signifie-t'elle que 15 jours après le 4 octobre elle aurait pu savoir qu'elle était enceinte ? Parce qu'elle m'affirme qu'elle n'aurait jamais pu le savoir avant le 4 novembre et j'ai donc beaucoup de mal à la croire.
@Calimero:
Si je devais répondre sur l'ensemble de la question, une journée ne pourrait pas me suffire.
Je ne veux en aucun cas que tu me crois aveuglément, mais on nous a exposés des cas de patientes absolument aberrants, incroyables, impensables, incohérents, injustifiables, mais tous réels.
Le cas de ta compagne, on le met totalement de côté. Il faut se concentrer sur la femme. Elle a déjà eu un enfant avec quelqu'un d'autre, elle habite au Québec, à distance donc, elle a déjà fait 3 fausses couches (quand beaucoup n'en feront jamais)... Tu imagines le poids qu'elle a à porter? Tu imagines seulement que tu aies pu perdre à 3 reprises un enfant que TU portais? Tu peux seulement imaginer la douleur que ça représente...?
Je ne peux pas en être catégorique, mais si j'avais à recevoir une telle femme à l'hôpital, je ne pourrais pas mettre autre chose dessus que "DDG".
Après tu me dis" non, mais tu déconnes, faut pas exagérer, elle avait tout en main pour s'en apercevoir". Oui, c'est vrai. Mais c'est pas elle la fautive, c'est son corps. Son corps a tellement lutté pour éviter qu'elle se rendre elle-même compte qu'elle était enceinte, et ce, pour la protéger, qu'elle ne faisait aucun lien entre les nausées, l'augmentation de la poitrine, les vomissement etc...
Oui, je crois fermement à un possible DDG, et je t'invite solennellement, tant que tu le peux, à essayer, toi aussi, d'adhérer à cette éventualité...
Si je devais répondre sur l'ensemble de la question, une journée ne pourrait pas me suffire.
Je ne veux en aucun cas que tu me crois aveuglément, mais on nous a exposés des cas de patientes absolument aberrants, incroyables, impensables, incohérents, injustifiables, mais tous réels.
Le cas de ta compagne, on le met totalement de côté. Il faut se concentrer sur la femme. Elle a déjà eu un enfant avec quelqu'un d'autre, elle habite au Québec, à distance donc, elle a déjà fait 3 fausses couches (quand beaucoup n'en feront jamais)... Tu imagines le poids qu'elle a à porter? Tu imagines seulement que tu aies pu perdre à 3 reprises un enfant que TU portais? Tu peux seulement imaginer la douleur que ça représente...?
Je ne peux pas en être catégorique, mais si j'avais à recevoir une telle femme à l'hôpital, je ne pourrais pas mettre autre chose dessus que "DDG".
Après tu me dis" non, mais tu déconnes, faut pas exagérer, elle avait tout en main pour s'en apercevoir". Oui, c'est vrai. Mais c'est pas elle la fautive, c'est son corps. Son corps a tellement lutté pour éviter qu'elle se rendre elle-même compte qu'elle était enceinte, et ce, pour la protéger, qu'elle ne faisait aucun lien entre les nausées, l'augmentation de la poitrine, les vomissement etc...
Oui, je crois fermement à un possible DDG, et je t'invite solennellement, tant que tu le peux, à essayer, toi aussi, d'adhérer à cette éventualité...
Vous n’avez pas trouvé la réponse que vous recherchez ?
Posez votre question
bonjour,
en général, au premier jour de retard des règles, mais chaque femme est différente. moi par exemple j'ai fait un test sanguin ce matin alors je dois avoir mes règles que jeudi et il est positif. donc je dirai entre 10 et 14 jour après ovulation
en général, au premier jour de retard des règles, mais chaque femme est différente. moi par exemple j'ai fait un test sanguin ce matin alors je dois avoir mes règles que jeudi et il est positif. donc je dirai entre 10 et 14 jour après ovulation
Bonjour KevMed,
Malgré tous les signes qu'elle a eu (décris dans mon message précédent), vous pensez qu'il est encore possible de faire un DDG ?
Moi, je suis un homme et je n'ai jamais eu d'enfant. Que je ne fasse pas attention à ces signes cela peut se comprendre. Mais une femme qui vit sa cinquième grossesse, qui a son corps qui se transforme, peut-elle réellement ne pas sentir qu'elle est enceinte ? Elle s'est notamment plainte de mal au ventre (fin janvier, début février) à plusieurs reprises.
@Queenofaid : malheureusement aujourd'hui la confiance est sérieusement altérée entre nous.
Malgré tous les signes qu'elle a eu (décris dans mon message précédent), vous pensez qu'il est encore possible de faire un DDG ?
Moi, je suis un homme et je n'ai jamais eu d'enfant. Que je ne fasse pas attention à ces signes cela peut se comprendre. Mais une femme qui vit sa cinquième grossesse, qui a son corps qui se transforme, peut-elle réellement ne pas sentir qu'elle est enceinte ? Elle s'est notamment plainte de mal au ventre (fin janvier, début février) à plusieurs reprises.
@Queenofaid : malheureusement aujourd'hui la confiance est sérieusement altérée entre nous.
c'est tout à fait possible qu'elle ait découvert sa grossesse à 4 mois et demie. cependant si elle a tous les symptomes que vous me dites, je pense qu'elle aurait du faire des tests de grossesses donc le savoir avant.
Bonjour,
Pour avoir eu l'énorme privilège de travailler avec le Pr Nisand, grand spécialiste français de gynécologie, IVG, IMG et DDG, je peux t'assurer que le phénomène du DDG est amplement sous-évalué.
Il est, à la vue de ce que tu expliques sur son comportement et vécu, entièrement possible que ça soit un DDG avéré. Et pour l'avoir étudié, je comprends aussi ta réaction, car il est souvent difficile pour quelqu'un de l'extérieur de juger la bonne foi de la femme qui ose l'avouer (très difficile contrairement à ce que l'on peut penser). Et il ne te sera pas possible de le vérifier, car les seules personnes pouvant en parler ne sont ni les toubibs ni les maris, mais les femmes qui l'ont vécu.
Et en leur nom, le jugement intervient vite, trop vite, et il est souvent plus facile de les attaquer que de les épauler dans ces moments.
Si j'étais vous, je ferais honnêtement ce que toute personne saine d'esprit ferait, l'épauler et la soutenir, tout en ne pouvant, effectivement pas, vérifier qu'elle bien été victime d'un DDG...
Cordialement,
Pour avoir eu l'énorme privilège de travailler avec le Pr Nisand, grand spécialiste français de gynécologie, IVG, IMG et DDG, je peux t'assurer que le phénomène du DDG est amplement sous-évalué.
Il est, à la vue de ce que tu expliques sur son comportement et vécu, entièrement possible que ça soit un DDG avéré. Et pour l'avoir étudié, je comprends aussi ta réaction, car il est souvent difficile pour quelqu'un de l'extérieur de juger la bonne foi de la femme qui ose l'avouer (très difficile contrairement à ce que l'on peut penser). Et il ne te sera pas possible de le vérifier, car les seules personnes pouvant en parler ne sont ni les toubibs ni les maris, mais les femmes qui l'ont vécu.
Et en leur nom, le jugement intervient vite, trop vite, et il est souvent plus facile de les attaquer que de les épauler dans ces moments.
Si j'étais vous, je ferais honnêtement ce que toute personne saine d'esprit ferait, l'épauler et la soutenir, tout en ne pouvant, effectivement pas, vérifier qu'elle bien été victime d'un DDG...
Cordialement,