Cleder (29) bientôt sans médecin?
Dr Paul Lemeut
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Modifié par Dr Paul Lemeut le 29/01/2011 à 12:08
andré - 20 févr. 2011 à 22:02
andré - 20 févr. 2011 à 22:02
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5 réponses
Bonjour,
Les québécois ont peut-être trouvé une solution puisqu'il semble que des vétérinaires prescrivent des traitement à des enfants. http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2011/01/20110131-172253.html
Ceci étant dit, la consultation en France est plus cher chez le vétérinaire que chez le médecin dont ce n'est peut-être pas importable.
L'avantage serait meilleur suivi vaccinal puisque les vétérinaires ont le droit de faire des relances pour les rappels de vaccination mais pas les médecins traitants.
Les québécois ont peut-être trouvé une solution puisqu'il semble que des vétérinaires prescrivent des traitement à des enfants. http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2011/01/20110131-172253.html
Ceci étant dit, la consultation en France est plus cher chez le vétérinaire que chez le médecin dont ce n'est peut-être pas importable.
L'avantage serait meilleur suivi vaccinal puisque les vétérinaires ont le droit de faire des relances pour les rappels de vaccination mais pas les médecins traitants.
Bonjour
En France, on propose de réinventer les officiers de santé, avec le rapport sur les nouveaux métiers de la santé.
"Le rapport Hénart, Berland et Cadet propose des réponses pragmatiques, en insistant sur la nécessité de former des paramédicaux au niveau Master. Ces nouveaux personnels médicaux à responsabilité définie devraient ainsi pouvoir intervenir en relais du médecin, en étant eux-mêmes dotés d'un pouvoir de prescription."
Finalement, ce site sur la reconversion vient peut-être à temps. Je vais y réfléchir.
En France, on propose de réinventer les officiers de santé, avec le rapport sur les nouveaux métiers de la santé.
"Le rapport Hénart, Berland et Cadet propose des réponses pragmatiques, en insistant sur la nécessité de former des paramédicaux au niveau Master. Ces nouveaux personnels médicaux à responsabilité définie devraient ainsi pouvoir intervenir en relais du médecin, en étant eux-mêmes dotés d'un pouvoir de prescription."
Finalement, ce site sur la reconversion vient peut-être à temps. Je vais y réfléchir.
Bonsoir,
J'ai lu dans une revue de droit médical, cette pertinente remarque:
"Alors que des médecins généralistes, les mêmes qui avaient été parmi les premiers à dénoncer les excès de la campagne de vaccination contre la grippe A(H1N1), dénonce une campagne de prévention très médiatisée sur la vaccination à l'aide de ces vaccins et que d'autres s'étonnent de possibles conflits d'intérêts, n'est-il pas étonnant qu'un arrêté favorise l'utilisation de ces produits et autorise son usage par les sages-femmes ?"
http://droit-medical.com/actualites/jurisprudences/892-vaccin-papilloma-virus-sage-femme#ixzz1BlqtgLWR
Il faut remarquer, à l'heure du médiator, la forte présence des généralistes dans les empêcheurs de penser en rond. Il sont à l'origine de Prescrire, du formindep, .. Le nouveau collège vient de dénoncer les dérives des dépistages commerciaux (Prostate). Ils sont très dubitatifs sur les "anti-alzheimer". Il y aurait donc un sens à les faire disparaitre.et à les remplacer par plus malléables.
J'ai lu dans une revue de droit médical, cette pertinente remarque:
"Alors que des médecins généralistes, les mêmes qui avaient été parmi les premiers à dénoncer les excès de la campagne de vaccination contre la grippe A(H1N1), dénonce une campagne de prévention très médiatisée sur la vaccination à l'aide de ces vaccins et que d'autres s'étonnent de possibles conflits d'intérêts, n'est-il pas étonnant qu'un arrêté favorise l'utilisation de ces produits et autorise son usage par les sages-femmes ?"
http://droit-medical.com/actualites/jurisprudences/892-vaccin-papilloma-virus-sage-femme#ixzz1BlqtgLWR
Il faut remarquer, à l'heure du médiator, la forte présence des généralistes dans les empêcheurs de penser en rond. Il sont à l'origine de Prescrire, du formindep, .. Le nouveau collège vient de dénoncer les dérives des dépistages commerciaux (Prostate). Ils sont très dubitatifs sur les "anti-alzheimer". Il y aurait donc un sens à les faire disparaitre.et à les remplacer par plus malléables.
"dépistage commerciaux (prostate)" mon grand père est mort d'un cancer de la prostate si ceci avait existait avant je pense que ça n'aurait pas été le cas, donc commerciaux non je ne pense pas, le déficit de la France est en partie du à un manque de prévention, puisque les maladies coutent chère et si elles sont traitées le plus tôt possible, elles reviennent donc grâce à la prévention moins chères, donc je trouve que ce que vous dites est faux, ces dépistages n'ont rien de commerciaux, tous les gens qui seront dépister positif auront une chance de survit considérable par rapport à tout ceux qui ne se sont pas fait dépister.
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Le problème des dépistages est très compliqué. Il faut mettre en balance les avantages (dépistage précoce et traitements moins lourds par exemple)et les inconvénients (effets secondaires des traitements, faux positifs - donc patients traités inutilement -, par exemple).
Sur ces bases, trois dépistages sont validés: pour le cancer colo-rectal (le meilleur) , le cancer du sein (avec quelques interrogations) , le cancer du col de l'utérus. Et encore, pour certaines tranches d'âge.
Pour les autres, il n'y a pas d'éléments francs montrant l'intérêt du dépistage (poumon, thyroïde, par exemple). Le cancer de la prostate est de ceux-là et il est légitime de se poser la question.
Quand toutes les agences nationales de santé occidentales ne préconisent pas ce dépistage et que quelques sociétés savantes d'urologie le préconisent, il faut bien se poser la question du conflit d'intérêt compte tenu de l'importante financière pour les urologue mais aussi pour les laboratoires.
Avec ce dépistage, on trouve des cancers et l'on sauve sans doute des vies, mais au prix d'effets secondaires très importants et sans que les bonnes études menées sur le sujet n'apportent de réponse franche sur l'amélioration de l'espérance de vie globale (La plupart des porteurs du cancer de la prostate mourant d'autre chose).
Sur ces bases, trois dépistages sont validés: pour le cancer colo-rectal (le meilleur) , le cancer du sein (avec quelques interrogations) , le cancer du col de l'utérus. Et encore, pour certaines tranches d'âge.
Pour les autres, il n'y a pas d'éléments francs montrant l'intérêt du dépistage (poumon, thyroïde, par exemple). Le cancer de la prostate est de ceux-là et il est légitime de se poser la question.
Quand toutes les agences nationales de santé occidentales ne préconisent pas ce dépistage et que quelques sociétés savantes d'urologie le préconisent, il faut bien se poser la question du conflit d'intérêt compte tenu de l'importante financière pour les urologue mais aussi pour les laboratoires.
Avec ce dépistage, on trouve des cancers et l'on sauve sans doute des vies, mais au prix d'effets secondaires très importants et sans que les bonnes études menées sur le sujet n'apportent de réponse franche sur l'amélioration de l'espérance de vie globale (La plupart des porteurs du cancer de la prostate mourant d'autre chose).
