Mal formation
Résolu
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diddlpye29 -
diddlpye29 -
hello
qu'elle choix prendre fasse à un problème de mal formation ? si c'est "bénin" mais opérable et que ca se situe au niveau du pénis ?
comment vivre avec plus tard ? le regard des autres ? vous auriez qu'elle réaction si vous découvriez le problème sur votre conjoins ?
faut il lui laisser le choix à l'enfant d'une opération plus tard sachant que ca sera plus compliqué à opéré OU opéré des le plus jeune age et il ne s'en rappellera pas (probablement si pas de complication ... )
il s'agit de http://6j
cordialement
qu'elle choix prendre fasse à un problème de mal formation ? si c'est "bénin" mais opérable et que ca se situe au niveau du pénis ?
comment vivre avec plus tard ? le regard des autres ? vous auriez qu'elle réaction si vous découvriez le problème sur votre conjoins ?
faut il lui laisser le choix à l'enfant d'une opération plus tard sachant que ca sera plus compliqué à opéré OU opéré des le plus jeune age et il ne s'en rappellera pas (probablement si pas de complication ... )
il s'agit de http://6j
cordialement
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4 réponses
Bonjour,
Il est préférable d'opérer dans l'enfance.
Cette malformation est fréquente et les chirurgiens urologues maitrisent parfaitement cette chirurgie.
Par ailleurs, s'agissant d'un organe "sensible" aussi bien sur le plan physique que psychologique, il est important que l'enfant puis l'adolescent puisse grandir et se développer en se sentant "comme les autres".
Il est préférable d'opérer dans l'enfance.
Cette malformation est fréquente et les chirurgiens urologues maitrisent parfaitement cette chirurgie.
Par ailleurs, s'agissant d'un organe "sensible" aussi bien sur le plan physique que psychologique, il est important que l'enfant puis l'adolescent puisse grandir et se développer en se sentant "comme les autres".
Bonsoir,
Pour ma part, j'ai toujours devancé en tant que mère, les soucis. J'ai toujours agi dans l'intérêt de mon enfant, au moment ou un cas de conscience s'est posé.
Je dirai donc que s'il s'agissait de mon enfant, je ferais pratiquer l'intervention dès que possible. Plus son pénis grandira, plus l'intervention sera lourde et plus il y aura de fils. Pourquoi attendre qu'il voit par lui-même ce problème sensible chez un garçon...
Lors de période de jeux à la plage, à la piscine, ces camarades peuvent lui oter son maillot de bain, pour la rigolade, quelles sensations quelles appréhensions aura-t-il à ce moment précis. La peur que ces copains voit une "différence" et se moquent...
J'agirais en tant que mère, ou hops problème oublié réparé soulagé...
Faites le bon choix avec votre coeur de maman et ce que vous pensez être mieux pour lui.
Pour ma part, j'ai toujours devancé en tant que mère, les soucis. J'ai toujours agi dans l'intérêt de mon enfant, au moment ou un cas de conscience s'est posé.
Je dirai donc que s'il s'agissait de mon enfant, je ferais pratiquer l'intervention dès que possible. Plus son pénis grandira, plus l'intervention sera lourde et plus il y aura de fils. Pourquoi attendre qu'il voit par lui-même ce problème sensible chez un garçon...
Lors de période de jeux à la plage, à la piscine, ces camarades peuvent lui oter son maillot de bain, pour la rigolade, quelles sensations quelles appréhensions aura-t-il à ce moment précis. La peur que ces copains voit une "différence" et se moquent...
J'agirais en tant que mère, ou hops problème oublié réparé soulagé...
Faites le bon choix avec votre coeur de maman et ce que vous pensez être mieux pour lui.
Désolée, sur les mots "intervention lourde" nous ne mettons pas la même définition. On apprend humainement à vivre avec un handicap, quel qu'il soit, il faut, après une intervention à l'âge adulte, réapprendre à vivre avec quelque chose de transformé, ce qui moralement n'est pas forcément léger et qui de ce fait en fait une intervention lourde, lourde de décision, de conséquences, d'une nouvelle acceptation, lourde d'appréhension de l'avant, pendant et après.
Cordialement DCI
Cordialement DCI
J'évoquais le geste chirurgical...
Très simplement.
Quant au vécu.... Chacun a le sien. Mais pour ce problème précis je n'ai jamais observé le moindre "malaise" dans le vécu chirurgical dans la mesure où le patient se retrouve avec un schéma corporel "normal" qui ne le différencie plus de ses semblables.
Très simplement.
Quant au vécu.... Chacun a le sien. Mais pour ce problème précis je n'ai jamais observé le moindre "malaise" dans le vécu chirurgical dans la mesure où le patient se retrouve avec un schéma corporel "normal" qui ne le différencie plus de ses semblables.
