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25 sept. 2010 à 19:28
25 sept. 2010 à 19:28
Bonjour,
L'alcoolisme est une addiction très difficile à soigner.
Vous ne pourrez rien pour elle si elle ne veut pas elle-même
se prendre en main.
Essayez simplement de lui donner des noms d'associations
telles que les alcooliques anonymes.
Dites lui également qu'avec sa surcharge pondérale, elle met
sa vie en danger.
L'alcoolisme est une addiction très difficile à soigner.
Vous ne pourrez rien pour elle si elle ne veut pas elle-même
se prendre en main.
Essayez simplement de lui donner des noms d'associations
telles que les alcooliques anonymes.
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sa vie en danger.
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25 sept. 2010 à 19:42
25 sept. 2010 à 19:42
Voyez, elle ne prend même pas conscience de ses problèmes
de santé !!!
Pensez-vous qu'elle prendra conscience de son addiction ??
Je n'y crois pas.
Pour moi, malheureusement, elle est en train de creuser son
trou, et même à son âge, elle risque un grave accident cardio-
vasculaire ;(
de santé !!!
Pensez-vous qu'elle prendra conscience de son addiction ??
Je n'y crois pas.
Pour moi, malheureusement, elle est en train de creuser son
trou, et même à son âge, elle risque un grave accident cardio-
vasculaire ;(
Elle a 24 ans, est gérante de bar et s'envoie des demis de bière toute la journée, quatre ou cinq pastis, une bouteille de vin par jour au minimum, sans compter un petit digestif par ci par là et le champagne quand les clients offrent la tournée. Comme elle étale sa consommation dans la journée, elle n'est pas ivre morte mais elle est quand même bien saoule. Elle s'accroche au comptoir, marche plus ou moins de travers, bute sur les obstacles, elle a la voix pâteuse, elle se montre impudique et elle va faire souvent une petite sieste vers 17 h au premier étage afin de pouvoir finir la journée sans trop de difficultés. Elle fume aussi 2 paquets de cigarettes pas jour. Et il lui arrive de prendre le volant. Impossible de lui faire comprendre. Pour elle, c'est lié à son job. Ca crée le lien avec les clients, ça évite de s'emmerder, ça permet de "tenir le coup" au boulot. Quand je lui dis que tout le monde voit qu'elle est bourrée, elle dit que ce n'est pas vrai, qu'elle tient l'alcool, qu'elle peut même conduire sa voiture. Et les jours de repos, elle boit presque autant et elle trouve encore ça normal. Pour elle, elle est juste "fatiguée" quand elle est saoule. Elle adore surtout la bière, elle n'arrête pas d'en boire, y compris en dehors du service, et elle croit que c'est léger et qu'elle ne risque rien parce qu'elle a de l'embonpoint et que "ça absorbe"
00lina00
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25 sept. 2010 à 19:57
25 sept. 2010 à 19:57
C'est à ELLE de prendre conscience et de se remettre en question.
Si elle ne le veut pas, vous ne pourrez rien faire pour elle, simplement,
de vous la "mettre à dos".
Essayez insidieusement de lui glisser le n° de tél d'une association et
demandez lui de consulter un médecin.
Si elle ne le veut pas, vous ne pourrez rien faire pour elle, simplement,
de vous la "mettre à dos".
Essayez insidieusement de lui glisser le n° de tél d'une association et
demandez lui de consulter un médecin.
Pourquoi ne se rend-elle compte de rien ? Contexte familial d'alcooliques, fréquentation de buveurs dans son bar ?
Le problème, c'est qu'elle comprend qu'elle ne vit pas comme tout le monde mais elle pense que c'est une sorte de spécificité familiale, de "don", qu'elle a en plus un corps taillé pour le supporter, que c'est normal de boire quand on est tenancier de débit de boisson, etcetera... Pour elle, une belle fille bien en chair qui peut aligner les demis sans s'écrouler, c'est la preuve qu'elle peut continuer sans crainte. C'est aussi pour elle, paradoxalement, une preuve de liberté. "Je suis "costaud", je peux me le permettre, c'est génial de baigner dans l'euphorie toute la journée, les gens comme moi sont "affranchis"". Elle le vit exactement comme les soldats ou les bikers qui se font une gloire de boire comme des trous. A la limite, j'ai peur qu'elle soit quelque part fière d'être saoule le soir venu à son comptoir. Pas ivre morte, mais aussi imbibée que ses clients machos les plus habitués. Vivant dans le même univers de vantardise, de pseudo-histoires drôles, de plaisanteries plus ou moins grivoises, capable des mêmes fous rires qu'eux. Se sentant comme dans une sorte de ouate agréable. Il faut dire que c'est une fille que j'ai vu souvent ivre mais qui n'a jamais de gueule de bois. Il n'y a même pas cet argument pour la convaincre d'arrêter. Je suis sûr que, dans son état d'esprit actuel, elle serait fière d'avoir plein de gamma GT, "comme papa et la tante Louise" ou un truc dans le genre...
Vous pensez qu'il n'y a que la cure de désintox qui peut marcher dans un cas comme le sien ? Des amis me parlaient de gens qui buvaient beaucoup et avaient ralenti avec l'âge parce qu'ils ne se sentaient pas bien et qu'ils n'avaient plus non plus les mêmes goûts en vieillissant.
Je dis ça parce que je pense que Laetitia a tout sauf le profil d'une personne qui acceptera le concept d'une cure. Elle est dans le principe de plaisir immédiat et d'intolérance à la moindre frustration. Même si elle a su mener ses études jusqu'à un bac pro, qu'elle gère bien son établissement en dépit de l'alcool, qu'elle est toujours d'une hygiène irréprochable (douche quotidienne, toilette complète, maquillage, vêtements "voyants" mais toujours propres et changés tous les jours), elle ne supporte pas que quelque chose se mette entre elle et le "plaisir". Ce qui, dès l'enfance, l'a rendu indifférente à la prise de poids, problème qu'elle a contourné en choisissant d'afficher ses formes de manière provocante et en adoptant le style très américain des filles rondes tatouées et piercées. Je pense d'ailleurs qu'elle a développé un rapport de dépendance à la nourriture d'abord (dès la petite enfance à voir les photos), aux relations sexuelles (vers 14 ans) puis à l'alcool et accessoirement à la cigarette (vers 15-16 ans) .
Je suis moi-même très attaché à la notion de plaisir, non sans sentiment de culpabilité parfois, mais je dois dire que j'ai rarement vu quelqu'un aller aussi loin dans le refus de tout obstacle immédiat à ses désirs. En tous cas dans le domaine de la jouissance physique ou assimilée (je ne sais pas si on peut dire qu'une certaine forme d'alcoolisme est comparable à une jouissance physique comme l'absorption d'aliments ou la sexualité). Car il est vrai que pour le reste, elle ne fait nullement preuve de comportements de délinquance, ayant intégré en cela je pense les "valeurs" d'une famille prolétaire devenue commerçante à la force du poignet et qui n'apprécie pas le "désordre".
Le problème, c'est qu'elle comprend qu'elle ne vit pas comme tout le monde mais elle pense que c'est une sorte de spécificité familiale, de "don", qu'elle a en plus un corps taillé pour le supporter, que c'est normal de boire quand on est tenancier de débit de boisson, etcetera... Pour elle, une belle fille bien en chair qui peut aligner les demis sans s'écrouler, c'est la preuve qu'elle peut continuer sans crainte. C'est aussi pour elle, paradoxalement, une preuve de liberté. "Je suis "costaud", je peux me le permettre, c'est génial de baigner dans l'euphorie toute la journée, les gens comme moi sont "affranchis"". Elle le vit exactement comme les soldats ou les bikers qui se font une gloire de boire comme des trous. A la limite, j'ai peur qu'elle soit quelque part fière d'être saoule le soir venu à son comptoir. Pas ivre morte, mais aussi imbibée que ses clients machos les plus habitués. Vivant dans le même univers de vantardise, de pseudo-histoires drôles, de plaisanteries plus ou moins grivoises, capable des mêmes fous rires qu'eux. Se sentant comme dans une sorte de ouate agréable. Il faut dire que c'est une fille que j'ai vu souvent ivre mais qui n'a jamais de gueule de bois. Il n'y a même pas cet argument pour la convaincre d'arrêter. Je suis sûr que, dans son état d'esprit actuel, elle serait fière d'avoir plein de gamma GT, "comme papa et la tante Louise" ou un truc dans le genre...
Vous pensez qu'il n'y a que la cure de désintox qui peut marcher dans un cas comme le sien ? Des amis me parlaient de gens qui buvaient beaucoup et avaient ralenti avec l'âge parce qu'ils ne se sentaient pas bien et qu'ils n'avaient plus non plus les mêmes goûts en vieillissant.
Je dis ça parce que je pense que Laetitia a tout sauf le profil d'une personne qui acceptera le concept d'une cure. Elle est dans le principe de plaisir immédiat et d'intolérance à la moindre frustration. Même si elle a su mener ses études jusqu'à un bac pro, qu'elle gère bien son établissement en dépit de l'alcool, qu'elle est toujours d'une hygiène irréprochable (douche quotidienne, toilette complète, maquillage, vêtements "voyants" mais toujours propres et changés tous les jours), elle ne supporte pas que quelque chose se mette entre elle et le "plaisir". Ce qui, dès l'enfance, l'a rendu indifférente à la prise de poids, problème qu'elle a contourné en choisissant d'afficher ses formes de manière provocante et en adoptant le style très américain des filles rondes tatouées et piercées. Je pense d'ailleurs qu'elle a développé un rapport de dépendance à la nourriture d'abord (dès la petite enfance à voir les photos), aux relations sexuelles (vers 14 ans) puis à l'alcool et accessoirement à la cigarette (vers 15-16 ans) .
Je suis moi-même très attaché à la notion de plaisir, non sans sentiment de culpabilité parfois, mais je dois dire que j'ai rarement vu quelqu'un aller aussi loin dans le refus de tout obstacle immédiat à ses désirs. En tous cas dans le domaine de la jouissance physique ou assimilée (je ne sais pas si on peut dire qu'une certaine forme d'alcoolisme est comparable à une jouissance physique comme l'absorption d'aliments ou la sexualité). Car il est vrai que pour le reste, elle ne fait nullement preuve de comportements de délinquance, ayant intégré en cela je pense les "valeurs" d'une famille prolétaire devenue commerçante à la force du poignet et qui n'apprécie pas le "désordre".
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25 sept. 2010 à 20:27
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Ce n'est pas parce qu'elle n'est pas ivre qu'elle ne soit pas
alcoolique.
Cela me fait penser tout simplement à de la fuite, de la peur :
peur d'affronter les autres, soi-même, réaliser en fait qu'elle
se détruit, qu'elle n'a peut-être pas droit au bonheur ....
alcoolique.
Cela me fait penser tout simplement à de la fuite, de la peur :
peur d'affronter les autres, soi-même, réaliser en fait qu'elle
se détruit, qu'elle n'a peut-être pas droit au bonheur ....
begonie
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25 sept. 2010 à 20:29
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Bonjour petrus.
Bonjour 00lina00 :)
Je viens de lire ton texte qui est l'histoire habituelle des gens qui vivent proches de personnes ayant des difficultés avec l'alcool.
00lina00 a raison, toi tu ne peux rien faire pour ta copine. Tu ne pourras pas arrêter de boire à sa place.
Ce que dit ton texte, c'est que tu es très affecté par son histoire d'alcool et cela se comprend fort bien.
Ta copine est dans ce qu'on appelle le déni (elle nie la réalité, il n'y a aucun problème pour elle) et cela fait partie de son problème avec l'alcool.
Toi, par contre, tu peux faire quelque chose pour toi car tu es très probablement devenu ce qu'on appelle "co-dépendant".
Cela est caractéristique de toute personne qui est émotionnellement touchée par une maladie grave d'un proche, comme le problème d'alcool ou toute autre type d'addiction, handicap, maladie grave, etc...
Voilà, ce que tu peux faire :
C'est de contacter les AA (alcooliques anonymes) pour leur demander un rendez-vous afin de discuter de façon totalement anonyme de ton souci pour ton amie.
Tu pourras y trouver des réponses qui t'aideront à continuer le lien avec elle sans trop en souffrir toi-même et de devenir une aide sans t'y perdre, car c'est ça le danger.
Tu peux, déjà maintenant, la confronter au fait qu'elle met la vie d'autrui en danger en prenant le volant. Ce qui est le devoir de tout citoyen.
Bonjour 00lina00 :)
Je viens de lire ton texte qui est l'histoire habituelle des gens qui vivent proches de personnes ayant des difficultés avec l'alcool.
00lina00 a raison, toi tu ne peux rien faire pour ta copine. Tu ne pourras pas arrêter de boire à sa place.
Ce que dit ton texte, c'est que tu es très affecté par son histoire d'alcool et cela se comprend fort bien.
Ta copine est dans ce qu'on appelle le déni (elle nie la réalité, il n'y a aucun problème pour elle) et cela fait partie de son problème avec l'alcool.
Toi, par contre, tu peux faire quelque chose pour toi car tu es très probablement devenu ce qu'on appelle "co-dépendant".
Cela est caractéristique de toute personne qui est émotionnellement touchée par une maladie grave d'un proche, comme le problème d'alcool ou toute autre type d'addiction, handicap, maladie grave, etc...
Voilà, ce que tu peux faire :
C'est de contacter les AA (alcooliques anonymes) pour leur demander un rendez-vous afin de discuter de façon totalement anonyme de ton souci pour ton amie.
Tu pourras y trouver des réponses qui t'aideront à continuer le lien avec elle sans trop en souffrir toi-même et de devenir une aide sans t'y perdre, car c'est ça le danger.
Tu peux, déjà maintenant, la confronter au fait qu'elle met la vie d'autrui en danger en prenant le volant. Ce qui est le devoir de tout citoyen.
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^^Marie^^
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25 sept. 2010 à 20:55
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Bonjour
Ayant vécu avec un alcoolique durant .... TU ne peux RIEN faire. Tant que la personne ne se rend pas compte de sa maladie tu ne peux RIEN faire. Pas besoin d'être ivre à chaque fois. C'est la consommation qui engendre les gestes de tous les jours, les sarcasmes de tous les jours, les bêtises de tous les jours, les conneries de tous les jours, etc ..... la seule chose où, éventuellement, tu peux intervenir, c'est SI et seulement SI, elle se met en danger et, SI et seulement SI, elle met son entourage en danger. DONC, main courante etc ..... Et intervenir, en cas de coma éthylique prévenir le SAMU, de suite, et "là" la personne sera prise en charge, pour combien de temps ? Alors lààà !!! Mystère ... Tout dépend comment s'effectue la prise en charge, séjour en service hospitalier et ensuite dans un centre de cure pour ......... passer du bon temps ! Ben ! Oui !! La personne n'est pas allée de son plein grès faire sa cure. Donc, rebelote.
Même en contactant les AA, cela n'a servi à rien, puisque ce n'est pas la personne en question qui les a contacté.
j'ai rarement vu quelqu'un aller aussi loin dans le refus de tout obstacle immédiat à ses désirs.
Sont dans un "bulle" les alcooliques comme les drogués (seringues pas les pétards °)) ...
Pour que la personne s'en sorte ? Je lui ai montré la porte, en lui disant que je stoppais les frais. C'est vache ! Hein !! Depuis la personne ne boit plus et moi je respire ...
@+
Ayant vécu avec un alcoolique durant .... TU ne peux RIEN faire. Tant que la personne ne se rend pas compte de sa maladie tu ne peux RIEN faire. Pas besoin d'être ivre à chaque fois. C'est la consommation qui engendre les gestes de tous les jours, les sarcasmes de tous les jours, les bêtises de tous les jours, les conneries de tous les jours, etc ..... la seule chose où, éventuellement, tu peux intervenir, c'est SI et seulement SI, elle se met en danger et, SI et seulement SI, elle met son entourage en danger. DONC, main courante etc ..... Et intervenir, en cas de coma éthylique prévenir le SAMU, de suite, et "là" la personne sera prise en charge, pour combien de temps ? Alors lààà !!! Mystère ... Tout dépend comment s'effectue la prise en charge, séjour en service hospitalier et ensuite dans un centre de cure pour ......... passer du bon temps ! Ben ! Oui !! La personne n'est pas allée de son plein grès faire sa cure. Donc, rebelote.
Même en contactant les AA, cela n'a servi à rien, puisque ce n'est pas la personne en question qui les a contacté.
j'ai rarement vu quelqu'un aller aussi loin dans le refus de tout obstacle immédiat à ses désirs.
Sont dans un "bulle" les alcooliques comme les drogués (seringues pas les pétards °)) ...
Pour que la personne s'en sorte ? Je lui ai montré la porte, en lui disant que je stoppais les frais. C'est vache ! Hein !! Depuis la personne ne boit plus et moi je respire ...
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25 sept. 2010 à 21:07
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Bonjour ^^Marie^^,
C'est ce qui s'appelle aussi : confronter la personne à sa réalité et ne plus accepter cette réalité.
C'est souvent la seule solution possible.
C'est ce qui s'appelle aussi : confronter la personne à sa réalité et ne plus accepter cette réalité.
C'est souvent la seule solution possible.
^^Marie^^
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25 sept. 2010 à 21:34
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C'est la seule solution.
J'ai en effet peur de m'autodétruire, d'autant que je m'en veux de m'être plu à partager son euphorie au début pour m'apercevoir après que j'avais de la tendresse pour elle et qu'elle allait se démolir en s'imbibant méthodiquement d'alcool tous les jours de l'année.
Juste une petite lueur dans tout cela, je crois qu'on a été plusieurs à la sensibiliser au problème de la conduite et que, au moins par peur des policiers, elle ne conduit plus le soir pour rentrer chez elle. Sans cela, elle était persuadée de pouvoir se mettre au volant alors qu'elle ne marchait plus complètement droit !
Pour le comas éthylique, je crois que ça ne lui arrive jamais. A l'occasion d'une fête de famille, d'un mariage, elle peut devenir complétement ivre mais pas au sens du "comas". Elle titube plus, tient des propos incohérents et s'endort, c'est tout. En fait, au quotidien, elle étale tellement bien sa consommation, qu'elle parvient à éviter de s'écrouler. Par contre, quand elle peut, elle dort douze heures de suite.
Juste une petite lueur dans tout cela, je crois qu'on a été plusieurs à la sensibiliser au problème de la conduite et que, au moins par peur des policiers, elle ne conduit plus le soir pour rentrer chez elle. Sans cela, elle était persuadée de pouvoir se mettre au volant alors qu'elle ne marchait plus complètement droit !
Pour le comas éthylique, je crois que ça ne lui arrive jamais. A l'occasion d'une fête de famille, d'un mariage, elle peut devenir complétement ivre mais pas au sens du "comas". Elle titube plus, tient des propos incohérents et s'endort, c'est tout. En fait, au quotidien, elle étale tellement bien sa consommation, qu'elle parvient à éviter de s'écrouler. Par contre, quand elle peut, elle dort douze heures de suite.
25 sept. 2010 à 19:39