25 ans et de sérieuses questions

Bonjour,

Je fais régulièrement le tour des forums de sexualité ces derniers temps afin de consulter l'avis de personnes plus expérimentées.

Je suis un jeune homme de 25 ans, dépucelé il y a 3 ans avec la copine avec qui je suis encore (23 ans). Mais depuis nos débuts, question rapports sexuels, ce n'est pas trop ça. la première année, ça se comprend, on n'a pas eu le temps de le faire souvent car pour des raisons professionnelles, j'étais à 800km de chez elle. Je de débrouillais cependant pour renter quasiment tous les w-ends. Lorsque je rentrais, on ne le faisais pas systématiquement, malgré qu'on en ai eu vachement envie, on manquait simplement de lieu pour le faire.
Après, je suis revenu en région parisienne où je revivais chez mes parents. Pareil, on ne le faisait pas souvent parce que déjà chez moi, c'était pas facile (père à la retraite, mère au foyer), et chez elle non plus. On espérait avoir un chez nous pour pouvoir le faire plus souvent.
Mais alors que ça fait plus d'un an que j'ai pris un appartement (studio), en plus à 3km de chez ses parents, ça n'a rien arrangé au problème. On est toujours à un rythme de quinquagénaires (2 à 3 fois dans le mois max).

Je sais que de mon côté, j'en ai envie beaucoup plus souvent que ça, je serais prêt à le faire tous les jours si il le fallait. Il nous arrive même à faire des préliminaires, qu'elle prenne du plaisir, et qu'après, pas moyen de m'en donner. Je reste sur la béquille et elle dort.
Je lui fais de temps en temps des massages (plus ou moins sensuels) où je m'applique comme je peux (même après des journées intenses de boulot). De son côté, elle ne me masse que très peu, ne s'applique pas et a souvent la flemme. J'ai l'impression que c'est pareil pour les rapports.

Pour diversifier nos activités, je proposais davantage de sorties, restos, cinéma, théâtre (qu'on fait encore souvent), mais je le fais de moins en moins, voyant que ces choses deviennent banales et que c'est toujours moi qui propose.

On en a pas mal discuté et rediscuté depuis un an des relations sexuelles dans le couple, sans pour autant vouloir la culpabiliser. Elle se doute que son mâle, même si il veut tout faire pour lui faire plaisir, reste un mâle et a des besoins sexuels. Je lui ai dit que j'aimerais qu'elle lise davantage de choses sur la sexualité, qu'elle s'y penche plus souvent sur le sujet, qu'elle se renseigne un peu sur les hommes, qu'elle oublie certaines idées préconçues qu'elle a du sexe, qu'elle soit un peu moins flemmarde. Mais je ne vois pas d'évolution.

Depuis quelques mois, je me plains à ma famille et à mon entourage de cette situation. Ils me voient frustrés, et à chaque fois que je les vois, c'est plus fort que moi et je ressort le sujet. Je râle et quand ma copine m'appelle alors que je suis chez mes parents ou amis, je suis fâché et je lui dit ce que je pense. Elle ne se sent pas bien et pense que ce sont les personnes qui m'entourent qui m'influencent alors qu'il y a des choses que je n'ose pas lui dire.

Bien entendu, dans ce forum, on va me dire : "Ben, ai dé kouill, parle lui franchmen". C'est ce que je fais de plus en plus.

Concernant les rapports : Le missionnaire - le missionnaire - le missionnaire - ... ah, la levrette ... Le missionnaire - ...
Si je ne propose pas quelques acrobaties, ce ne sera pas elle qui me les proposerai. Il n'y a moi qui bouge, qui fait le travail. Pas de turlutte, et lorsque je veux lui faire un cuni, elle me dit à chaque fois que la bouche c'est sale.
Quand je lui demande de prendre des initiatives, elle ne sais pas quoi faire et quand je lui donne des idées, elle me dit que je n'ai pas à la commander comme une s***.
Pareil, au niveau des lieux, le lit - le lit - le lit - ...
Alors qu'il y a foule de lieu possibles et inimaginables. Je ne pense même pas sa réaction si je fais le coup de la panne de moteur en pleine cambrousse.
Les joujous, on en a un, c'était pour les débuts parce que ma verge était trop grosse pour son vagin. Ça va un peu mieux mais bon ... longues préliminaires, appréhension de la douleur, manque de relâchement.

Je ne dis pas que tout est noir, qu'il n'y a jamais d'espoir. Mais ce qui m'affole, c'est depuis ce printemps, je regarde les autres filles avec un peu plus de séduction, d'insistance, avec un appétit grandissant et là ... je ne sais plus quoi penser.