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1 réponse
L'éducation religieuse puritaine peut avoir rapport, en effet. Mais pas que.
Forcément, si on revient à une époque où les moeurs voulaient que l'on ne parle pas de sexualité aux "petits Hommes", où la procréation n'avait pour objectif que l'agrandissement de l'armée ou des choses comme ça... on s'éloigne de la culture qui prône le plaisir dans un couple et la satisfaction mutuelle, notamment sur le plan sexuel.
Les moeurs anciens dont je parle existent toujours, et pas forcément là où on pense les trouver. Une mère qui gronde son fils qu'elle surprend en train de se masturber... Ca arrive probablement tous les jours. Et ça a de terribles répercussions sur le développement de la sexualité du fils en question. "Je me fais plaisir, mais ce n'est pas bien, donc je n'ai pas le droit de me faire plaisir". C'est du moins ce que les psychanalystes ont découvert.
A terme, ça peut, en effet, provoquer un certain rejet de tout autre acte sexuel que la "simple" procréation.
Comment s'en défaire ?
J'imagine que ce n'est pas évident. Et probablement pas rapide.
Discuter, provoquer à l'aide de lingeries coquettes, discuter encore... Le plaisir à deux se découvre à deux. C'est comme pour les zones érogènes : c'est en testant toutes les parties du corps que l'on parvient à trouver celles qui font le plus d'effet.
Forcément, si on revient à une époque où les moeurs voulaient que l'on ne parle pas de sexualité aux "petits Hommes", où la procréation n'avait pour objectif que l'agrandissement de l'armée ou des choses comme ça... on s'éloigne de la culture qui prône le plaisir dans un couple et la satisfaction mutuelle, notamment sur le plan sexuel.
Les moeurs anciens dont je parle existent toujours, et pas forcément là où on pense les trouver. Une mère qui gronde son fils qu'elle surprend en train de se masturber... Ca arrive probablement tous les jours. Et ça a de terribles répercussions sur le développement de la sexualité du fils en question. "Je me fais plaisir, mais ce n'est pas bien, donc je n'ai pas le droit de me faire plaisir". C'est du moins ce que les psychanalystes ont découvert.
A terme, ça peut, en effet, provoquer un certain rejet de tout autre acte sexuel que la "simple" procréation.
Comment s'en défaire ?
J'imagine que ce n'est pas évident. Et probablement pas rapide.
Discuter, provoquer à l'aide de lingeries coquettes, discuter encore... Le plaisir à deux se découvre à deux. C'est comme pour les zones érogènes : c'est en testant toutes les parties du corps que l'on parvient à trouver celles qui font le plus d'effet.